Merovingiens

Merovingiens

Mérovingiens

Les Mérovingiens par Évariste-Vital Luminais. Gallerie d'art de la Nouvelle-Galles du Sud, Sydney.
Histoire de France
Adhémar de Monteil à Antioche.jpeg

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Les Mérovingiens constituent une dynastie de rois qui régna sur une très grande partie de la France et de la Belgique actuelles, ainsi que sur une partie de l'Allemagne et de la Suisse, entre Antiquité et Moyen Âge, du Ve siècle jusqu'au VIIIe siècle, immédiatement après l'occupation romaine de la Gaule. Ils sont issus des Francs saliens qui étaient établis au Ve siècle dans les régions de Cambrai (Clodion le Chevelu) et de Tournai, en Belgique (Childéric). L'histoire des Mérovingiens s'inscrit par la naissance d'une culture chrétienne dans leur territoire, de la reprise économique puis l'écartement de la dynastie des "rois aux longs cheveux".

Le nom mérovingien provient du roi Mérovée, ancêtre semi-mythique de Clovis. Ils étaient aussi appelés rois aux longs cheveux au débuts de leurs dynasties.

Sommaire

Histoire et personnalités

Le baptême de Clovis, d'après le Maître de Saint Gilles, ca. 1500

Le premier représentant historique de la dynastie mérovingienne, Childéric Ier, fils de Mérovée, dominait l'ancienne province romaine de Belgique Seconde. Mais c'est Clovis, petit-fils de Mérovée, qui par ses campagnes militaires, agrandit vraiment le royaume des Francs (latin regnum francorum) à l'est en Alémanie et au sud-ouest en Aquitaine (alors dominée par les Wisigoths). Cette expansion fut possible après sa conversion et son baptême (entre 496 et 499), et grâce à l'appui de l'aristocratie gallo-romaine et de l'Église catholique. Il installera sa capitale à Paris vers 507.

A la suite de son règne, on fit du nom Mérovingien une ère historique : le peuple sous-jacent à cette appellation était le peuple des Francs, qui donna le nom « France ».

Ce peuple autrefois qualifié de « barbare » par les Romains était un peuple germanique : aussi, le royaume fut partagé à la mort de Clovis, en 511. Divisé une première fois entre les quatre fils de Clovis – la région de Metz revint à Thierry, Orléans à Clodomir, Paris à Childebert et Soissons à Clotaire – le royaume fut réunifié sous le règne de Clotaire Ier, puis divisé à nouveau entre les fils de ce dernier.

Cette coutume du partage du royaume pratiquée chez les peuples germaniques constitua une règle de dévolution du pouvoir : celui-ci était partagé à la mort du roi entre les enfants de sexe mâle de ce dernier et le royaume était considéré comme un patrimoine familial. S'en suivirent une multitude de morcellements, mais également de nombreuses luttes fratricides, menées dans l'espoir de limiter l'éclatement du territoire conquis à l'origine par Clovis.

C'est ainsi que l'on vit, par exemple peu après la mort de Clodomir, l'assassinat des fils de ce dernier par leurs oncles, Childebert Ier et Clotaire Ier. Aussi, la pratique de la vengeance germanique (faide), ensanglanta bientôt la famille royale mérovingienne.

Une querelle familiale opposa pendant près de cinquante ans les deux frères Chilpéric Ier et Sigebert Ier, et leurs femmes respectives, Frédégonde et Brunehilde. Selon les chroniqueurs (favorables à Brunehilde) Frédégonde se montra d'ailleurs particulièrement cruelle, faisant assassiner :

  • Sigebert Ier en 575 ;
  • tous les enfants illégitimes de son mari Chilpéric Ier, pour s'assurer que le royaume ne revienne qu'à son propre fils ;
  • son propre mari, en 584, après qu'il se fut aperçu qu'elle entretenait des relations avec le maire du palais Landry;
  • Childebert II, fils de Sigebert Ier, en 596.

Après ces cinquante années de troubles vint une période de paix (relative) avec Clotaire II, le fils de Chilpéric Ier, qui réussit à réunifier le royaume des Francs, non sans avoir éliminé les gêneurs et les prétendants au trône. Il rassembla ainsi :

  • l'Austrasie : l'est de la France actuelle, l'est de la Belgique actuelle et les régions rhénanes ;
  • la Neustrie : le nord-ouest de la France actuelle (sans la Bretagne) ;
  • la Burgondie : du nom des Burgondes, un autre peuple germanique qui était demeuré arien à l'époque de Clovis, (l'actuelle Bourgogne et le Centre (Orléans).

Parmi ses deux fils, Charibert et Dagobert, le premier mourut prématurément en 632 dont le fils Chilpéric décéda peu de temps après, ce qui permit l'unification du territoire. Le court règne de Dagobert Ier marqua alors une période d'apogée et de relative paix dans le royaume mérovingien.

