Universite Paris II

Universite Paris II

Université Paris II

Le bâtiment principal près de la place du Panthéon
Université Panthéon-Assas (Paris II)
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Informations
Fondation 1er janvier 1971
Type Université publique
Budget 136 millions d'euros[1]
Localisation Paris, France
Président Louis Vogel
Recteur Patrick Gérard
Enseignants 277 permanents[2]
Étudiants 18 000 environ (dont 80 % en droit)[3] [4]
Premier cycle 7 920
Deuxième cycle 8 100
Troisième cycle 1 440
Site web www.u-paris2.fr

L’université Paris-II[5], ou Université Panthéon-Assas, (fréquemment appelée « Assas ») est l'une des treize universités parisiennes, située dans le quartier latin des Ve et VIe arrondissements de Paris.

Reconnue pour son enseignement du droit[6], l'université propose également des enseignements de gestion , dont gestion des ressources humaines (centre interdisciplinaire de formation à la fonction personnel) et de sciences économiques, elle dispose aussi de cursus d’administration économique et sociale, d'information et communication (l'Institut français de presse) et de science politique.

Dans une dépêche du 9 avril 2009, le président de l'université annonce que le passage a l'autonomie « devrait avoir lieu le 1er janvier 2010[7] ».

Sommaire

Historique

L'Université Panthéon-Assas Paris II est née de la scission, suite aux événements de mai 1968, de l'ancienne faculté de droit et des sciences économiques de Paris. L'université a adopté ses statuts le 26 octobre 1988, en application de la loi du 26 janvier 1984, et s'est donnée la dénomination d'Université Panthéon-Assas Paris II le 14 mars 1990 ; l'Institut français de presse (IFP), qui existe depuis 1937, a été rattaché à Paris II dès 1969[8].

Enseignement et recherche

Unités de formation et de recherche

La faculté de droit de Paris II dispense des enseignements en droit, sciences politiques et sociales (média et communication), sciences de gestion et sciences économiques. L'université dispose de 5 écoles doctorales, de 25 centres de recherche et délivre des diplômes à 8600 étudiants par an (sur les 18 000 que compte l'établissement, dont 3 000 étrangers). La formation se décompose en 17 licences, 6 licences professionnelles, 24 master 1 (M1), 87 master 2 (M2), 9 diplômes universitaires (DU), 6 diplômes supérieurs d'université (DSU), 3 Master of Laws (LLM), 1 Master of Business Administration (MBA) et 23 formations en apprentissage[9].

Droit

Licence en droit

La formation en droit se décompose, au niveau de la licence, en un cursus général et un cursus professionnel.

Cursus général

  • Licence en Droit mention Droit
  • Licence en Droit mention Administration publique

Cursus professionnel

  • Licence professionnelle Assurance, Banque, Finance option Gestion juridique des contrats d'assurance
  • Licence professionnelle Sécurité des biens et des personnes option Enquêtes privées
Master en droit

Au niveau master, neuf mentions sont accessibles : droit public, droit privé, droit notarial, droit des affaires, droit social, carrières judiciaires et sciences criminelles, droit européen, droit international, droit comparé / droits étrangers[10]. L'accès en dernières années est très sélectif puisqu'en 2005, pour 1 500 étudiants l'université enregistre environ 15 000 candidatures[11].

Après la première année du master mention droit public, 16 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Après la première année du master mention droit privé, 12 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Après la première année du master mention droit des affaires, 8 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Après la première année du master mention carrières judiciaires et sciences criminelles, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

  • Justice et droit du procès
  • Droit pénal et sciences pénales
  • Contentieux, arbitrage et modes alternatifs de règlement des conflits
  • Droit et pratique du procès en appel
  • Science pénitentiaire

Après la première année du master mention droit européen, 3 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Après la première année du master mention droit international, 6 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

  • Droit international privé et du commerce international
  • Droit international public
  • Droit des relations économiques internationales
  • Relations internationales
  • Administration internationale
  • Droits de l'homme et droit humanitaire

Après la première année du master mention droit comparé / droits étrangers, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Un MBA Droit des affaires et Management-Gestion/ Master 2 est proposé pour les titulaires de Master en 1 de droit ou diplöme équivalent qui veulent obtenir une double spécialisation en droit des affaires et en Gestion. [1]

Science politique

Le cursus de science politique est accessible après la première année de licence de droit et une deuxième année mixée avec les matières fondamentales de la deuxième année de droit.

Licence en sciences politiques et sociales

La formation en sciences politiques et sociales se décompose, au niveau de la licence, en un cursus général et un cursus professionnel.

Cursus général

  • Licence en sciences politiques et sociales mention Administration générale et territoriale (AGT)
  • Licence en sciences politiques et sociales mention Information et communication
  • Licence en Sciences politiques et sociales mention Science politique

Cursus professionnel

  • Licence professionnelle Intervention sociale option Ingénierie des services de proximité
Master en sciences politiques et sociales

Le cursus débouche sur une formation en master divisée en quatre sections : science politique, administration et gestion territoriale / des entreprises, sciences humaines et sociales, et « médias, information, communication ».

Après la première année du master mention science politique, 8 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

  • Études politiques
  • Relations internationales
  • Administration et politiques publiques
  • Vie parlementaire et relations institutionnelles
  • Défense, géostratégie et dynamiques industrielles
  • Administration et gestion publique
  • Droit sanitaire et social
  • Droit et stratégie de la sécurité

Après la première année master mention administration et gestion, 4 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

  • Administration et politiques publiques
  • Administration et gestion publique
  • Droit sanitaire et social
  • Droit et stratégies de la sécurité

Après la première année du master mention sciences humaines et sociales, 4 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Après la première année du master mention médias, information, communication, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.

Sciences économiques

Licence en sciences économiques

La formation en sciences économiques n'est dispensée que dans le cadre d'un cursus général et non professionnel.

  • Licence en Sciences économiques mention Économétrie
  • Licence en Sciences économiques mention Économie internationale
  • Licence en Sciences économiques mention Économie managériale et industrielle
  • Licence en Sciences économiques mention Monnaie - Finance
Master en sciences économiques

A la suite d'un deug ou d'une licence d'économie, l'étudiant peut intégrer sur concours:

  • Le Magistère Banque Finance (MBF ou MBFAssas) [2]

Il s'agit d'une formation sélective, l'admission se fait sur dossiers et concours (écrit et oral). Cette formation est l'une des vitrines de PARIS 2. Créé en 1991, le Magistère Banque – Finance de l’Université Paris II est un diplôme dont l’objectif est d’allier une solide formation scientifique à une spécialisation professionnelle de haut niveau. Réservé aux titulaires d’un Bac +2 et aux étudiants en Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles (admission sur concours), le cycle d’études, d’une durée de trois ans, mène à un niveau BAC+5. Les étudiants acquièrent en même temps les grades universitaires correspondant à chaque niveau d’étude : L3, M1, M2 Techniques Financières et Bancaires (ex-DESS) ou DEA. Le Magistère Banque – Finance, diplôme d’élite au service d’une profession exigeante, est le parfait exemple d’une coopération positive entre l’université et le monde professionnel.

