Méobecq

Méobecq

46° 44′ 20″ N 1° 24′ 47″ E / 46.7388888889, 1.41305555556

Méobecq
La place centrale.
La place centrale.
logo
Administration
Pays France
Région Centre
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Canton Buzançais
Code commune 36118
Code postal 36500
Maire
Mandat en cours
Hubert Mousset
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Val de l'Indre - Brenne
Site web www.meobecqbrenne.com
Démographie
Population 365 hab. (2008)
Densité 10 hab./km²
Gentilé Méobécquois
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 20″ Nord
       1° 24′ 47″ Est
/ 46.7388888889, 1.41305555556
Altitudes mini. 110 m — maxi. 137 m
Superficie 35,56 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Méobecq est une commune française, située dans le département de l'Indre, en région Centre.

Sommaire

Géographie

Situation

La commune est située dans le centre du département dans la région naturelle de la Brenne au sein du parc naturel régional de la Brenne.

Hydrographie

L'Yoson.
L'Yoson.

La commune est arrosée par l' Yoson qui prend sa source à la fontaine de la Fontoison au sud de la commune non loin du village de la Fontoison.

Comme dans toute la Brenne, Méobecq a de nombreux étangs. Parmi les plus importants on peut citer l'Etang Clairaut, l'Etang de Baillaly, l'Etang de l'Egue Froide, l'Etang des Gaudières, l'Etang de Grand Epinay.

Hameaux de la commune

  • Les Caillonnets
  • Le Tertre Mondon
  • Le Cézal
  • Le Moulin de Baratte
  • Les Triboulets
  • La Brenne
  • Les Berthonneaux
  • Péviot
  • Bordebure
  • Mirebeau
  • Le Genêtière
  • Péviot
  • Le Mez
  • Les Boisbourdins
  • Les Caillats
  • La Tuilerie
  • Les Guerlets
  • Les Caduats
  • Les Clamarets
  • Les Bruyères
  • Les Clamarets
  • Les Bruyères

Communes limitrophes

Méobecq est situé[1] à environ :

Transports et voies de communications

Réseau routier

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 11, 14, 21 et 27.

Desserte ferroviaire

La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse, située à 22 km.

Bus

La commune est desservie par la ligne Q du réseau L'Aile Bleue.

Aéroport

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre situé à environ 31 km.

Sentier de randonnée

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays : Les Mille Étangs.

Histoire

Héraldique

Historique

Création de l’abbaye[2] :
Le monastère de Méobecq est fondé par saint Cyran, sous le règne de Dagobert (628-658). Il choisit de se retirer du monde et de fonder une communauté en Brenne, sur les terres de Méobecq. A l’époque, le pays doit être un véritable désert, couvert de brandes et de marécages, infesté de moustiques à cause des eaux stagnantes. Il s'entoure de quelques disciples, tous animés d'une solide foi. Ils défrichent tout en poursuivant leur quête religieuse. Ils construisent un premier monastère constitué sans doute de cabanes rustiques en bois, trouvé sur place et couramment utilisé alors. Saint Cyran leur impose la règle de saint Benoît, avant de quitter le monastère pour fonder un autre établissement à Saint-Cyran-du-Jambot[3].

L'église abbatiale.
L'église abbatiale.

Au Moyen Âge, l’abbaye, dont l’abbé, seigneur temporel, exerce le droit de haute, moyenne et basse justice sur sa terre, est devenue puissante et riche. Au temporel, dans les paroisses de Méobecq et de Neuillay-les-Bois, elle possède des domaines, des moulins, une vingtaine d’étangs, deux mille arpents de bois et autant de boisselets de brandes. Les revenus des dîmes, impôt ecclésiastique, payés en nature (grains, gibier, vin, etc.) sont si considérables qu'ils nécessitent pour les entreposer un vaste bâtiment appelé la grange des dîmes. Les revenus payés en livres, viennent grossir le trésor gardé par l’abbé ou son prieur. L’abbaye étend sa domination sur un grand nombre d’églises. Une bulle du pape Alexandre III, du 11 janvier 1174, dénombre 16 églises et 7 chapelles dans le diocèse de Bourges, 9 églises et 2 chapelles dans celui de Tours.

