Tourisme en Pays de Savoie

Tourisme en Pays de Savoie

Tourisme en pays de Savoie

Apparu dès le XVIIIe siècle, le tourisme en Savoie est devenu l’une des principales activités durant les saisons tant hivernales qu'estivales, avec une prééminence de la montagne (160 stations de sport d'hiver, 60% du tourisme hivernal en France), mais aussi en vallée aux bords des lacs (Annecy ; Bourget ; Léman ; Aiguebelette) et dans ses stations thermales (Aix-les-Bains, Évian).

Rives du lac d'Annecy vues depuis le sommet de la Tournette

Sommaire

Histoire du tourisme en Savoie

Naissance du tourisme

La Savoie, à partir du XVIIIe siècle, devient une destination majeure du Grand Tour des aristocrates Anglais. En 1741, William Windham (1697-1761) et Richard Pococke (1704-1765) découvrent les glaciaires de Chamouni[1]. Leurs récits parcourent les salons londoniens et parisiens. La vallée de l’Arve et surtout le site de Chamonix deviennent la destination phare de ce tourisme naissant. Il faut attendre 1786, pour que le guide Jacques Balmat et sa cordée atteigne le mont Blanc[2], dès lors Chamonix devient la capitale mondiale de l’alpinisme.

Hormis ce passage au cœur même des Alpes, le tourisme reste limité au fond de vallées et principalement aux villes lacustres autour des lacs du Léman (Genève, Thonon-les-Bains, Évian-les-Bains, du Bourget (Aix-les-Bains) et d’Annecy.

Il faut attendre la fin des années cinquante pour que le tourisme de masse pénètre les vallées intra-alpines savoyardes, jusqu’à ses sommets.

Le thermalisme

Le thermalisme savoyard est l’héritière de la romanisation. Quelques cités ont su réactiver à partir du XVIIIe siècle leur potentiel thermal comme Aix-les-Bains près du Lac du Bourget (dont le toponyme provient du latin Aquae Gratianae, ce qui signifie "les eaux de l'empereur Gratien"), ou encore quelques sites en Tarentaise (La Léchère, Brides-les-Bains).

Le phénomène de cure bénéficie de la médicalisation de la fin du XXe siècle. Les villes d’eaux offrent un panel d’activités alliant repos et découverte du milieu montagnard à l’élite européenne. La fréquentation des thermes d'Aix-les-Bains s'accroît à partir de 1876, avec la connexion ferroviaire avec la France (1858) et surtout l'ouverture du Tunnel ferroviaire du Fréjus en 1871 qui la relie avec l'Italie[3]. On estime à 100 000 touristes en 1895 profitant des eaux[4]. Dans un premier temps, les villes d’eaux des Préalpes bénéficient des premiers séjours.

La promotion des différents sites tient surtout à la présence de l’aristocratie européenne. Aix-les-Bains reçoit la reine Victoria (en 1886-8e et 1890), l’empereur Pedro II d’Alcantara du Brésil (1888), Georges Ier de Grèce (de 1889 à 1912), Wihelmine des Pays-Bas (1896) ou Léopold de Belgique[5]. Évian-les-Bains reçoit l’autorisation prendre l’appellation "les Bains" en 1865[6], officialisant une pratique apparue quelques décennies plus tôt en lien avec le développement des transports (. Thonon-les-Bains profite, elle aussi, de ce mouvement, de même que la petite station de Challes-les-Eaux en périphérie de Chambéry.[4]. Puis les curistes deviennent moins réticents en s’aventurant dans les villes plus à l’intérieur des Alpes, se rapprochant de la montagne. La première à bénéficier de ces touristes est Saint-Gervais-les-Bains sur la route menant à Chamonix et du mont Blanc. Cette dernière se développe depuis 1806 avec la découverte de sources par le notaire Joseph-Marie Gontard[7]. La Vallée de la Tarentaise possède, elle aussi, plusieurs sites à La Léchère (premier établissement ouvert en 1897), Salins-les-Thermes, Brides-les-Bains (à partir de 1819).

