Montauban

Montauban
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44° 01′ 05″ N 1° 21′ 21″ E / 44.018056, 1.355833

Montauban
Le musée Ingres.
Le musée Ingres.
Armoiries
Détail
logo
Administration
Pays France
Région Midi-Pyrénées
Département Tarn-et-Garonne
(préfecture)
Arrondissement Montauban
(chef-lieu)
Canton chef-lieu de 6 cantons
Code commune 82121
Code postal 82000
Maire
Mandat en cours
Brigitte Barèges
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Montauban
Site web http://www.montauban.com/
Démographie
Population 55 974 hab. (2008[1])
Densité 414 hab./km²
Aire urbaine 100 875 hab. (2008)
Gentilé Montalbanais, Montalbanaises
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 05″ Nord
       1° 21′ 21″ Est
/ 44.018056, 1.355833
Altitudes mini. 72 m — maxi. 207 m
Superficie 135,17 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Montauban est une commune française qui est le chef-lieu du département de Tarn-et-Garonne en région Midi-Pyrénées.

Montauban est la commune la plus peuplée du Tarn-et-Garonne. Ses 57 765 habitants (74 000 dans l’agglomération) sont appelés les Montalbanais(es). L'aire urbaine de Montauban dépasse les 100 000 habitants (estimation 2008).

La ville est connue comme étant le berceau de l'un des plus grands peintres du XIXe siècle, Jean-Auguste-Dominique Ingres (la ville est surnommée « la Cité d'Ingres »), et pour l'épisode historique qui y eût lieu, « Les 400 coups ».

Sommaire

Toponymie et étymologie

En occitan (languedocien) le nom de la commune s'orthographie Montalban, signifiant 'mont blanc'. Une raison probable de ce nom est que le cœur de la ville est situé sur une légère colline où l'on trouvait de nombreux saules (dont le dos des feuilles est blanc) qui donnait une impression de 'mont blanc' par temps de vent. On peut d'ailleurs retrouver le symbole du saule sur le blason de la ville[2].

Géographie

Montauban se situe à une cinquantaine de kilomètres au nord de Toulouse dans le département de Tarn-et-Garonne, à la confluence du Tescou et du Tarn. Montauban se situe à environ 80 km d'Agen (préfecture du Lot-et-Garonne) , 76 km d'Albi (préfecture du Tarn) et à environ 60 km de Cahors (préfecture du Lot)

La ville est reliée au canal de Garonne par un embranchement long de 30 km, le canal de Montech ou « canal de l’embranchement de Montauban ».

Histoire

En 1144, le comte de Toulouse, Alphonse Jourdain, fonde Montauban, souvent considérée comme une des premières bastides mais à tort (ces dernières n'ont vu le jour qu'à partir de 1229, date du traité de Meaux-Paris). Ce traité a mis fin entre autres aux villages fortifiés (Castéras, Castelnaus, etc.) pour asseoir le pouvoir étatique et démanteler ainsi l'emprise seigneuriale qui persistait sur les campagnes françaises au Moyen Âge.

La petite villeneuve croît de façon spectaculaire, et l'ancien évêque de Cahors Jacques Dueze, devenu le pape Jean XXII, fonde l'évêché de Montauban, émancipant définitivement la ville de l'espace d'influence de l'abbaye de Moissac.

Dans les années 1530 et suivantes, la population de Montauban se convertit au protestantisme, pour devenir entièrement huguenote au début des guerres de religion[3]. En 1559, la messe pour la mort d’Henri II n’est dite qu’au bout de huit mois. En janvier 1561, le culte protestant est public ; au mois d’août, les moines catholiques sont dans l’impossibilité de prêcher. L’évêque est chassé, et tous les consuls de la ville sont protestants[4].