Le XVIe siècle marque un tournant dans l'histoire de l'abbaye dont les biens disparaissent. Depuis l’instauration du régime de la commende, ses abbés n’ont nul besoin d’être prêtres, ils perçoivent les bénéfices sans s’occuper de la vie spirituelle des moines et souvent résident au loin. C’est le début du déclin de l'abbaye. Les guerres de religion lui portent un coup supplémentaire : les troupes de Condé l'incendient et la dévastent. Des seigneurs huguenots l’occupent au début du XVIIe siècle et en accaparent les revenus ; ensuite, vont se succéder les abbés commendataires. En 1650, des ouragans provoquent l’écroulement du clocher qui, dans sa chute, endommage une partie de la voûte de l’église.

De 1651 à 1659, des réparations sommaires sont entreprises, un mur de façade, avec la date de 1658 inscrite au fronton de la porte, ferme la nef tronquée d’une moitié de sa longueur. À cette époque, il n’y a plus de vie communautaire pour les cinq moines qui vivent dans des maisons du bourg. L’abbaye n’existe plus en tant que telle, il ne s’agit plus que d'une châtellenie ecclésiastique, c'est-à-dire une propriété à revenus; ceux-ci vers 1660 ne sont pas, ostensiblement du moins, attribués à un personnage désigné.

Les abbés québécois de l'abbaye de Méobecq :
En 1663, Mgr François de Laval, évêque de Pétrée et vicaire apostolique de la Nouvelle-France, en attendant que soient réunies les conditions exigées par le Pape pour ériger Québec en évêché, est gratifié par le roi Louis XIV des abbayes d'Estrée au diocèse d'Evreux, de Bénévent, au diocèse de Limoges et de « l'abbaye de Maubec de l'ordre de saint Benoist, au diocèze de Bourges aprésent vaccante, (...) pour servir de revenu et de fondation audit évesché de Québec (Archives de l'évêché de Québec, I, n°11) ».

Lors de son second séjour en France, de 1671 à 1675, Mgr François de Laval demande à l'archevêque de Bourges d'enquêter sur son bénéfice. À Méobecq, le 12 janvier 1673, il signe avec les moines un traité par lequel les cinq religieux, titulaires de différentes charges, font remise de leur office, moyennant une rente viagère. Le 22 septembre 1673, René Dorsanne, lieutenant général au bailliage d'Issoudun, préside un procès-verbal de visite et d'information des bâtiments de l'abbaye; le rapport officiel conclut à la nécessité de démolir les bâtiments en ruine à l'exception d'un corps de logis que l'on peut soit achever de ruiner, soit louer.

Le nef centrale de l'abbatiale.
Le nef centrale de l'abbatiale.

Le 26 mars 1674, le roi donne lettres patentes portant démolition des bâtiments inutilisables à l'exception de ceux nécessaires pour servir d'église de paroisse. En 1675, le vicariat apostolique de la Nouvelle-France est érigé en évêché. Le 1er octobre de la même année, Mgr de Laval est nommé évêque du nouveau diocèse de Québec. Son séjour en France se termine après avoir obtenu du roi la ratification de l'accord passé avec les moines et les bénéfices de sept anciens prieurés dépendants de Méobecq. Les années suivantes, contestations et procédures se multiplient, et, devant les difficultés auxquelles il se heurte pour percevoir les revenus de l'abbaye, il nomme un procureur, l'abbé Jean Dudouyt, qu'il envoie à Paris pour rétablir l'ordre.

