Pussay

Pussay


48° 20′ 58″ N 1° 59′ 40″ E / 48.3494758, 1.9944692

Pussay
L'hôtel de ville.
L'hôtel de ville.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Canton Méréville
Code commune 91511
Code postal 91740
Maire
Mandat en cours
Grégory Courtas (PS)
2008-2014
Intercommunalité sans
Démographie
Population 1 847 hab. (2008)
Densité 160 hab./km²
Gentilé Pussein
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 58″ Nord
       1° 59′ 40″ Est
/ 48.3494758, 1.9944692
Altitudes mini. 122 m — maxi. 147 m
Superficie 11,55 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Pussay (prononcé [pysɛ] Prononciation du titre dans sa version originale) est une commune française située à soixante-deux kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Pusseins[1].

Sommaire

Géographie

Situation

Occupation des sols en 2008.
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 5,3 % 61,56
Espace urbain non construit 2,2 % 25,44
Espace rural 92,4 % 1 064,28
Source : Iaurif[2]
Position de Pussay en Essonne.

La commune se situe à 62 kilomètres au sud de Paris, à 43 km à l'est de Chartres et à 60 km au nord d'Orléans, accessible de Paris par la RN20, à 18 kilomètres au sud d'Étampes, et à la limite départementale et régionale du Loiret et de l'Eure-et-Loir dans la région naturelle de La Beauce.

Hydrographie

Relief et géologie

Communes limitrophes

Climat

Article détaillé : Climat de l'Essonne.

Pussay, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, et est régulièrement arrosée sur l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une maximale de 15,2 °C et une minimale à 6,4 °C. Les températures réelles relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrés sont de 38,2 °C le 1er juillet 1952 et -19,5 °C le 17 janvier 1985. Du fait de la moindre densité urbaine de la banlieue par rapport à Paris, une différence négative constante de un à deux degrés celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an. Les précipitations sont réparties également sur l'année, avec un total de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.

Données climatiques à Pussay.
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,0 2,8 4,8 8,3 11,1 13,0 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51,0 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[3],[4].


Transports

Lieux-dits, écarts et quartiers

Toponymie

L'origine du nom du lieu est peu connue. La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[5].

Histoire

Le village serait d'origine fort lointaine, comme en témoignent certaines traces néolithiques (silex polis et taillés..) et mégalithiques (le dolmen de Thionville..).

Gaulois et Mérovingiens y auraient séjourné (cimetière sur la colline de Granville). Pussay aurait également appartenu à un Romain (Pudicius ou Pullicius). Le village était alors traversé par une voie Romaine allant de Paris à Blois par Étampes.

Le village est situé en plein cœur de la Beauce, véritable « grenier à blé » de Paris.

Ce petit village a vécu au rythme de l'histoire de France : le règne de Charlemagne, la puissance des Capétiens, l'essor du XIIe siècle, la guerre de Cent Ans.

C'est à cette époque (1433) que pour la première fois la seigneurie de Pussay est citée en la personne de Guillaume de Languedoue. De très ancienne noblesse, cette famille demeurera à Pussay jusqu'à la Révolution.

En novembre 1793, Pierre-Paul Dujoncquoy, fabricant de bas, est élu maire de la commune.

L'ère des Seigneurs prend fin et celle des manufacturiers commence.

Pussay deviendra un village dont la prospérité était due au siècle dernier à l'industrie de la laine (usines Brinon 1850-1953).

