Patrice de Mac-Mahon

Patrice de Mac-Mahon

Patrice de Mac Mahon

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Patrice de Mac Mahon
3e président de la République française
Patrice de Mac Mahon.jpg
Portrait officiel du maréchal de Mac Mahon,
président de la République

Actuellement en fonction
Mandat
24 mai 1873 - 30 janvier 1879
Depuis le 24 mai 1873
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Élu(e) le 24 mai 1873 (mandat prolongé pour sept ans le 20 novembre 1873)
Parti politique Légitimiste (droite)
République IIIe République
Constitution Loi du 20 novembre 1873
Président(s) du
Conseil
en tant que vice-président du Conseil :
Duc de Broglie
Ernest Courtot de Cissey
Louis Buffet
en tant que président du Conseil
Jules Dufaure
Jules Simon
Duc de Broglie
Gaëtan de Rochebouët
Jules Dufaure
Prédécesseur Adolphe Thiers
Successeur Jules Grévy
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Biographie
Nom de naissance Marie Edme Patrice Maurice de Mac Mahon
Naissance 13 juillet 1808
France Sully, Saône-et-Loire (France)
Décès 17 octobre 1893
France Château de la Forest, Montcresson, Loiret (France)
Nature du décès Insuffisance rénale, crises d'urémie
Nationalité {{{nationalité}}}
Conjoint(s) Élisabeth de La Croix de Castries
Enfant(s) Patrice de Mac Mahon
Eugène de Mac Mahon
Emmanuel de Mac Mahon
Marie de Mac Mahon, ép. d'Halwin de Piennes
Diplômé Saint-Cyr
Profession officier général
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Résidence(s) {{{résidence}}}
Religion {{{religion}}}
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Présidents de la République française

Patrice de Mac Mahon[1], comte de Mac Mahon, duc de Magenta, né le 13 juillet 1808 au château de Sully (Saône-et-Loire) près d'Autun, mort le 17 octobre 1893 au château de la Forêt, à Montcresson (Loiret), a été maréchal de France, et le 3e président de la République française, fonction qu'il a occupée du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879.

Sommaire

Origines familiales

Les Mac Mahon sont une famille d'origine irlandaise, réfugiée en France avec Jacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1689, et se réclamant de la descendance des anciens rois d'Irlande.

Ils revendiquent une descendance des seigneurs de Munster. Après l'installation définitive de la famille en France, leur noblesse est reconnue par lettre patente du roi Louis XV. Famille essentiellement militaire (quatorze Mac Mahon ont intégré l'armée), elle s'est établie en Bourgogne (Autun), au château de Sully précisément.

En ce lieu, naît le 13 juin 1808 Patrice de Mac Mahon, seizième et avant-dernier enfant de Maurice de Mac Mahon.

Les débuts

En 1820, il entre au Petit Séminaire des Marbres à Autun. Il achève ses études au collège Saint-Louis à Paris, puis il entre à l’école spéciale militaire à compter du 23 octobre 1825, il rejoint pour deux ans l’école d’application d’état-major, le 1er octobre 1827. Sorti de l'École militaire de Saint-Cyr, il entre dans l'armée en 1827, et sert d'abord lors de l'expédition d'Alger, où il se fait remarquer par sa capacité et sa bravoure. Rappelé en France, il attire de nouveau l'attention lors de l'expédition d'Anvers en 1832. Il devient capitaine en 1833, et cette année-là revient en Algérie. Il mène des raids de cavalerie audacieux à travers les plaines occupées par les bédouins et se distingue au siège de Constantine en 1837. Depuis cette date jusqu’à 1855, il est presque constamment en Algérie et accède au grade de général de division.

Vie personnelle

Statue de Patrice de Mac Mahon au château de Sully.

Il épouse à Paris le 13 mars 1854 Elisabeth de La Croix de Castries.

De cette union naissent quatre enfants :

  1. Patrice (1855-1927), 2e duc de Magenta
  2. Eugène (1857-1907)
  3. Emmanuel (1859-1930)
  4. Marie (1863-1954)


Guerre de Crimée, Sébastopol

Pendant la Guerre de Crimée, on lui donne le commandement d'une division et, en septembre 1855, il mène avec succès l'attaque sur les ouvrages fortifiés de Malakoff, où il prononce son célèbre « J'y suis, j'y reste ! », ce qui aboutit à la chute de Sébastopol.

Sénateur, vainqueur en Algérie

Après son retour en France, il est comblé d'honneurs et fait sénateur. Désirant pourtant une vie plus active, il refuse le commandement suprême des troupes françaises, et est une fois encore envoyé, sur sa demande, en Algérie, où il vainc complètement les Kabyles. De retour en France, il vote comme sénateur contre la loi inconstitutionnelle sur la sécurité générale, proposée après l'attentat manqué d'Orsini contre la vie de l'empereur.

