Andre Malraux

Andre Malraux

André Malraux

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André Malraux
André Malraux (au centre) en 1959avec le poète argentin Rafael Squirru.
André Malraux (au centre) en 1959
avec le poète argentin Rafael Squirru.

Activité(s) Écrivain, Homme politique et homme d'action
Naissance 3 novembre 1901
à Paris, France
Décès 23 novembre 1976
à Créteil, France
Langue d'écriture Français
Genre(s) Romans, essais sur l'art
Distinctions Prix Goncourt (1933)
Officier de la Légion d'honneur
Compagnon de la Libération, Médaille de la Résistance
Médaille militaire, Croix de guerre 1939-1945
enterré au Panthéon de Paris
Œuvres principales
Compléments

André Malraux, né à Paris 18e, rue Damrémont le 3 novembre 1901 et mort à Créteil (Val-de-Marne) le 23 novembre 1976, de son vrai nom Georges André Malraux, fut un écrivain, un aventurier et un homme politique français.

Sommaire

Parcours

En 1905, les parents de Malraux se séparent, créant un choc dans sa vie. Il passe ainsi son enfance avec sa mère, sa grand-mère et une tante épicière à Bondy dont il ne gardera pas de bons souvenirs (Antimémoires, 1967). À 14 ans, il entre à l'école supérieure de la rue Turbigo (le futur lycée Turgot), période durant laquelle il fréquente déjà assidûment les bouquinistes, les salles de cinéma, de théâtre, d'expositions, de concerts, etc. Ainsi commence sa passion pour la littérature contemporaine.

En 1918, il n'est pas admis au lycée Condorcet et abandonne ses études secondaires, il n'obtiendra jamais son baccalauréat ce qui ne l'éloignera pas de la littérature, bien au contraire. Il fréquente les milieux artistiques de la capitale et publie ses premiers textes dès 1920 : petits essais de théorie littéraire, comptes rendus critiques et premières proses. Les œuvres de cette époque appartiennent au genre farfelu (c'est Malraux qui ressuscite le terme), proses poétiques influencées par l'expressionnisme allemand et la poésie cubiste d'Apollinaire ou de Max Jacob. Le personnage de Clappique, dans La Condition humaine, est directement issu de cette première manière malrucienne. C'est aussi l'époque où il joue au Père Ubu et lit Alfred Jarry. Il s'en souviendra après 1948, en adhérant au Collège de Pataphysique.

En 1921 il se marie avec Clara Goldschmidt ; il dirige alors une collection aux éditions du Sagittaire. Après de nombreux voyages à travers l'Europe, il part avec Clara en Indochine pour y voler des statues et les revendre. Cette aventure lui inspirera La Voie Royale. Il est arrêté, puis, après un arrangement diplomatique, peut retourner à Paris. Impressionné par la vie coloniale, il repart pour l'Indochine et y fonde un journal d'idées anticolonialistes : L'Indochine, qui paraîtra ensuite sous le titre L'Indochine enchaînée[1].

L'aventurier

Le 23 décembre 1923, Malraux est arrêté à Phnom Penh, au Cambodge, ainsi que son ami Louis Chevasson. De mauvais placements boursiers ont dilapidé la fortune de son épouse Clara et André a pris la décision de découper un bas-relief du temple de Banteay Srei à Angkor pour le vendre à un collectionneur. Il est condamné, en juillet 1924, à trois ans de prison ferme et son ami Louis à un an et demi. Clara est acquittée. Elle repart pour Paris et mobilise en faveur de son mari les intellectuels de l'époque comme Marcel Arland, Louis Aragon, André Breton, François Mauriac, André Gide et Max Jacob. En appel, la peine de Malraux est réduite à un an avec sursis et il rentre en France en novembre 1924. Dans ses romans-documentaires, l'écrivain Roger Peyrefitte le désignera régulièrement sous le nom de "voleur de Banteay Srei".

Le romancier

En 1930, il publie La Voie royale, un roman d’aventures largement inspiré par ces événements. Il demeure à cette époque au 44 rue du Bac (Paris 7e), où il écrit La Condition humaine, roman inspiré du massacre de Shanghai de 1927. Dès 1933, il milite contre le fascisme et le nazisme, puis rejoint les républicains espagnols à partir de 1936. Il monte de toutes pièces l'escadrille España avec une vingtaine de Potez et en prend le commandement bien que ne sachant pas piloter, comme coronel (colonel), jusqu'en 1937. Après s'être inspiré de son combat pour écrire le roman L'Espoir, publié en décembre 1937, il tourne le film Espoir, sierra de Teruel en 1938, puis s'engage en 1939, à la déclaration de guerre.