En 1562, lors de la première guerre de religion, Montauban résiste à trois tentatives de siège de Montluc. Les églises ne sont rendues aux Catholiques, en 1563, que sous la menace. Aussi, quand Charles IX fait son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume – son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine –, il est exigé que les Montalbanais rasent leurs fortifications pour accueillir le roi. Après négociations, c’est accepté, et le roi fait son entrée le 20 mars 1565. Il est accueilli dans la liesse. Si l’évêque, Jacques II des Prés-Montpezat, peut revenir, il ne reste pas[5].

En 1570, la paix de Saint-Germain, signée entre le roi Charles IX et l’amiral Gaspard de Coligny, octroie aux Protestants quatre places fortes : La Rochelle, Cognac, Montauban et La Charité-sur-Loire. Une nouvelle enceinte est construite.

En 1598, Henri IV, ayant accordé par l'édit de Nantes des droits religieux aux protestants de France, accorde à ces derniers des « places de sûreté » au nombre de 51, plus des lieux de refuge. Montauban est une des principales places de sûreté accordées par le roi, avec Nîmes et La Rochelle. Elle acquiert ainsi le droit de se protéger en bâtissant et en entretenant des fortifications.

Cette même année une université protestante, l'Académie de Montauban et de Puylaurens y fut installée. Daniel Chamier, célèbre pasteur drômois et rédacteur des articles secrets de l'édit de Nantes, y enseigna. Elle fut fermée en 1685 date de la révocation de l'édit de Nantes.

En 1621, le duc de Luynes, connétable de France qui mène la guerre contre les protestants, lève le siège de Montauban malgré une forte concentration d'artillerie. Pendant 96 jours, la ville sous l'égide du consul Jacques Dupuy est déterminée à résister au siège de l'armée royale. Elle aurait subi le feu nourri de 400 pièces dont le clocher de l'église Saint-Jacques garde encore quelques traces. L’historien Max Lagarrigue a démontré que cet épisode, connu comme « les Quatre Cents Coups de Montauban », est probablement en partie légendaire[6].

Dernière citadelle et place de sureté calviniste, Montauban engage des tractations avec Richelieu dès la prise de La Rochelle et se rend sans résistance le 20 août 1629 à l'armée royale, accueillant le monarque et son ministre aux cris de « Vive le roi, vive le cardinal ». Les remparts sont détruits par l'autorité royale, mais la ville devient chef-lieu de généralité du Bas-Quercy. En 1661, elle reçoit une cour des aides. À l'instar du territoire qu'elle commande, son dynamisme industriel est remarquable. Elle compte 15 000 ouvriers textiles et 2000 ouvriers de minoteries en 1750.

En 1790, Montauban fait partie du département du Lot, et est chef-lieu d'un district, puis sous-préfecture à la création de l'administration préfectorale, en 1800. C’est en 1808, année de la création du département de Tarn-et-Garonne par Napoléon Ier, que la ville devient préfecture de département.

En 1808, une Faculté de théologie protestante y ouvre (à nouveau) ses portes pour former les pasteurs réformés. Ses enseignants les plus connus furent Jules Pédezert, Charles Bois, Émile Doumergue et Jean Monod. Elle est transférée à Montpellier après la Première Guerre mondiale. Sa célèbre bibliothèque est divisée: la partie théologique va à Montpellier, la partie littéraire et humaniste, riche en ouvrages des XVe et XVIe siècles, est confiée à la Bibliothèque universitaire de Toulouse.

Terre de repli

« Si dès la fin 1936, quelques centaines de familles de refugiés espagnoles débarquent à Montauban pour fuir la guerre civile, ce sont des milliers de républicains qui transitent par la gare de Villebourbon avant de gagner le camp de Septfonds. »[7] Dans ce cortège, Manuel Azaña, président de la République espagnole « après avoir échappé à la Gestapo près du Pyla, parvient dans une ambulance à Montauban. »[8] Finalement mis en résidence surveillée dans une chambre de l'hôtel du Midi à la demande du gouvernement de Vichy, « Azaña à qui l'on refuse un exil au Mexique »[9], meurt d'épuisement, le 3 novembre 1940. « Le préfet Durocher lui refuse des obsèques ostentatoires, la visite du maréchal Pétain deux jours à peine après ses obsèques n'y était, sans doute, pas étrangère »[10].