À la suite d'une licence en sciences économiques, l'étudiant a accès à quatre masters mentions « Économie managériale et industrielle », « Géostratégie économique internationale », « Monnaie-finance », ou « Économétrie ». L'admission à préparer la 2e année de master est autorisée après une procédure de sélection propre à chaque spécialité.

Après un master mention Économie managériale et industrielle (M1), 4 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.

Après un master mention Géostratégie économique internationale (M1), 3 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.

  • Commerce et management international
  • Défense, géostratégie et dynamiques industrielles
  • Géostratégie de la mondialisation et du développement

Après un master mention Monnaie-finance (M1), 3 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.

Après un master mention Économétrie (M1), 1 spécialisation (M2) est proposée, après examen du dossier.

Sciences de gestion

Licence en sciences de gestion

La formation en sciences de gestion se décompose, au niveau de la licence, en un cursus général et un cursus professionnel.

Cursus général

  • Licence en Sciences de gestion mention Management et nouvelles technologies
  • Licence en Sciences de gestion mention AES - Administration et gestion des entreprises (AGE)

Cursus professionnel

  • Licence professionnelle Management des organisations option Management des entreprises de distribution en réseau
  • Licence professionnelle Management des organisations option Management des réseaux et systèmes d'information
Master en sciences de gestion

À la suite d'une licence en sciences de gestion, l'étudiant a accès à deux masters (M1) mentions « administration et gestion des entreprises » ou « management et nouvelles technologies ». L'admission à préparer la 2e année de master (M2) est autorisée après une procédure de sélection propre à chaque spécialité.

Après un master mention Administration et gestion des entreprises (M1), 6 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.

Après un master mention management et nouvelles technologies (M1), une spécialisation (M2) est proposée, après examen du dossier.

Un MBA Droit des affaires et Management-Gestion/ Master 2 est proposé pour les titulaires de Master en 1 de droit ou diplöme équivalent qui veulent obtenir une double spécialisation en droit des affaires et en Gestion.[3].

Écoles doctorales

L'université Panthéon-Assas rassemble de multiples équipes de recherche en droit, science politique, sciences économiques, gestion, sciences de l'information et de la communication. Trois sont associées au C.N.R.S ; le centre d'études et de recherches de science administrative, l'institut d'histoire du droit, et l'équipe de recherche sur les marchés, l'emploi et la simulation. La faculté dispose de 24 centres de recherche et laboratoires se répartissant dans 5 écoles doctorales qui accueillent 1500 doctorants.

Droit privé

  • Institut Henri Desbois - Institut de recherche en propriété intellectuelle[12]. Créé en 1982 par la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris (CCIP) et l'Université Panthéon-Assas (Paris II), l'Institut de Recherche en Propriété Intellectuelle Henri-Desbois — du nom d'un éminent professeur à l'Université Panthéon-Assas (1902 - 1985), spécialiste du droit de la propriété intellectuelle, notamment du droit d'auteur — est l'un des premiers centres de recherche consacré à la propriété intellectuelle.[13]
  • Institut de criminologie de Paris. L'Institut de criminologie de Paris comprend 6 membres, dont 3 professeurs et 3 maîtres de conférences. 9 autres enseignants-chercheurs, dont 5 professeurs émérites, participent aux activités de l'Institut. Un personnel IATOS (de statut IGE) est affecté au laboratoire. L'activité propre de l'Institut consiste dans l'organisation de colloques et de séminaires. Aussi une « Journée de l'Institut de criminologie » a lieu annuellement sur un thème choisi (En 2004 : L'exécution des peines aujourd’hui ; en 2005 : Le droit pénal européen depuis Maastricht ; en 2007 : La mission pénitentiaire ; en janvier 2008 : La prévention de la délinquance par l'action administrative).[14]
  • Institut de recherche en droit des affaires[15]. L'Institut de Droit des Affaires a été créé en 1945 (pour la rentrée 1946) par le Doyen Hamel au sein de l'Université de Paris. L'Institut de recherche en droit des affaires compte 11 membres, dont 6 professeurs, 2 maîtres de conférences et 3 ATER. Son très vaste champ de recherches et l'attractivité de la matière expliquent assurément le grand nombre de thèses dirigées par ses membres (91), ainsi que la belle « productivité » en termes de thèses soutenues au cours des 4 dernières années (22).[16]
  • Centre de droit américain[17]. Le Centre de Droit Américain est l'un des centres de recherche de l'Université de Paris II. Sa création a été approuvée à l'unanimité par le Conseil Scientifique de l'Université, le 28 mai 1996. Il a été reconnu comme équipe d'accueil par le Ministère de l'Éducation nationale en 1999. Sa vocation essentielle est de mener à la soutenance de thèse les étudiants intéressés par l'étude du système constitutionnel et juridique des États-Unis ainsi que par l'analyse comparative des systèmes constitutionnels américains et européens.[18]
  • Laboratoire de droit social[19]. Aux travaux individuels, publiés dans diverses revues, s'ajoutent de nombreux travaux collectifs, publiés sous forme d'ouvrages ou de numéros spéciaux de la revue Droit social. Les membres du laboratoire assurent également des chroniques régulières, tant au recueil Dalloz que dans les diverses éditions de la Semaine juridique. Leurs contributions à l'édition « Social » de la Semaine juridique y tiennent une place particulièrement importante. [20]
  • Centre d'Etudes Juridiques et Economiques du Multimédia[21]. Le CEJEM a été institué le 13 mai 1997 en tant que centre d'études de l'Université de Paris II, dans le cadre d’une convention passée entre l'université de Paris II et de l'Odre des Avocats du Barreau de Paris, afin de favoriser une réflexion commune et de développer des recherches et enseignements sur les conséquences juridiques, économiques et sociologiques du développement des techniques et services multimédias. Il est dirigé par le Professeur Jérôme Huet. [22]
  • Laboratoire de droit civil. Le Laboratoire de droit civil comprend 18 enseignants-chercheurs, dont 12 professeurs et 6 maîtres de conférences. 2 autres professeurs, membres d'autres laboratoires, participent aux travaux du laboratoire de droit civil. Les 12 professeurs et un maître de conférences sont titulaires de l'HDR. Au titre des travaux collectifs, le laboratoire fait état d'équipes participant à la mise à jour des éditions successives du Code de la consommation et, depuis 2006, du Code civil publié par Litec. Les membres du laboratoire ont également participé en nombre à l'ouvrage collectif édité sous l'égide de l'Université Paris 2 – Panthéon Assas à l'occasion du bicentenaire du Code civil en 2004. [23]
  • Centre d'études sur la fiscalité des entreprises de Paris[24]. Créé en 1987, à l'initiative de professeurs de l'Université et avec le concours de grandes entreprises françaises, le CEFEP constitue un lieu de rencontre et d'échanges entre les universitaires, les étudiants et les praticiens de la fiscalité : responsables fiscaux des entreprises et cabinets partenaires, magistrats, parlementaires, fonctionnaires des Administrations fiscales nationales, internationales et européennes. Il accueille les enseignements du Master 2 Fiscalité Internationale Paris II - HEC ainsi que ceux du Master 2 Droit Fiscal Paris II. [25]