En 1688, en résignant son siège, François de Laval perd sa qualité d'abbé commendataire. Le titre passe alors à son successeur Jean-Baptiste de la Croix de Saint-Vallier, consacré évêque de Québec le 25 janvier 1688. Une bulle du pape Clément XI, datée de Sainte-Marie-Majeure, le 4 août 1706, décrète l'union de Saint-Pierre de Méobecq à l'évêché de Québec au Canada. François de Laval meurt à Québec le 6 mars 1708 en réputation de sainteté à l'âge de 86 ans. En 1735, une sentence de l'official de Bourges porte extinction et suppression de l'abbaye et la réunion de ses revenus au chapitre de Québec. L'abbaye a cessé d'exister, mais on persiste à attribuer le titre d'abbé commendataire en témoignage du passé et pour indiquer l'origine des revenus. Après Mgr de Saint-Vallier et jusqu'à environ 1780, ce sont les procureurs envoyés par le chapitre de Québec qui sont abbés de Méobecq : Picard en 1718, puis Pierre Hazeur de l'Orme en 1743 et enfin Joseph Marie de la Corne de Chapte en 1757.

Sous le régime anglais, le chapitre de Québec disparaît et il faut attendre la Restauration pour que le séminaire de Québec envoie en France l'abbé Jean Holmes poursuivre les démarches pour tenter d'obtenir un règlement avantageux sur les biens de France, mais en vain car, en 1845, un règlement met un terme définitif au lien qui unissait l'église de Québec à l'abbaye de Méobecq.

Administration

Maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Daniel Lepage    
2008 en cours Hubert Mousset[4]   Technicien
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Services publics

La commune dispose des services suivants :

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Méobecq comptait 365 habitants (soit une stagnation de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 19 945e rang au niveau national, alors qu'elle était au 18 944e en 1999, et le 130e au niveau départemental sur 247 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Méobecq depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[5], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[6]. Pour Méobecq, le premier recensement a été fait en 2007[7], les suivants étant en 2012, 2017, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Méobecq, est une évaluation intermédiaire[8].

Le maximum de la population a été atteint en 1891 avec 831 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 535 516 488 568 599 657 658 671 731
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 733 664 726 704 697 765 787 831 795
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 802 742 750 626 615 591 544 519 516
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 501 482 443 439 402 362 366 366 365
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[9], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[10],[11]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (29,3 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 51,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,5 %, 15 à 29 ans = 10,1 %, 30 à 44 ans = 22,3 %, 45 à 59 ans = 21,8 %, plus de 60 ans = 29,2 %) ;
  • 48,6 % de femmes (0 à 14 ans = 16,9 %, 15 à 29 ans = 12,4 %, 30 à 44 ans = 14,6 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 35,4 %).
Pyramide des âges à Méobecq en 2007 en pourcentage[12]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90  ans ou +
1,7 
9,0 
75 à 89 ans
18,5 
20,2 
60 à 74 ans
15,2 
21,8 
45 à 59 ans
20,8 
22,3 
30 à 44 ans
14,6 
10,1 
15 à 29 ans
12,4 
16,5 
0 à 14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département de l'Indre en 2007 en pourcentage[13]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
90  ans ou +
1,8 
9,1 
75 à 89 ans
13,3 
16,5 
60 à 74 ans
17,2 
22,0 
45 à 59 ans
20,5 
19,8 
30 à 44 ans
18,4 
15,5 
15 à 29 ans
13,8 
16,6 
0 à 14 ans
15,1 

Économie

Enseignement

La commune possède[14] une école élémentaire publique (Fontaine de Méobrenne).

Sport

Lieux et monuments

La première église abbatiale de Méobecq a été fondée par saint Cyran vraisemblablement sur ordre du roi Dagobert au VIIe siècle, mais l'église actuelle date du XIe siècle. Grâce à une vieille charte qui a été conservée, nous savons que l'église a été consacrée le samedi 3 septembre 1048.

L'abbaye de Méobecq fut pillée et incendiée au XVIe siècle lors des guerres de religion, notamment au passage de l’armée de Condé.

Au XVIIe siècle, il ne restait pratiquement plus rien du prestigieux domaine et la communauté fut supprimée.

Subsistent aujourd'hui l'église abbatiale Saint-Pierre, quelques maisons et un tronçon du mur d'enceinte. L'église a conservé son abside romane, de très beaux chapiteaux à feuillages et animaux ainsi qu'un ensemble de fresques de la fin du XIe siècle. L'abbaye fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques dès la liste de 1840.