Au même moment où le dernier président de la République espagnole découvrait la patrie d'Ingres et de Bourdelle, plusieurs dizaines de milliers de réfugiés de toute l'Europe du Nord, et en particulier des sujets Belges y terminaient également leur course. « Carrefour, Montauban devenait un terminus pour ces milliers d'exilés qui avaient tout quitté pour ne pas revivre les horreurs et exactions allemandes de la Grande Guerre »[11]. Parmi ces réfugiés, « il y avait aussi Mona Lisa, La Joconde de Léonard de Vinci qui échappait au pillage et trouvait refuge avec toute une partie des collections du Louvre et du musée de Versailles dans les épais murs du musée Ingres »[11].

Au printemps 1944, une partie du division Das Reich y est cantonné, avant d’être appelé en Normandie et de commettre de nombreuses exactions et massacres en route, dont celui d’Oradour-sur-Glane[12]. Le père Leonid Chrol, pope dans la ville, obtint des soldats allemands, ukrainiens pour la plupart, qu'ils quittent Montauban sans effusion de sang.

Héraldique

blason

De gueules au saule d'or étêté, ayant six branches sans feuilles, trois à dextre, trois à senestre ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.

Climat

Le climat de Montauban se caractérise par une certaine douceur présente tout au long de l'année. La température minimale a été atteinte le 9 janvier 1985 avec -20 °C et la température maximale en août 2003 avec 41,8 °C.

La moyenne annuelle des précipitations est de 739 mm mais il n'est tombé que 425 mm de pluie en 1967 et en revanche 1 005 mm en 1959. La neige est rare à Montauban mais il est tombé 15 cm en janvier 1985 et 14 cm les 28 et 29 janvier 2006.

Le vent est très faible dans le Tarn-et-Garonne mais sa direction dominante reste ouest/nord-ouest. En novembre 1982, le vent d'autan a soufflé à Montauban à plus de 120 km/h, 130 km/h en décembre 1999 et à 133 km/h lors d'une mini-tornade en juin 2006.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792   François Bessières   Chef de bataillon de la Garde nationale de Montauban
       
mai 1815 juillet 1815 François Bessières   Général de division
       
1956 1965 Henri Lacaze MRP ancien Député
1965 1983 Louis Delmas SFIO puis PS ancien Député
1983 1994 Hubert Gouze PS ancien Député
1994 2001 Roland Garrigues PS ancien Député
2001 2014 Brigitte Barèges RPR puis UMP Député

La commune fait partie de la première circonscription de Tarn-et-Garonne.

Montauban est chef-lieu de ces 6 cantons :

Les cantons de Montauban
Montauban-1 Montauban-2 Montauban-3
Montauban-4 Montauban-5 Montauban-6
Autres cantons de Tarn-et-Garonne


Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[13] et INSEE[14],[15])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
26 160 21 950 23 973 25 357 24 660 23 865 23 561 25 102 24 726
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
25 095 27 054 25 991 25 624 26 952 28 335 29 863 30 388 29 470
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
30 506 28 688 29 778 26 094 28 829 29 981 32 025 36 281 38 321
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2011
41 002 45 872 48 028 50 682 51 224 51 855 53 941 55 974 57 765

[16]

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Économie

À la limite du Bas-Quercy et des riches plaines alluviales de la Garonne et du Tarn, Montauban est un important carrefour de routes et une active ville-marché, assurant la vente de la production maraîchère et fruitière de toute la région. Plusieurs zones commerciales : Albasud(200 ha regroupe actuellement 200 entreprises qui représentent 2800 emplois.) Futuropole ainsi que La zone nord qui s'étend sur 100 ha, compte 350 entreprises et 3800 salariés et Sapiac (environ 1100 salariés sur 70 hectares et près de 128 entreprises).