Droit public interne, science administrative, science politique

  • Centre de recherche en droit administratif [26]. Le Centre de Recherches en Droit administratif de l'Université Paris II a été créé par le professeur René Chapus. Les professeurs Yves Gaudemet, Martine Lombard et, aujourd'hui, Bertrand Seiller, en ont successivement assuré la direction. Depuis 2001, il est membre de l'Institut Cujas, fédération de recherche pour le droit public interne et la science politique. Le CRDA consacre ses travaux à l'étude des notions fondamentales du droit administratif ainsi que de ses évolutions contemporaines. Il est également le laboratoire d'accueil des doctorants en droit administratif de l'Université Paris II. 6 thèses sont soutenues en moyenne chaque année par des doctorants du Centre. [27]
  • Centre d'études constitutionnelles et politiques [28]. Le CEPC occupe une position originale et très intéressante dans le champ des disciplines juridiques et politiques. Situé à l'interface du droit public et de la science politique, il pratique l'ouverture en direction de l'histoire et du droit canon et projette de développer ses activités dans ce dernier domaine. Outre les publications nombreuses effectuées à titre personnel par ses membres, le centre peut se prévaloir de la réédition de grands classiques (Esmein, Duguit). Il a organisé régulièrement des colloques importants en coopération notamment avec le Sénat, l'Université d'Oxford. [29]
  • Centre d'analyse et de recherche interdisciplinaire sur les médias [30]. Le CARISM fédère des recherches individuelles ou collectives qui questionnent les dimensions sociologiques, sémiotiques, économiques, historiques ou juridiques des médias de masse et des technologies de communication. Il développe un programme de recherche portant sur les processus de production et les professionnels des médias - la sphère journalistique étant privilégiée -, le contenu des médias comme leurs audiences et leurs publics, l'histoire de la presse et de l'audiovisuel, les transformations de l'économie et du droit des médias, les phénomènes de mondialisation de l'information et de la communication. [31]
  • Centre d'études et de recherches de science administrative [32]. Créé en 1967, associé au CNRS dès ses origines, le CERSA a le statut d'unité mixte de recherches. Il étudie les phénomènes administratifs, à tous les niveaux (national, local, international...) et dans toutes ses dimensions (juridique, historique, sociologique...). Le CERSA mène six grands programmes de recherche : e-gouvernement en Europe (dynamique des normes et des usages); systèmes administratifs à l'épreuve du New Public Management; gouvernance du social; espace(s) public(s) et sécurité; la lutte contre les discriminations et les politiques de la diversité sociale; la politique étrangère en tant que politique publique.[33]

Histoire du droit, philosophie du droit, sociologie du droit

  • Centre d'études des règlements des conflits. Le Centre d’études des règlements des conflits (CERC), auquel est rattaché le centre d’études sur les modes alternatifs de règlement des conflits (CEMARC), est un satellite de l'IEJ de l'Université Paris 2. En sont membres 5 enseignants chercheurs, dont 2 professeurs et 3 maîtres de conférences. 4 autres professeurs y sont associés.[34]
  • Institut Michel-Villey pour la culture juridique et la philosophie du droit [35]. L'Institut Michel Villey pour la Culture juridique et la Philosophie du droit a été fondé le 1er janvier 1998 à l'initiative du professeur Stéphane Rials. Il a pris la succession du Centre de Philosophie du droit animé depuis la fin des années 1950 par les professeurs Batiffol, Eisenmann et Michel Villey. Il a pour vocation première d'apporter, notamment par le service de sa bibliothèque, son assistance aux chercheurs dans le domaine de la philosophie du droit à partir de la première année de master.[36]
  • Laboratoire de sociologie juridique. Créé en 1968, le Laboratoire de sociologie juridique a été successivement dirigé par les professeurs Jean Carbonnier, Georges Levasseur, François Terré, Michel Germain et Nicolas Molfessis (actuellement Dominique Fenouillet). Ces axes de recherche la connaissance et la genèse de la norme dans deux domaines : l'analyse de la vie économique et la sociologie législative. Il cherche aussi à mieux comprendre le rôle et les méthodes du juge dans les sociétés contemporaines, contribuant ainsi de manière essentielle à la sociologie judiciaire.[37]
  • Institut d'histoire du droit [38]. L'Institut d'Histoire du Droit (IHD) est une équipe de recherche rattachée à l'Université Paris II, au Centre national de la Recherche scientifique (CNRS), ainsi qu'aux Archives nationales. Son domaine de recherche couvre tout le champ chronologique de l'histoire juridique et institutionnelle depuis l'Antiquité. L'IHD est né en 2001 du regroupement des trois équipes de recherche qui existaient alors à l'Université de Paris II dans le domaine de l'histoire du droit : le Centre d'Étude d'Histoire Juridique (CEHJ) ; le Centre de Documentation des Droits Antiques (CDDA) ; le Centre d’Histoire des Institutions (CHDI). L'IHD est rattaché à l'École doctorale d'Histoire du Droit, Philosophie du droit, Sociologie du Droit, Droit processuel, de l'Université.[39]

Droit international, droit européen, relations internationales et droit comparé

  • Centre de droit européen [40]. Créé en juillet 1988 à l'initiative du Professeur Jean Boulouis, le Centre a été ensuite dirigé par le Doyen Mario Bettati. Depuis 1994, Jacqueline Dutheil de la Rochère en assure la direction. Il a pour objet l'étude du droit et des institutions de l'Union européenne, de l'élaboration et de l'application du droit communautaire. Le CED est un laboratoire d'accueil du Master Recherche Droit de l'Union européenne, du Master Professionnel Droit européen des affaires et du Master Professionnel Contentieux européens. Il accueille par ailleurs les étudiants préparant une thèse en droit européen.[41]
  • Centre de recherche de l'Institut des Hautes Etudes Internationales Le centre mène des recherches sur quatre thèmes principaux : le règlement des litiges en droit international économique et le droit international des investissements; ordre juridique international et ordres juridiques internes; limitations de compétences et immunités; recours à la force.[42]
  • Institut de droit comparé de Paris [43]. Créé en 1931 par Henri Lévy-Ullmann et Henri Capitant, l'Institut de droit comparé de l'Université de Paris, rattaché à la Faculté de droit est ensuite dirigé par Léon Julliot de la Morandière en 1940 avant d'être rattaché à l'Université Paris II en 1968.[44]
  • Centre Thucydide - Analyse et recherche en relations internationales [45]. Créé en 1999, le Centre Thucydide publie l'Annuaire français de relations internationales (éditions Bruylant) qui rassemble annuellement les contributions de spécialistes, universitaires et chercheurs, diplomates, experts, français ou étrangers. Il publie également en liaison avec le Sociological Association of the UAE, la collection Global Undestanding Series (LGDJ). Le Centre Thucydide se consacre en général aux relations politiques internationales et en particulier aux questions de sécurité internationale. Il est dirigé depuis sa fondation par Serge Sur.[46]

