République de Chypre

République de Chypre

Chypre (pays)

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Κυπριακή Δημοκρατία[1] (el)
Kıbrıs Cumhuriyeti (tr)
République de Chypre[2] (fr)
Drapeau de Chypre Armoiries de Chypre
(Détails) (Détails)
Devise nationale : Aucune
carte
Langue officielle grec, turc
Capitale Nicosie
(Λευκωσία en grec,
Lefkoşa en turc)
35°08′N 33°28′E / 35.133, 33.467
Plus grande ville Nicosie
Forme de l’État
 - Président de la République
République
Dimítris Khristófias
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 160e
9 250¹ km²
Négligeable
Population
 - Totale (2008)
 - Densité
Classé 154e
792 604 hab.
82,5 hab./km²
Indépendance
 - Date
Du Royaume-Uni
16 août 1960


Gentilé Chypriotes ou Cypriotes


IDH (2005) Stagnation 0,903 (élevé) ( 28e)
Monnaie Euro² (EUR)
Fuseau horaire UTC +2
Hymne national 'Imnos is tin Eleftherian (Hymne à la Liberté)
Domaine internet .cy
Indicatif
téléphonique
+357

(1) 3 355 km² sont dans la partie turque de Chypre
(2) Avant 2008 :Livre chypriote

Chypre, ou la République de Chypre pour les usages officiels, est un pays membre de l’Union européenne formé par l’île du même nom à l’est de la mer Méditerranée. Son appartenance au continent européen est discutée par certains, qui la placent plutôt en Asie (voir l’article sur les limites de l'Europe). Depuis 1974, la partie nord de l’île située au-delà de la Ligne verte est occupée par la Turquie, et s'est autoproclamée République turque de Chypre du Nord. Chypre a intégré la zone euro le 1er janvier 2008.

La République chypriote est membre de l'ONU depuis le 20 septembre 1960[3], du Commonwealth, de l’Union européenne depuis 2004[4], de l’OMC, de l’OSCE, du Mouvement des Non-Alignés et de l’Organisation internationale de la francophonie.

Sommaire

Histoire

Article détaillé : Histoire de Chypre.

L’île de Chypre est connue depuis l’Antiquité, principalement par le fait qu’elle fournissait en cuivre l'ensemble du bassin méditerranéen, caractéristique dont elle tire d’ailleurs son nom. L’histoire de Chypre fut très mouvementée et l’île subit de nombreuses tutelles. Chypre était aussi connue pour ses nombreuses épices et plantations.

La république de Chypre actuelle obtient son indépendance du Royaume-Uni le 16 août 1960. Celui-ci conserve jusqu'aujourd'hui deux bases souveraines dans le Sud et l'Est de l'île où sont stationnés près de 4 200 soldats.

Suite à la dictature des colonels qui se met en place en Grèce, de nombreux opposants se réfugient à Chypre. Le 15 juillet 1974 la garde nationale dirigée par des officiers grecs lance une tentative de coup d’État contre le président Makarios avec l'aide du groupe armé de l'EOKA B (à ne pas confondre avec l'EOKA qui souhaitait réaliser l'Enosis, c'est-à-dire l'unification de Chypre à la Grèce). Le 20 juillet, la Turquie intervient militairement prétextant la protection des intérêts de la communauté turque en lançant l'opération Attila, et occupe le Nord de l’île en deux jours (s’assurant le contrôle de 34 % du territoire). En Grèce, le refus de l’armée de s’impliquer plus avant dans ce conflit marque la fin de la dictature des colonels. Une fois la république chypriote restaurée, la Turquie refuse de se retirer et impose la partition du pays de part et d’autre de la « ligne verte » (appelée « ligne Attila » par les Turcs). 200 000 Chypriotes sont contraints à l’exode entre 1974 et 1975, chassés du territoire occupé par la Turquie; les Turcs sont forcés de s’installer au Nord en 1975 à la demande de leur leader Rauf Raif Denktaş, lors de pourparlers à Vienne (Autriche). Le 13 février 1975, se met en place l'« État fédéré turc de Chypre » qui n'est reconnu que par la Turquie. En 1983, il devient la « République turque de Chypre du Nord »[5]. L'ONU a désapprouvé cette occupation dans sa résolution 541 du 18 novembre 1983. L’UNFICYP prend le contrôle de la ligne verte et fait respecter le cessez-le-feu. La Turquie mène alors, à l'instar des politiques ottomanes de déplacement massif de populations, des campagnes successives d'émigration forcée vers la partie occupée de Chypre (systématiquement condamnées par des résolutions de l'ONU) afin renforcer son poids démographique (18 % de la population pour 34 % du territoire) et turquiser le Nord de l'île[6]. Ainsi, on compte aujourd'hui sur l'île 93 000 colons venus de Turquie[7].

