Gare de Caen

Gare de Caen
Caen
Le bâtiment voyageurs en 2011
Le bâtiment voyageurs en 2011
Localisation
Pays France
Ville Caen
Adresse 15, Place de la gare
14000 Caen
Coordonnées géographiques 49° 10′ 35″ N 0° 20′ 52″ W / 49.1764, -0.347749° 10′ 35″ N 0° 20′ 52″ W / 49.1764, -0.3477  
Gestion et exploitation
Propriétaire RFF / SNCF
Exploitant SNCF
Services Intercités Normandie
TER Basse-Normandie
Fret SNCF
Caractéristiques
Ligne(s) Mantes-la-Jolie - Cherbourg
Caen - Cerisy-Belle-Étoile (HS)
Caen - Vire (HS)
Caen - Dozulé-Putot (HS)
Voies 7 + voies de service
Quais 3 centraux et 1 latéral
Transit annuel 2,9 millions (2008)[1]
Altitude 8 m
Historique
Mise en service 18571858
Correspondances
Tramway AB
Bus Twisto Lignes 1, 3, 4, 6, 11 et 26
Bus verts Lignes départementales

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Gare de Caen

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Gare de Caen

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Gare de Caen

La gare de Caen, autrefois appelée gare de l'Ouest ou gare de l'État, est une gare ferroviaire de la ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg, située à proximité du centre ville de Caen dans le département du Calvados en région Basse-Normandie.

C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des services Grandes Lignes (Intercités Normandie) et de nombreux services régionaux. Les liaisons typiques relient Caen à Cherbourg, Lisieux, Évreux, Paris, Rouen, Saint-Lô, Rennes, Bayeux, Argentan, Alençon, Le Mans et Tours.

Sommaire

Situation ferroviaire

La gare de Caen est située au point kilométrique (PK) 238,908[2] de la ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg. Ancienne gare de bifurcation, elle était également l'origine de la ligne de Caen à Cerisy-Belle-Étoile non exploitée, de la ligne de Caen à Vire déclassée et de la ligne de Caen à Dozulé-Putot déclassée elle aussi.

Son altitude est de 8 m.

Histoire

La gare au XIXe siècle

En 1846, la réalisation d'une nouvelle ligne reliant Paris à Caen à partir de Mantes-la-Jolie est concédée[3] ; mais les travaux de cette ligne, prolongée jusqu'à Cherbourg, ne commencent qu'en 1853 du fait de la crise financière de 1847 puis des événements de 1848[4],[5]. À Caen, une vive polémique oppose les édiles sur l'emplacement de la nouvelle gare à construire. Six projets sont proposés[N 1], mais deux options principales sont en fait opposées : l'un prévoit de construire la gare au plus près du centre-ville, l'autre à proximité du port de Caen[6]. Faute d'accord, les premiers trains de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest en provenance de Paris, à partir du 29 décembre 1855, arrivent dans une gare provisoire bâtie à Mondeville[7].

C'est finalement à proximité des abattoirs de Vaucelles que la gare définitive est construite. Les bâtiments sont terminés en juin 1857[8]. Le bout de ligne de deux kilomètres entre Mondeville et la nouvelle gare de Caen est ouvert le 1er juillet 1857[9], mais la gare n'est officiellement inaugurée que le 3 août 1858 par l'Empereur Napoléon III et l'Impératrice Eugénie. Le bâtiment voyageurs a la particularité d'être construit « dos à la ville », obligeant ainsi les usagers à contourner la gare afin de rejoindre le centre de Caen. Au nord, en effet, entre l'Orne et les halles pour voyageurs, est aménagée la gare-marchandise. Celle-ci est reliée aux abattoirs, facilitant ainsi le transport du bétail, et un pont la raccorde au quai de Juillet et au bassin Saint-Pierre situés de l'autre côté du fleuve.

Dans les années 1870, la gare fait l'objet de nouveaux travaux. En 1873, afin de permettre l'acheminement de trains entiers vers le port de Caen, un nouveau pont ferroviaire à structure métallique est bâti 60 mètres en aval de l'ancien pont. En 1876, le bâtiment voyageurs est restauré et, le 5 mai, un décret approuve le projet présenté par la Compagnie de l'Ouest pour l'agrandissement de la gare[10]. De nouveaux locaux sont alors construits au sud-est du bâtiment voyageurs (actuel technicentre).

L'étoile ferroviaire de Caen

Article détaillé : étoile ferroviaire de Caen.