Sciences économiques et de gestion, et sciences de l'information et de la communication

  • Laboratoire de recherche en sciences de gestion Panthéon-Assas (LARGEPA)[49]
  • Laboratoire d'économie moderne [50] [51]
  • Équipe de recherche sur les marchés, l'emploi et la simulation [52] [53]

Écoles et Instituts

Centre de formation permanente (CFP)

Le Centre de formation permanente[54] de l'université Panthéon-Assas (Paris II) a été créé en 1972.

Centre interuniversitaire de formation à la fonction personnel (CIFFOP)

Le Centre interuniversitaire de formation à la fonction personnel [55], a été créé en 1971 par le professeur Nicole Catala et par un collectif d'entreprises et de directeurs des ressources humaines de grandes entreprises nationales.

Collège Européen de Paris

Le Collège Européen de Paris[56], a pour objectif de réunir des formations de haut niveau en droit européen public et privé, à l'Institut de droit comparé, en regroupant trois masters spécialisés dans le droit européen : M2 recherche Droit de l'Union européenne, M2 professionnel Contentieux européens et du M2 professionnel Droit européen des affaires. Il intègrera à l'avenir le LLM in European Law de l'université Paris II.

École de droit et de management de Paris

L'École de Droit des affaires et Management de Paris[57] (The Law and Business School of Paris) a été créée le 29 juin 2007.Elle a vocation a assurer les enseignements et recherches bidisciplinaires en Droit des Affaires et Gestion-Management des entreprises. Elle est codirigée par un professeur de droit des affaires et un professeur de sciences de gestion, juriste. Elle a developpe un partenariat officiel avec 30 grandes entreprises internationales (comme Danone, BNP Paribas,Bosch...) Institutions (comme Medef, Ubifrance,ONU...) et Cabinets ( comme PWC...) de tout premier plan. Cet institut a lancé en septembre 2008 la première promotion d un nouveau diplôme : un MBA specialisé de Droit des Affaires & Management-Gestion, en apprentissage, en partenariat avec 22 grands groupes et l'Association Francaise des Juristes d entreprises. En 2010 sera lancé un Executive MBA de Droit des Affaires et Management-Gestion, en formation continue. Des colloques et publications bidisciplinaires sont aussi produits par l'École.[4]. L' Ecole est actuellement co-dirigée par le Pr Michel Germain.

École de marketing Sorbonne Assas (EMSA)

Issue d'un partenariat entre l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l'Université Panthéon-Assas (Paris II) et l'IAE - Institut d'administration des Entreprises - de Paris, l'École de marketing Sorbonne Assas[58] délivrera un diplôme universitaire commun, reconnu en France et à l'étranger, dans les domaines du marketing et de la communication des entreprises. Ce diplôme viendra compléter le master professionnel Marketing et communication des entreprises de Paris II, le master professionnel Marketing de Paris I, le master recherche Marketing et stratégie de Paris I ou le master professionnel Marketing et pratiques commerciales de l'IAE.

Institut d'études judiciaires "Pierre Raynaud" (IEJ)

L'institut d'études judiciaires de Paris II, situé place du Panthéon, permet aux candidats de préparer au concours d'entrée à l'École nationale de la magistrature, à l'École nationale supérieure de la police (concours de commissaire de police), à École des officiers de la gendarmerie nationale et à l'examen du CRFPA. Créé par un décret du 2 mai 1961, l'IEJ Paris II compte 2500 inscrits.

L'institut est actuellement dirigé par Philippe Théry[59] ; il succède à Serge Guinchard[60]. L'institut d'études judiciaires n'accueille que les étudiants de l'université Paris II qui y ont fait ou qui y poursuivent leurs études principales.

Institut de criminologie

L'Institut de Criminologie de Paris est à la fois un établissement d'enseignement supérieur et un organisme de recherche. Les cours et travaux dirigés de l'Institut assurent une formation juridique et criminologique utile aux personnes qui se destinent aux fonctions de magistrat, d'avocat, de cadre de la gendarmerie, de la police nationale, d'expert auprès des tribunaux, aux carrières de l'administration pénitentiaire et de la protection judiciaire de la jeunesse, des services sociaux, etc.

Institut de droit comparé (IDC)

L'Institut de droit comparé de Paris[61] délivre des formations en master de recherche de droit comparé, de droit comparé, option « juriste franco-allemand », au master professionnel de droit européen des affaires, option « carrières européennes franco-allemandes », au LLM. de droit français, européen et international des affaires, à un diplôme de civilisation, langue et droit allemands et du diplôme de civilisation et droits de common law.

Institut de droit des affaires (IDA)

L'Institut de droit des affaires[62], créé en 1945, dispense une formation pluridisciplinaire développant les facultés d'analyse et de compréhension du monde de l'entreprise, puis préparant à la profession d'avocat d'affaires, juriste d'entreprise, juriste de banque et d'établissements financier, commissaire aux comptes, expert comptable. En 1985 est créée au sein de l'IDA la formation de magistère juriste d'affaire, appelé aujourd'hui « magistère-DJCE ». À la différence du diplôme de l’IDA, qui reste ouvert à tout étudiant en droit, économie ou grandes écoles, ou encore à tout professionnel désireux de perfectionner sa formation en droit des affaires et fiscalité, le magistère juriste d'affaire forme des étudiants en droit admis à l'issue de leur licence 2, au sein d'une structure autonome destinée exclusivement et directement à un enseignement en droit des affaires.

