Issoudun

Issoudun
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46° 57′ 39″ N 1° 59′ 40″ E / 46.960808, 1.994362

Issoudun
L’hôtel de ville.
L’hôtel de ville.
Armoiries
Détail
logo
Administration
Pays France
Région Centre
Département Indre
(sous-préfecture)
Arrondissement Issoudun
(chef-lieu)
Canton Issoudun-Sud
Issoudun-Nord
(chef-lieu des 2 cantons)
Code commune 36088
Code postal 36100
Maire
Mandat en cours
André Laignel
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d’Issoudun
Site web www.issoudun.fr
Démographie
Population 13 477 hab. (2008)
Densité 368 hab./km²
Gentilé Issoldunois
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 39″ Nord
       1° 59′ 40″ Est
/ 46.960808, 1.994362
Altitudes mini. 122 m — maxi. 161 m
Superficie 36,60 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

IssoudunPrononciation du titre dans sa version originale est une commune française, située dans le département de l'Indre, en région Centre.

Sommaire

Géographie

Situation

La commune est située dans l'est du département à la limite avec le département du Cher.

Elle est située dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

Hydrographie

La Théols.
La Théols.

Le territoire communal est traversé par la rivière Théols.

Hameaux de la commune

  • Saint-Denis
  • Avail
  • Chinault
  • Le Méz
  • La Bretonnerie
  • Pié-Girard
  • L'Artillerie
  • Les Genêteries

Communes proches

Communes limitrophes :

Les agglomérations[1] voisines :

Les grandes communes[2] :

Transports et voies de communications

Réseau routier

La route nationale N151 passe par le territoire communal ainsi que les routes départementales : 8, 9, 9a, 19, 68, 82, 131, 918 et 960.

Desserte ferroviaire

La ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne.

Bus

Le territoire communal est desservi par :

  • les 4 lignes du réseau de bus TIG (réseau urbain d'Issoudun) ;
  • les lignes 1, 2 et 3 du réseau TIGR (réseau interurbain d'Issoudun) ;
  • la ligne C du réseau de bus L'Aile Bleue ;
  • les lignes Ter Centre :

Aéroport

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre situé à environ 27 km.

Sentier de randonnées

Histoire

Héraldique

Armes d'Issoudun

Les armes d'Issoudun se blasonnent ainsi :
D'azur au pairle d'or, accompagné de trois fleurs de lys du même.

Antiquité

Située à mi-chemin de Bourges et de Châteauroux, la cité gauloise d’Uxeldunum, détruite à l'approche de César et reconstruite par ce dernier est un site occupé depuis l’Antiquité sans discontinuité[3].

Moyen Âge

Blason des Lusignan, seigneurs d'Issoudun.
Blason des Lusignan, seigneurs d'Issoudun.

Au XIe siècle, les seigneurs d’Issoudun frappaient leur propre monnaie[4]. À la fin du XIIe siècle, avec l’extinction de la famille des seigneurs de Châteauroux-Déols, lssoudun, comme leur héritière Denise de Déols, est ballotée entre les royaumes de France et d’Angleterre : française au traité d'Azay-le-Rideau (1189), anglaise en 1195 au traité du Gaillon, Issoudun échoit à Philippe Auguste en 1200 au traité du Goulet[5].

Le développement de la ville entraîne l’installation d’un couvent de franciscains (les cordeliers) dans la première moitié du XIIIe siècle[6].

Révolution française et Empire

A la Révolution, le choix de Châteauroux, alors seconde ville du Berry, comme préfecture du nouveau département de l’Indre nuit au développement d'Issoudun.

XIXe siècle : jusqu’à la IIIe République

La basilique Notre-Dame du Sacré-Coeur.
La basilique Notre-Dame du Sacré-Coeur.