Conceptions et organisation du pouvoir mérovingien

Les rois francs étaient en principe élus par les hommes libres du peuple, un concept juridique qui recouvrait à l'origine des situations sociales diverses. Ces hommes libres, que Grégoire de Tours désigne sous le nom de Francs, furent progressivement assimilés à un groupe supérieur de la société, des "Grands" qu'on ne peut pas encore appeler noblesse. Cependant le principe héréditaire prévalut et les « Grands » durent choisir le souverain parmi les descendants mâles de la famille mérovingienne, ainsi érigée en dynastie. Les rois mérovingiens détenaient le mund, puissance charismatique et surnaturelle transmise par le sang et légitimée par les victoires du chef. On pensait alors que l'ascendant magique du roi franc résidait dans sa chevelure : ils sont surnommés les "rois chevelus" (en latin Reges criniti). C'est pour cette raison que le dernier des rois mérovingiens, Childéric III, fut tondu avant d'être enfermé par le nouveau roi, comme nombre de ses prédécesseurs qui avaient été écartés du trône. En 750, les derniers Mérovingiens, appelés ultérieurement « rois fainéants » par Eginhard pour légitimer la prise de pouvoir carolingienne, avaient depuis longtemps perdu tout pouvoir, excepté dans les apparences. Ce fut le temps d'une nouvelle dynastie franque issue de l'aristocratie austrasienne : les Carolingiens, dont le premier roi, Pépin III, dit le Bref, aussi nommé Pépin le Pieux, fut couronné et sacré après avoir déposé Childéric III, le dernier Mérovingien, avec l'aval du pape Zacharie.

La puissance de la dynastie mérovingienne s'appuyait surtout sur un réseau de fidélités. Les rois distribuaient terres, revenus et charges « publiques » à partir du trésor royal (le fisc) pour s'assurer le soutien de l'aristocratie. Le trésor royal, à la fois privé et public (car le roi était émanation du peuple), s'était ainsi substituée aux « biens publics » de l'époque romaine, évolution qui jeta les bases de la vassalité.

L'administration du palais royal était confiée à des officiers domestiques, fidèles et compagnons du roi :

  • le « connétable » était chargé des écuries royales ;
  • le « maréchal » s'occupait du tribunal ;
  • le « référendaire » envoyait les ordres écrits du roi dans les régions où le pouvoir de ce dernier s'exerçait ;
  • mais c'est surtout la charge de « maire du palais » qui prit de l'importance, en raison de son rôle central au cœur des relations du pouvoir avec l'aristocratie.
Fibules mérovingiennes

Le pouvoir local était conféré aux comtes, aux évêques qui furent progressivement nommés par le roi.

Le comte (comes ou « compagnon » du roi) dirigeait une circonscription (pays ou pagus) et constituait un véritable relais du pouvoir. Ses fonctions étaient diverses : il convoquait les hommes libres à l'armée, recevait leur serment de fidélité et levait ainsi les armées (l'ost). La charge de comte était promise à un bel avenir : elle survécut durant tout le Moyen Âge et ses titulaires affirmèrent leur indépendance chaque fois que le pouvoir central défaillait. Ainsi, dès l'époque mérovingienne, certains comtes formèrent de véritables dynasties et devinrent incontrôlables, surtout dans les régions périphériques du royaume. Une partie de l'aristocratie du royaume constitua alors une noblesse héréditaire.

Succession chez les Mérovingiens

La chute de l’Empire romain d’occident a été suivie par la mise en place de plusieurs royaumes barbares. La notion d’État qui était fondamentale dans le droit romain disparaît. Le royaume franc était considéré d’après la tradition germanique comme un bien patrimonial, c’est-à-dire que le royaume constituait le domaine familial du roi. Il n’y avait plus de distinction entre l’État, sa personne et son bien. Les victoires militaires aboutissaient donc à l’accroissement de la propriété familiale du roi. Ce partage était issu de la loi salique germanique. Cette loi excluait les femmes de la succession tant qu’il restait des héritiers mâles. Ainsi à la mort du roi, le royaume était divisé entre ses enfants de sexe masculin.

Il faut néanmoins savoir que l'expression loi salique désigne deux réalités bien différentes.