En 2003, la perspective de l’entrée de Chypre dans l’Union européenne permet un premier dégel, avec l’ouverture de points de passage sur la ligne verte, et une mission de bons offices du secrétaire des Nations unies, Kofi Annan. Mais le plan Annan, intervenant après trente ans de négociations infructueuses et proposant d’instaurer un État confédéral, autorisant chaque État confédéré ainsi créé à empêcher l'installation de plus d'un tiers de résidents de l'autre communauté sur son sol, accepté à plus de 65 % par les habitants du Nord de l'île, est rejeté à 70 % par ceux du Sud lors d’un référendum. Au cours de ce référendum, pour la première fois, des manifestations massives, rassemblant jusqu'à 50 000 personnes, ont eu lieu dans la partie occupée de Chypre, au cours desquelles la communauté chypriote turque a contesté ouvertement la politique sous tutelle d'Ankara du « président » Rauf Denktash, demandé sa démission, et exprimé son souhait de rattachement à la partie sud[8]. Le 1er mai 2004, la République de Chypre entre dans l’Union européenne avec une partie de son territoire toujours occupée militairement par la Turquie. La reprise des négociations entre les deux parties, et tout progrès vers une solution à ce conflit qui sépare de fait les deux communautés depuis plus de quarante ans, semble désormais largement conditionnée par l’avancée des négociations sur l'adhésion de la Turquie à l’Europe. La création depuis 2005 de points de passage d'un côté vers l'autre, permettant aux populations de renouer des contacts donne une lueur d'espoir en vue d'une amélioration de la situation.

La ligne verte au niveau de la rue Ledra.

En 2006, pendant la guerre du Liban voisin, Chypre sert de zone de transition aux milliers d’étrangers fuyant le pays. Par ailleurs une importante communauté libanaise s’est installée à Chypre, suite à la guerre civile libanaise.

Le 3 avril 2008, malgré l'opposition de l'armée turque, la rue Ledra dans le centre de Nicosie, coupée en deux par un mur depuis 1964, est rouverte et devient le premier point de passage du centre de la ville[9].

Relations avec l’Union européenne

Chypre signe le 19 février 1972 l'accord d'association qui entrera en vigueur le 1er février 1999.

Le 4 juillet 1990, Chypre présente la question d’adhésion mais l'ouverture des négociations d'adhésion ne se fait que le 31 mars 1998. Elles se terminent le 13 décembre 2002).

Le 14 avril 2003, le Conseil européen approuve l’adhésion[10]. Le traité d'adhésion est signé le 16 avril 2003 et entre en vigueur le 1er mai 2004[11].

Le 13 février 2007, Chypre demande que soit examinée sa subordination aux critères de convergence. Le 16 mai 2007, la Banque centrale européenne[12] et la Commission européenne[13] publient leurs relations sur le respect des critères de convergence de la part de Chypre. Le 21 juin, le Conseil européen autorise l'adoption de l'euro. Après la décision des Chefs d'État ou de Gouvernement, les Ministres de l'Économie et des Finances (Ecofin) abrogent le 10 juillet 2007 la dérogation dont Chypre jouit[14] et fixent le taux irrévocable de conversion : 1 € = 0,585274 livre chypriote[15].

Le 1er janvier 2008, en même temps que Malte, Chypre adopte l'euro en remplacement de la livre chypriote.