Rapidement ces villes s’équipent de théâtres, de casinos afin d’attirer à eux l’élite européenne. Ainsi celui d’Évian-les-Bains, construit par l’architecte Ernest Hébrard, fait dire à J.-M. Marquis qu’il ressemble à une "ahurissante réplique de Sainte-Sophie de Constantinople… le somptueux volume dilaté de sa coupole avec ses nervures soulignées de guirlandes de feuillages évoque les fastes d’une Byzance acclimatée aux fraîcheurs lémaniques"[4].

Les sports d'hiver

Le tourisme alpin dérive de l’élan pour l’alpinisme débuté à Chamonix à la fin du XVIIIe siècle. Quelques hôtels-chalets sont construits (col de la Vanoise, inauguré par Félix Faure en 1897[8]), de même que quelques refuges (l'observatoire Vallot associé à un refuge, 1892[9],[10], refuge des Grands Mulets, 1897). Le véritable essor de ce tourisme d’hiver prend naissance avec le ski. Il faut rappeler que la présence de pentes et de neiges ne garantissent pas le ski, comme tout phénomène social, le ski est né de la volonté de quelques acteurs extérieurs ou locaux.

La venue des tourismes est désormais garantie par le développement du chemin de fer et l’activité des stations thermales. Le développement du ski à la fin des années 1880 et la création des premières pistes de ski dans les Alpes (Saint-Moritz en Suisse) permet le développement des premières stations de ski à partir de villages notamment Chamonix, Megève (station lancée par une journaliste sportive et la Baronne Noémie de Rothschild en 1921) ou encore Pralognan-la-Vanoise.

Les premiers Jeux Olympiques d'hiver ont lieux à Chamonix en 1924, toutefois pas encore de ski alpin. Mais les premières stations hivernales émergent déjà.

Les stations savoyardes se développent en quatre temps qui permettent de distinguer différents types de stations[11], selon les acteurs engagés : entrepreneurs locaux, Etat ou promoteurs privés :

  • Les stations dites de "premières générations", c’est-à-dire des stations touristiques développées autour d’un village pré-existant, à une attitude de 900-1200m, apparaissent en Savoie : Le Revard (proximité de Chambéry et Aix-les-Bains), Morzine (Chablais), Megève (Val d'Arly), en Tarentaise, Val-d'Isère, Pralognan-la-Vanoise, Saint-Bon, Peisey-Nancroix, Les Avanchers ou encore Bozel, un peu plus tard Méribel (1938). Il s'agit donc de villages de villégiature hivernal généralement accueillant des touristes l'été. Il faut tout de fois attendre le deuxième temps de développement pour voir ces villages proposer des pratiques de sport d’hiver. Le souci de ces premières stations est un enneigement aléatoire dû à l’altitude peu élevé, ainsi que des pistes traversant des bois. Par ailleurs, les principaux clients de ces stations, l'aristocratie européenne, est fortement touchée par la Première guerre mondiale. La création des congés payés en 1936 permet un nouvel essor.
  • Les collectivités locales s’intéressent à ce nouvel essor d’un tourisme hivernal. Les autorités régionales lancent des programmes de stations de ski créées ex-nihilo, à une hauteur plus élevée, au niveau des alpages (1600-1800m). On les appelle stations de deuxième génération. En 1945, le Conseil général de Savoie lance le projet de Courchevel 1800 sur la commune de Saint-Bon-Tarentaise. Il reprend un rapport lancé par le Gouvernement de Vichy en 1943[12]. La route départementale amène au chalet départemental auquel s’agrège des hôtels et des chalets, sans véritable plan d’urbanisme. Courchevel est le seul exemple en Savoie. Chamrousse et L'Alpe d'Huez, dans le département de l'Isère, en sont d'autres exemples.
  • Dans les années soixante, l’afflux de touristes pousse les promoteurs à proposer aux communes alpines des projets de stations dites "intégrées" ou stations de troisième génération. Ces projets trouvent leur origine dans une volonté gouvernementale, parallèlement au développement des stations balnéaires de la côte languedocienne, dans un cadre de déclaration d’utilité publique offrant des facilités aux promoteurs privés et la possibilité d’expropriation (Plan neige). Le promoteur décide de l’ensemble des aménagements urbanistiques, commerciaux, techniques (remontées mécaniques…). Ces stations sont conçues à partir d’un point de chute (le parking), supérieur à 1800 m, à proximité desquels se trouvent les immeubles en front de neige avec tout le confort et des services à proximité, généralement dans un site en forme d’amphithéâtre. Parmi les principaux exemples en Savoie : La Plagne (1961) sur la commune de Mâcot confiée à l’architecte-urbaniste Michel Bezançon (10 stations, 50 000 lits, 105 remontées mécaniques, 225 km de piste sur 10 000ha, entre 1350 et 3000 m) ; Tignes (créée en 1956, 1 station, 17 000 lits, 100 remontées mécaniques) ; Les Arcs (créées en 1968) ; Les Ménuires (créées en 1966) ; Flaine (créée en 1968) ou encore Avoriaz (créée en 1966), sous l’impulsion du Docteur Jean Vuarnet… Ces stations sont souvent accusées d’être des "usines à ski", non-respectables de l’environnement naturel.
  • À partir des années 1975 et plus tard, des stations dites de 4e génération ou stations-villages ont émergé. Elles correspondent à des villages "traditionnels" créées ex-nihilo ou autour d’un village, plus soucieux des usages traditionnels et intégrés à l’espace environnant et surtout à dimension humaines. Parmi les exemples savoyards, citons Valmorel ; Les Karellis ou encore Bonneval-sur-Arc.