Le Centre-Ville et Villebourbon comprennent près de 500 commerces rayonnent au cœur d'un espace dynamique dont les atouts sont uniques.

Montauban est le second pôle d'activité de la région Midi-Pyrénées totalisant environ 35000 emplois pour 4200 entreprises.


Montauban est le siège de :

  • La Chambre de commerce et d'industrie de Montauban et de Tarn-et-Garonne.
  • La biscuiterie Poult
  • Électro-acoustique Bouyer-Funkwerk
  • APEM : un des 3 sites français du leader en interfaces homme-machine, dédié à la production des claviers professionnels.
  • Les luminaires Delmas
  • Les Fils de A. Doumenge (alimentaire)
  • Le Petit Journal, quotidien départemental d'informations locales édité à Montauban et concernant 11 éditions (Aude, Aveyron, Lot, Lot-et-Garonne, Gers, Pyrénées-Orientales, Herault, Midi-Toulousain, Comminges, Hautes-Pyrénées, Ariège).
  • Les Dragées Pécou, entreprise qui réalise 20 % des dragées en France
  • CGPME Midi-Pyrénées, syndicat patronal.
  • La Dépêche du Midi, quotidien d'information régional dont le siège est à Toulouse.
  • La société Guéry Motos Sport, importateur des cyclomoteurs et motos RIEJU (E) pour la France.
  • La caisse primaire d'assurance maladie

Enseignement

Universités et écoles supérieures :

Lycées :

  • Lycée Pierre-Marie Théas (privé) (regroupant le lycée Institut Familial, Lycée Saint-théodard ainsi que le lycée Montauriol)
  • Lycée professionnel privé Skhole d'art (coiffure, esthétique)
  • Lycée Michelet
  • Lycée Antoine Bourdelle
  • Lycée agricole de Capou, spécialité arboriculture/horticulture


Collèges:

  • Collège Institut familial (privé)
  • Collège Saint-Théodard (privé)
  • Collège Notre-Dame (privé)
  • Collège Olympe de Gouges (Montplaisir), triple champion de France de rugby.(public)
  • Collège Jean-Jaurès (Villebourbon)

Monuments et lieux touristiques

Montauban est classée ville d'art et d'histoire. Le matériau de construction le plus utilisé est la brique rouge.

La ville constitue une curiosité architecturale caractéristique des bastides de la région. Fondée en 1144 par le comte de Toulouse, comme de nombreuses petites villes du Sud-Ouest, elle répond à certaines caractéristiques : ses rues se coupent toutes en angles droits et définissent une place centrale rectangulaire. Le centre ancien est très homogène et aucun bâtiment moderne ne vient rompre l'harmonie des façades de briques généralement édifiées aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle.

Certains bâtiments et complexes architecturaux se distinguent :

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Art et culture

Autoportrait du peintre Ingres, 1804, musée Condé, Chantilly, France.
  • La ville a reçu en 1998 le label d'excellence « Ville d'art et d'histoire » attribué par le ministère de la Culture et de la Communication.
  • Elle accueille aussi tous les mois de juillet un festival de jazz, le Jazz à Montauban et en Tarn-et-Garonne.
  • Le musée de la Résistance et de la Déportation.
  • Le musée d'histoire naturelle.
  • Le Conservatoire à Rayonnement Départemental (Musique et Danse)
  • Cinémas : la ville possède un multiplexe, ainsi qu'une salle orientée art et essai : le « Paris ».
  • La ville de Montauban a pour ambition de rejoindre très prochainement les "Grands Sites" de Midi-Pyrénées.