Le Résistant

La guerre de 1939-1940

En novembre 1939, il est admis dans une unité de chars de combat[2] basée à Provins, où il reste jusqu'au 14 mai 1940. Il décrira sa guerre[3] : « Nos chars de Provins étaient hors d'état de nous porter hors du polygone d'entraînement. En mai, nous avons fait mouvement à pied, avec des antichars. Nous avons un peu tiraillé. J'ai été très légèrement blessé le 15 juin. Et le 16, nous étions faits prisonniers comme des fantassins, à mi-distance à peu près de Provins et de Sens, où on nous dirigea... ». Volontaire pour aider aux moissons, il est affecté à une ferme de Collemiers. Fin septembre, son demi-frère Roland le prévient que les Allemands ont décidé de rendre leur liberté à quelques écrivains. Avec son aide (fourniture de vêtements, chaussures et argent), il s'évade de la ferme, en compagnie de l'abbé Magnet[4], qui lui offre l'hospitalité chez lui, dans la Drôme.

L'attente

Il reste plusieurs années sans agir.

En 1943, il s'installe avec Josette Clotis à Saint-Chamant (Corrèze). Un second fils naît, Vincent. Début septembre, il a ses premiers contacts avec la Résistance, en l'occurrence avec Harry Peulevé, chef du réseau britannique AUTHOR du SOE. Il aide au recrutement de son demi-frère Roland dans le réseau.

Début 1944, Roland lui fait rencontrer George Hiller, chef du réseau FOOTMAN, autre réseau du SOE.

L'engagement

Fin mars 1944, ses deux demi-frères, agents du SOE, ayant été arrêtés par les Allemands[5], André entre en résistance : il quitte discrètement Saint-Chamant et gagne la vallée de la Dordogne. Il se fait appeler colonel Berger[6]. George Hiller le met en rapport avec les groupes Vény du Lot. Malraux installe son PC (composé de quelques hommes à peine) dans le maquis. Grâce à George Hiller, il circule dans plusieurs départements (Corrèze, Lot, Dordogne et Tarn), y rencontre les principaux chefs de la Résistance, et leur fait part de sa « mission », en ayant assez d'habileté pour laisser croire à chacun des groupes se réclamant d'une des hiérarchies en présence qu'il appartient à une autre. Piloté par George Hiller et parlant volontiers de son « PC interallié », il passe au début pour un agent du SOE. Pour d'autres, il commanderait les FFI au niveau de la région, ou encore les FTP. Sa mission affichée est de les regrouper tous, sous un seul état-major régional. Mais cette mission correspond d'autant plus précisément à ce qu'il souhaite, qu'il n'a laissé à personne d'autre le soin de la définir.[7]

La capture

Le colonel Berger est arrêté par les Allemands à Gramat le 22 juillet, lors de la fusillade de la voiture de George Hiller[8]. Il est transféré de prison en prison jusqu'à Toulouse (Prison Saint-Michel) pour des interrogatoires au terme desquels il aurait été l'objet d'un simulacre d'exécution. Libéré par un coup de force des frères Angel, du groupe de Jean-Pierre Vernant, il se retrouve libre quand les Allemands quittent la ville, le 19 août.

La libération du pays

Fin août 1944, séjournant à Paris, il rencontre Ernest Hemingway. En septembre[9], il forme la brigade Alsace-Lorraine, qui réunit d'anciens maquisards alsaciens et lorrains réfugiés dans le sud-ouest. À la tête de la brigade[10], Malraux participe dans les Vosges et en Alsace à la campagne de la première armée française, notamment lors des prises de Dannemarie (Haut-Rhin), de Strasbourg et de Colmar. Le 15 mars 1945, la brigade est dissoute.

Le Gaulliste

« Entre ici, Jean Moulin… »
L'éloge grandiloquent de Malraux à l'occasion de la cérémonie du transfert des cendres du héros de la Résistance fait désormais partie des annales du gaullisme.
Manuscrit original du discours, Musée de l'Ordre de la Libération. Hôtel des Invalides, Paris.

Dès 1945, il s’attache à la personne du Général de Gaulle, dans le gouvernement duquel il est ministre de la propagande et ministre de l'Information, le suit dans l'aventure du RPF, où il s'occupe de la propagande entre 1947 et 1954, et sera sous la Ve République ministre de la Culture de 1959 à 1969.

