Adam

Adam
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La Création d'Adam par Michel-Ange, plafond de la chapelle Sixtine, au Vatican.

Adam est, dans la Genèse, le premier homme et le compagnon d'Ève. Il mourut à l'âge de 930 ans (Genèse : 5-5). La religion juive, l'Église catholique et l'Islam continuent d'enseigner officiellement[1] l'existence d'un premier homme, Adam. La plupart des scientifiques défendent aujourd'hui la théorie de l'évolution, et soutiennent que la notion d'existence d'un premier homme n'a pas de sens.

Sommaire

Le récit biblique

Selon la Bible, au livre de la Genèse, Adam (en hébreu "אדם", du mot "אדמה", la terre), est le premier homme et a été créé par Dieu lors du sixième jour de la Création. Ève fut créée à partir d'une côte d'Adam (Genèse 2:21,22). Le premier couple fut placé par Dieu dans le jardin d'Éden.

Adam et Ève d'Albrecht Dürer, 1507

Or, Dieu avait interdit la consommation du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, mais le Serpent (Nahash en hébreu) tenta Ève qui mangea du fruit défendu et en donna à Adam qui en mangea à son tour. L'origine du péché originel[2] est cette faute commise par ces premiers humains, faute qui cause leur expulsion de l'Éden.

En termes de généalogie biblique, le récit attribue d'abord trois fils à Adam et Ève : Caïn, Abel et Seth, puis de nombreux autres enfants (genèse 5;v4). Selon des légendes juives non mentionnées dans la Bible hébraïque, Adam connut Lilith avant de connaître Ève.

La suite du livre de la Genèse raconte que, neuf générations après Adam et Ève (Genèse : 5-6 à 5-29), l'humanité née du premier couple a disparu sous le déluge, à l'exception de Noé et de sa famille (sa femme, ses fils Japhet, Sem, Cham et leurs femmes), à qui Dieu a confié la tâche de refonder l'humanité. Ainsi Noé est-il, selon la Bible, le plus récent ancêtre commun à toute l'humanité.

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Enfant de :
(Création de Dieu)
Adam
(Env. -5500 selon la LXX
Env. -4000 selon le TM
Mort 930 ans plus tard)*

mari de Ève
Parent de :
Caïn
Abel
Seth

Origine du nom d'Adam

L'Ombre ou Adam (1902) par Auguste Rodin, 1840-1917, Musée des Beaux-Arts de Lyon, France
Adam par Antoine Bourdelle, 1861-1929, Préfecture de Kōbe Japon

L'explication populaire, qui le fait venir d'Adama (ʾĀḏāma), ne tient pas compte du mode de formation des mots de la langue hébraïque : du plus court au plus long, parallèlement à l'élaboration des notions. C'est donc Adam qui donne Adama et pas le contraire. Dans le texte, la terre n'est nommée adama qu'après la formulation par Dieu du projet de faire Adam. Auparavant, elle s'appelle aretz.

Le midrash propose plusieurs commentaires sur le nom Adam

  1. ADAM, c'est ED (l'Ed, siège de la terre) et DAM (le sang, siège de l'âme)
  2. ADAMA, c'est ADAM MA, l'homme-quoi, l'homme qui pose des questions
  3. ADAM, c'est ADAMA (la terre) et EDAME (je ressemblerai, Isaïe 14:14). C'est celui qui peut s'élever si haut qu'il devient à la ressemblance de Dieu, et descendre si bas qu'il est plus bas que le végétal, voire le minéral.
  4. Il existe un notarikon d'ADaM, Abraham, David, Messie (Avraham David Mashia'h)

Du mot Ed est dérivé ADeret (la cuirasse), ADon (le dominateur), ADir (le fort). En clair, Ed est indice de l'énergie vitale. D'Ed vient Adam, bien sûr, mais aussi Adom (rouge), le rouge étant la couleur la plus vive.

Une autre hypothèse sur l'étymologie d'Adam provient des tablettes d'Ougarit. Ces tablettes révèlent qu'en langue ougaritique, l'humanité se dit "adm" qui aurait donné en hébreu "Adam", le premier homme.

Au début, Adam représente le mâle et la femelle (Dieu créa Adam à Son image, à l'image de Dieu Il le créa, mâle et femelle Il les créa).