Géographie

Article détaillé : Géographie de Chypre.
Baie de Khrysokhou.
Carte de l'île de Chypre.

D'une superficie 9 250 km² (dont 3 355 km² dans le secteur chypriote turc), l'île de Chypre est située dans la partie orientale de la Méditerranée. Elle comporte 648 km de littoral. Le point culminant de l'île est le mont Olympe avec ses 1 951 m. Bien qu'étant une île, Chypre possède environ 150 km de frontière terrestre avec les bases militaires britanniques d'Akrotiri et Dhekelia[16].

La structure géomorphologique de l'île présente de nombreuses particularités. Son étude est devenue une quasi-spécialité. En ce qui concerne sa topographie, on peut la diviser en trois grands ensembles. Au Sud de l'île, la montagne du Trodos, au centre une plaine (nommée Messaoria) et au Nord ,une arrête montagneuse, d'orientation est/ouest, nommée Pentadactylos.

Politique

La Chambre des Représentants (grec: Βουλή των Αντιπροσώπων; Vouli ton Antiprosópon; turc: Temsilciler Meclisi) est le Parlement chypriote. Il a 59 membres élus pour un mandat de cinq ans, 56 membres par représentation proportionnelle et 3 membres observateurs représentant les minorités : Maronite, Église catholique romaine et Arménienne. 24 sièges sont attribués à la communauté turque. Cependant, depuis 1964, les membres turcs chypriotes n'ont pas pris leurs postes, et aucune élection ne s'est déroulée parmi la communauté turque chypriote comme le prévoit la Constitution de la République. Malgré cette anomalie, la Chambre a gardé vacants les sièges attribués à la communauté turque chypriote. Ces sièges demeurent disponibles aux députés turcs chypriotes pour autant qu'ils soient élus selon les règles de la constitution.

Partis politiques

Élection législative du 21 mai 2006

Au total, 56 députés ont été élus en 2006.

Parti politique Nombre de voix Pourcentage des voix Sièges
AKEL
131 309
31,13 %
18
DISY
127 976
30,34 %
18
DIKO
75 588
17,92 %
11
EDEK
37 583
8,91 %
5
Parti européen
24 254
5,75 %
3
Ecologistes et Environnementalistes
8 225
1,95 %
1
EDI
6 580
1,56 %
sans député

Le 24 février 2008, Dimitris Christofias, leader du Parti communiste AKEL, est élu président de la République chypriote, au deuxième tour de l'élection, par 53,36 % des voix, contre 46,64 % à son adversaire conservateur, Ioannis Kassoulides. Son élection relance les espoirs de réunification de l’île : en effet, à peine élu, M. Christofias a annoncé son intention de tendre la main aux Chypriotes turcs.

Divisions administratives

Article détaillé : Subdivisions de Chypre.

L’organisation territoriale de la République chypriote est constitué de trois divisions administratives : les districts, les municipalités et les communautés.

Les districts ont à leur tête des préfets, nommés par le gouvernement central. Il est le représentant du l’État (les districts ne sont donc pas des collectivités locales). Au sein des municipalités, le maire et les conseillers municipaux sont élus de manière distincte. On compte en 2001, 33 municipalités, dont 9 sont situées hors du territoire où s’applique la souveraineté effective de la République chypriote. Il s’agit en règle générale d’espace urbain. Dans les communautés, la gestion est partagée entre le préfet et le maire élu.

Économie

La rue Ledra, au centre de Nicosie.

Chypre est le plus riche des dix nouveaux États-membre de l'Union Européenne, entré en 2004. Son PIB par habitant à prix courant s'élevait en 2008 à 28 600 €[16].

Ses performances économiques demeurent satisfaisantes. En 2007, la croissance a atteint 4,4 %, le taux de chômage 4,2 % et l'inflation 2,2 %. Toutefois, Chypre n'est pas épargnée par les perturbations de l'économie dans le Monde. Ainsi, le Ministre des Finances, Charilaos Stavrakis, a annoncé qu'en 2007, la croissance serait comprise entre 3,4 % et 3,6 %, ce qui demeure toutefois au-dessus des prévisions de croissance de la zone euro.