Le Ministre des Affaires Culturelles

Ministre, il mêle politique de prestige et œuvre sociale. Sans être un gaulliste de gauche déclaré, il ne renie nullement son passé de gauche : son discours contre François Mitterrand en décembre 1965 le prouve merveilleusement (« vous n’étiez même pas en Espagne »). Renouant avec l'esprit du Front populaire, il fait de la culture une affaire administrée par l’État. Raymond Aron rapporte cependant dans ses Mémoires que Malraux avait changé de façon stupéfiante en 1944 sur la question du communisme auquel il voue désormais une hostilité, presque une haine. S'il n'est pas l’initiateur des Maisons des jeunes et de la culture (issues de "la République des Jeunes", créée à la Libération), il est bien, en revanche, le créateur des "Maisons de la Culture", grandes machines gérées par le ministère du même nom.

Tout ce mouvement culturel se réalise au bénéfice des arts (arts vivants, musées, cinéma, musique…) qui ont le plus d’effets sur les masses, d'autres aspects de l'action culturelle comme la littérature se développant parallèlement à la culture de masse. Mais la culture de Malraux en matière d’art et sa fraternité à l’égard de plusieurs artistes de premier plan (Matisse, Braque, Picasso, Giacometti) distinguent plus particulièrement encore l'œuvre du ministre : commandes du plafond de l’Odéon à André Masson, du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall, envoi de la Joconde de Vinci aux États-Unis, restauration du château de Versailles, ou encore campagne de ravalement des grands monuments de Paris… Malraux n’a de cesse de faire rayonner la culture française dans le monde. On lui doit notamment le système "d'avance sur recettes", mis en place par un décret de juin 1959, qui reste de nos jours un moteur important de la création cinématographique en France. À la même période il fondait la Biennale de Paris, manifestation d'art dont le but était la valorisation de la jeune créativité française et internationale et le renforcement de la présence artistique française dans le monde.

Cette administration étatique de l’art, cette volonté de produire du culturel en y mettant les moyens budgétaires, a été jugé, par l'historien Marc Fumaroli, comme le grand enterrement nihiliste de la culture française. Selon lui, si l’on compare l’extraordinaire abondance de talents lors de la IIIe République avec l'ère malrucienne et actuelle, on s’aperçoit que l’après-guerre est pour la France un désert artistique, qu’on s’efforce de dissimuler à coup d’évènements culturels. La IIIe République n’avait pourtant pas de politique culturelle. Toutefois, la thèse de Marc Fumaroli est fortement contestée par certains historiens de la politique culturelle (Philippe Poirrier et Philippe Urfalino), qui soulignent plutôt la modestie de la politique culturelle de la période Malraux, tout en pointant ses singularités : rôle initiateur de l'État, volonté de démocratiser la culture consacrée, élargissement de l'État-providence aux questions culturelles. Le Ministère des Affaires culturelles, créé pour conserver Malraux au gouvernement, sera pérennisé après son départ en 1969.

Par fidélité au général de Gaulle, il quitte alors le pouvoir en même temps que lui. À aucun moment il n'aura manqué à cette fidélité, même pendant les évènements de Mai 68, qualifiés par lui de simple "répétition générale", mais aussi de "véritable crise de civilisation". Ainsi l'a t-on vu en tête de la manifestation de ceux qui réclamaient la restauration de l’ordre à l’Arc de Triomphe le 30 mai. Cet ordre, Malraux n’a cessé de l’identifier à la personne et à l'œuvre du général de Gaulle. Il sera d'ailleurs une des rares personnes que ce dernier consentira à recevoir jusqu’à sa mort en 1970.

Renouant avec les engagements de sa jeunesse, il prendra parti pour l'indépendance du Bangladesh dès 1971, et témoignera ainsi, en octobre 1973, en faveur de Jean Kay à son procès intenté pour le détournement du Vol 711.

La liaison avec Louise de Vilmorin

En 1948, il épouse Madeleine, la veuve de son demi-frère Roland mort sur le Cap Arcona. Il s'en sépare en 1966, et vit alors auprès de Louise de Vilmorin jusqu'à la mort de celle-ci en 1969, puis auprès de la nièce de celle-ci, Sophie de Vilmorin, qui s'occupe de l'écrivain jusqu'à sa mort, le 23 novembre 1976[11], d'une congestion pulmonaire à l'hôpital Henri-Mondor (Créteil).