Adam dans l'islam

Le Coran donne une version de l'histoire d'Adam, avec la sourate Al-Baqara. Créé par Dieu en lui donnant l'image la plus harmonieuse parmi ses créatures, à partir de Terre glaise (salsal), Adam reçoit la connaissance des noms de toutes choses et de sa future progéniture (Al-Baqara, 28-31).

Être comblé de la création, avantagé par l'aptitude au savoir et de l'apprentissage Adam après avoir reçu l'enseignement de la part de Dieu, a su dénommer d'autres créatures, tandis que les anges, n'en étant pas enseignés par Dieu n'arrivèrent pas à le faire. Dieu déclara à ce sujet qu'il savait ce qu'ils (les anges) ne sauraient savoir. Ainsi les anges et Iblis (il avait un statut d'ange auprés de Dieu bien qu'il était un Djinn d'où sa désobeissance car les Anges obéissent strictement à Dieu ) reçurent l'ordre de s'incliner devant Adam pour le saluer, ils s'y appliquèrent, à l'exception d'Iblis (Satan) parmi les djinns, qui s'enfla d'orgueil en arguant le fait qu'il était fait de matière plus noble que la terre (le feu) dont est fait Adam, il désobéit aux ordres du Seigneur et refusa de s'incliner, il fut compté depuis, comme infidèle parmi les serviteurs du Seigneur et chassé à jamais de Sa miséricorde. Iblis (Satan) jura pour l'avoir maudit d'œuvrer à faire désobéir Adam et sa progéniture les recommandations du seigneur par la tentation.

Adam habitait au début dans le jardin d'Éden avec sa femme Ève, créée à partir d'une côte de son flanc gauche selon certains récits. Ils désobéirent au commandement divin et mangèrent le fruit de l'arbre interdit. Dieu pardonna à Adam son acte dû à sa nature de faiblesse envers les tentations de Satan et de la caractéristique de l'oubli avec laquelle il a été naturellement conçu, il reçut des paroles de Dieu et fut pardonné en contrepartie de ces mots acceptés par Adam à l'issue desquels il fut sorti avec Iblis (Satan) du Paradis et descendu par les anges vers la terre pour y vivre lui et sa progéniture en ennemis avec Iblis, en qualité de nouveau maître de la terre, comme il fut annoncé au début par Dieu aux anges.

Tradition

Premier homme et prophète ainsi que père de l'humanité. Il est cité comme héritier de la terre...après les djinns. (le sens du vrai mot "Khalifa" cité dans le Coran - c.f. sourate al Baqara verset 30 à 34 -, le mot héritier est à utiliser avec précaution: La signification du mot Khalifa est extrêmement liée à la notion de "confier aux humains la faculté de juger des différents juridiques qui les opposent" sur Terre, bien entendu selon la loi et la justice dictées par Dieu).

Selon l'exégète d'islam Ibn Kathir dans son ouvrage « Contes de prophètes » la terre a été peuplée avant Adam de djinns une autre espèce de créatures non terriennes anéanties par les guerres et les destructions dont fut rescapé un de leur illustre savant et chef : Iblis (Satan)]....'. Notons que cette théorie n'a jamais été confirmée ni fait l'unanimité des scientifiques et théologiens de l'Islam. Selon la majorité de ces théologiens (c'est-à-dire tous sauf Ibn Kathir), La Terre n'a été habitée pour la première fois que par Adam et sa progéniture. Les djins et Iblis l'ont habité en même temps qu'Adam quand ils ont été exclus de l'Eden.

Dans la Loi d'Adam, il était permis au frère d'épouser sa sœur née d'un autre accouchement pour que la descendance des humains puisse se propager sur terre (ce qui a changé plus tard). Aussi Ève donnait le jour à chaque accouchement à un garçon et à une fille ; quarante fois dans sa vie

Adam dans diverses conceptions théologiques

Les Bahá'ís voient en Adam le prophète de Dieu (le terme utilisé est « manifestation de Dieu ») le plus ancien selon l'Histoire connue, et n'excluent pas la possibilité de prédécesseurs oubliés[3]. Adam a débuté le cycle adamique, un sous-ensemble de la révélation progressive, il y a 6000 ans, qui a culminé avec Bahá'u'lláh[4] L'histoire biblique d'Adam et Ève est allégorique, selon l'explication de Abdu'l-Bahâ[5].

