Débarquement de Provence

Débarquement de Provence
Opération Anvil Dragoon
L'opération Dragoon sur une carte de l'armée américaine, entre le 15 et le 28 août 1944
L'opération Dragoon sur une carte de l'armée américaine.
Informations générales
Date Du 15 août (débarquement) au 11 septembre (jonction) 1944
Lieu Var,
Sud-Est de la France
Issue Tête de pont alliée en Europe : front sud
Belligérants
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau de la France Armée française de la Libération
Drapeau : Allemagne Reich allemand
Commandants
Drapeau des États-Unis Alexander Patch
Drapeau de la France Jean de Lattre de Tassigny
Drapeau de l'Allemagne Friedrich Wiese[réf. nécessaire]
Drapeau de l'Allemagne Johannes Blaskowitz[réf. nécessaire]
Forces en présence
~250 000 américains ~250 000 français[réf. nécessaire] ~250 000 soldats[réf. nécessaire]
Pertes
~30 000 tués, blessés et disparus[réf. nécessaire] ~125 000 tués, blessés et disparus[réf. nécessaire]
Seconde Guerre mondiale
Batailles
Front d'Europe de l'Ouest

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Bataille de l’Atlantique


Campagnes de Méditerranée et d'Europe du Sud


Guerre en Asie et dans le Pacifique


Guerre sino-japonaise


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Campagnes d'Afrique et du Moyen-Orient


Bataille de l'Atlantique


Guerre en Asie et dans le Pacifique


Guerre sino-japonaise

Le débarquement en Provence est une opération militaire menée pendant la Seconde Guerre mondiale (nom de code Anvil Dragoon) à partir du 15 août 1944 par les troupes alliées dans le sud-est de la France (entre Toulon et Cannes).

À l'origine appelée Anvil (enclume en anglais), le nom a été changé en Dragoon par Winston Churchill car il était contre ce débarquement (il déclara y avoir été contraint dragooned[1]) préférant une percée des troupes déployées sur le front d'Italie vers les Balkans afin de prendre en tenaille l'armée allemande en Europe centrale et d'arriver à Berlin avant les Soviétiques. Il s'oppose notamment à De Gaulle, qui menace de retirer les divisions françaises du front italien. Les objectifs étaient de libérer Toulon, Marseille puis de remonter le Rhône jusqu'à effectuer la jonction avec les forces de l'opération Overlord débarquées en Normandie.

L'opération Dragoon incluait un atterrissage de planeurs (opération Dove) et un faux débarquement dans le nord de l'Italie (opération Span).

La défense allemande composée de la XIXe armée (essentiellement des troupes étrangères) est dégarnie, notamment de la 9e Panzerdivision, suite à l’envoi de renforts vers le front de Normandie. Ensuite Hitler opère un repli pour éviter l'encerclement mais ordonne la destruction des ports de Toulon et Marseille et de garder ces deux villes.

Sommaire

Forces en présence le 15 août 1944

Alliés Allemands[2]
Soldats 50 000 (324 000 fin septembre) 80 000
Chars 500 (800 fin septembre) 36
Artillerie 1 161 (dont 551 de marine) 450
Avions 2 000 105
Navires 2 250 (dont 500 de guerre) 48 (dont 10 U-Boots)

Unités de la Wehrmacht

La Wehrmacht, déjà engagée sur le front normand est en infériorité numérique. Elle dispose pour défendre les côtes méditerranéennes de la France de la 19e armée (général Friedrich Wiese)[2],[3], elle-même subdivisée en :

  • le 62e corps d’armée (LXII. AK, général Ferdinand Neuling) QG à Draguignan, comprenant :
  • le 85e corps d’armée (LXXXV. AK), comprenant :
  • le 38e corps d’armée, sur la côte de Toulon à Marseille, comprenant :
  • un corps chargé de la défense du Languedoc :
    • Paul Danhauser (du 10 décembre 1943 à août 1944, P.C.: Celleneuve) (de Maugio à Agde) ;
    • 272e DI (272. ID) ;
    • Albert Praun (5 avril 1944-10 août 1944) remplaçant du Generalleutnant Heinrich Huffmann (10 décembre 1943-15 avril 1944) (de Leucate à Valras, PC: Saint-Félix). Envoyée en Normandie, elle fait retraite vers l’Allemagne en août 1944. Elle est ainsi remplacée par la 198.I.D du Generalmajor Otto Richter.
  • 157e DI (157. ID), au sud de Grenoble ;
  • Sète à Aigues Mortes) ;
  • Otto Richter) (Brignoles, à la gauche de la 338. I.D. P.C.: Saint Félix) ;
  • Leucate, P.C.: Thuir (66). Elle est envoyée en Normandie en juillet 1944).
  • la 62e DI (62. ID) dans l’arrière-pays provençal (Draguignan)[4]. ;
  • 716e DI (716. ID) Occupe le secteur de Perpignan depuis juillet 1944, après avoir été pratiquement anéantie en Normandie (de la frontière espagnole à Narbonne).
  • 11. PzD (venant de Toulouse, Montauban, Albi, Carcassonne. P.C.Rouffiac (31)).