  • Dans le haut Moyen Âge, il s'agit d'un code de loi élaboré, selon les historiens, entre le début du IVe siècle et le VIe siècle pour le peuple des Francs dits « saliens », dont Clovis fut l'un des premiers rois. Ce code, rédigé en latin, et comportant de forts emprunts au droit romain[1], établissait entre autres les règles à suivre en matière d'héritage à l'intérieur de ce peuple.
  • Plusieurs siècles après Clovis, dans le courant du XIVe siècle, un article de ce code salique fut exhumé, isolé de son contexte, employé par les juristes de la dynastie royale des Valois pour justifier l'interdiction faite aux femmes de succéder au trône de France. À la fin de l'époque médiévale et à l'époque moderne, l'expression loi salique désigne donc les règles de succession au trône de France. Ces règles ont par ailleurs été imitées dans d'autres monarchies européennes. L'éviction des femmes du pouvoir par cette loi s'appuie sur un certain nombre de faux en écriture, de mensonges et d'omissions de l'Histoire, étudiés par l'historienne Éliane Viennot[2], qui montre aussi que cette éviction a suscité dès le XIIIe siècle des résistances et des conflits, dont les acteurs et les actrices restent encore pour la plupart absents des manuels scolaires.
Copie manuscrite sur velin du VIIIe siècle de la loi salique. Paris, bibliothèque nationale de France.


Article détaillé : Loi salique.


Difficultés pratiques

La première difficulté pratique était que le royaume devait être divisé équitablement. La mort du roi était suivie de nombreux pourparlers afin de décider de quelles régions allait hériter chaque fils. Ensuite, le partage du royaume faisait qu’il n’y avait plus un seul souverain à la tête d’un grand royaume mais plusieurs souverains à la tête de plusieurs petits royaumes ce qui affaiblissait considérablement le pouvoir de la dynastie franque. Cependant, le partage du royaume n’était pas aussi anarchique qu’on pourrait le croire. Bien qu’ayant chacun un bout de territoire franc, ils souhaitaient tous préserver l’unité du Regnum (royaume). Chaque héritier était donc considéré comme Rex Francorum, c’est-à-dire roi des Francs. Cette recherche d’unité était telle que les frontières ont toujours été très défendues contre les différentes tentatives d’invasion. Ainsi, bien que divisé, le royaume franc était toujours considéré comme une unité. Enfin, Paris ancienne capitale sous Clovis, a perdu ce rôle pour devenir le symbole de l’unité du royaume car elle était exclue des partages.

Conséquences politiques

Plusieurs parties de territoires pouvaient être réunies par la force ou si l’un des frères mourait sans enfants.
Le partage du royaume créa donc des conflits fratricides dictés par la convoitise qui étaient généralement suivis par des meurtres en série ou des guerres entre royaumes frères.

Prenons l’exemple de Clovis Ier : sa mort a été suivie du premier partage du royaume entre ses quatre fils : Théodoric, Clodomir, Childebert, Clotaire. Clodomir mourut lors d’une des nombreuses conquêtes qu’entreprirent les quatre frères. Les autres massacrèrent alors leurs neveux pour écarter tout héritier sauf saint Cloud qui se fit tondre (la chevelure des rois mérovingiens était légendaire, ils tenaient leur force et leur charisme de leurs cheveux qu’ils laissaient longs). Théodoric mourut après avoir envahit la Thuringe. Ses successeurs le suivirent rapidement suite aux guerres incessantes. Clotaire envahit le territoire de son frère aîné. Childebert mourut peu après sans descendance. Clotaire réunifia donc entièrement le royaume franc. Mais ce fut à la mort de ce dernier que les choses se sont réellement envenimées. Clotaire mourut avec quatre héritiers : Caribert, Chilpéric, Gontran, Sigebert. On procéda donc à un second partage du royaume qui fut suivi d’une longue « saga familiale » tragique confrontant la famille de Sigebert et Chilpéric. Cette querelle familiale, largement alimentée par la haine entre leurs épouses respectives, Brunehilde et Frédégonde, tourna rapidement à la guerre civile (connu sous le nom de faide royale).

Lorsque Sigebert épousa Brunehilde (fille réputée belle, intelligente…), son frère, jaloux, épousera Galswinthe, la sœur de Brunehilde, qui finira finalement étranglée dans son lit par la maîtresse et future épouse de Chilpéric, Frédégonde. La haine s’installera donc entre les deux couples. Les territoires francs passeront de mains en mains. Finalement Sigebert et Chilpéric seront tous deux assassinés par Frédégonde. Les deux reines, toutes deux tutrices s’affronteront en tuant neveux, cousins et oncles afin de mettre leurs fils respectifs sur le trône.

La haine que se voueront Frédégonde et Brunehilde aggravera la division Austrasie – Neustrie. Elle fera perdre toute unité au royaume et freinera le développement de la dynastie mérovingienne. Les conflits familiaux profiteront, par ailleurs, aux maires du palais. Ces guerres vont appauvrir les rois alors que les maires du palais vont s’enrichir et vont ainsi bénéficier d'un pouvoir croissant qui vont les amener jusqu’au trône avec l'avènement de Pépin le Bref.