Les stations de ski savoyardes ont bénéficié des effets des derniers Jeux Olympiques d'hiver ayant eu lieu à Albertville en 1992, faisant des Alpes savoyardes, depuis cette date, le lieu où l’on trouve les plus grands domaines skiables au monde.

Promotion

La révolution du tourisme en Pays de Savoie, apportée par le développement du tourisme d’hiver passe, dés 1937, par l’ouverture de la Maison de Savoie à Paris, mise en place par le Comité Régional Savoie-Mont-Blanc, siégeant à Aix-les-Bains.

Aujourd’hui, cette promotion est organisée au sein de l’Assemblée des Pays de Savoie, à laquelle participe l’ensemble des structures touristiques départementales.

La promotion du patrimoine local est organisée aussi autour de l’Association des Guides du Patrimoine des Pays de Savoie qui découpe le territoire en 6 ensembles touristiques reprenant le découpage provincial : au Nord, en Haute-Savoie, le Chablais français avec le Léman et le massif ; le Faucigny avec les vallées de l’Arve (Mont-Blanc) et du Giffre ; le Genevois ; et au Sud, en Savoie, la Savoie Propre avec l’Avant-pays savoyard, le lac du Bourget ou la Combe de Savoie ; et les pays d’Art et d’Histoire de la Maurienne et de la Tarentaise.

Économie

La capacité d'accueil de la Savoie en fait l'une des régions les plus touristiques de France. Cette partie des Alpes offre en effet une capacité brute d'accueil équivalente à 1,2 millions de lits (comprenants les résidences secondaires). Ceux-ci se répartissent ainsi : plus de 300 000 en Tarentaise ; 200 000 pour le pays du Mont-Blanc ; plus de 100 000 en Haut-Chablais et en Maurienne, 70 000 pour le Giffre et les rives du Léman[13].

Ci-dessous, deux tableaux permettant de comparer l'évolution du nombre de nuités en Savoie au cours des deux saisons touristiques. Par comparaison, Paris réalise environ 34,5 millions de nuitées par an et la Région Île-de-France 62,6 millions (Source : CCIP).

Évolution des nuités en hiver en Savoie,
depuis 1994 (exprimées en milliers)
Hiver 94-95 Hiver 95-96 Hiver 96-97 Hiver 97-98 Hiver 98-99 Hiver 99-00 Hiver 00-01 Hiver 01-02 Hiver 02-03 Hiver 03-04
38,8 36 36,5 39 37,6 38 39,5 38,2 39,5 39,3
Hiver 04-05 Hiver 05-06 Hiver 06-07 Hiver 07-08 Hiver 08-09 Hiver 09-10 Hiver 10-11 Hiver 11-12 Hiver 12-13 Hiver 13-14
38,5 38,3 37,5 - - - - - - -
Source : Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc[14].


Évolution des nuités en été en Savoie,
depuis 1998 (exprimées en milliers)
Été 98 Été 99 Été 00 Été 01 Été 02 Été 03 Été 04 Été 05 Été 06 Été 07
24,7 24,3 24,9 25 24,7 25,5 24,6 23,5 23,4 -
Source : Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc [15].

