- Le Bailliage
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Aire-sur-la-Lys
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DétailAdministration Pays France Région Nord-Pas-de-Calais Département Pas-de-Calais Arrondissement Saint-Omer Canton Aire-sur-la-Lys Code Insee abr. 62014 Code postal 62120 Maire
Mandat en coursJean-Claude Dissaux Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Aire Démographie Population 9 606 hab. (2006) Densité 288 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 16 m — maxi. 48 m Superficie 33,38 km² Aire-sur-la-Lys (en néerlandais : Ariën) est une commune française, située dans le département du Pas-de-Calais et la région Nord-Pas-de-Calais. Chef-lieu d'un canton qui compte 23 256 habitants.
Ses habitants sont appelés les Airois.
Sommaire
Situation
À 230 km de Paris, à 58 km d'Arras (le chef-lieu de département) à 65 km de Lille, 60 km de Calais, 58 km de Boulogne-sur-Mer, Aire-sur-la-Lys est presque à égale distance des grands centres urbains du Nord-Pas-de-Calais. La cité est la première ville traversée par la Lys qui se jette dans l'Escaut à Gand, elle est également ceinturée par la Laquette (affluent de la Lys), par la Liauwette et par le canal de Neufossé.
Histoire
Aire-sur-la-Lys est citée une première fois en 857. La ville se développera autour du castrum que Baudoin II, comte de Flandre, fait construire pour résister aux invasions normandes et autour de la collégiale Saint-Pierre édifiée par Baudoin V.
La ville bénéficie d’institutions communales sous le nom d’« Amitié », reconnue en 1188 par le comte de Flandre Philippe d'Alsace, mais qui existait probablement dès les années 1100, voire sous Clémence de Bourgogne (régente de 1096 à 1100)[1].
La cité est assiégé dix fois entre 1127 et 1710. Elle est séparée de la Flandre et attachée au comté d'Artois en 1196. Elle est ensuite bourguignonne, puis espagnole. La ville est assiégée en 1676 par Vauban[2]. Elle reste espagnole jusqu'au 14 avril 1713 où par le traité d'Utrecht, elle est définitivement rattachée à la France. Cette place forte, dont Vauban a fait l'une des positions stratégiques de son pré carré, est démantelée en 1893.
Administration
Liste des maires successifs de 1790 à nos joursListe des maires Période Identité Parti Qualité Mars 2008 - Jean-Claude Dissaux DVG Conseiller Général Mars 2001 Mars 2008 André Demaret UMP 1971 Mars 2001 François-Xavier Becuwe* RPR 1953 1971 P. Blondel SFIO 1947 1953 E. Gosseau 1945 1945 A. Bar 1945 1945 E. Gosseau 1921 1945 A. Salomé 1910 1921 A. Delbende 1904 1910 Baron H. Dard 1888 1904 André Faucquette 1884 1888 H. Warenghem 1884 1884 Baron A. Dard 1881 1884 André Faucquette 1879 1881 Ch. Descamps 1871 1879 T. Lambert 1867 1871 E. De Sars 1858 1867 E. Warenghem 1851 1858 R. De Mazinghem 1850 1851 E. Warenghem 1848 1850 H. Mahieu-Milon 1847 1848 Ch. Duboile 1844 1847 L. D’Halewyn 1832 1844 H. Mahieu-Milon 1832 1832 N. Jouvet 1830 1832 Ad. Dellaleau 1815 1830 Ch. Dallennes 1812 1815 Ch. D’Halewyn 1809 1812 L. De La Vieville An VIII 1809 L. Deslions An VII An VIII A. Martin An VI An VII Aug. Dellaleau An V An VI B. Tharel An V An V A. Papegeay An V An V C. Clugniet An III An V J. Duval An II An III N. Cattin 1792 An II P. Colin 1792 1792 Lepage 1791 1792 Colpaert 1791 1791 Bontemps 1790 1791 J. Garson Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des mayeurs successifs de 1710 à 1790Liste des mayeurs Période Identité Parti Qualité 1786 1790 Ch. De Lencquesaing - - 1779 1786 M. Théry - - 1769 1779 J. Le Merlier - - 1753 1769 Ch. De Lencquesaing - - 1746 1753 Ch. De Bamast - - 1740 1746 A. De Geneviève - - 1737 1740 G. De Basselers - - 1733 1737 L. De Brandt - - 1727 1733 H. Van Rhemer - - 1724 1727 A. D'Assigny - - 1719 1724 De Mametz De Mailly - - 1711 1719 G. Gaillard - - 1710 1711 De Vitry de Breucq - - Toutes les données ne sont pas encore connues. - FX Becuwe : l'homme à la main tendue
Démographie
Héraldique
Les armes d'Aire-sur-la-Lys se blasonnent ainsi :
de gueules à l'aigle d'argent becquée et membrée d'or
Lieux et monuments
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Article détaillé : Liste des villes fortifiées de la Région Nord Pas-de-Calais.