Dès 1858, la ligne Paris - Caen est prolongée jusqu'à Cherbourg. En 1873, la ligne Caen - Cerisy-Belle-Étoile est ouverte, permettant la liaison Caen - Flers - Laval. En 1877, un raccordement entre la gare de Caen et la ligne de Caen à la mer autorise des liaisons directes vers Courseulles-sur-Mer ; la gare prend alors le nom de gare de Caen - Ouest pour la distinguer de la gare de Caen-Saint-Martin, terminus de la ligne de Caen à la mer. Vers l'est, la ligne Caen - Dozulé-Putot est ouverte en 1881. Enfin en 1886, le premier tronçon de la ligne Caen - Vire est ouvert ; la ligne est terminée en 1891. La gare de Caen devient donc à la fin du XIXe siècle le centre d'un véritable réseau régional. La plupart de ces lignes ont été fermées dans la seconde moitié du XXe siècle. La gare de Caen reste toutefois au cœur d'un réseau inter-régional important, grâce aux étoiles ferroviaires de Mézidon et de Lison.

La gare au XXe siècle

Les troupes alliés en 1944

L'Administration des chemins de fer de l'État, qui rachète la Compagnie de l'Ouest en 1908, dresse dans les années 1910 un projet visant à « retourner la gare » du côté du centre-ville. Mais le projet, nécessitant le déplacement de la gare des marchandises, est jugé trop coûteux[11]. Finalement, la gare est presque entièrement reconstruite par Henri Pacon en 1934[12].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le quartier de la gare subit des bombardements aériens de la Royal Air Force à plusieurs reprises[N 2]. La gare fait également l'objet de plusieurs actes de sabotage de la part de la Résistance intérieure[N 3]. Mais c'est surtout pendant bataille de Caen en 1944 que la gare est sévèrement touchée. C'est le premier objectif visé par les Alliés dans la nuit du 6 juin ; elle est à nouveau attaquée le 8 juin. Même après la libération totale de la ville (19 juillet 1944), la gare est encore bombardée, mais par la Luftwaffe cette fois (4 août)[13]. Dès la reprise en main de la ville par les Alliés, le RTO (Railway transport operations) gère la gare ; cette tutelle dure jusqu'à la fin de l'été 1945. Les ateliers, le dépôt de locomotives, les bâtiments de service, le triage et les quais avec leurs abris sont à reconstruire. On envisage alors de bâtir une nouvelle gare orientée vers le centre-ville, rue Général Decaen[14]. Mais finalement le bâtiment voyageurs, dont le gros œuvre n'a pas souffert[15], est restauré dans son état d'avant-guerre. La gare conserve donc l'originalité de tourner le dos au centre historique.

La gare est rénovée à deux reprises (1984–1986, 2008–2009). Malgré le lancement du projet urbain Rives de l'Orne, la construction d'une véritable entrée nord en lien avec le centre-ville (à l'emplacement de l'entrée du parco-train) n'est toujours pas à l'ordre du jour[16].

Architecture

La première gare (1857–1934)

Le premier bâtiment voyageurs est construit en 1857 sur le modèle des gares de première classe de la Compagnie de l'Ouest. Sa façade est similaire à celle de la gare du Mans, ouverte en 1854. Un corps central de cinq travées, surmonté d'une horloge, est flanqué de deux ailes en retrait de sept travées chacune. D'inspiration néo-classique, cette façade aux lignes très simples est scandée par des baies en plein cintre surmontées d'un entablement élémentaire. Les quais sont protégés par deux grandes halles métalliques. Les chapiteaux des trois piliers soutenant ces halles sont ornés des écussons aux armes des villes de Paris, Caen, Cherbourg, Lisieux et Saint-Lô[6].

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La deuxième gare (depuis 1934)

En 1934, Henri Pacon reconstruit la gare. Les deux grandes halles métalliques qui recouvraient les quais sont démolies et des abris métalliques sont établis sur les quais. Un souterrain est creusé sous les voies[N 4]. Le grand hall des départs (20 m sur 12 m) est reconstruit et surmonté d'un avant-corps monumental. Cet important volume de 12 m de haut est éclairé par une grande verrière métallique de style art déco. Une marquise épaisse et large protège les portes d'entrée sous la verrière. Les moulures de la façade des deux ailes latérales conservées sont simplifiée et les chambranles des baies sont remplacées par des pièces métalliques s'accordant avec la verrière. À chaque extrémité, cette façade est agrémentée de deux sculptures : la Normandie des Champs par Paul Dideron[17] et la Normandie maritime par Emmanuel Auricoste. Ces deux statues allégoriques disparaissent pendant la Seconde Guerre mondiale. Le bâtiment voyageurs, peu endommagé pendant la bataille de Caen, est restauré à l'identique.