Démographie

Évolution démographique

Évolution démographique de Pussay.
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 640 660 626 701 942 952 921 972 992
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 050 1 093 1 077 1 118 1 168 1 246 1 225 1 380 2 103
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 2 101 2 196 2 012 1 865 1 794 1 835 1 820 1 641 1 645
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
Population 1 637 1 600 1 538 1 436 1 494 1 724 1 733 1 847 -
Notes, sources, ... (Sources : Nombres retenus jusqu'en 1962 : base Cassini de l'EHESS[5] puis à partir de 1968 : Insee[6],[7],[8].)
Histogramme

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Pussay en 2007 en pourcentage[9].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,5 
90 ans ou +
1,8 
7,4 
75 à 89 ans
12,3 
11,5 
60 à 74 ans
10,3 
18,9 
45 à 59 ans
17,7 
23,0 
30 à 44 ans
20,5 
18,0 
15 à 29 ans
17,6 
20,8 
0 à 14 ans
19,8 
Pyramide des âges en Essonne en 2007 en pourcentage[10].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
0,8 
4,0 
75 à 89 ans
6,4 
10,8 
60 à 74 ans
11,3 
20,0 
45 à 59 ans
20,1 
22,5 
30 à 44 ans
22,0 
20,9 
15 à 29 ans
19,5 
21,6 
0 à 14 ans
19,9 

Administration et politique

Politique locale

L'Insee attribue à la commune le code 91 1 17 511[11]. La commune de Pussay est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 105 111. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[12].

Maires de Pussay

Liste des maires successifs[13].
Période Identité Étiquette Qualité
2008 en cours Grégory Courtas PS  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Tendances et résultats politiques

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Élections référendaires :

Enseignement

Les élèves de Pussay sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose de l'école maternelle Pauline Kergomard et des écoles élémentaires Frédéric Joliot-Curie et Paul Bert[26].

Santé

Services publics

La commune dispose sur son territoire d'un centre de première intervention des sapeurs-pompiers[27] et d'une agence postale[28].

Jumelages

La commune de Pussay n'a développé aucune association de jumelage. Sur son site officiel, la commune présente un jumelage avec la commune de Trebesing en Autriche mais cet accord n'a pas été officialisé par les services du ministère français des Affaires étrangères.

Vie quotidienne à Pussay

Culture

En juin 2010 et 2011, l'association Oysonvilloise « l'Atelier des Fleurs du Calvaire » a joué dans une ferme de Pussay un spectacle historique écrit et mise en scène par Michel Laurent. Un son et lumière de nuit crée et réalisé de A à Z par les bénévoles dont le titre est Beau François et le Trésor de la Bande d'orgères.

Sport

La ville de Pussay offre de nombreux sport notamment un club de karaté[29] créé en 1995 par Bruno Pasquet ; d'autres sports sont proposés comme le tennis, ou encore le football où la ville de Pussay s'est associée à celle d'Angerville (91) pour créer le CS Angerville Pussay (CSAP)

Lieux de culte

L'église Saint-Vincent-et-Saint-Rémi.

La paroisse catholique de Pussay est rattachée au secteur pastoral de Saint-Michel-de-Beauce-Étampes et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Vincent-et-Saint-Rémi[30].

Médias

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie

Le premier permis de construire d'éoliennes d'Île-de-France est accordé à Pussay. Lancé en 2005, le permis de construire de trois éoliennes a été signé début avril 2008 par le préfet de l’Essonne.

Ce village devient donc la première commune d'Île-de-France à accueillir sur son territoire des éoliennes[Note 1]. En réalité, ces trois éoliennes pussayennes ont cinq sœurs jumelles (situées en Eure-et-Loir), car c’est bien huit éoliennes qui vont constituer le site des « Gargouilles ».

Mais ce site fait partie d’un ensemble et c’est en fait seize éoliennes au total qui vont être installées avec leurs huit autres cousines du site « Le Grand Camps », situées sur le même axe plus au nord en Eure et Loir, au sud de Oysonville.