La collégiale Saint-Pierre
Témoin de la splendeur de la ville, la collégiale Saint-Pierre est élevée à la place de l'édifice roman primitif, entre 1492 et le XVIIIe siècle, on peut voir tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'édifice des pierres sculptées précisant les dates d'avancement des travaux. Elle est église paroissiale depuis 1802.
Terminée en 1624, la tour s'est écroulée. Dix ans plus tard, le mal était réparé mais les chanoines y célébraient l'office. La tour occidentale se trouve englobée à sa base par le prolongement des bas-cotés et des chapelles attenantes, le transept n'est pas saillant. Le rez-de-chaussée, la nef, le chœur, les voûtes hautes et la croisée d'ogives sont essentiellement gothiques.
On remarque un mobilier intéressant avec un orgue de 1633, la Statue de Notre-Dame panetière de 1510, une statue de Vierge de facture flamande du XVe siècle et la chaire ainsi que le jubé qui sont de 1842.
Les dimensions de l'édifice sont impressionnantes :
- longueur totale extérieure: 105 mètres
- largeur totale extérieure: 40 mètres
- largeur de la nef centrale: 10 mètres
- hauteur des grandes voutes: 20 mètres
- hauteur des voutes latérales:10 mètres
- hauteur de la tour: 66 mètres
La collégiale Saint-Pierre est l'un des monuments les plus importants et imposants de style flamboyant et Renaissance dans les Pays-Bas méridionaux.
Elle a les caractéristiques d'une grande cathédrale mais en l'absence d'un évêché à Aire, elle ne peut revendiquer que le titre de collégiale.
Elle a été classée monument historique en 1862. La partie supérieure de la tour a été restaurée entre mai 2005 et avril 2007, elle est aujourd'hui visible dans toute sa splendeur.
Le Bailliage
L'édifice de style Renaissance Flamande qui s'élève à l'angle de la Grand'Place et de la rue d'Arras a été construit, entre 1595 et 1600, pour servir de corps de garde à la milice de la ville. On l'appelle communément le Bailliage, car à divers reprises, entre 1634 et 1789, il a servi de siège au tribunal du grand bailli d'Aire. Il s'agit d'une œuvre voulue par le magistrat de la ville, qui concourait encore à la défense militaire. C'était alors le début de l'heureux temps des Archiducs qui vit la transformation d'Aire-sur-la-Lys.
La prospérité générale autorisait la mise en place d'un programme édilitaire important par le Magistrat qui voulait marquer sa puissance par :
- l'achèvement de la Collégiale Saint-Pierre ;
- l'achèvement de l'église Notre-Dame, aujourd'hui détruite ;
- l'installation de nouvelles boucheries.
De nombreux artistes et artisans étaient alors présents à Aire et le corps de garde en a profité.
Le mayeur en exercice en 1597, Jacques de Caverel, obtint des lettres de Bruxelles autorisant la ville à lever un impôt sur la bière et le vin pour la construction d'un corps de garde sur le marché de la ville. Le monument fut inauguré le 22 novembre 1600.
L'édifice se présente comme un quadrilatère irrégulier de 125 mètres carrés de superficie au sol, avec 3 façades donnant respectivement sur la Grand'Place, la rue d'Arras et sur ce qui était à l'époque la rue des Cuisiniers. L'architecte, Pierre Framery, s'est inspiré d'un bâtiment faisant partie de l'ancien Hôtel de Ville d'Amsterdam, disparu en 1651 ; ceci explique la rapidité de la construction et de ce fait sa fragilité. De nombreuses restaurations ont été nécessaires au cours des siècles.
Les façades du corps de garde sont richement ornées, même celle qui échappe au regard. Sur les façades de la Grand'Place et de la rue du Bourg, de fines colonnes de pierre supportent respectivement 4 et 3 arcades. Une bretèche, détail d'architecture flamande, fait de ce monument un petit frère italianisé des palais municipaux des Pays-Bas. La frise au-dessus des arcades représente les insignes de la maison de Bourgogne, les attributs de la Toison d'or, des briquets posés sur des bâtons noueux en croix de Saint-André, etc.