Pendant la Deuxième République, Issoudun est une des villes les plus favorables au nouveau régime et aux idées de progrès. Dès son élection, le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) fait arrêter les membres des sociétés dites « secrètes » qui s’étaient donné pour mission de répandre ces idées et d’acquérir le peuple à la République sociale. Les principaux membres de La Solidarité républicaine (120 membres) sont condamnés à la prison ferme et privés de droits civiques pour deux ans (dont Lecherbonnier, père du futur maire) en juin 1849, et finalement emprisonnés après l’appel en novembre[7]. L’agitation est permanente jusqu’au coup d'État du 2 décembre 1851, parfois dispersée par la troupe, et la garde nationale bourgeoise dissoute car trop inactive[8].

La nouvelle du coup d’État est connue dans la journée du 2 par les officiels, mais ne se répand que le 3. Les républicains s’assemblent, manifestent (1 500 à 1 800 personnes), mais, en l’absence de certitudes, n’agissent pas pour se rendre maître des bâtiments officiels. La nouvelle de la défaite des républicains de Paris arrive le soir du 4, et le dernier rassemblement a lieu le 6[9]. Les deux compagnies du 23e léger n’ont donc pas à intervenir. La répression commence ensuite, avec 23 arrestations pour la seule ville d’Issoudun[10], pendant que le pouvoir s’installe : la devise Liberté-Égalité-Fraternité est effacée des bâtiments publics[11]. Douze cabarets populaires et suspects sont fermés en janvier 1852[11]. L’un des prisonniers se pend en cellule ; en mai, trois des défenseurs de la République sont déportés en Algérie[12]. Le libraire Châtelin, jeune père, libéré au bout de deux mois, préfère s’exiler à Londres, où ses travaux de relieur sont officiellement récompensés[13]. Enfin, un élève issoldunois aux idées trop avancées de l’École normale de Châteauroux est exclu de l’établissement, le gouvernement de l’Empire autoritaire surveillant tout particulièrement les instituteurs. De la même façon, l’instituteur du village des Bordes, Nicolas Florent, particulièrement apprécié de la population, donnant des cours du soir, auparavant récompensé par l’Inspection académique, est démis dès le 22 décembre[14].

L’opposition ne désarme pas, même si on ne peut relever dans les premières années de l’Empire que quelques condamnations pour cris séditieux[15]. L’attentat d'Orsini, en janvier 1858, entraîne sept nouvelles arrestations d’opposants[16] ; certains sont déportés en Algérie[17].

De la fin du XIXe siècle à nos jours

L'ancien palais de justice.
L'ancien palais de justice.

Depuis la fin du XIXe siècle, Issoudun est un centre important de dévotion et de Pèlerinage à la Vierge Marie[18]. Elle est appelée la ville de Notre-Dame du Sacré-Cœur.

De 1875 à 1920, Issoudun est ville de garnison du 68e régiment d'infanterie de ligne avec Le Blanc (1er et 2e bataillon à Issoudun, État-major et 3e bataillon au Blanc)

En 1940-1942, Issoudun est ville de garnison du 1er régiment d’infanterie, régiment de Flandres et du Première Guerre mondiale, un centre d'instruction d'élèves aspirants s'installa à la caserne Châteaurenault. On note, parmi eux, la présence du futur Général Koenig.

Entre fin 1917 et juin 1919, le 3e centre d'instruction de l'aviation de ce qui deviendra en 1919 le United States Army Air Service entre 1917 et 1919 est installé sur la commune après l'entrée en guerre des États-Unis en soutien de l'American Expeditionary Force. Ce fut le plus grande base aérienne américains hors métropole avec 7 camps, 11 terrains d'aviation et 2 hôpitaux de campagne se sont répartit sur environ 1 300. Servit par 7 500 personnes, 766 pilotes de chasse y furent formés et 171 militaires américains sont morts ces camps d'entraînement[20].

Le 8 septembre 1944, la colonne Elster qui faisait retraite du sud de la France vers l’Allemagne, fait sa reddition à Issoudun. Le commando du 3e SAS, composé de Français, reçoit la reddition[21].

Depuis 1950, la région d'Issoudun accueille un centre émetteur radio en ondes courtes qui permet de diffuser les programmes de Radio France Internationale vers l'étranger, situé sur la commune de Saint-Aoustrille.