Dans l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, la narration biblique d'Adam et Ève y est considérée en partie littérale et en partie symbolique, avec explications dans le Livre de Moïse[6] et dans le Livre de Mormon[7]. Dans Doctrine et Alliances, Adam est nommé l'archange Michaël (27:11 et 107:54).

Chez les Druzes, Adam représente l'esprit universel et Ève l'âme universelle, « les parents spirituels d'où les âmes Adamiques détiennent leurs identités »[8].

Les historiens francs-maçons ont affirmé qu'Adam et Ève étaient les premiers francs-maçons de l'histoire [9]. Selon ce récit, Adam avait fait bâtir une loge dont Ève avait été exclue car elle était une femme. Ces thèmes sont représentés dans les écrits de Martines de Pasqually, Claude de Saint-Martin et Willermoz. Il y aussi la légende d'Adam Kadmon, qui est une figure du courant rosicrucien. Le rite de York, certains Vénérables du 28e degré prennent le nom d'Adam. Ce récit maçonnique ressemble à celui des musulmans en un point : la croyance en une religion adamique, quelle qu'elle soit.

Le récit confronté à la science

Aspect scientifique

Le récit d'Adam, quelle que soit son origine, se base sur le concept du premier homme et s'oppose donc directement à la théorie de l'évolution. La théorie créationniste rejoint les conceptions de Platon et d'Aristote sur la préséance des idées (théorie des Idées), et la rationalité du réel, qui est la base de la Science. Lorsque Darwin publia en 1860 son livre De l'origine des Espèces en 1859, il souleva un tollé général et l'Église éleva les protestations les plus vives. Il publia en 1871 le livre The Descent of Man and Selection in Relation of Sex traitant de la généalogie de l'Homme, où il conclut que les hommes et les singes descendent d'un ancêtre commun, ce qui est à l'opposé du récit de la Bible[10].

Article détaillé : Créationnisme.

Cette théorie de l'évolution humaine est majoritairement acceptée par l'Église catholique, situant Adam dans un monde symbolique [réf. nécessaire], où il représente le passage du préhumain à l'humain, au moment où les premiers hommes prennent conscience qu'ils sont d'une autre nature que l'animal (Adam faisant défiler les animaux devant lui n'y trouve pas une compagnie qui lui soit associée), que certains actes leur sont « défendus ».

La théorie de l'évolution de Darwin, comme le récit de la Bible, inclut la notion d'ancêtre commun (titre auquel Noé et son épouse aussi bien qu'Adam et Ève peuvent prétendre dans la Bible), puisque l'évolution d'une espèce repose sur le principe qu'une qualité (on ne parlait pas de gènes à l'époque) est apparue sur un individu, le rendant plus apte à la survie ou à la reproduction, et que la propagation de cette qualité va déterminer un nouveau groupe. Tous les membres de ce groupe ont donc au moins cet individu comme ancêtre commun. La génétique a complété la théorie de Darwin. Nous savons aujourd'hui que les mutations se produisent, toujours chez un seul individu mâle ou femelle, précisément dans les cellules germinales, et tous les autres représentants de l'espèce concernée descendent de lui. L'étude de la généalogie des espèces s'appelle la Phylogénie.

Article détaillé : Évolution (biologie).

De fait, chacun des gènes du bagage génétique humain correspond à un individu, mâle ou femelle, qui les a ensuite propagés à toute l'espèce. Par exemple, il y a 99% de gènes communs entre l'homme et le chimpanzé[11], ce qui signifie que nous avons une proportion significative d'ancêtres communs avec des espèces vivantes non-humaines. Une petite partie de l'ensemble de nos ancêtres communs se trouvent dans les groupes des premiers humains, dont les hommes modernes.

Le monophylétisme de l'espèce humaine est bien démontré. L'espèce Homo sapiens (l'homme moderne) est née de la souche Homo erectus à la fois par mutation, et par sélection naturelle, qui a survécu, il y a environ 200 000 ans, quelque part en Afrique. Le peuplement de la Terre aurait commencé il y a 50 à 100 000 ans à partir de là[12]. En condamnant ce qu'elle nomme le "polygénisme" , l'Église catholique a rejoint Darwin.