Lent déclin des Mérovingiens

À partir de 639 (à la fin du règne de Dagobert Ier) commença l'époque des souverains que le biographe de Charlemagne, Eginhard, nomma les rois fainéants, au IXe siècle dans sa Vita Karoli (Vie de Charlemagne), cela pour légitimer la prise de pouvoir carolingienne. Souvent très jeunes – les querelles familiales pour le pouvoir ne leur laissaient qu'une espérance de vie très faible – les souverains mérovingiens devinrent les jouets de l'aristocratie.

D'autre part, dans un contexte général de crise économique en Occident, les richesses acquises par leurs prédécesseurs s'étaient considérablement amenuisées, suite à l'arrêt des campagnes militaires pour étendre le royaume, aux détournements de l'impôt et aux dépenses engagées pour venir à bout des révoltes et pour acheter la fidélité des vassaux.

L'autorité des Mérovingiens s'affaiblit donc pendant cette période de pauvreté et de déclin de la monarchie, tandis que s'imposaient peu à peu les maires du palais.

À l'origine simple intendant, le maire du palais devint avec le temps le réel administrateur du royaume en raison de son rôle central dans les relations avec l'aristocratie franque. Étant issu de celle-ci, en effet, le maire du palais défendait naturellement les intérêts des nobles, ce qui valut aux détenteurs de la charge un prestige croissant.

Progressivement, la charge de maire du palais consista notamment à déclencher les guerres, à négocier les accords avec les pays voisins, à nommer les évêques, les ducs et les comtes

Les membres de la famille des Pippinides, maires du palais austrasien de père en fils, profitèrent de cette situation et, pendant plus d'un siècle, ne firent qu'accroître leur influence à la cour, jusqu'à ce que Pépin le Bref évinçât, en 751, le dernier roi mérovingien, Childéric III, et le fît tondre, puis enfermer dans un couvent, pour monter sur le trône.

Pépin fut sacré roi en 754, à Saint-Denis, avec la protection du pape Zacharie. Son couronnement marqua, par la suite, l'avènement de la dynastie des Carolingiens.

Les Mérovingiens et l'historiographie

À partir du règne de Charlemagne commença une véritable entreprise de dénigrement de la dynastie mérovingienne dont le principal responsable est Eginhard.

Afin de justifier le coup d'État carolingien de 751, celui-ci laissa à la postérité une image bien terne des Mérovingiens que certains historiens du XIXe siècle reprirent, image qui a été diffusée par l'école, et qui est encore dans l'esprit de beaucoup.

Ainsi, il présenta les Mérovingiens comme des rois n'ayant rien fait, n'ayant fait néant, c'est-à-dire sans acte remarquable ; ce que les historiens du XIXe siècle traduisirent par fainéants et que l'image véhiculée, et raillée, par Eginhard des rois se déplaçant en char tiré par des bœufs n'arrangea pas. Or, chez les Francs, peuple d'éleveurs, se présenter en char tiré par des bœufs est un signe de richesse et de pouvoir.

De même, à une époque carolingienne où la mode est aux cheveux courts, présenter les Mérovingiens comme des rois ne se coupant pas les cheveux a également véhiculé cette idée de fainéantise. Or, là aussi, les cheveux longs sont, chez les peuples germaniques, un signe de pouvoir et lorsque que Pépin le Bref dépose le dernier roi mérovingien, il prend bien soin de le tondre, plus pour lui retirer un dernier attribut de sa puissance quasi-divine et montrer ainsi qu'il est incapable de régner que pour lui appliquer la tonsure monastique.

Au IXe siècle, à une époque où toute cette mystique païenne du roi germanique est un peu oubliée, Eginhard peut la retourner dans une entreprise de propagande qui a bien fonctionné puisque, encore aujourd'hui, on a une image peu glorieuse de ces rois.

Les nécropoles mérovingiennes

Nécropole mérovingienne de Civaux (France)

Les tombes mérovingiennes étaient des sarcophages de plâtre, des cercueils en bois ou parfois des individus en pleine terre. Celles-ci contiennent usuellement de nombreux bijoux de verre, des armes, des restes de vêtements et diverses offrandes. Ce n'est qu'à l'époque carolingienne, que les offrandes furent interdites par l'Église, en tant que pratique païenne.

De façon générale, les études montrent que les gens étaient durant ces périodes en bonne santé et robustes, et n'avaient que rarement des carences alimentaires.

On trouve très peu de tombes d'enfants. À cette époque, les enfants n'étaient baptisés qu'à l'âge de 3 ou 4 ans, lorsqu'on était certain que l'enfant était en bonne santé et allait vivre, car un baptême coûtait fort cher. Les enfants décédés sans être baptisés étaient donc enterrés en tant que non-chrétien, hors de l'enclos sacré.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Bruno Dumézil, « Les Francs ont-ils existé? », L'Histoire, n° 339, février 2009, pp. 80-85.
  2. Voir son livre La France, les femmes et le pouvoir, Volume 1, L'invention de la loi salique (Ve-XVIe siècle) publié en 2006


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