L'institut est dirigé par le Professseur Michel Germain;

Institut de préparation à l'administration générale (IPAG)

L'institut de préparation à l'administration générale[63], situé au 122 rue de Vaugirard, prépare aux concours administratifs de catégorie A (internes et externes), à celui de conseiller des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, de la police nationale (commissaire et lieutenant) et de directeur de la protection judiciaire de la jeunesse

La formation diplômante peut délivrer une licence d'administration publique, et un master d'administration et gestion publique. Il est en relation avec le Centre d'études et de recherches en science administrative, unité mixte de recherche en co-tutelle du CNRS et de l'université, que dirige Jacques Chevallier. La formation peut, d'autre part, délivrer des certificats d'« administrateur d’élections », « de pratique des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans l’administration », « pratique de la gestion déléguée des services publics », « pratique de gestion publique des ressources humaines », « pratique des marchés publics », « pratique des procédures budgétaires dans les collectivités locales », « déontologie de la fonction publique », « pratique de la défense de l'administration devant les juridictions administratives » et de « risque judiciaire pour les élus locaux ».

Son président est Serge Salon, son directeur Jean-Michel Lemoyne de Forges[64]

Institut des hautes études internationales (IHEI)

Fondé en 1921, l'Institut des Hautes Etudes Internationales délivre trois certificats ; Certificat d'études internationales générales, Certificat d'études juridiques internationales, Certificat de recherche approfondie).

Institut français de presse (IFP)

L'Institut français de presse[65], créé en 1937 est rattaché à l'Université Panthéon-Assas depuis 1969 et abrite l'UFR de Sciences de l'Information et de la Communication. Son pôle de recherche est le plus ancien centre universitaire français d'étude et de recherche en Sciences de l'information et de la communication. Depuis 2004, son master professionnel en journalisme est reconnu par la profession.

Bibliothèques

Bibliothèque de l'Université

La bibliothèque, réservée aux enseignants et aux étudiants de l'Université Panthéon-Assas en période scolaire, est spécialisée en droit et en économie et a pour vocation de desservir principalement les étudiants de licence et master de l'Université. La bibliothèque s'étend sur trois sites :

  • Bibliothèque d'Assas. C'est la plus ancienne, toutes ses collections sont en magasin. Elle dessert tous les cycles.
  • Bibliothèque de Melun. Elle a ouvert en 1986. Toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert les étudiants inscrits au centre de Melun.
  • Bibliothèque de Vaugirard. Elle a ouvert en 1996. Toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert les étudiants de licence.

D'autre part le centre[66] est ouvert aux étudiants à partir de la 2e année de licence.

Bibliothèques du réseau

L'université dispose d'un vaste réseau de bibliothèques, plus spécialisées, ouvertes aux chercheurs, enseignants, ou étudiants dont le champ d'études est restreint.


Vie associatives et mouvements étudiants

L'Association des Anciens d'Assas - Assas Alumni

Assas Alumni est une association loi de 1901 née en avril 2009 sous l'impulsion conjointe de quatre anciens étudiants de l'Université Panthéon-Assas (Paris II) avec l’appui de son Président actuel, Louis Vogel. Elle s'adresse à tous les diplômés de l'Université quel que soient leur niveau (capacité, L1, L2, L3, M1, M2, DU, doctorat...) et leur filière (droit, économie, gestion, sciences politiques).

C'est la première association de diplômés d'une université française qui en compte plus de 80.000.

Les avantages réservés aux membres comprennent l'accès à diverses manifestations, l'attribution d'une adresse mail valable à vie, l'accès à l'annuaire des diplômés édité par l'Université ainsi que le magazine des anciens, édité deux fois par an.

Site internet : www.assas-alumni.org [5]

Les associations étudiantes de l'université

Associations étudiantes, culturelles et solidaires


Associations confessionnelles


Associations sportives


Associations syndicales


Associations de diplômes ou filières


Mouvements étudiants

Assas, « université nationaliste » ?

Plusieurs événements, d'ordre politique, marquèrent l'université et la présentèrent comme un bastion d'extrême droite. Ces soupçons, s'ils demeurent dans les esprits, paraissent aujourd'hui infondés.

L'université ne peut nier qu'elle fut le théâtre de manifestations politiques remarquables. Le mouvement Occident, violemment anticommuniste, est interdit par décret le 31 octobre 1968 (dissolution par le conseil des ministres), suite à de quotidiennes bagarres de rue avec ses opposants de gauche. Il fut remplacé par le Groupe union défense (GUD), organisation étudiante active à l'université (correspondant français de la Nationalistische Studentenvereinigung). Bien qu'étant peu nombreux, les membres de ces groupes continuèrent à affronter les forces représentantes du bord politique opposé tout au long des années 1970 et 1980 jusqu'à baisser d'activité à la fin des années 1990.

La montée de puissance des forces d'opposition, avec la section de PSA (Pour un syndicalisme autogestionnaire) des années 1970 — et la position majoritaire de l'UNEF, assimilée à une « force de gauche » aux élections étudiantes entre les années 1990 et 2008, marquent un tournant dans l'histoire politique d'Assas. Il y a quelques années, un syndicat SUD-Étudiant se montait, mais sans parvenir à se maintenir sur la durée. Depuis les élections du 8 avril 2008, est majoritaire aux conseils centraux l'association ASSAS.net, association apolitique.

Bien que l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ait pu dénoncer dans un communiqué envoyé à l'Agence France-Presse en février 2005 un regain d'activité de l'« extrême droite » après la création du Rassemblement étudiant de droite, ce dernier syndicat n'a pas présenté de listes pour les élections aux conseils centraux du 8 avril 2008, et n'est plus visible dans les divers centres de l'université.

Élections universitaires

Notons cependant que la participation à ces élections est très faible : elle dépasse rarement 10 % des étudiants, comme la plupart des élections universitaires.

Syndicats et associations représentés dans les conseils centraux

Le Conseil d'administration (CA), le Conseil des études et de la vie universitaire (CEVU) et le Conseil scientifique (CS) ont été renouvelés le 8 avril 2008, soit un an seulement après les élections précédentes. En effet l'adoption le 10 août 2007 de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités[68] a entraîné de profondes modifications dans la composition de ces conseils (le nombre d'étudiants au sein du conseil d'administration en particulier, passe de 15 à 5), rendant nécessaire une nouvelle élection.

Suite à ce scrutin, la liste des associations et syndicats étudiants représentés dans les différents conseils est la suivante[69] :

  • Assas.net : 9 élus au total (2 élus au CA, 4 élus au CEVU, 3 élus au CS). Pour la première fois depuis de nombreuses années une association apolitique devient la première force étudiante au sein de l'Université Paris II.
  • UNEF : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
  • Corpo Assas : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
  • UNI : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
  • UGES : 2 élus au total (1 élu au CEVU, 1 élu au CS).
  •  : 1 élu au CEVU.