Rappelons que l'Homo sapiens ne descendrait absolument pas de l'Homo neandertalensis son cousin, une espèce qui se serait éteinte, il y a environ 28 000 ans, sans laisser de postérité. Rappelons également que la séparation phylétique entre les simiens (quadrupèdes) et les Hominini (bipèdes) ancêtres de l'homme moderne, remonte à quelque 5 à 7 millions d'années. Aucun croisement n'est possible entre ces deux lignées. Cette théorie est cependant remise en question par certains scientifiques, notamment Svante Pääbo, il semble que les Européens et les Asiatiques ont eu des ancêtres Néandertal, même si les cas de métissages ont semble-t-il été rares.

Articles détaillés : Évolution humaine et Préhistoire.

Certains chercheurs se sont intéressés, grâce à la génétique, à identifier des ancêtres communs. Le professeur Richard Dawkins s'est intéressé à ce thème de d'ancêtre commun à toute l'humanité. Allan Wilson et ses collègues de l'université de Berkeley, ainsi que le généticien anglais Bryan Sykes ont fait des recherches sur l'ADN mitochondrial, qui n'est transmis que par la mère. Ces recherches ont permis d'identifier plusieurs ancêtres communs femelles, qu'ils ont appelées Ève mitochondriale par association d'idée avec la Genèse. L'Ève mitochondriale aurait vécu en Afrique il y a environ 150 000 ans[12], et est une (parmi d'autres) des ancêtres communes à toutes les femmes. Un groupe de sept autres a été identifié (appelées « Les sept filles d'Ève ») dont il est établi que chaque femme actuelle descend d'au moins l'une d'entre elles[13].,[14]

Des recherches sur le chromosome Y ont permis d'identifier un ancêtre masculin à tous les hommes. Cet individu, le plus récent ancêtre patrilinéaire commun, appelé Adam chromosome Y, vivait aussi en Afrique, et daterait seulement de 39 000 ans environ.

Mais ni cette Ève mitochondriale, ni cet Adam chromosome Y (qui n'ont pas vécu à la même époque), ne sont l'Adam et l'Ève de la Bible car ils étaient chacun enfant de deux parents de la même espèce, membre de leur espèce et de leur groupe social, au sein duquel chacun s'est accouplé avec un membre de son espèce qui avait des parents distincts.

Ils ne furent pas les premiers Homo sapiens ni les plus anciens humains ou plus anciens ancêtres communs humains. Leur position dans l'arbre généalogique humain est celle du plus récent ancêtre commun par lignée maternelle pure (pour l'Ève mitochondriale) et par lignée paternelle pure (pour l'Adam chromosome Y).

Article détaillé : Ève mitochondriale.

Point de vue actuel de l'Église Catholique

Comme il a été dit avec des références à Paul VI et Jean-Paul II, l'Église Catholique et son chef Benoît XVI[15] continuent d'enseigner, et de considérer comme une "vérité de Foi", l'existence d'un premier homme, duquel nous descendons tous. Bien que toutes les "vérités définies de Foi" soient importantes et intangibles, celle-ci joue un rôle important, car sans elle on ne peut comprendre la doctrine relative au péché originel, et par voie de conséquence la doctrine de la Rédemption.

Pour l'Église, l'homme étant doué d'une âme immortelle, contrairement aux animaux, il n'est pas possible de passer progressivement de l'absence d'une âme immortelle à la présence d'une âme immortelle. Il a fallu un saut considérable, qui ne peut être que l'intervention de Dieu. Comment cette intervention s'est passée, l'Église ne le précise pas : on est libre de penser que Dieu a pu créer de toutes pièces l'homme, ou bien utiliser un ou des êtres vivants[16].

L'Église Catholique ne s'oppose pas forcément à toutes les théories de l'évolution, restant sauf la manière dont Dieu a construit le monde[17]. Elle déclare que Dieu est le seul créateur, qu'il a créé le monde par amour, mais que l'esprit ne peut pas être le fruit d'une évolution de la matière[18].

Le pape Benoît XVI a résumé le point de vue de l'Église catholique en avril 2007 : le christianisme croit en « la raison créatrice au début de tout et principe de tout ».

L'Homme n'est pas le fruit du hasard

Pour l'Église, le principal enseignement du récit de la Création est que l'Homme est une créature divine. La façon dont Dieu a opéré pour créer l'Homme est secondaire et sa présentation dans la Bible ne pouvait être qu'allégorique.