Emplois, revenus et niveau de vie

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 450 €, ce qui plaçait la commune au 6 239e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au 175e rang départemental[31].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d'entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Pussay - - - - - -
Zone d'emploi d'Étampes 1,8 % 6,2 % 15,1 % 24,9 % 27,2 % 24,8 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d'activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Pussay - - - - - -
Zone d'emploi d'Étampes 2,9 % 16,1 % 6,7 % 14,8 % 9,2 % 5,8 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[32],[33],[34]

Culture locale et patrimoine

Patrimoine environnemental

Patrimoine architectural

  • Le château
Chateau de Pussay

Aujourd'hui ne subsistent plus que la moitié du château et une seule des quatre tours rondes. Cette demeure seigneuriale de l'époque médiévale, était autrefois un château fort à quatre tours rondes, entouré de plusieurs bâtiments formant deux fermes. Le château fort complétait le système de défense de Pussay autorisé par François Ier en 1546.

En 1703, François de Languedoue et sa femme, Hélène de Compans-Becquet, ont trois filles.[Note 2]

En 1809 la demeure se composait d'un bâtiment d'habitation couvert en ardoises, d'un premier étage et de greniers. Deux tours d'angle étaient encore debout à cette époque.

Aujourd'hui, seule une tour ronde située à l'angle Nord subsiste ainsi que la tour hexagonale rajoutée à la Renaissance. L'ensemble apparaît derrière une grille principale ouvragée à pilastres ornementés flanqués de deux grilles plus petites surmontées d'ouvertures à tympan triangulaire.

  • La Bastille
La Bastille à Pussay

À droite du château est présente une maison du début du XIXe, bien connue des organisateurs de rallye automobile, nommée "La Bastille"[Note 3].

Cheminée de l'usine Brinon
  • L'usine A. Brinon et la librairie de l'armée (ou plutôt les bâtiments dits de l'"usine A. Brinon Fils" et de la "Librairie de l'Armée de Terre")

L'usine avait été construite dans les années 1880, hors des murs de Pussay, par Adolphe Brinon (1830-1911). Ce dernier s'était associé à la veuve du fondateur de l'entreprise, Louis Boyard, en 1856, afin de poursuivre et de faire prospérer l'exploitation de la manufacture de bas et chaussons de laine qui avait été créée en 1796.

À l'époque on circulait en sabots car les rues n'étaient pas encore pavées et il était d'usage de chausser les sabots avec des chaussons. Cette activité occupa jusqu'à 600 personnes. La production évolua vers la fabrication de chaussures et se diversifia en abordant une activité textile. L'usine ferma ses portes en 1953. Les bâtiments qui subsistent, dont la cheminée en briques, sont les témoins et les derniers vestiges de l'ancienne usine Brinon qui a assuré la prospérité de Pussay durant l'ère industrielle.

Racheté par les domaines, le site a servi ensuite d'entrepôt pour le matériel de transmission rapatrié d'Indochine avant de devenir librairie de l'armée de terre (LAT). Implantée à Pussay en 1973 dans les bâtiments de l'ancienne usine de chaussons, la librairie de l'armée de terre, a pour mission de distribuer, aux forces françaises du monde entier, la littérature militaire ainsi que la documentation technique propres aux armes et matériels. Elle a quitté Pussay en 2000 lors de la restructuration des armées et a été transférée à Saint-Étienne sur une période de trois années.

La commune a racheté le site dont une partie est devenue une zone d'habitat tandis qu'une autre accueille une maison de retraite nommée "Le Centenaire".

  • Église Saint-Vincent-Saint-Rémi
  • Dalle funéraire des seigneurs de Pussay

L'un des seigneurs de Pussay, François de Languedoue, s'illustre à la bataille gagnée par le roi Charles IX dans la plaine de Saint-Denis en 1567. À sa mort en 1596, il est enterré dans l'église de Pussay.

Personnalités

Aucun personnage public n'a d'attache avec Pussay.