Organisations politiques disparues

  • Le GUD, acronyme de Groupe union défense ou de Groupe union droit, selon les périodes. Le GUD est une organisation étudiante d'extrême droite, avec pour emblème un rat noir. Le GUD a été initialement crée en décembre 1968 sous le label Union Droit, suite à la dissolution d'Occident. Le GUD a obtenu ses premiers élus en février 1969. Ses membres, surnommés « Gudards », s'illustrent dans des incidents violents tout au long de leur histoire (particulier le 21 juin 1973 contre Alain Krivine à Assas ou le 15 décembre 1980 à l'Université Paris X), jusqu'à leur disparition à Assas au début des années 2000. Il se serait reconstitué dans le RED.
  • Le Cercle, association d'extrême droite, qui crée en 1969 le Salon du livre français. Ce salon, qui se tenait dans le hall de l'université, réunissait de nombreux auteurs d'extrême droite. Suite à la lutte du PSA, d'Astérix et d'Assas autrement et une évolution dans la politique de la présidence de l'université, ce salon a cessé de se tenir à partir de 2003.
  • PSA, Pour un syndicalisme autogestionnaire, créé en 1985 et disparu en 2003. PSA a été créé, à l'origine, à l'instigation de la CFDT et du Parti socialiste unifié. Le PSA a ensuite rejoint l'UNEF-ID, tout en gardant une tradition d'indépendance par rapport au syndicat national, ainsi que le nom PSA. Cette tradition est liée à la situation politique particulière que connaît Paris II jusqu'au début des années 2000 : PSA est la seule force syndicale de gauche à Paris II, et regroupe donc des étudiants de toutes les obédiences : des écologistes, des socialistes, des communistes, des trotskistes ou des libertaires. En 2003, lorsque la majorité de l'association passe à la Gauche socialiste, le sigle PSA est abandonné, et l'association devient un groupe local de l'UNEF.
  • Astérix (Association symbolisant tout étudiant rejetant l'intolérance et la xénophobie). Créée à l'origine par des militants de l'UEJF, cette association plutôt centriste et numériquement très modeste, a cependant joué un rôle significatif dans la lutte contre l'extrême droite à Assas.
  • Assas autrement, association résultant d'une scission du PSA en 1998. Elle a publié un journal éponyme, très bien informé et à l'humour caustique, sorte de Canard enchaîné local. Elle n'a pas survécu une fois ses fondateurs diplômés, vers 2003. Elle a toutefois joué un rôle important dans la lutte contre l'extrême droite à Assas, révélant notamment les liens qu'entretenait l'IUP de gestion avec ICTUS.

L'université et les rapports extérieurs

Ensemble universitaire

Les sites parisiens

Dès la fin des années 1950, pour faire face à l'afflux des enfants du baby boom et désengorger les bâtiments historiques de l'université de Paris, une entreprise de création de centres nouveaux pour chacune des facultés est lancée. L'annexe de la Faculté de droit et des sciences économiques, prévue pour 1961, est finalement terminée en 1964 rue d'Assas.

L'Université Paris II dispose de multiples sites répartis dans les Ve, VIe mais aussi XVe arrondissements de Paris.

Dans le Ve arrondissement de Paris :

  • 158, rue Saint-Jacques : Institut Cujas, centre de finances publiques et de fiscalité, centre de recherche en droit administratif, centre d'études constitutionnelles et politiques, centre de recherche sur les droits de l'homme et le droit humanitaire et laboratoire de sociologie juridique.
  • 295, rue Saint-Jacques : Association française de science économique
  • 10, rue Thénard : Centre d'études et de recherches en science administrative
  • 1, rue d'Ulm : Centre de droit américain, Institut Michel Villey pour la culture juridique et la philosophie du droit.

Dans le VIe arrondissement de Paris :

  • 92, rue d'Assas : 2e et 3e années de licence, 1re année de master, voire certaines deuxièmes années de master.
  • 5-7, avenue Vavin : Master de finance et Laboratoire d'Economie Moderne.
  • 118-122, rue de Vaugirard : Institut de préparation à l'administration générale, Institut de droit des affaires, Ecole de Droit et Management de Paris, Magistère Banque-Finance et le centre de formation permanente.
  • 4, rue Blaise Desgoffe : Institut français de presse (IFP).

Dans le VIIe arrondissement de Paris :

Dans le XIIIe arrondissement de Paris :

  • 36 rue Charcot : licence 3 et masters en science de gestion (management & nouvelles technologies).

Dans le XVe arrondissement de Paris :

Des travaux de mise en conformité et d'amélioration des conditions d'études et de travail vont être entrepris au centre Assas. Ces travaux commencent en mai 2007 et s'achèveront en 2011 et ne concernent que le centre Assas et l'annexe de la rue Notre-Dame-Des-Champs. Les quatre bâtiments A (les 8 étages, le restaurant universitaire compris), B, C et D seront soit démolis, curés ou réaménagés.[70]

L'Institut de Droit et d'économie de Melun (77)

Le centre universitaire délocalisé de Paris 2 en Seine et Marne se nomme : "Institut de Droit et d'économie de Melun").

Il propose le cursus droit jusqu'en 3e année de licence et les cursus AES et sciences économiques jusqu'en 2e année.

Il s'est illustré, ces dernières années, sous l'impulsion de Marc Gjidara, alors directeur du centre universitaire, par la création de formations atypiques qui constituent une première avec l'instauration de deux diplômes d'Université et d'un diplôme d'État destinés aux enquêteurs de droit privé : détectives et enquêteurs privés :

Le Centre Universitaire de Melun bénéficie de la proche présence des écoles de la Police Nationale, et de la Gendarmerie Nationale, ce qui lui a permis de développer des formations spécifiques aux professions de sécurité, publiques et privées[71].

Depuis septembre 2007, l'Institut de droit et d'économie de Melun est dirigé par M.Frédéric Debove, Maître de Conférences (Droit privé) (responsable administratif : Monsieur Stefan Lambert).

Une antenne du Centre de Formation Permanente y est également installée (responsable sur Melun : Madame Alix TILLOY) pour prendre en charge certaines formations : capacité en droit 1er et 2eme année, Master 2 professionnel : Droit et Stratégie de la Sécurité, Licence Sécurité des biens et des personnes etc....

Le Centre Universitaire de Melun a fêté, le 29 septembre 2007, ses 20 ans d'existence et l'accueil de 10.000 étudiants depuis sa création, en présence de diverses personnalités dont le Président de l'Université, le Préfet, le recteur de l'académie de Créteil, le Général commandant l'école des Officiers de la Gendarmerie Nationale, des parlementaires, le Directeur du Centre Universitaire, le président de la Communauté d'agglomération Melun Val de seine, le Maire de Melun, des enseignants et de nombreux invités.

A cette occasion furent également inaugurés des locaux flambant neufs créés dans l'enceinte (construite en briques en 1929, façade classée) de l'ancienne Poste de Melun qui composent le nouveau "site Emmanuel Fréteau de Saint Just".