Transports

Port de Montauban "Port Canal"
  • La gare de Montauban-Ville-Bourbon est une gare desservie par des TGV, des Téoz, des Lunéa, des Intercités et des TER. Elle permet de relier directement la ville, au sud à Toulouse, et au nord, à Paris via Limoges et Orléans. La gare de Montauban est la seconde gare de Midi-Pyrénées, par son chiffre d'affaires. Elle génère un peu plus de 6 millions d'euros de chiffre d'affaires (CA) par an, soit 90 000 euros par semaine. La gare de Montauban a accueilli environ 1 million de voyageurs en 2008.
  • La SEMTM à votre service !

Le bus c’est une manière de découvrir et de faire découvrir sa ville d’une façon différente en toute décontraction et en polluant moins que les utilisateurs de voitures individuelles. Le réseau Hespérides c’est : .66,7 km de lignes urbaines. Plus d’un million de voyages par an. Plus de 600 000 km en lignes urbaines parcourus par an. Le réseau Hespérides couvre l’ensemble de la communauté d’agglomération de Montauban en vous proposant différents services : Les transports urbains de la ville sont assurés par les Transports Montalbanais (voir article). La société comprend actuellement six lignes de bus nommées de A à F, depuis 2008 (onze lignes auparavant dont certaines ont été regroupées), qui déversent l'ensemble de la commune :

- A : MONPLAISIR - GARE SNCF - B : CITE JARDINS - CH. DU COTEAU - THÉAS - C : AUSSONNE - BEAUSOLEIL BAS - THÉAS - D : HIPPODROME - ALBASUD - BRESSOLS CENTRE-VILLE - E : BIRAC - POUTY - F : LYCÉE AGRICOLE CAPOU - CLOS MAURY

  • Navette Cocci : Le mercredi et le samedi, Cocci la navette gratuite, 100 % électrique permet aux personnes, se garant sur les différents parkings de la ville, de rejoindre très rapidement le cœur historique de la cité d’Ingres : la place Nationale, la rue de la Résistance, la rue des Carmes ou la place du Coq.
  • Eurybus Marché: Le samedi matin Eurybus permet de relier rapidement le parc-relais gratuit d’Eurythmie au marché en centre ville. Rotation toutes les 20 minutes de 7H50 à 12H30 – 0,50 euro.
  • L’accessibilité des transports au cœur des préoccupations :

Les personnes âgées, les personnes à mobilité réduite, les fauteuils roulants peuvent désormais mieux accéder au réseau grâce à de nombreux aménagements. 16 véhicules équipés de palettes escamotables acceptant 1 fauteuil roulant, sont en service. Un programme d’arrêts aménagés sur toutes les lignes est en cours d’élaboration.

  • Le canal de Montech est une voie navigable, et depuis mai 2008, la nouvelle capitainerie de Port Canal accueille une vingtaine de bateaux.

Projets

  • Une médiathèque HQE de 3 400 m2 d'un montant de 6M€. ⇒ Réception des travaux prévue en 2011. Livraison prévue pour début 2012.
  • Contournement ouest de la commune : en cours la première tranche située au Nord.
  • Future gare LGV au sud de la ville, vers 2020, aux alentours d'Albasud, avec plateforme multimodale de 100 ha d’emprise
  • Golf de 18 trous (à prétention internationale), ainsi que son habitat haut de gamme. Livraison prévue pour mi-2012.
  • Hippodrome à prétention régionale
  • Complexe aquatique, prévue en 2012.
  • Patinoire municipale, prévue fin 2011, début 2012.
  • POLE UNIVERSITAIRE

Un véritable pôle d'enseignement supérieur Des formations innovantes et à forte valeur ajoutée créatrice d'emplois Création sur BasPays d’un véritable campus corrélé à nos pôles de compétitivité : à côté du pôle dédié aux fruits: formation supérieure dans l’agroalimentaire, à côté du pôle de compétitivité Hélimaintenance : formation et recherche dans l’aéronautique; mais également création d’unités de formations et de recherches (UFR) spécialisées dans les nouvelles technologies, la chimie, la communication ou le génie mécanique, construction d’un centre de formation dédié au sport professionnel. Ce campus sera situé à proximité d’Albanord et des pôles golfique et hippique et desservi directement par le boulevard urbain ouest : véritable centre de ressources dédié à la formation, la recherche et la détente.