La gare ferroviaire est réaménagée entre septembre 1984 et septembre 1986[18]. En 20082009, elle fait l'objet d'une nouvelle campagne de travaux dans le but de moderniser les espaces voyageurs et de mettre les bâtiments en conformité avec les normes de sécurité et la loi handicap du 11 février 2005[19]. Une galerie vitrée est construite en façade afin d'agrandir la gare en améliorant la liaison avec la gare routière (Bus verts) et le centre d'échanges Twisto (bus et tram). La deuxième phase de travaux de modernisation de la gare a débuté en janvier 2011 afin d'améliorer l'accessibilité aux quais pour les personnes à mobilité réduite, grâce notamment à l'installation d'ascenseurs[20].

Service des voyageurs

Service des marchandises

Cette gare est ouverte au trafic du fret. Elle dessert les installations du port et des installations terminales embranchées reliées aux voies du port. Le service est limité aux transports par train en gare. Elle dépend du centre régional de douane de Caen et de la plateforme de Sotteville. Elle est ouverte uniquement au train massif, mais elle bénéficie d'accords commerciaux permettant une desserte en trafic wagon isolé pour deux clients[21].

Correspondances

Desserte historique
Desserte actuelle

Le dépôt de Caen (CN)

Caen héberge un important dépôt de locomotives rendu célèbre par ses turbotrains ETG puis RTG qui avaient assuré les dessertes Paris - Caen - Cherbourg.

Type Nom Service
Locomotives diesel BB 63000
A1AA1A 68000
En service
Réformées
Locomotives électriques BB 22200 En service
Autorails et automotrices Autorails X 4300
Autorails X 4500
Autorails X 4900
Turbotrains ETG
Turbotrains RTG
AGC
En service
En service
En service
Réformés
Réformés
En service

Accidents ferroviaires

Le 3 juillet 1928, les freins d'un train en provenance de la gare transatlantique de Cherbourg lâchent à l'arrivée aux environs de Caen. Bien que le mécanicien ait inversé la vapeur, le train percute un autre convoi qui stationnait en gare de Caen avant de partir en direction de Laval. Deux wagons accrochés entre le tender et les fourgons à bogies du train transatlantique se soulèvent et viennent s'écraser sur les fourgons, tuant sur le coup le chef de train[22].

Le jeudi 29 août 1929 vers 9 heures du matin, une locomotive à vapeur 130-625 de type 130 (issue de la transformation de locomotives Ouest de type 030), tractant un train de marchandises de 325 tonnes composé de 21 wagons, démarre d'un faisceau de garage marchandises de la gare de Caen à destination de la gare de Vire. Elle accélère jusqu'à la vitesse limite de 30 km/h pour rejoindre la voie principale. Or l'aiguille au bout du faisceau est toujours orientée vers le tiroir, nom ferroviaire générique donné à une courte voie en impasse utilisée pour les manœuvres. Le mécanicien s'apercevant de l'erreur d'aiguillage renverse la vapeur et bloque les freins, mais le train continue néanmoins à rouler. Le mécanicien et le chauffeur sautent de la locomotive qui enfonce le heurtoir. Le mur de soutènement cède et le remblai s'affaisse doucement sous le poids de l'engin. La locomotive se retrouve alors parallèlement au pont, dans l'axe du tiroir, mais 5 mètres plus bas. Le tender, resté sur le talus, est en position inclinée et a arraché l'abri de la locomotive. Celle-ci a pénétré sur 1 mètre à l'intérieur du café du "Soleil Levant" (aujourd'hui au débouché de la rue des Tonneliers qui n'existait pas à cette époque). Aucune victime n'est heureusement à déplorer, les clients ayant eu le temps de fuir dans le jardin. Restée horizontalement « comme sur des rails », la locomotive barre complètement la rue de la Gare (large d'une dizaine de mètres seulement à l'époque), bloquant ainsi non seulement la circulation routière, mais également la voie unique métrique du tramway de Caen et la voie de 60 cm des Chemins de fer du Calvados raccordant la gare de Caen-Saint-Pierre à la station de la gare de Caen-Ouest. C'est l'ingénieur Raoul Dautry qui, par l'établissement d'un plan incliné, d'une voie provisoire et de palans, fit remonter en marche arrière la locomotive et son tender à la hauteur des rails[23].

Notes et références

Notes

  1. Sites proposés : Saint-Gilles, Demi-Lune, centre-ville, rue de l'Arquette ou Prairie
  2. (1941) 25 juillet – (1942) 2 mars – (1943) 10 février ; 13, 17, 20 avril ; 30 mai – (1944) 11, 13, 17 et 30 avril
  3. Mitraillage du train express Paris - Cherbourg (3 juin 1943) ; bombe détruisant un aiguillage vers le port (22 janvier 1943) ; déraillement d'une locomotive dans le dépôt (1er mai 1944)
  4. Dès 1926, le conseil général du Calvados demande à la compagnie de créer ce passage afin de traverser les voies en toute sécurité. Ce projet traine en longueur car les quais sont trop étroits pour y établir les escaliers nécessaires.