Le Centre Universitaire délocalisé possède, lui même, plusieurs annexes sur Melun, depuis le site de la Pointe de l'île Saint Étienne (qui était, à l'origine, en 1987, relié par télévision hertzienne à celui de La Courtille), au site Emmanuel Fréteau de Saint Just (2007 : cf. supra), en passant par le site de La Reine Blanche qui dispose d'un amphithéâtre de 750 places dont la sonorité acoustique est telle qu'il y est donné des concerts et des spectacles, sans oublier l'amphi Saint Sauveur (ancien prieuré classé et aujourd'hui restitué à la Ville) celui de l'hôtel du Château, le site des Nonettes, et le site de La Courtille, l'ensemble étant implanté au calme de l'île Saint Étienne entre deux bras de la Seine.

Les sites utilisés par le centre universitaire ont d'ailleurs pu évoluer au fur et à mesure des aménagements réalisés par la Communauté d'agglomération Melun Val de Seine.

Malgré son succès, et son excentration, les différents responsables locaux et régionaux, semblent profondément ancrés au sein de l'Université Panthéon Assas Paris 2 et ne souhaitent aucunement que ce Centre Universitaire acquiert son indépendance (dans le cadre d'une université autonome) : pour preuve les travaux gigantesques et les investissements financiers engagés par la Communauté d'agglomération de Melun Val de Seine CAMVS et les efforts de la Ville de Melun pour améliorer, agrandir l'ensemble Universitaire [72] comme pour renforcer l'aura de l'Université Panthéon Assas Paris 2 en Seine et Marne.

L'Institut de Droit et d'économie de Melun fait partie intégrante de l'Université Paris 2, comme l'Université Paris 2 fait, désormais, partie intégrante du paysage Melunais[73].

Voir aussi :

Partenariats et accords

Accords académiques

En France

Avec l'étranger

Doubles diplômes

Triples diplômes

  • Master Juriste européen (formation tripartite)

Cursus intégrés


L'université Paris 2 dispose d'un vaste réseau de partenariats, noués avec 111 établissements dans 35 pays, dans le cadre de programmes d'échanges :


Partenariats professionnels

Administration

Louis Vogel est l'actuel président de l'université. Il succède à Jacqueline Dutheil de la Rochère [80], Bernard Teyssié [81], Philippe Ardant[82], Georges Durry[83], Jacques Robert[84]).

Personnalités

Anciens étudiants

Hommes et femmes politiques


Journalistes

Personnalités du monde des affaires

Juristes

Écrivains

Autres

Enseignants et anciens enseignants

Article détaillé : Catégorie:Enseignant de l'Université Paris II.


Georges Vedel, de l'Académie française, ancien membre du Conseil constitutionnel, en a été un célèbre doyen.

François Terré[85], Prosper Weil [86], et Roland Drago sont membres de l'Académie des Sciences morales et politiques ; Henri Mazeaud en fut membre de 1969 à 1994 . Albert Rigaudière[87] est membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. Joe Verhoeven est secrétaire général de l'Institut de droit international.

Certains enseignants sont d'anciens doyens d'autres universités, comme Claude Blumann[88], André Castaldo, Doyen honoraire de la Faculté de droit et de science politique de l'Université de Paris XIII, et Serge Guinchard[89], Michel Germain, Doyen honoraire de la faculté de droit de Besancon et actuel directeur de l'Institut du Droit des affaires et co-directeur de l Ecole de Droit et Management[11].