  • Création d’une nouvelle zone économique Albanord, (entre l’autoroute A 20 et la nationale 20) sur 87 ha

dédiée aux nouvelles technologies, au développement durable (écohabitat) et à l’artisanat et dotée du très haut débit.

Plus d'informations :

http://www.controle-citoyen.com/IMG/pdf/MONTAUBAN.pdf

Personnages célèbres

Nés à Montauban

Ayant vécus à Montauban

Décédés à Montauban

Sport

  • US Montauban, club de rugby à XV champion de France en 1967, dont la section professionnelle est le MTG XV (Montauban Tarn-et-Garonne XV) rugby à XV évoluant en Championnat de France de rugby Top 14 en 2009-10.Champion de France de deuxième division en 2001 et 2006 .Le club évolue au stade de Sapiac. Le club du MTG 15 a été rétrogradé et redevient amateur avec toujours les mêmes couleurs, le vert et noir.Désormais, la fédération a interdit de nommer le club MTG XV mais USM.
  • Montauban Football Club, club de football évoluant en DHR. Le club évolue au stade Georges-Pompidou anciennement nommé stade de la Fobio.
  • Le Montauban Athlétisme.
  • L'US Montauban Cyclisme 82, évoluant au niveau élite, champion de France amateurs 1997 et club formateur de nombreux coureurs professionnels. Organisateur du Tour du Tarn-et-Garonne.
  • Le club de plongée CANOM, spécialisé dans la plongée enfants
  • Le MBC (basket-ball) évoluant en Nationale 3 Masculine.
  • L'Association Tennis Montauban, organisateur d'un tournoi Future.
  • Les Jeunes Espoirs Montalbanais (JEM) : école de football, créée en 1986 et réputée pour sa formation des jeunes (pas d'équipes séniors).
  • L'USM Escrime peu connue mais forte de ses résultats en compétition nationale chaque année.
  • phes.
  • Hippodrome des Allègres
  • Le Baseball club montalbanais (Les "Orioles de Montauban")
  • Usm boxe Montauban boxe
  • USM Handball, club de Handball
  • L'Union nautique montalbanaise, club d'aviron.
  • Le Dojo Montalbanais, un club majeur de la région en judo.
  • L'Association Montalbanaise de Sauvetage et Secourisme : natation sportive, sauvetage, formation BNSSA
  • Le MN82, un des plus grands clubs de natation de France, avec 1142 licenciés en 2011. Né de la fusion des deux principaux clubs tarn-et-garonnais, le Cercle des Nageurs Montalbanais et les Dauphins Montalbanais, Montauban Natation 82 a vu le jour le 12 juin 2007.
  • ULM, Ulm 82 [(ulm midi-pyrenees)] le plus grand club ulm du Tarn et Garonne à Albefeuille Lagarde, école de pilotage et baptême de l'air.

Ville étape de la Route du Sud voir son palmarès et statistiques
Ville étape du Tour de France 1998

Militaire

Le 17e régiment du génie parachutiste (RGP) est une unité militaire de l'armée française située à Montauban. De plus, Montauban possède une Base de Défense (BDD) regroupant quelques unités militaires de Montauban, Agen et Castelsarrasin.

Jumelage

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • Histoire de Montauban de Henri Le Bret - 1841
  • Histoire de l'imprimerie et de la librairie à Montauban, de Émerand et Édouard Forestié
  • Je ne changerai pas, de Samuel de Pechels, journal d'un bourgeois huguenot de Montauban, exilé à la révocation de l'édit de Nantes.
  • Les Daliès de Montauban de Daniel Dessert, une dynastie de financiers protestants de Montauban.
  • Henri Nicol, Le Jugement de Montauban ou le procès d'un honnête homme (Paris, 1979).
  • Philip Conner, Huguenot Heartland: Montauban and Southern French Calvinism during the Wars of Religion (Aldershot, 2002) (St Andrews Studies in Reformation History).
  • Simon de Montauban de Luc Corlouër, roman sur un jeune apprenti journaliste de Montauban (Le Cormoran, 2011).