Références

  1. Réinventer les gares du XXIe siècle, Dossier de presse Gares & Connexions, 13 avril 2010, vol. 2, p. 5 [lire en ligne]
  2. Gérard Blier, Nouvelle géographie ferroviaire de la France, Paris, La Vie du Rail, t. 2, planche n° 29
  3. Loi du 21 juin 1846, Recueil des lois, décrets, conventions et cahiers des charges concernant le réseau concédé à la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, p. 29 [lire en ligne]
  4. Alfred Picard, Les chemins de fer français : étude historique sur la constitution et le régime du réseau, Paris, J. Rothschild, 1884, t. 2, p. 41 [lire en ligne]
  5. Henri Nicolle, De Paris à Cherbourg en chemin de fer, Guide-itinéraire contenant l'historique complet des travaux de la digue et du port de Cherbourg, Caen, Alfred Bouchard, 1860, p. 1–2
  6. a et b Paul Dartiguenave, Bretteville-sur-Odon du XIXe siècle aux années 1970, Paris, Éditions Publibook, 2001, p. 26
  7. Direction générale des Ponts et Chaussées et des chemins de fer, Situation centrale des chemins de fer – Chemins de fer français – Situation au 1er décembre 1868, Paris, Imprimerie impériale, 1869, p. 144 [lire en ligne]
  8. François Robinard, Caen avant 1940 : rétrospective de la vie caennaise de 1835 à 1940, Caen, Éditions du Lys, 1993, p. 62
  9. Direction générale des Ponts et Chaussées et des chemins de fer, op. cit., p. 145
  10. Département du Calvados – Conseil général – Rapport de M. le Préfet – Sessions d'août 1876, Caen, Pagny, 1876, pp. 216 [lire en ligne]
  11. Département du Calvados – Conseil général – Délibérations – Première session de 1928, Caen, A. Olivier, 1928, pp. 150–151 [lire en ligne]
  12. Fanette Roche-Pézard, « Gérard Monnier : l'architecte Henri Pacon, 1882–1946 » dans les Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1985, Vol.40, N°2, p. 445
  13. Caen et la Seconde guerre mondiale
  14. Édouard Tribouillard, Caen après la bataille : la survie dans les ruines, Caen/Rennes, Mémorial de Caen/Éditions Ouest-France, 1993, p. 89–92
  15. La gare en 1944
  16. Ouest-France, 28 février 2009
  17. Site dédié à Louis Dideron
  18. Rémy Desquesnes, Caen 1900–2000 : un siècle de vie, Fécamp, Éditions des Falaises, 2001, p. 194
  19. SNCF.com
  20. Richard Goasguen, « Guillaume Pépy inaugure la phase 1 de la rénovation de la gare de Caen » dans La vie du rail, n°3197, 11 mars 2009
  21. Site Fret SNCF : la gare de Caen.
  22. Ouest-Éclair, 5 juillet 1928, édition de Caen, p. 5 [lire en ligne]
  23. François Robinard, op. cit., p. 167

Bibliographie

  • La France des gares, collection Guides Gallimard, 2001
  • Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, Éditions N.M., 1969, réédition 1978
  • Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot et Marc Gayda, Histoire du réseau ferroviaire français, Valignat, Éditions de l'Ormet, 1996

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Direction précédente Gare précédente Trains Gare suivante Direction suivante
Cherbourg Bayeux Intercités Normandie Paris-Saint-Lazare
ou
Lisieux (uniquement une fois par jour)
Paris-Saint-Lazare
Saint-Lô Bayeux Intercités Normandie Lisieux Paris-Saint-Lazare
Terminus Terminus Intercités Normandie Lisieux Paris-Saint-Lazare
Terminus Terminus Intercités Mézidon Le Mans ou Tours
Cherbourg Bayeux TER Basse-Normandie Mézidon Lisieux
Saint-Lô Bayeux TER Basse-Normandie Mézidon Lisieux
Cherbourg Bretteville - Norrey TER Basse-Normandie Terminus Terminus
Coutances Bretteville - Norrey TER Basse-Normandie Terminus Terminus
Rennes Bayeux TER Bretagne /
Basse-Normandie
Terminus Terminus
Terminus Terminus TER Basse-Normandie Frénouville - Cagny Lisieux
Terminus Terminus TER Basse-Normandie Mézidon Alençon
Terminus Terminus TER Basse-Normandie /
Haute-Normandie
Mézidon Évreux-Normandie
Terminus Terminus TER Basse-Normandie /
Haute-Normandie
Mézidon Rouen-Rive-Droite
Terminus Terminus TER Basse-Normandie /
Pays de la Loire
Mézidon Le Mans



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