La Kriegsmarine, commandée par le Kom.Adm.D.Franz.Südküste. Commandement de la côte Méditerranéenne de la Kriegsmarine et commandé par le vice-amiral Paul Wever. C.Q.G. à Aix en Provence.

  • Marine-Einsatzkommando 71. chargé du renseignement naval. P.C.: Aix-en-Provence.
  • Le Generalkommando IV. Luftwaffen-Feldkorps: General der Flieger Erich Petersen le 1er août jusqu’au 19 novembre 1944. Le P.C. du corps est établi à Montpellier, puis en juillet 1944, transféré à Capendu (11). Il Dépend tactiquement du Feughafenbereich 1/VII Carcassonne sous les ordres de l’Oberst Gieche. Il est réparti à Montpellier (I./FI.Rgt.71), Carcassonne (II./FI.Rgt.71 dont deux compagnies sont en poste à Perpignan) et Béziers (III./FI.Rgt.71).
  • II./3. Brandenburg-régiment : Trois compagnies, la 5e, 7e et une compagnie italienne d’emploi spécial. (Aix-en-Provence).
  • 2. Fliegerdivision: état-major installé à Montfrin (Gard) (JGr.200, II./JG 77., KG 26., KG 77., 1(F)./33., 2./SAGr128.).

Unités alliées

Unités terrestres

Les forces US d'assaut par la mer se composent de :

  • la 36eme division d'infanterie US
  • la 45eme division d'infanterie US
  • la 3eme division d'infanterie US

Unités navales françaises

Les unité navales alliées étaient constituées de 880 navires de guerre, sur ce nombre 130 furent principalement engagés dont une trentaine de navires français[5]

  • Cuirassé Lorraine
  • 3e division de croiseurs
    • Croiseur Émile-Bertin
    • Croiseur Jeanne d'Arc
    • Croiseur Duguay-Trouin
  • 4e division de croiseurs
  • 10e division de croiseurs légers
  • 3e division de torpilleurs
    • Le Fortuné
    • Le Forbin
  • 6e division de torpilleur
    • Le Tempête
    • Le Simoun
    • L'Alcyon
  • 2e division de destroyers d'escorte
    • Le Marocain
    • Le Tunisien
  • 5e division de destroyers d'escorte
    • Le Hova
    • L'Algérien
    • Le Somali
  • 6e division d'avisos
    • La Gracieuse
    • La Boudeuse
    • Le Commandant Delage
    • Le Commandant Bory
  • 10e division d'avisos
    • Le Commandant Dominé
    • La Moqueuse

Le débarquement

La veille, Radio Londres diffuse 12 messages pour la Résistance, des régions R1-R2, R3-R4 et R6, et dont les plus connus sont : « Le chasseur est affamé (Bibendum)" ou "Nancy a le torticolis (guérilla)" »...

Comme lors de l'opération Overlord, le plan de bataille prévoit une division des troupes en différentes « forces » avec toutes un but précis.

L'assaut naval

Le « débarquement »

L'assaut naval a lieu sur les côtes varoises entre Toulon et Cannes. 880 navires anglo-américains, 34 français et 1 370 navires pour le débarquement.

Durant la nuit du 14 au 15 août, les commandos français sont débarqués sur les flancs du futur débarquement :

  • Au nord Force Rosie (groupe naval d'assaut français, capitaine de frégate Seriot) débarque à Miramar pour couper la route aux renforts allemands venant de l’est.
  • Au sud, Force Romeo, un groupe français des commandos d'Afrique du lieutenant-colonel Bouvet, débarque de part et d'autre du Cap Nègre.

La Force Sitka constituée de la 1st Special Service Force et commandée par le Colonel Edwin E. Walker se charge la même nuit de détruire les batteries des îles côtières de Port-Cros et du Levant situées devant Hyères.

Les trois divisions américaines forment la Force Kodak du Général Lucian Truscott. Les troupes d'assaut du 6e Corps Américain sont elles-mêmes divisées en trois forces :

L'objectif était de débarquer et de constituer une ligne de front de 25 km de profondeur (appelé Blue Line). Puis, d’avancer vers la vallée du Rhône et prendre contact avec le 2e corps français.