En la matière, la manière dont Dieu a procédé est l'objet de la science, que la création de l'Homme soit le fruit d'une volonté divine est celui de la foi.

L'Église catholique rejette la seconde option possible, celle de « la priorité de l'irrationnel selon laquelle tout ce qui fonctionne sur la Terre et dans nos vies serait seulement occasionnel et un produit de l'irrationnel et affirme que "chacun de nous est le fruit d'une pensée de Dieu" ». Cette prise de position ne contredit pas la théorie de l'évolution, mais refuse que cette théorie dicte la vision que l'on doit avoir de l'individu[19].

Notes et références

  1. Voir par exemple le Credo du peuple de Dieu de Paul VI, § 16, Motu proprio du 30 juin 1968, disponible (en anglais, espagnol, italien, latin, portugais) sur le site du Vatican : http://www.vatican.va/holy_father/paul_vi/motu_proprio/documents/hf_p-vi_motu-proprio_19680630_credo_en.html ; ou encore le message de Jean-Paul II pour Noël 2000 : http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/messages/urbi/documents/hf_jp-ii_mes_20001225_urbi_fr.html
  2. Essentiellement des christianismes occidentaux dont le catholicisme romain, à la différence des christianismes orientaux
  3. (en) Adib Taherzadeh, The Covenant of Bahá'u'lláh, Oxford, George Ronald, 1972 (ISBN 0-85398-344-5), p. 32 
  4. Lettre écrite au nom de la Maison Universelle de Justice, adressée à un croyant, le 13 mars 1986. Publiée dans (en) The Universal House of Justice; Hornby, Helen (Ed.), Lights of Guidance: A Bahá'í Reference File, New Delhi, Bahá'í Publishing Trust, 1983 (ISBN 81-85091-46-3) [lire en ligne], chap. XLI (« Prophets - Manifestations of God »), p. 501 
  5. Laura Clifford Barney (trad. Hippolyte Dreyfus), Les leçons de Saint-Jean-d'Acre [« An-Núru'l-Abba fi-Mufavadat Abdu'l-Bahá »], Paris, Presses universitaires de France, 1982, 315 p. (ISBN 2-13-037588-X) [lire en ligne], partie II, chap. XXX 
  6. Perle de Grand Prix, Moïse 3-5
  7. 2 Nephi 2
  8. (en) The Night of Departure from Eternity, Gnosis of the Book of Life, Druzenet, 2005. Consulté le 2008-01-04. « Adam and Eve stand for The Wholly Mind and The Wholly Soul – the spiritual parents from where Adamic souls derive their identities. »
  9. Origines de la Franc-Maçonnerie D'après Ch. Bernardin du Grand Orient
  10. Jostein Gaarder, Sofies Verden « Le Monde de Sophie », 1991
  11. "Nature", citée dans : Futura Sciences [lire en ligne]
  12. a et b James Shreeve, « L'Épopée de l'Humanité », dans National Geographic France, François Marot (dir.), n°78 (03/2006)
  13. Les sept filles d'Ève, par Bryan Sykes, Albin Michel, 2001
  14. La malédiction d'Adam, par Bryan Sykes, Albin Michel, 2003
  15. http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/audiences/2008/documents/hf_ben-xvi_aud_20081203_fr.html
  16. Par exemple faire qu'un croisement entre deux espèces de pré-hominiens proches produise un bébé humain, ou bien prendre un pré-hominien adulte très évolué et lui accorder un passage au statut d'homme parfait, avec un esprit désormais capable de prendre conscience des réalités morales ou de l'existence de Dieu. Encore une fois, cela n'est pas précisé par cet enseignement. Voir Pie XII, Encyclique Humani Generis, http://www.vatican.va/holy_father/pius_xii/encyclicals/documents/hf_p-xii_enc_12081950_humani-generis_fr.html , ou Denzinger-Bannwart 3027.
  17. http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/pcb_documents/rc_con_cfaith_doc_19480116_fonti-pentateuco_fr.html
  18. http://www.hominides.com/html/theories/jean_paul_evolution.php
  19. Le Figaro – Actualité en direct et informations en continu.

Annexes

Bibliographie

Articles connexes


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