Article détaillé : émetteur d'Issoudun.

En 2008 le palais de justice et la police municipale de la commune ont été fermés définitivement.

Avec l'accord de la Mairie, et à l'initiative de l’association culturelle musulmane issoldunoise, une mosquée est en cours de construction et devrait voir le jour courant 2011. Et ce, afin que les musulmans d'Issoudun puissent prier, enseigner l'arabe et le Coran aux jeunes, et que les femmes puissent se réunir entre elles. Située à l’angle de l’avenue du 8-Mai-1945 et de la rue de Bourgogne, cette mosquée ne comporterait pas de minaret[22].

  • Citations

« N'en déplaise à Paris, Issoudun est une des plus vieilles villes de France » (Balzac).

Administration

Maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1771 1791 Heurtault du Mez    
1791 1792 Moireau    
1792 1792 Paulier    
1793 1794 Charlemagne    
1794 1795 Barré de l'Epinière    
1795 1795 Poya de l'Herbay    
1795 1796 Fournier    
1796 1797 Gaignault de St-Soin    
1797 1798 Demonferrand    
1798 1799 Gaignault de St-Soin    
1799 1808 Demonferrand    
1808 1812 Girard de Villesaison    
1812 1817 Baucheron de Boissoudy    
1817 1821 Thabaud de Linetière    
1822 1829 Muguet de Champalier    
1829 1832 Thabaud de Linetière    
1832 1834 Baucheron de Boissoudy    
1834 1840 Pineau-Rapin    
1840 1846 Cochon de Lapparent    
1846 1848 Thabaud de Linetière    
1848 1848 Bujon    
1848 1849 Feuillet    
1849 1852 Drechesne    
1852 1867 Daussigny    
1867 1870 Moreau    
1870 1870 Lebon    
1870 1874 Guignard    
1874 1876 Jugand    
1876 1877 Lecherbonnier    
1877 1877 Dardy    
1877 1879 Lecherbonnier    
1879 1880 Louet    
1880 1888 Lecherbonnier    
1888 1892 Brunet    
1892 1899 Dufour-Montcharmon    
1899 1904 Bonjour    
1904 1914 Guilpin    
1914 1915 Gourier    
1916 1918 Humbert    
1918 1919 Boisfard    
1919 1927 Jamet    
1927 1929 Liaument    
1929 1940 Mérillac    
1940 1944 Chasseigne    
1944 1947 De Laulerie    
1947 1947 Vallée    
1947 1949 Peyrat    
1949 1971 Caillaud    
1971 1977 Maurice Rousselle    
1977 en cours André Laignel[23] PS Universitaire
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Services publics

La commune dispose des services suivants :

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Issoudun comptait 13 477 habitants (soit une diminution de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 683e rang au niveau national, alors qu'elle était au 655e en 1999, et le 2e au niveau départemental sur 247 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Issoudun depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[27], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[28].

Le maximum de la population a été atteint en 1975 avec 15 956 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 13 491 10 265 10 719 11 077 11 664 11 654 12 234 12 852 13 346
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 13 320 14 282 14 261 14 230 13 703 14 928 15 231 13 564 14 116
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 14 222 13 949 13 709 11 893 11 809 11 684 11 511 12 645 12 945
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 13 900 15 108 15 956 14 696 13 859 13 680 13 930 13 627 13 477
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[29], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[30],[31]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (29,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,8 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 46,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,2 %, 15 à 29 ans = 19,3 %, 30 à 44 ans = 20 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 26 %) ;
  • 53,8 % de femmes (0 à 14 ans = 14,5 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 34,6 %).
Pyramide des âges à Issoudun en 2007 en pourcentage[32]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,5 
90  ans ou +
2,6 
9,6 
75 à 89 ans
14,0 
15,9 
60 à 74 ans
18,0 
19,6 
45 à 59 ans
18,1 
20,0 
30 à 44 ans
18,6 
19,3 
15 à 29 ans
14,2 
15,2 
0 à 14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département de l'Indre en 2007 en pourcentage[33]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
90  ans ou +
1,8 
9,1 
75 à 89 ans
13,3 
16,5 
60 à 74 ans
17,2 
22,0 
45 à 59 ans
20,5 
19,8 
30 à 44 ans
18,4 
15,5 
15 à 29 ans
13,8 
16,6 
0 à 14 ans
15,1 

Économie

Le musée de l'Hospice Saint-Roch.
Le musée de l'Hospice Saint-Roch.