Les frontons des fenêtres du premier étage comportent des trophées d'armes et la mention « Anno 1600 ».
Une attique au sommet de l'édifice est ornée de statues figurant les trois vertus théologales (Foi, Espérance et Charité), les quatre vertus cardinales (Prudence, Justice, Force et Tempérance), les quatre éléments (le feu, l'eau, l'air et la terre) et un personnage, représentation de Pierre Framery, maître d'œuvre de l'édifice.
Enfin, la toiture est surmontée d'une girouette en forme de Sagittaire. En 1907, fut placé, sous les arcades du Bailliage, un grès aux armes de la Tramerie, en provenance du palais de la Salle.L'intérieur du Corps de garde est plus sobre que l'extérieur. On trouve trois niveaux :
- la cave ;
- la salle du rez-de-chaussée qui mesure 6 m sur 7. Elle est pavée de briques. Une magnifique cheminée est surmontée des armes d'Artois. Un remarquable escalier de bois conduit à l'étage ;
- la grande salle de l'étage, qui fait 10 m sur 11. Elle possède une belle cheminée dans laquelle on a placé des carreaux de faïence de fabrication airoise du XVIIIe siècle. À remarquer surtout la superbe charpente du plafond.
Le Bailliage a connu des utilisations diverses (corps de garde, siège du tribunal, Hôtel de Ville provisoire, commissariat de police aux XIXe et XXe siècles). Depuis 1970, il est le siège de l'Office de Tourisme d'Aire-sur-la-Lys. La grande salle de l'étage est utilisée pour les expositions.
Le Bailliage a été classé Monument historique en 1886.
L'Hôtel de ville
Après le retour d'Aire au royaume de France par le traité d'Utrecht en 1713, le Magistrat obtint du roi Louis XIV, en reconnaissance des souffrances de la ville pendant le siège de 1710 et sous l'occupation hollandaise, l'autorisation de construire un nouvel Hôtel de Ville plus prestigieux que l'édifice d'alors jugé trop modeste. Le projet fut confié à Héroguel, architecte de Louis XIV à Arras (élève de l'illustre Jules Hardouin-Mansart), et les travaux furent adjugés à Pierre Descamps. Commencés le 16 mai 1716, ils étaient achevés à la fin de l'année 1721. L'ancien beffroi s'était effondré en 1708, la construction d'un nouveau beffroi fut également entreprise.
Le majestueux et monumental édifice que nous voyons aujourd'hui n'a supporté aucune modification extérieure depuis sa construction.
La façade est percée de deux portes centrales, l'une donne accès à la galerie des Halettes, la seconde à un escalier monumental. Entre ces deux portes, avait été apposée une plaque de marbre avec une inscription latine rappelant les noms de ceux qui avaient présidé à l'érection du monument. Cette plaque a disparu. Le second niveau est percé de 11 ouvertures - 3 au centre, 4 sur chaque aile ; la fenêtre centrale s'ouvrant sur un balcon supporté par un cul de lampe.
Parfaitement ordonnancée par 10 pilastres dont 2 doubles encadrant les travées centrales, la façade de l'Hôtel de Ville est couronnée d'une balustrade chargée de remarquables sculptures et trophées. Le fronton qui émerge de la partie centrale, est d'une hauteur correspondant au deux tiers de la hauteur du corps du monument.
La Force et la Justice, distribuées de part et d'autre, le calent visuellement, et en son centre, les armes de la ville accompagnées du buste de Louis XV. Dans la partie haute, une tête figure Apollon, dieu du Soleil, emblème du Grand Roi : Louis XIV.
Jusqu'en 1830, le rez-de-chaussée était occupé par des boutiques diverses, et jusqu'en 1851, l'aile droite était occupée par l'auberge de la Conciergerie. La maison commune ne disposait que du 1er étage de l'aile gauche. C'est en 1891 que la bibliothèque municipale fut installée au rez-de-chaussée de l'aile gauche.
Le 1er étage gauche a conservé son aménagement initial avec la grande salle la Halle, la chapelle convertie en bureau, le greffe de la ville devenu salle des mariages. Les salles d'audience et la chambre secrète seront utilisées à des fins diverses.
La salle des mariages possèdent beaucoup d'éléments remarquables comme :
- la grande cheminée de marbre garnie de petits carreaux de faïence du début du XIXe siècle ;
- les 4 statues des vertus cardinales qui proviennent de la Grande Dame : la Collégiale Saint-Pierre. Travail du XVIIIe siècle. Elles avaient été acquises en 1792 ;
- deux tableaux représentant J. de Caverel et son épouse Marie de Malbrancq ;
- un tableau représentant les troupes espagnoles devant Aire en 1641 ;
- la bannière de l'Écho des Bardes, don de Jules Hunebelle en 1870.