Épreuves et rencontres

Au cours d'une vie marquée par des épreuves personnelles, il a perdu, pendant la guerre, ses deux demi-frères, Claude et Roland, engagés dans des réseaux britanniques du SOE et morts en déportation ; puis sa deuxième compagne, Josette Clotis (8 avril 1910 - 12 novembre 1944), dans des conditions dramatiques, car morte happée par un train ; puis les deux fils qu’elle lui avait donnés, Gauthier Malraux (5 novembre 1940 - 23 mai 1961) et Vincent Malraux (11 mars 1943 - 23 mai 1961), morts ensemble dans un accident de voiture; ils reposent tous trois au Cimetière de Charonne.

Il a été la cible d'un attentat de l'OAS le 7 février 1962, à son domicile de Boulogne-Billancourt, qui a défiguré et rendu aveugle la petite Delphine Renard, 4 ans.

André Malraux aura rencontré les grandes personnalités du monde politique (Mao Zedong, John F. Kennedy et Jawaharlal Nehru par exemple) et poursuivi un dialogue constant avec les grands artistes et intellectuels : Pablo Picasso, Marc Chagall, Georges Braque, Maurice de Vlaminck, André Derain, Fernand Léger, Jean Cocteau, André Gide, Max Jacob, Pierre Reverdy.

Sépulture d'André Malraux au Panthéon

Malraux ne s’est jamais cru lié par un dogme et, à travers ses mutations, il est resté fidèle à son besoin de dépassement, en excluant tout recours aux utopies consolatrices, mais en devenant de plus en plus dépendant des stupéfiants. Agnostique, il a mis dans l’art, et notamment dans l'idée d'un musée imaginaire qui arracherait les œuvres d’art à leurs fonctions traditionnelles pour les repenser dans leurs relations et leurs métamorphoses, la seule grandeur à la portée de l’homme et ses seules chances d’éternité. C’est pourquoi fraternité et humanisme sont au cœur de sa vie et de son œuvre :

« L’humanisme, ce n’est pas dire : « Ce que j’ai fait, aucun animal ne l’aurait fait », c’est dire : « Nous avons refusé ce que voulait en nous la bête, et nous voulons retrouver l’homme partout où nous avons trouvé ce qui l’écrase. » (Les Voix du silence, 1951).

On lui a souvent attribué la phrase « Le siècle prochain sera religieux ou ne sera pas », qui semble en fait une citation non littérale de ce propos authentique : « Je pense que la tâche du prochain siècle, en face de la plus terrible menace qu'ait connue l'humanité, va être d'y réintégrer leurs dieux[12]. »

Dans le cadre de la célébration du 20e anniversaire de sa mort, et à l'instigation de Pierre Messmer[13], les cendres de Malraux ont été transférées au Panthéon en 1996.

Détail des fonctions gouvernementales

Discours célèbres

Œuvres

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Voir sur Wikisource : André Malraux.

Liste des œuvres

Édition des œuvres complètes

Les Œuvres complètes d'André Malraux sont disponibles en cinq volumes (six volumes prévus), dans la collection de la Bibliothèque de la Pléiade (éditions Gallimard) : les deux premiers tomes sont consacrés aux œuvres de fiction ; le tome III au Miroir des limbes ; les tomes IV et V rassemblent les Écrits sur l'art ; le tome VI les essais littéraires et autres textes à caractère politique (à paraître). Cet ensemble comporte un appareil critique, des index, de nombreux inédits, ainsi que, pour les volumes IV et V, les illustrations des éditions originales. Dans la même collection un Album Malraux (iconographie choisie et commentée par Jean Lescure, 517 illustrations) a été publié en 1986.

Bibliographie générale des œuvres

  • Jacques Chanussot - Claude Travi, Dits et Écrits d'André Malraux. Bibliographie commentée, Éditions Universitaires de Dijon, 2003