Liens externes

Notes

  1. Populations légales 2008 de la commune : Montauban sur le site de l'Insee
  2. (fr)+(oc)Montalban, vila occitana. Consulté le 31 août 2010 sur le site officiel de la ville.
  3. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p. 245
  4. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p 255
  5. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p. 256
  6. Max Lagarrigue, Les Quatre Cents Coups de Montauban, légende ou réalité ?, Montauban, revue Arkheia, n°4, 2002.
  7. Max Lagarrigue sous la direction, 1940, la France du repli : l'Europe de la défaite, Toulouse, Privat, 2001
  8. Max Lagarrigue, 1940, la Belgique du repli. L’histoire d’une petite Belgique dans le Sud-Ouest de la France, Ed. Hainaut, Charleroi, 2005
  9. G. Bourgeois, Manuel Azaña et le bon vouloir de Vichy, Ed. Arkheia, Montauban, 2008.
  10. Max Lagarrigue,Manuel Azaña et la France, éd. Arkheia, Montauban, 2007.
  11. a et b Max Lagarrigue, 1940, la Belgique du repli. L’histoire d’une petite Belgique dans le Sud-Ouest de la France, éd. Hainaut, Charleroi, 2005
  12. Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1) , p. 43
  13. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  14. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  15. Population municipale 2008 sur le site de l'Insee.
  16. Recensement de 2006 des communes de Tarn-et-Garonne
  17. Max Lagarrigue, 1940, la Belgique du repli. L’histoire d’une petite Belgique dans le Sud-Ouest de la France, Hainaut, Charleroi, 2005 et du même auteur 1940, la France du repli, l’Europe de la défaite, Toulouse, Privat, 2001.

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  • Montauban [2] — Montauban (spr. mongtobáng), 1) Renaut de, altfranz. Sagenheld, s. Haimonskinder. 2) Graf von Palikao, s. Cousin Montauban …   Meyers Großes Konversations-Lexikon

  • Montauban [2] — Montauban, franz. General, s. Cousin Montauban …   Kleines Konversations-Lexikon

  • Montauban —   [mɔ̃to bã], Stadt in Frankreich, Verwaltungssitz des Départements Tarn et Garonne, im Tal des Tarn am Rand des Quercy, 87 m über dem Meeresspiegel, 51 200 Einwohner; katholischer Bischofssitz; Textil , Schuh , Luftfahrt und… …   Universal-Lexikon

  • montauban — MONTAUBAN, Monsalbanus. Ville Episcopale, Inde Montalbanensis Episcopus. Il est suffragant de Tholose. Montauban est situé sur la riviere de Tarin. La ville de Quercy et la moitié du pont de Languedoc …   Thresor de la langue françoyse

  • Montauban [1] — Montauban (spr. mongtobáng), Hauptstadt des franz. Depart. Tarn et Garonne, am rechten Ufer des Tarn, der hier den Tescou aufnimmt und von einer Brücke aus dem 14. Jahrh. (nach der Vorstadt Villebourbon) überspannt wird, Knotenpunkt der Süd und… …   Meyers Großes Konversations-Lexikon

  • Montauban — (spr. mongtobáng), Hauptstadt des franz. Dep. Tarn et Garonne zwischen dem Tarn und Tescou, (1901) 30.506 E.; theol. Fakultät der Reformierten …   Kleines Konversations-Lexikon

  • Montauban — (Mongtobang, Hauptstadt des franz. Depart. Tarn Garonne, Bischofsitz mit 16500 E., lebhafter Industrie, berühmtem Weine. In den Kriegen der Hugenotten war M. einer ihrer Hauptwaffenplätze …   Herders Conversations-Lexikon

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