L'assaut aérien

Commémoration du parachutage le 15 aout 1944 dans la baie de Saint-Tropez de la Cie B du 509° Bataillon

L'assaut aérien se composait d'un parachutage d'hommes et de matériel entre Muy et la Motte avec 5 000 parachutistes de la 2e Brigade indépendante britannique et des planeurs américains pour les véhicules. Ils étaient parachutés depuis l'Italie. L'objectif était de s’emparer du Muy et des hauteurs de Grimaud afin d’empêcher l’afflux de renforts ennemis depuis l’ouest.

C'est la Force Rugby du général Robert T. Frederick qui en eut la charge. Cette force se composait des unités suivantes :

  • 1st Airborne Task Force
  • 517th Airborne Regimental Combat Team: composé du 517th PIR (Parachute Infantry Regiment)
  • 460th PFAB (Parachute Field Artillery Battalion), et du 596th PCEC (Parachute Combat Engineer Company)
  • 509th Parachute Infantry Battalion.
  • 1st Battalion du 551st Parachute Infantry Regiment
  • 550th Glider Infantry Battalion
  • 2nd Independant Airborne Brigade (British Army, du gén. Pritchard)

L'assaut aéronaval

À l'aube du 15 août, les Alliés déploient la Task Force 88 au large de la Provence. Cette force tactique a pour mission d'assurer la couverture aérienne du débarquement dans un premier temps, puis d'aider les troupes débarquées dans leur progression dans un deuxième temps.

Après l'assaut

Le 16 août, à J + 1, débarque la Force Garbo de la 7e armée US commandée par le général Alexander Patch composée du 6e corps US et de l'armée B commandée par le général de Lattre de Tassigny.

Des divisions françaises accompagnent l'armée B :

Les trois quarts de la Force Garbo étaient sous commandement français avec pour moitié de troupes des colonies.

L'objectif était de faire une poussée vers Toulon. Une semaine plus tard, l'armée B est complétée par :

  • 9e DIC du général Magnan
  • 2 groupements de Tabors marocains du général Guillaume

La progression

Carte du front le 1er septembre 1944

Si un objectif du débarquement en Provence était de créer un nouveau front en France, ce plan incluait aussi de détruire la XIXe armée allemande, qui avait pour charge la défense du sud-est de la France[6]. Les 3e et 45e division US avaient pour objectif de pousser vers la vallée du Rhône, alors que les forces françaises libres avaient la charge de libérer les ports de Toulon et Marseille. Pour réaliser le second objectif — la destruction des forces allemandes — une force blindée est mise sur pied lors des préparatifs du débarquement, la Task Force Butler, dont la mission est de progresser vers le nord, depuis Draguignan, via Riez, puis Digne et Sisteron, et d'obliquer vers le Rhône à Aspres-sur-Buech, et ainsi de couper la retraite des forces allemandes, dans ce qui sera la Bataille de Montélimar.

La nouvelle du succès rapide de cette attaque, avec une avancée profonde en vingt-quatre heures, a déclenché un soulèvement d'insurrection populaire dans Paris.

Articles détaillés : Bataille de Marseille et Libération de Nice.

En deux semaines la Provence aura été libérée. Digne et Sisteron sont atteintes le 19, Gap le 20. Grenoble est prise le 22 août (soit 83 jours avant la date prévue[réf. nécessaire]), Toulon le 23 août, Montélimar le 28 août et Marseille le 29 août. Les forces alliées, remontant la vallée du Rhône, rejoindront le 12 septembre, à Montbard, au cœur de la Bourgogne celles du front de l'ouest.

Dans les Alpes-Maritimes, Nice se libére le 28 août 1944, mais Saorge n'est reprise que le 4 avril 1945.

La progression principale se fait vers le nord, laissant sur son flanc est, un front au niveau des cols alpins, qui ne constituent pas un objectif immédiat pour les états-majors alliés. Des unités allemandes venues d'Italie et chassées de Provence s'y réfugient, notamment dans les différents ouvrages et forts qui constituaient la ligne Maginot alpine[7].

Les derniers combats pour libérer la région ont lieu fin avril 1945. Les forts de la vallée de l'Ubaye, les ouvrages Maginot de Saint-Ours et Roche-la-Croix, ne sont repris aux Allemands et Italiens qu'entre les 23 et 24 avril par les forces françaises aidées de l'armée américaine[8], soit 8 mois après le débarquement sur les côtes du Var, alors que les derniers combats ont lieu en Allemagne.

Bilan

Au total, plus de 94 000 soldats et 11 000 véhicules ont été débarqués le premier jour.

Sur un effectif de 260 000 combattants, dont 5 000 auxiliaires féminines, 10% étaient originaires de la métropole ou d'Afrique noire, 90 % venaient d'Afrique du Nord ; parmi ces derniers, 52% étaient d'origine maghrébine et 48% d'origine européenne.