Décorations

Décorations françaises

Décorations étrangères

  • Distinguished Service Order (GB)
  • Médaille de la Résistance tchécoslovaque
  • Grand Croix de l'Ordre de la Couronne Royale (Belgique)
  • Grand Croix de l'Ordre National de la République du Tchad
  • Grand Croix de l'Ordre du Soleil (Pérou)
  • Grand Croix de l'Ordre de la Couronne de Chêne (Luxembourg)
  • Grand Cordon de l'Ordre National du Cèdre (Liban)
  • Grand Croix de l'Ordre du Lion (Finlande)
  • Grand Croix de l'Ordre de l'Eléphant Blanc (Thaïlande)
  • Grand Croix de l'Ordre de la République (Égypte)
  • Grand Croix de l'Ordre Royal du Sahametrei (Cambodge)
  • Grand Croix de l'Ordre Nichan I Homayoun (Iran)
  • Grand Croix de l'Ordre National Honneur et Mérite de la République d'HaÏti
  • Grand Croix de l'Ordre Al Kawrah al Urdini (Jordanie)
  • Grand Croix de l'Ordre d'El Quetzal (Guatemala)
  • Grand Croix de l'Ordre royal de Dannebrog (Danemark)
  • Grand Croix de l'Ordre du Mérite de la République (Autriche)
  • Grand Croix de l'Ordre du Ouissam Alaouite (Maroc)
  • Grand Croix de l'Ordre de Saint Olaf (Norvège)
  • Grand Croix de l'Ordre de Georges 1er (Grèce)
  • Grand Croix de l'Ordre de l'Etoile Polaire (Suède)
  • Grande-Croix de l'Ordre de Sant'Iago de l'Épée (Portugal)
  • Grand Croix de l'Ordre National de l'Aigle Aztèque (Mexique)
  • Grand Croix de l'Ordre du Libertador (Vénézuéla)
  • Grand Croix de l'Ordre du Mérite de mai (Argentine)
  • Grand Croix de l'Ordre du Mérite Fédéral (RFA)
  • Grand Cordon de l'Ordre du Soleil Levant (Japon)
  • Grand Officier de l'Ordre National de Côte d’Ivoire
  • Grand Officier de l'Ordre National de Madagascar
  • Grand Officier de l'Ordre de la Croix du Sud (Brésil)
  • Grand Officier de l'Ordre National du Niger
  • Grand Officier de l'Ordre du Mérite de Centrafrique
  • Grand Officier de l'Ordre du Mérite de la République (Italie)
  • Grand Officier de l'Ordre de l'Etoile Equatoriale (Gabon)
  • Grand Officier de l'Ordre du Mérite (Congo)
  • Grand Officier de l'Ordre du Mérite (Sénégal)
  • Grand Officier de l'Ordre du Mérite (Mauritanie)
  • Grand Officier de l'Ordre National de la République (Haute-Volta)
  • Grand Officier de l'Ordre National du Mérite (Togo)
  • Grand Officier de l'Ordre National de la République du Dahomey
  • Commandeur de la République Espagnole

Citations

Notes, sources et liens externes

Notes

  1. Quelques notes sur Eugène Dejean de la Bâtie
  2. D.C. 41 -Ei 1.
  3. Entretien avec Jean Lacouture, 29 janvier 1973.
  4. Futur aumonier du Vercors, mort dans le maquis des Glières.
  5. Fin février ou début mars, Claude, second du réseau SALESMAN de Philippe Liewer, est arrêté à Rouen. Le 21 mars, Roland, second du réseau AUTHOR d'Harry Peulevé, est arrêté à Brive. Voir le récit de l'arrestation de Roland : Arrestation du 21 mars.
  6. Vincent Berger est le nom d'un personnage de son roman Les Noyers de l'Altenburg, paru en Suisse en 1943 sous le titre La Lutte avec l’ange.
  7. Source : Henri Noguères, Histoire de la Résistance, Famot, 1982, tome IX, p.322 et suiv.
  8. Pour un récit de l'arrestation, voir la boîte déroulante blessure de George Hiller.
  9. Création officielle, le 17 septembre, à Dijon.
  10. Grégory GUIBERT, L'action d'André Malraux à la tête de la Brigade Alsace-Lorraine : un commandement charismatique et spirituel, Mémoire de Master d'histoire du vingtième siècle de Sciences Po (dir : Jean-Pierre Azéma), Paris, 2002, 209 p.
  11. Source INA Journal Télévisé d'Antenne 2, le 23 novembre 1976
  12. A. Malraux, « L'homme et le fantôme », dans L'Express du 21 mai 1955. Cité par François Perrin, Franc-parler, Ottignies, 1996, pp. 173 et 190, qui cite également un passage analogue tiré de « Malraux nous dit », dans Preuve, n° 49, mai 1955, p. 15.
  13. Source : Interview de Jacques Chirac, Président de la République, au journal Le Figaro, 23 novembre 1996.

Sources et liens externes

Biographies

Autres sources

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Voir « malrucien » sur le Wiktionnaire.

Précédé par André Malraux Suivi par
-
Ministre des Affaires Culturelles
1958-1969
Edmond Michelet


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