Activités festives

Personnalités liées à la commune

Notes et références

  1. La distance entre la commune et : la préfecture, le chef-lieu d'arrondissement et le chef-lieu du canton avec Mappy.fr.
  2. Commissionfranco-québécoise sur les lieux communs d’histoire .
  3. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 18.
  4. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture de l'Indre.
  5. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
  6. INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009.
  7. Calendrier des recensements des communes du département de l'Indre sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 21 août 2011.
  8. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 21 août 2011.
  10. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 21 août 2011.
  11. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 21 août 2011.
  12. Évolution et structure de la population à Méobecq en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 août 2011.
  13. Résultats du recensement de la population de l'Indre en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 août 2011.
  14. Site officiel de l'inspection académique de l'Indre.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Bibliographies

  • Christian Auclair, « Des abbés québécois pour l'abbaye de Méobecq », dans Bulletin du Groupe d'Histoire et d'Archéologie de Buzançais, n°10, 1978, p. 97-106.
  • Gilles Boizeau, « Quand le Berry construisait le Québec », dans La Bouinotte, le magazine du Berry ,n° 90, 2003, p. 8-15.
  • Gilles Bureau, « Méobecq sous l'épiscopat de François de Laval (1658-1688) »,dans Revue Québec-France,été 2006, p.20-21.
  • Zoé Darsy, « Méobecq. Souvenirs d'une abbaye bénédictine en Bas-Berry », Notice de l'Association de Sauvegarde du Patrimoine de Méobecq, Méobecq, 2002.
  • Carole Demay, L'abbaye de Méobecq et ses abbés québécois, Mémoire de maîtrise, Université de Limoges. Archives de l'Indre, n° 8, 1993.
  • Constantin Gaudon, Histoire des abbayes royales de Méobecq et de St-Cyran, Châteauroux, A. Majesté, 1888.
  • Eugène Hubert, « Le Bas-Berry, Histoire et Archéologie du Dép. de l’Indre, Canton de Buzançais », Paris, A. Picard & fils, 1908, p. 489-518.
  • Abbé E. Lamy, « Notes sur la Brenne, sur la paroisse et l’église de Méobecq », Archives de l’archevêché de Bourges, Manuscrit sans cote, vers 1865, p. 109-114.
  • Abbé E. Lamy, « L'abbaye et la paroisse de Méobecq depuis l’origine jusqu’à nos jours », dans Bull. Soc. Académique du Centre, 1896, p. 42-114.
  • Henri Stein, « La dédicace de l’église de Méobecq en 1048 » dans Mém. Soc. des Antiquaires de France, 1904, p. 417-428.
  • Yves Christe, « Le cavalier de Méobecq » dans Bull. Archéologique, 12-13, 1976-1977, fasc. A, p. 7-17.
  • Jean Favière, Berry roman, Saint-Léger-Vauban, Zodiaque, 1970, p. 271-273.
  • Michel Maupoix, Peintures murales de l’Indre : de la couleur au symbole révélé, Châteauroux, 2004.
  • Éliane Vergnolle, « Méobecq et Saint-Benoît-sur-Loire : problèmes de sculpture », dans Cah. d’Arch.et d’Hist. du Berry, n°62, 1980, p.71-73.
  • Éliane Vergnolle, « L’ancienne église abbatiale de Méobecq » dans Cong. Arch. Bas-Berry, 1984.
  • Éliane Vergnolle, « Peinture et architecture : l’ancienne église abbatiale de Méobecq », Cahiers de l'inventaire n°15, Malherbes, 1988, p.13-19.
  • Émile Bégin, François de Laval, Québec, 1959.
  • Carole Demay, « L’abbaye de Méobecq et ses abbés québécois (du milieu du XVIIe s. au milieu du XVIIIe s.) » dans Bull. du service éducatif des Archives départementales de l’Indre, no 2, Châteauroux, 1993, p. 5-9.



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