Magenta : maréchal de France

Il se distingue particulièrement lors de la campagne d'Italie de 1859. Moitié par chance, moitié par audace et par flair, il pousse ses troupes en avant sans avoir reçu d'ordres à un moment critique lors de la bataille de Magenta, ce qui assure la victoire française. Pour ces brillants services, il reçoit de Napoléon III le bâton de maréchal, et est titré duc de Magenta.

Gouverneur en Algérie

Le maréchal de Mac Mahon.

En 1861, il représente la France au couronnement de Guillaume 1er de Prusse. En 1864, il est nommé gouverneur général d'Algérie. Son action dans ce poste représente l'épisode le moins réussi de sa carrière. Bien qu'ayant effectivement mis en œuvre quelques réformes dans les colonies, les plaintes sont si nombreuses que deux fois dans la première moitié de 1870 il présente sa démission à Napoléon III. Quand le cabinet Ollivier, qui finit si mal, est formé, l'empereur abandonne ses projets algériens et Mac Mahon est rappelé.

La guerre et la Commune

Il participe à la guerre franco-allemande de 1870, essuie plusieurs défaites en Alsace et lors de la bataille de Sedan où il est blessé dès le début des combats. Il est fait prisonnier lors de la capitulation de Sedan. En 1871, il est nommé à la tête de l'armée dite « versaillaise » qui réprime sévèrement la Commune de Paris en tuant 30 000 personnes, emprisonnant 38 000 et déportant au bagne 7 000 autres.

Président de la République

Porté par sa popularité, il fut élu président de la République après la chute d'Adolphe Thiers le 24 mai 1873, et après avoir limogé le président du Conseil Jules Dufaure, il le remplace par le duc Albert de Broglie un monarchiste, projetant ainsi une restauration de la monarchie[2]. Mais l'échec de cette restauration le conduit à voter le septennat présidentiel[3]. Avec le duc de Broglie comme président du Conseil, il prend une série de mesures d'ordre moral.

L'Assemblée ayant le 9 novembre 1873 fixé son mandat à sept ans, après l'adoption de l'amendement proposé par le député Henri Wallon, il déclare dans un discours prononcé le 4 février 1874 qu'il saurait pendant sept ans faire respecter l'ordre légalement établi. Préférant rester au-dessus des partis, il assiste plutôt qu'il n'y prend part aux procédures qui, en janvier et février 1875, aboutissent aux lois fondamentales qui établissent finalement la République comme le gouvernement légal de la France. Pourtant Mac Mahon écrit dans ses Mémoires toujours inédits : « Par ma tradition de famille et en raison des sentiments que mon éducation m'avait inculqués dès le plus jeune âge envers la maison royale, je ne pouvais pas être autre chose que légitimiste. Le 26 septembre 1875, il séjourna à Vernon dans l'Eure pendant plusieurs jours afin de préparer les grandes manoeuvres de la troisième armée. » Avec réticence, il consent en 1876 à la formation des cabinets Dufaure et Jules Simon, dominés par les républicains.

Quand les mandements épiscopaux des évêques de Poitiers, Nîmes et Nevers, recommandant à la sympathie du gouvernement français le cas du pape captif Pie IX, sont suivis d'une résolution de la Chambre proposée par la gauche et demandant au Gouvernement de « réprimer les manifestations ultramontaines » (4 mai 1877), Mac Mahon, douze jours plus tard, demande à Jules Simon de démissionner, et constitue un ministère conservateur sous la direction du duc de Broglie ; il convainc le Sénat de dissoudre la Chambre, et fait un voyage à travers le pays pour assurer le succès des Conservateurs aux élections, tout en protestant qu'il ne désire pas renverser la République. C'est ce qu'on a appelé « le coup du 16 mai ». Cependant, les élections suivantes du 14 octobre donnent à la gauche une majorité de 120 sièges, et le ministère de Broglie démissionne le 19 novembre. Mac Mahon tente d'abord de former un gouvernement de fonctionnaires dirigé par le général de Rochebouët, mais la Chambre ayant refusé d'entrer en contact avec lui, Rochebouët démissionne dès le lendemain, et le président se voit contraint de rappeler Dufaure, à la tête d'un ministère de gauche. Il conserve son poste jusqu'en 1878, pour permettre la paix politique pendant l'Exposition universelle mais, les élections sénatoriales du 5 janvier 1879, ayant livré cette assemblée à la gauche, Mac Mahon, qui ne dispose plus d'aucun soutien parlementaire, préfère démissionner le 30 janvier 1879. Le républicain Jules Grévy lui succède huit heures plus tard.