Les chiffres présentés proviennent de l'Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc (organe de l'Assemblée des Pays de Savoie). Si les fréquentations touristiques estivales comme hivernales sont relativement équivalentes à chaque saison, les ralentissements ou les reculs sont à mettre en relation avec la météo. Par ailleurs, ces tableaux ne l'indiquent pas, mais pour la période estivale la fréquentation est plus importante en Haute-Savoie (région du Lac d'Annecy et le Massif du Mont-Blanc) qu'en Savoie, de l'ordre de 70% contre 30%. Pour la saison hivernale, le rapport s'inverse notamment avec la vallée de la Tarentaise et ses grands domaines skiables des Trois Vallées, de La Plagne, des Arcs ou encore de l'Espace Killy (Tignes : 1,5M de nuitées).

Selon le site du Conseil général de la Savoie, les revenus du tourisme généreraient environ "1,8 milliards d’euros, soit 50% de la richesse du département". Reposant principalement sur le développement du tourisme hivernal, cette activité emploie 28% des salariés du département. En Haute-Savoie, ce secteur emploie 12% des salariés du fait d'une diversité économique plus importante par rapport à sa voisine.

Lieux touristiques

Les Pays de Savoie possèdent de nombreux lieux touristiques dont quelques-uns (il s'agit d'une liste non-exhaustive) vous sont proposés ci-dessous :

Sites remarquables

Le Grand Bec vu depuis Champagny-le-Haut

Le patrimoine naturel repose principalement sur l’attrait des Alpes, les paysages montagnards, dont le mont Blanc, la faune et la flore, les lacs (lac d'Annecy, lac Léman, lac du Bourget).

Dés les années 60, la Savoie et l'État français ont sauvegardé son patrimoine en créant le Parc national de la Vanoise. La mise en place des régions a permis aussi de créer des parcs naturels régionaux (Parc naturel régional du Massif des Bauges, Parc naturel régional de la Chartreuse).

Villes et stations touristiques

Villes et Pays d'Art et d'Histoire

Le Palais de l'Île au milieu du Thiou
Cité de Conflans

Trois villes et deux provinces savoyardes ont reçu le label Villes et Pays d'Art et d'Histoire. La Savoie reste la mieux lotie avec les villes d'Albertville-Conflans (2003)[16] et de Chambéry (1985)[17], ainsi que le Pays des Hautes vallées de Savoie (1991)[18], regroupant les hautes vallées de Maurienne et de Tarentaise. En Haute-Savoie, seule Annecy[19] et le Val d'Abondance[20] avec l'appellation Pays de la Vallée d'Abondance, dans la province du Chablais ont reçu ce label.

Plus beaux villages de France

La région compte trois villages classés parmi "les plus beaux villages de France" : avec Bonneval-sur-Arc en Savoie et Sixt-Fer-à-Cheval et Yvoire en Haute-Savoie.

Stations thermales

La région possède huit villes thermales avec Aix-les-Bains/Aix Marlioz ; Challes-les-Eaux ; Brides-les-Bains ; La Léchère ; Salins-les-Thermes en Savoie et Évian-les-Bains ; Thonon-les-Bains ; Saint-Gervais-les-Bains en Haute-Savoie

Stations de sports d'hiver

La Savoie est le berceau du ski en France. Elle possède sur son territoire les plus grands domaines d'Europe et du monde. Ci-dessous, une liste des 105 stations de sports d'hiver savoyardes classées par massifs :

Arc 2000

Villes et villages fleuris

La Haute-Savoie détient depuis 1992 "Le Trophée National des Départements Fleuris" qui ne concerne que 15 départements en France.

En 2006, 53 communes étaient labellisées (3 Quatre fleurs/Grand prix, 13 Trois fleurs, 17 Deux fleurs) . En Savoie, on en compte 33 (1 grand prix, 2 Quatre fleurs, 5 Trois fleurs, 9 Deux fleurs). Ainsi, 5 communes savoyardes sur 197 communes françaises ont pu obtenir Quatre fleurs et un grand prix (Annecy, Évian-les-Bains, Yvoire, Aix-les-Bains), tandis que le village de Nances (330 habitants) vient d'obtenir sa quatrième fleurs.[21]

Casinos

La Savoie possède onze casinos repartis principalement en Haute-Savoie.