L’économie de Chypre présente certaines faiblesses structurelles. Sa balance commerciale est structurellement déficitaire (- 5 270,7 milliards d'euros, soit 34% du PIB), en raison de son tissu industriel modeste. Le secteur des services tire le pays vers le haut. Le secteur du tourisme, qui ne représente plus que 12% du PIB du pays, souffre d'un manque de compétitivité croissant.

Le gouvernement chypriote a lancé un « programme de convergence 2004-2008 ». Le triple objectif est de ramener le déficit budgétaire sous la barre des 3 %, de faire repasser la dette publique en dessous du ratio de 60 % du PIB et d’assurer la soutenabilité des finances publiques, est sur le point d'être respecté. En 2007, Chypre affichait un solde budgétaire de 3,3 % en excédent, la dette publique n'était plus que de 59,8 %.

En matière de réformes structurelles, le gouvernement chypriote a défini une stratégie en trois points : libéralisation de l’économie, développement de l’« économie de la connaissance » et recherche d’un développement durable s’appuyant sur la modernisation des infrastructures de base et le capital humain.

La livre chypriote a intégré le 29 avril 2005, le mécanisme de taux de change européen, dit MCE II, qui la lie à l'euro. Une demande officielle d'intégration dans la zone envoyée à la BCE et à la commission européenne le 13 février 2007 a reçu un avis favorable en mai 2007 : Chypre, comme Malte, a finalement adopté l'euro le 1er janvier 2008 selon le taux suivant : 1 CYP = 1,7086 EUR ou 1 EUR = 0,585274 CYP[17].

Démographie

Article détaillé : Démographie de Chypre.
Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

La population totale de l'île est d'environ un million d'habitants. 769 740 Chypriotes grecs vivent dans la zone Sud[16],[7], dont 25 000 Chypriotes turcs selon le recensement de 2001. Quelques centaines de Chypriotes grecs vivent également dans la partie occupée par la Turquie. Quelque 117 000 Chypriotes turcs vivent dans le Nord, auxquels s'ajoutent plus de 93 000 colons turcs venus d'Anatolie après 1974[7].

  • Répartition par âge (en 2009) :
    • 0-14 ans : 19,1 %
    • 15-64 ans : 68,5 %
    • + 65 ans : 12,3 %
  • Densité : 85 habitants/km²
  • Espérance de vie des hommes : 75,91 ans (en 2009)
  • Espérance de vie des femmes : 80,86 ans (en 2009)
  • Taux de croissance de la population : 0,519 % (en 2009)
  • Taux de natalité : 12,56 ‰ (en 2008)
  • Taux de mortalité : 7,76 ‰ (en 2008)
  • Taux de mortalité infantile : 6,6 ‰ (en 2009)
  • Taux de fécondité : 1,77 enfants/femme (en 2009)
  • Taux de migration : 0,42 ‰ (en 2009)

Source : CIA World Factbook[16]

Culture, langue et religion

Langues

Les langues parlées sont le grec et le turc qui ont le statut de langues officielles. Chacune d'elles possède des variantes dialectales que sont le grec chypriote et le turc chypriote. En tant qu'ancienne colonie britannique, l'anglais est également parlé par l'ensemble de la population.

Religions

Les Chypriotes sont à 78 % chrétiens orthodoxes. Il existe également de petites communautés maronite, arménienne et latine (5 %). La partie occupée de l'île est majoritairement musulmane sunnite (18 % de la population totale de l'île)[16].

Fêtes et jours fériés

Monastère de Kykkos.
Date Nom français Nom local Remarques
1er octobre Jour de l'indépendance Ημέρα ανεξαρτησιάς 1960

Transports et communications

Autoroute A6 en direction de Pafos.
  • Lignes de téléphone : 376 000 (86 228 pour la partie occupée) (en 2007)
  • Téléphones portables : 962 200 (147 522 pour la partie occupée) (en 2007)
  • Postes de radio : 366 000 (en 1996)[réf. souhaitée]
  • Postes de télévision : 300 000 (en 1996)[réf. souhaitée]
  • Nombre d'utilisateurs Internet : 380 000 (en 2007)
  • Routes :
    • Total : 12 280 km (2 350 pour la partie occupée) (en 2007)
    • Goudronnées : 7 979 (1 370 pour la partie occupée) (en 2007)
  • Voies ferrées : 0 km
  • Voies navigables : 0 km
  • Nombre d'aéroports : 16 (dont 13 avec des pistes goudronnées) (en 2007)