Dans les grandes unités, le pourcentage de soldats maghrébins variaient entre 27% à la 1re DB et 56% à la 2e DIM.

Par type d'arme, ce pourcentage était d'environ 70% dans les régiments de Tirailleurs, 40% dans le Génie et 30% dans l'artillerie[9].

Du 15 au 29 août (prise de Marseille), les pertes de cette Armée B s'élevent à 933 tués, 19 disparus et 3 732 blessés, les jours les plus terribles étant les 23 et 24 août. Environ 35 000 Allemands ont été capturés[10].

Les soldats alliés tombés au cours de la campagne de Provence sont enterrés dans différents cimetières

  • Nécropole Nationale de Boulouris : située a quelques kilomètres de la plage du Dramont, y reposent les corps de soldats français tués durant le mois d'aout 1944.
  • Nécropole Nationale de Luynes : entre Aix-en-Provence et Marseille, près de 10000 soldats tués au cours des deux guerre mondiales y reposent.
  • Rhone American Cemetery, à Draguignan : près de 900 soldats américains tués au-cour des combats de la libération de la Provence reposent en ce lieu.
  • Cimetière Militaire Britannique de Mazargues, Marseille : ce cimetière regroupe les corps des soldats de l'empire britanniques tués au cours de l'année 1944 en Provence auprès des tombes de soldats de la Grande guerre.

Les corps des soldats allemands tués durant l'opération Anvil Dragoon ainsi que durant les années d'occupation du sud de la France sont regroupés au Cimetière Allemand de Dagneux dans l'Ain.

60e anniversaire du débarquement

Monument en mémoire du débarquement alliés à Saint-Tropez.

Les cérémonies du 60e anniversaire du débarquement le 15 août 2004 eurent lieu successivement au Muy, au cimetière militaire américain de Draguignan, à Saint-Raphaël, à Cavalaire-sur-Mer et dans la rade de Toulon à bord du porte-avions Charles de Gaulle. Le président Jacques Chirac, en présence de seize chefs d'État et de gouvernement africains, a rendu hommage au « sacrifice immense » des « forces de la liberté » qui ont participé il y a soixante ans au débarquement de Provence. Quelque 200 000 personnes ont assisté des côtes toulonnaises à cette cérémonie, selon la préfecture du Var. Le président de la République a remis des décorations à vingt-et-un vétérans, essentiellement africains, et la croix de la Légion d'honneur « à la ville d'Alger en tant que capitale de la France combattante », pour son rôle d'hôte du Comité français de la Libération nationale.

Bibliographie

  • Antoine Champeaux et Paul Gaujac, Le débarquement de Provence, Lavauzelle, 2008
  • Paul Gaujac, Le débarquement de Provence : Août 1944 Anvil-Dragoon, Histoire et Collections, 2004
  • Philippe Lamarque et Pierre Miquel, Le Débarquement en Provence : 15 août 1944, Le Cherche Midi, 2004
  • Jacques Robichon , Le Débarquement de Provence, Presses de la Cité, 2003

Voir aussi

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Notes et références

  1. (en) E. M. Flanagan Jr., Airborne, Ballantine Books, 2003, 1re éd. (ISBN 978-0-89141-688-3) (OCLC 49327051) (LCCN 2002025342) 
  2. a et b La 338e division d'infanterie ID et la 11e Pz-div ne sont pas pris en compte puisqu’elles ne participeront qu’au combat dans la vallée du Rhône.
  3. Source principale pour le § : Alain Chazette, L’armée allemande sur la côte méditerranéenne, A.O.K.19 Mittelmeerküstenfront », volume 1. Éditions Histoire & collection, Paris, 2004. p 96
  4. Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1) , p 28
  5. Dominique Lormier, C'est nous les Africains : L'épopée de l'armée française d'Afrique 1940-1945, Paris, Calmann-Lévy, 2006, 263 p. (ISBN 2-286-02021-3) 
  6. Paul Gaugeac, Le débarquement de Provence, 1944, histoire et collection.
  7. La ligne Maginot, Tomes 4 et 5, histoire et collection.
  8. Histoires vécues en Ubaye (1939-1945), Sabenca de la vallea.
  9. Jacques Frémeaux, « Les contingents impériaux au cœur de la guerre » in Histoire, économie et société, Editions C.D.U. et S.E.D.E.S., 2004, Volume 23, Numéros 1-4, p.223
  10. Paul Gaujac, Le débarquement de Provence, Histoire et Collections, 2004, p.180



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Débarquement de Provence de Wikipédia en français (auteurs)

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