Produit brut des Casinos de Savoie (en milliers €)
Casinos Communes Groupe 2004-2005 (rang) 2005-2006 (rang)
Casino Grand Cercle Aix-les-Bains Casino d'Aix-les-Bains 25,8 (24e) 26,2 (27e)
Nouveau Casino Aix-les-Bains - 4,2 (155e) 4 (157e)
Impérial Palace Annecy - 16,6 (52e) 17,2 (51e)
Casino d'Annemasse Annemasse Groupe Partouche 33,7 (15e) 34,2 (14e)
Casino de Brides-les-Bains Brides-les-Bains - 3,2 (166e) 3,2 (170e)
Casino de Challes-les-Eaux Challes-les-Eaux - 7,1 (110e) 7,1 (115e)
Casino de Chamonix Chamonix-Mont-Blanc Groupe Lucien Barrière 8,9 (90e) 9,4 (90e)
Casino d'Évian - Domaine du Royal Club Evian Évian-les-Bains - 29,6 (18e) 28 (20e)
Casino de Megève Mont-Blanc Megève Groupe Tahoe 5,8 (130e) 6,7 (121e)
Casino de Saint-Gervais-les-Bains Saint-Gervais-les-Bains Groupe Tranchant 4,8 (143e) 5,5 (137 e)
Casino de Saint-Julien-en-Genevois Saint-Julien-en-Genevois Groupe Partouche 10,5 (81e) 12,3 (73e)

Hotellerie & Restauration

Restaurants 3 étoiles

Deux restaurants savoyards ont obtenu 3 étoiles et un 2 étoiles au Guide Michelin.

Palace

Il existe 15 palaces en Savoie

Résidences secondaires

Annexes

Notes et références

  1. Paul Guichonnet (1980), Histoire et civilisations des Alpes, Privat, p.206.
  2. Marc Boyer (2007), Histoire générale du tourisme du XVIe au XXIe siècle, L'Harmattan, p.149 ISBN 2747584321.
  3. Christian Jamot (1988), Thermalisme et villes thermales en France, Presses Univ Blaise Pascal, p.381 - ISBN 2877410447.
  4. a , b  et c André Palluel-Guillard (1986), t4 – La Savoie de Révolution française à nos jours, XIXe-XXe siècle, Evreux.
  5. Jean-Pierre Leguay, Thérèse Leguay, Jean-Pierre Leguay, Emmanuel Cerisier (2005), Histoire de la Savoie, Editions Jean-paul Gisserot, p.107 - ISBN 2877478122.
  6. Décret impérial n°13 007 du 18 janvier 1865.
  7. Dominique Jarrassé (1992), Les Thermes romantiques. Bains et villégiatures en France de 1800 à 1850, Presses Univ Blaise Pascal, p.154 - ISBN 2877410609.
  8. Marc Boyer (2007), Histoire générale du tourisme du XVIe au XXIe siècle, L'Harmattan, p.240 - ISBN 2747584321.
  9. Fiche sur le site www.montblanc.to.
  10. Jean-Paul Richalet, Christian Rathat, Ph Larmignat (1990), Pathologie et altitude, Elsevier Masson, p.4 - ISBN 2225822255.
  11. R. Knaffou (1978), Les Stations intégrées de sport d'hiver des Alpes françaises : l'aménagement de la montagne à la "française", Masson, 1978.
  12. Catherine Dreyfus-Signoles, L'espace touristique, Editions Bréal, 2006 (ISBN 2842919076, 9782842919078), p. 42 .
  13. Compte rendu de la conférence de Pierre Préau, Tourisme en Savoie, …….à propos de la Maison des Jeux Olympiques d’Albertville, proposé en octobre 2007 par l'Association des professeurs d'histoire et de géographie de l'enseignement public de l'Académie de Grenoble. Consultez le compte-rendu : [1].
  14. Chiffres clés et études sur www.savoie-mont-blanc.com, Savoie Mont Blanc. Consulté le 6 avril 2009.
  15. Chiffres clés et études sur www.savoie-mont-blanc.com, Savoie Mont Blanc. Consulté le 6 avril 2009.
  16. Fiche sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
  17. Fiche sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
  18. Fiche sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
  19. Fiche sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
  20. Fiche sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
  21. Le site de Villes et Villages Fleuris (section "Palmarès")

Bibliographie

Articles connexes

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