Héraldique

Blason de Pussay

Les armes de Pussay se blasonnent : D'argent à deux fasces de gueules accompagnées de huit coquilles de sable en orle.[35]

Mythes, légendes et anecdotes

Notes

  1. Cependant, il faudra attendre 2009 ou 2010 avant de voir s'ériger les pylônes : les constructeurs étrangers débordent de commandes.
  2. Ils partagent donc leurs biens en trois et le château en deux, deux des trois filles héritant chacune d'une moitié. Après la Révolution, la moitié gauche du château est rachetée par l'ancien receveur de la seigneurie de Pussay. Ses descendants la démolissent pour construire une maison bourgeoise abritant une manufacture de bas et chaussons de laine. Rachetée par un cultivateur, la seconde moitié est entretenue et restaurée ensuite par ses descendants, en majorité des manufacturiers.
  3. dont le nom n'a rien à voir avec le château de Pussay, son nom est simplement dû au fait que son constructeur était négociant en spiritueux à Paris, dans le quartier Saint-Antoine, proche de l'ancien emplacement de la célèbre Bastide Saint-Antoine (appelée La Bastille), devenue prison d’État du cardinal de Richelieu et qui fut détruite au début de la Révolution française.

Pour approfondir

Articles connexes

Liens externes

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Bibliographie

  • Charles-Alexandre Dujoncquoy-Féau, Mémoire sur les établissements de Mm. Andre Dujoncquoy et Fils à Pussay et à Ville-Lebrun (Seine-et-Oise), E. Chenu, janvier 1867 
  • Charles Forteau, Pussay à travers les âges : études historiques, Arcam, janvier 1988 (ISBN 9782864762911) 
  • Anne-Marie Firon, Pussay : 100 ans d'histoire, 1900-2000, Amattéis, janvier 2003 (ISBN 9782868492159) 
  • Anne-Marie Firon, Pussay, ses seigneurs, ses manufactures, ses villageois, Amattéis (ISBN 9782868491545) 
  • Anne-Marie Firon, Pussay, de la Belle époque à nos jours, Amattéis (ISBN 9782868492150) 

Iconographie

Outre les photos disponibles dans la galerie Commons, un site internet spécialisé regroupe de nombreuses photos de Pussay[36].

Sources

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
  2. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 14/11/2010.
  3. Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur le site de lameteo.org. Consulté le 9 août 2009.
  4. Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur infoclimat.fr. Consulté le 18 août 2009
  5. a et b Notice communale sur la base de données Cassini. Consulté le 19/03/2009.
  6. Données démographiques de 1968 à 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 19/03/2009.
  7. Population municipale 2006 sur le site de l'Insee. Consulté le 13/01/2010.
  8. Population municipale 2008 sur le site de l'Insee. Consulté le 16/01/2011.
  9. Pyramide des âges à Pussay en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 13/07/2010.
  10. Pyramide des âges de l'Essonne en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 03/07/2010.
  11. Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 13/01/2010.
  12. Fiche entreprise de la commune de Pussay sur le site verif.com Consulté le 20/04/2011.
  13. Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 09/06/2009.
  14. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  15. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  16. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  17. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  18. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  19. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  20. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  21. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/04/2010.
  22. Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  23. Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
  24. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 17/08/2009.
  25. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 17/08/2009.
  26. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 27/09/2010.
  27. Carte d'organisation des centres de secours en Essonne sur le site du SDIS 91. Consulté le 23/02/2011.
  28. Coordonnées de l'agence postale de Pussay sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.
  29. Okinawa Karaté Pussay
  30. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 29/11/2009.
  31. Résumé statistique national sur le site de l’Insee. Consulté le 26/10/2009.
  32. Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 17/06/2010.
  33. Rapport statistique de la zone d'emploi d'Étampes sur le site de l'Insee. Consulté le 20/05/2010.
  34. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  35. Blasonnement sur le site de Gaso, la banque du blason. Consulté le 17/09/2009.
  36. Différents éditeurs (Auchères, Combier, La Pie), Vingt et une vues aériennes de Pussay, cartes postales (années 1910-1960) sur site de l'association « Le Corpus Étampois ». Consulté le 20 juin 2010

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