La salle de l'Amitié possède :
-
- Le texte de la charte accordée à la ville en 1188 par le Comte de Flandre Philippe d'Alsace.
Les Hallettes nous font découvrir une sublime charpente construite en 1716 qui forme le plafond du passage.
La bibliothèque municipale contient, quant à elle, les archives de la ville et les actes de chrétienté (les archives d'Aire-sur-la-Lys sont colossales et sont une mine d'or pour les Historiens ou les amateurs d'Histoire).
Monuments historiques d'Aire-sur-la-Lys
23 édifices de la commune sont enregistrés aux monuments historiques.
- 5 sont classés "Monument historique"
- 18 sont inscrits à l'inventaire supplémentaire.
Les 5 édifices classés "Monuments Historiques" de la communeL'ancien bailliage fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques[6] depuis le 12 juillet 1886. L'église Saint-Jacques-le-Majeur et Saint-Ignace fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques[7] depuis le 9 août 1942. L'église Saint-Pierre fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques[8] depuis en 1862. L'église paroissiale Saint-Quentin fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques[9] depuis le 8 juin 1989. L'hôtel de Ville avec le beffroi fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques[10] depuis le 15 septembre 1947.
Les 18 édifices inscrits à l'inventaire supplémentaires des Monuments HistoriquesL'abbaye Saint-Augustin-de-Clarques fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[11] depuis 1947.
L'ancien Hôtel du Gouverneur fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[12] depuis 1947.
L'ancienne brasserie-malterie de la Lys fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[13] depuis 1999.
Les anciennes portes d'Arras et de Saint-Omer fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[14] depuis 1942.
Le bastion de Beaulieu fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[15] depuis 1990.
Les casernes Taix et Listenois fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[16] depuis 2002.
La chapelle Beaudelle fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[17] depuis 2003.
Le collège , rue de Saint-Omer fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[18] depuis 1946.
Le vestige des fortifications fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[19] depuis 1990.
L'Hôpital-Hospice Saint-Jean fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[20] depuis 1946.
L'hôtel d'Orgeville fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[21] depuis 1948.
L'immeuble situé 4 rue du Bourg (ainsi que celui son voisin au 2) fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[22] depuis 1948.
La maison située au 31 rue de Saint-Omer fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[23] depuis 1948.
La maison située au 28 rue de Saint-Omer fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[24] depuis 1948.
La maison située au 7 rue de Saint-Omer fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[25] depuis 1948.
La maison située au 2 rue d'Arras fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[26] depuis 1948.
La maison des Dévotaires fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[27] depuis 1946.Garnison
Le régiment de Bauffremont-dragons défend la ville lors du siège de 1710.
Personnalités liées à la commune
Naissance
- Maurice Berger, député du Loiret sous la Troisième République.
- Marie France Debucoit (1960-), caissière (record de la plus longue carrière à ce poste en France)
- Michault Taillevent, poète du XVe siècle
- Louis Frémaux (1921-), chef d'orchestre
- René Goblet (°1828 - †1905), homme politique
- Jean-Marie Foubert (1959), journaliste, auteur de livres
- Yoann Lachor (1976-), footballeur
- René Sillou (1944-), footballeur.
Jumelages
La ville d'Aire-sur-la-Lys est jumelée avec 4 villes :
- Lendringsen (de) (Allemagne) , Menden
- Sturry (Angleterre)
- Fordwich (Angleterre)
- Flint (en) (Pays de Galles)
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Liens externes
- Site de l'office de tourisme d'Aire-sur-la-Lys
- Aire-sur-la-Lys sur le site de l'Institut géographique national
Sources
Notes
- ↑ André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 10
- ↑ Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant. Vauban - L’intelligence du territoire. Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, Paris, 2006. Préface de Jean Nouvel. 175 p, ISBN 2-35039-028-4, p 167
- ↑ Cassini.ehess: notices communales avec tous les recensements
- ↑ Aire-sur-la-Lys sur le site de l'Insee
- ↑ Insee, Population légale 2006
- ↑ Notice no PA00107934, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107936, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107937, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107938, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107942, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107933, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107940, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA62000031, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107944, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00108456, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA62000049, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA62000051, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107935, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00108457, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107939, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107941, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107947, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107950, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107949, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107948, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107945, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- ↑ Notice no PA00107943, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
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