Décès

Il meurt le 17 octobre 1893 au château de la Forêt, près de Montargis, après avoir entrepris la rédaction de ses mémoires. Il est inhumé le 22 octobre aux Invalides, après des obsèques nationales et une messe à l'église de la Madeleine. Les cinq cordons du char funèbre furent tenus par le général Février, grand-chancelier de la Légion d'honneur, l'amiral Henri Rieunier, ministre de la marine, le général Loizillon, ministre de la guerre, Monsieur Merlin du Sénat et Monsieur Malvy de la Chambre.

Citations

On a attribué à Mac Mahon un certain nombre de déclarations, dont plusieurs ne sont pas authentiques :

  • Le 8 septembre 1855, lors de la guerre de Crimée qui oppose la France et le Royaume-Uni à la Russie, Mac Mahon prend la position de Malakoff. On prétendit plus tard qu'il avait dit : « J'y suis, j'y reste ! », ce qui est faux[4].
  • Le 26 juin 1875, lors des terribles inondations de la Garonne, il se serait exclamé, dans les environs de Toulouse : « Que d'eau ! Que d'eau ! » et le préfet lui aurait répondu : « Et encore, monsieur le Maréchal, vous ne voyez que le dessus », ce qui fait douter que ces mots aient été prononcés[5].
  • « La fièvre typhoïde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l'ai eue.[réf. nécessaire] »

Décorations

  • Grand croix de la Légion d'honneur, grand maître de l'ordre es qualité, il est également chevalier de la Toison d’Or et grand croix de l’ordre du Bain britannique et de l’Aigle noir prussien.
  • Il totalise quatre blessures : en 1837, à la prise de Constantine, une balle perce son uniforme et égratigne les chairs ; en 1840, une balle lui enfonce la poignée de son sabre dans les côtes ; en 1857, à Ischeriden et enfin, grièvement le 1er septembre 1870, devant Sedan.

Annexes

Notes et références

  1. ou, par erreur, Mac-Mahon : « Il faut noter que l'usage ne mettait pas et ne doit pas mettre aujourd'hui un trait d'union entre Mac et Mahon. L'erreur vient du maréchal lui-même, qui signa souvent en mettant un trait continu entre les deux mots. Le Journal officiel interpréta cette liaison des lettres comme un trait d'union et l'habitude s'est prise d'écrire Mac-Mahon dans tous les actes officiels de l'époque, mais elle est erronée. », Gabriel de Broglie, Mac Mahon, Paris, Perrin, 2000, p. 17.
  2. Daniel Halévy, La Fin des notables, p. 248 (coll. Le Livre de Poche) : « Broglie, arrêtant la querelle toujours renaissante entre les orléanistes qui vantaient le duc d'Aumale et les légitimistes qui lui refusaient leur vote, avait proposé le maréchal de Mac-Mahon, honnête soldat qui avait traversé avec honneur les désastres de 1870 et qui, vainqueur de Paris en mai 1871, avait su trouver, rare mérite, des mots humains dans la guerre civile. Nulle méfiance n'existait contre lui. Orléanistes, légitimistes, bonapartistes, tous avaient promis leurs voix. C'était à l'insu du brave homme (non de sa femme), et il y eut là des traits de comédie. Mais Broglie se faisait fort de lui imposer comme un devoir l'acceptation de la charge où l'Assemblée l'aurait porté. »
  3. Mais ce n'est pas à lui qu'on doit le septennat, ce sont les députés qui l'ont voté, dans l'espoir que dans les sept années à venir le problème de la restauration serait résolu par le décès du comte de Chambord (« De grâce, si Dieu ne veut pas ouvrir les yeux de Monseigneur, qu'il les lui ferme », disait-on dans les milieux orléanistes)
  4. Gabriel de Broglie, Mac Mahon, Paris, Perrin, 2000, p. 75-76.
  5. Gabriel de Broglie, Mac Mahon, Paris, Perrin, 2000, p. 271.

Sources

  • Léon Laforge, Histoire complète de Mac-Mahon, maréchal de France, duc de Magenta (1808–1893) : D'après des documents originaux et des pièces officielles, Paris, Lamulle et Poisson, 1898.
  • Gabriel de Broglie, Mac Mahon, Paris, Perrin, 2000, 459 p. ISBN 2-262-01143-5
  • Txt CRY : DA SHD 6 Yd 57 vérification familiale auprès de Madame la duchesse de Magenta (Château de Sully)

Articles connexes

Liens externes

(en) « Patrice de Mac Mahon », dans Encyclopædia Britannica, 1911 [détail de l’édition] [lire en ligne]

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