Notes et références

  1. Le budget hors salaires des enseignants est de 76 millions d'euros. Données de 2003, de l' Observatoire Boivigny
  2. 145 professeurs, 132 maîtres de conférences, 1400 autres enseignants, 240 enseignants envoyés en mission à l'étranger en 2006-2007. Le personnel administratif est constitué d'une équipe de 330 personnes. Consulter le site de l'université Paris 2
  3. Selon le site officiel de l'université Paris 2. Ils étaient 16 320 en 2005, selon la Note d'information publiée par le ministère de l'enseignement supérieur, et intitulée "Les étudiants inscrits dans les 83 universités publiques françaises en 2005". Soit une baisse de 7 % des effectifs, de 1996 à 2005 puisqu'en 1996 17 531 étudiants fréquentaient la faculté. Voir le rapport de 1996 de la CNE. Les effectifs étudiants se répartissent de la façon suivante : 7 623 en licence, 7 556 en master et 1 141 en doctorat. Voir « L'Enseignement supérieur à Paris en chiffres 2005-2006 », étude au format PPT.
  4. Consulter le diagramme réalisé par l'université sur son site Internet
  5. Selon le décret n°70-1174 du 17 décembre 1970 portant érection d'universités et instituts nationaux polytechniques en établissements publics à caractère scientifique et culturel. Consulter le texte publié au journal officiel du 18 décembre 1970, page 11624, sur Legifrance
  6. Notamment numéro spécial université (31/05/2007) "Plus de 800 questionnaires détaillés nous ont été retournés : suivi des diplômés, durée moyenne de recherche d'emploi, salaire de sortie, type d'emploi occupé, secteurs d'embauche, associations d'anciens, partenariats entreprises, autant de données que ne valorisent d'habitude que les grandes écoles. Elles nous ont servi à sélectionner et à mettre en ligne plus de 450 programmes remarquables. L'exercice a permis de dessiner une petite géographie subjective des universités les plus réactives. Sur le podium des meilleures pourvoyeuses de pépites, on trouve Paris I, Lyon I, Paris V, Paris IX, Paris II et Paris X, suivies de près par Marne-la-Vallée, Tours et Grenoble-I." (Présentation en ligne sur le site du Nouvel Obs) et voir aussi Le Nouvel Obs Etudiants n° 6 - Spécial « Pépites de la fac »
  7. Dépêche n°112361, Caroline Franc, Paris, Jeudi 09 avril 2009, 18:53:37
  8. Voir le rapport du Comité national d'évaluation de 2006 p.10.
  9. Consulter la plaquette détaillée de l'ensemble des formations dispensées par l'Université Paris II sur son site internet
  10. Voir le détail des plaquettes sur le site de l'université Paris II LMD détail
  11. Jacqueline Dutheil de la Rochère, ancienne présidente de l'université, dans le figaro étudiant en 2005
  12. Consulter le site de l'IRPI
  13. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  14. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée de février 2008
  15. Consulter le site de l'IRDA
  16. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  17. Consulter le site du CDA
  18. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  19. Consulter le site du Laboratoire de droit social
  20. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  21. Consulter le site du CEJEM
  22. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  23. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  24. Consulter le site du CEFEP
  25. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  26. Consulter le site du CRDA
  27. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée de février 2008
  28. Consulter le site du CECP
  29. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  30. Consulter le site du CARISM
  31. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  32. Consulter le site du CERSA
  33. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  34. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  35. Consulter le site de l'Institut Villey
  36. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  37. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  38. Consulter le site de l'IHD
  39. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  40. Consulter le site du CDE
  41. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  42. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  43. Consulter le site de l'IDC
  44. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  45. Consulter le site de l'Afri
  46. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  47. Consulter le site du CRDH
  48. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  49. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  50. Consulter le site du LEM
  51. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  52. Consulter le site de l'ERMES
  53. Voir la fiche d'évaluation faite par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, datée d'avril 2008
  54. Consulter le site du CFP
  55. Consulter le site du CIFFOP
  56. Consulter le site du CEP
  57. Consulter le site du MBA Assas
  58. Consulter le site de l'EMSA
  59. droit processuel, procédures civiles d'exécution, droit des sûretés, directeur du master Culture juridique, destiné aux étudiants étrangers francophones
  60. doyen honoraire de Lyon III, droit processuel, procédures civile et pénale
  61. Consulter le site de l'IDC
  62. Consulter le site de l'IDA
  63. Consulter le site de l'IPAG
  64. Responsable du master administration et gestion publique, ancien directeur des études de l'École nationale d'administration
  65. Consulter le site de l'IFP
  66. Consulter le site de la Bibliothèque universitaire de Cujas
  67. Site internet du CEP
  68. Loi relative aux libertés et responsabilités des universités sur Legifrance
  69. Résultats des élections aux conseils centraux de Paris II du 8 avril 2008
  70. Consulter le site officiel de l'université Paris II Assas dédié aux travaux Travaux d'Assas
  71. Les enquêteurs privés, comme les sociétés de gardiennage, ont, en effet, été rattachés aux professions de sécurité par la loi d'orientation et de programmation relative à la sécurité, n° 95-73 du 21 janvier 1995 (cf.annexe 1) qui affirme qu'ils "exercent des activités de sécurité privée" et "concourent ainsi à la sécurité générale."
  72. Exemples d'investissements de la Ville ou du DAM : En 1990, aménagement de l'amphithéâtre Saint Sauveur - En 1992 : acquisition et transformation d'une ancienne école privée en site des Nonettes - De 1994 à 1997 : acquisition, construction et inauguration du site de la Reine Blanche (27/9/1997) - De 2005 à 2007 : acquisition, construction et inauguration du site Emmanuel Fréteau de Saint Just (29/9/2007).
  73. dans sa séance du 25 octobre 2006, siégeant en formation plénière, le Conseil d'Administration de Paris 2 a, lui même, renouvelé son attachement à ce Centre en renouvelant la convention avec la communauté d'agglomération Melun Val de Seine. Extrait de la délibération : "12. Approbation d’une convention entre l’Université et la communauté d’agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) M. le Président ayant donné la parole à M. KESLER, ce dernier expose qu’il s’agit de reconduire la convention liant Paris 2 à la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. Cette convention a pour objet de fixer les modalités de répartition du financement en ce qui concerne le centre de Melun. La communauté d’agglomération Melun Val de Seine met à la disposition de l’Université des moyens en locaux, en personnel et prend en charge la majorité des dépenses de fonctionnement. La convention prévoit que la participation de l’Université aux charges de fonctionnement sera indexée sur la hausse des prix qui est plafonnée à 1% par an. La durée de la convention est portée à sept ans pour s’articuler sur le programme d’investissement de la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. M. KESLER attire l’attention sur le préambule qui retrace les évolutions du centre de Melun, sa croissance régulière. L’article 2 de la convention dresse la liste des bâtiments mis à la disposition du centre de Melun, principalement le bâtiment de la Reine blanche, le bâtiment de la pointe de l’île Saint-Etienne comprenant la bibliothèque et le bâtiment historique dit de la Courtille. En outre, la communauté d’agglomération Melun Val de Seine a acquis en 2005 les locaux de l’ancienne poste afin de les transformer en locaux universitaires pour la rentrée 2007. (...) M. LEVENEUR s’interroge sur une éventuelle transformation du centre de Melun en une université autonome dans un avenir proche ou à moyen terme. M. CHEVALLIER estime peu vraisemblable que le centre de Melun devienne une université autonome. Si le centre de Melun se séparait de Paris 2, ce serait pour rejoindre une université comme Marne-la-Vallée. M. CHEVALLIER pense que l’Université a plutôt intérêt à conserver un lien avec le centre de Melun. La communauté d’agglomération Melun Val de Seine fournit un effort considérable et impressionnant concernant l’aménagement des locaux. M. le Président indique que le vœu de la communauté d’agglomération Melun Val de Seine est que le centre de Melun reste rattaché à l’Université Paris 2'. L’Université a également intérêt à maintenir ce lien (...). M. GOHIN plaide pour le rattachement du centre de Melun à Paris 2 en évoquant une remise de diplôme à l’EOGN qui témoigne de l’apport fructueux du centre de Melun à Paris 2. Le conseil approuve, à l’unanimité, la convention entre l’Université et la communauté d’agglomération Melun Val de Seine (CAMVS)'".
  74. Consulter le site du Master Ingénierie économique (TSI-AD)
  75. Voir la fiche du master STV
  76. Consulter le site de l'association du Master 2 Fiscalité internationale
  77. Détails disponibles sur le site u-paris2.fr
  78. Lire le communiqué de presse publié sur le site de l'Essec L'Université Panthéon-Assas et l'ESSEC signent un accord de partenariat stratégique
  79. Les étudiants français et allemands sont réunis sous l'égide de l'Association Bermupa
  80. spécialiste de droit communautaire (2002-2006)
  81. Bernard Teyssié a été président de 1997 à 2002, spécialisé droit social, actuellement directeur de l'école doctorale de droit privé
  82. Philippe Ardant a été président de 1993 à 1997, il est professeur émérite de l'Université et de l'institut d’études politiques de Paris, ancien ambassadeur, ancien président de l'Institut du Monde Arabe, ancien président de la Cour Constitutionel de la Principauté d'Andorre, spécialisé en droit constitutionnel. Décédé le 6 juin 2007 à l'âge de 77 ans.
  83. Georges Durry a été président de 1989 à 1993, il est professeur émérite, ancien responsable du DESS assurances, spécialiste du droit civil des personnes, des biens et des obligations, institutions judiciaires
  84. Jacques Robert est professeur émérite, ancien membre du Conseil constitutionnel de 1989 à 1998, spécialiste de droit constitutionnel et libertés fondamentales
  85. professeur émérite, droit civil des personnes, des obligations et des biens, ex-Responsable du DEA Philosophie du droit
  86. professeur émérite, droit public, membre de l'institut
  87. responsable du DEA Histoire du droit
  88. co-responsable du master Droit de l'Union européenne, doyen honoraire de l'Université de Tours
  89. droit processuel, Doyen honoraire de l'Université Lyon III Jean Moulin, ex-directeur de l'Institut d'études judiciaires Pierre Raynaud de Paris II
  90. Voir le site Portail Minkowska


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