Source : CIA World Factbook[16]

Codes

Chypre a pour code :

Notes et références

  1. Κυπριακή Δημοκρατία (Kipriakí Dimokratía) se traduit littéralement en République chypriote.
  2. Présentation de Chypre sur le site du Ministère français des affaires étrangères et européennes
  3. Liste des États membres de l'ONU par dates sur le site web de l'ONU
  4. Présentation de Chypre sur le site web de l'Union européenne
  5. Gilles Bertrand, Le conflit helléno-turc: la confrontation des deux nationalismes à l'aube du XXIe siècle, Maisonneuve & Larose, 2004, 390 pages, (ISBN 9782706817274) p. 86.
  6. Gilles Bertrand, op. cit. p. 96.
  7. a , b  et c Gérard Chaliand, Atlas du nouvel ordre mondial, Robert Laffont, Paris, 2003 (ISBN 2-221-10039-5) p. 124-125.
  8. Olivier Da Lage, « Chypre - Sommet Denktash-Clerides sous pression », 2003, Radio France International (rfi). Consulté le 27 juin 2009.
  9. « La rue Ledra, symbole du conflit chypriote, est rouverte » dans Le Figaro, 3 avril 2008 [lire en ligne (page consultée le 5 avril 2008)]
  10. Décision du Conseil de l'Union européenne du 14 avril 2003 relative à l'admission de la République tchèque, de la République d'Estonie, de la République de Chypre, de la République de Lettonie, de la République de Lituanie, de la République de Hongrie, de la République de Malte, de la République de Pologne, de la République de Slovénie et de la République slovaque à l'Union européenne ([pdf] GU EU L 236 du 23.9.2003).
  11. Traité entre le Royaume de Belgique, le Royaume de Danemark, la République fédérale d'Allemagne, la République hellénique, le Royaume d'Espagne, la République française, l'Irlande, la République italienne, le Grand-Duché de Luxembourg, le Royaume des Pays-Bas, la République d'Autriche, la République portugaise, la République de Finlande, le Royaume de Suède, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord (États membres de l'Union européenne) et la République tchèque, la République d'Estonie, la République de Chypre, la République de Lettonie, la République de Lituanie, la République de Hongrie, la République de Malte, la République de Pologne, la République de Slovénie, la République slovaque relatif à l'adhésion de la République tchèque, de la République d'Estonie, de la République de Chypre, de la République de Lettonie, de la République de Lituanie, de la République de Hongrie, de la République de Malte, de la République de Pologne, de la République de Slovénie et de la République slovaque à l'Union européenne ([pdf] GU EU L 236 du 23.9.2003).
  12. Rapport sur la convergence mai 2007 PDF)
  13. COM (2007) 0255 Rapport de la Commission - Rapport de convergence 2007 relatif à Chypre (établi conformément à l’article 122, paragraphe 2, du Traité, à la demande de Chypre) {SEC(2007) 623} PDF)
  14. 2007/503/CE Décision du Conseil du 10 juillet 2007 conformément à l'article 122, paragraphe 2, du traité, relative à l'adoption, par Chypre, de la monnaie unique au 1er janvier 2008 ([pdf] GU EU L 186 du 18.7. 2007)
  15. Règlement (CE) no 1135/2007 du Conseil du 10 juillet 2007 modifiant le règlement (CE) no 2866/98 en ce qui concerne le taux de conversion à l’euro pour Chypre L 256 du 2.10.2007)
  16. a , b , c , d , e  et f (en) CIA The World Factbook, « Chypre », 2009. Consulté le 4 avril 2009.
  17. Banque centrale européenne, « L'Euro - Introduction ». Consulté le 4 avril 2009.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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