Son tissu industriel se compose de quelques grosses entreprises, comme SICMA (Aéronautique) groupe ZODIAC, Vivarte, Louis Vuitton, et d'une multitude de PME. La multinationale mexicaine de matériaux de construction, Cemex, y possède une unité de béton prêt à l'emploi.

Enseignement

La commune possède[34] :

  • cinq écoles maternelles publiques (François Habert, George Sand, Jean Jaurès, Léo Lagrange, Saint-Exupéry) ;
  • une école primaire privée (Notre-Dame) ;
  • quatre écoles élémentaires publiques (Condorcet, Jean Jaurès, Michelet et Saint-Exupéry) ;
  • deux collèges publics (Denis Diderot et Honoré de Balzac) ;
  • un collège et un lycée privés (Saint-Cyr) ;
  • un lycée public (Honoré de Balzac) ;
  • un lycée professionnel public (Jean d'Alembert).

Sport

  • Vol à voile sur l'aérodrome d'Issoudun-le-Fay. Il y est régulièrement organisé des concours et notamment le championnat de France de vol à voile.

Lieux et monuments

La Tour Blanche.
La Tour Blanche.
Le beffroi.
Le beffroi.
  • La Tour Blanche (donjon du XIIe siècle) attribuée à Richard Cœur de Lion, récemment restaurée. Haute de 27 m, elle a des murs de 4 m d'épaisseur. Un escalier de 150 marches permet d'accéder aux trois étages de la tour et de profiter du panorama.
  • Beffroi des XIIe siècle et XVe siècles, façade nord-est décorée dans un style Renaissance.
  • Musée de l'Hospice Saint-Roch : il occupe l'emplacement de l'ancien Hôtel-Dieu, fondé au XIIe siècle et reconstruit au XVe siècle. Ce vaste et bel édifice comprend une chapelle et des salles des malades du XIIe siècle ainsi que deux ailes des XVIIe siècle et XVIIIe siècles. (objets funéraires celtiques, ensemble lapidaire du VIIIe siècle au XVe siècle, arbre de Jessé du XVe siècle, remarquables collections de pharmacie des XVIIe siècle et XIXe siècles, art contemporain).
  • Nombreuses maisons du XVe siècle dans le cœur de ville.
  • Souvenirs d'Honoré de Balzac qui situe dans cette ville une grande partie de La Rabouilleuse. En hommage au roman et à l'écrivain, on y trouve la Maison de la Rabouilleuse (groupe folklorique de la ville), route de Bourges, que l'on peut visiter.
  • Le château de Frapesle, qui a abrité Honoré de Balzac lors de ses séjours dans la ville.
  • Anciennement abbaye Notre-Dame d'Yssoudun (bénédictine Xe siècle)[35].

Activités festives

  • Fêtes de la Tour Blanche, festival de théâtre de rue tous les ans le week-end de l'asension en centre ville.
  • Chaque année, le 8 septembre, la basilique de Notre-Dame du Sacré Coeur sert de cadre à un important pèlerinage.
  • Festival Guitare Issoudun - (week end de la Toussaint).

Pèlerinage

Étape précédente
Chârost
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
Coquille Saint-Jacques
Via Lemovicensis
Étape suivante
Déols

Personnalités liées à la commune

Notes et références

  1. Les distances des agglomérations par rapport à la commune d'Issoudun sur Mappy.
  2. Les distances des grandes communes par rapport à d'Issoudun sur Mappy.
  3. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 21.
  4. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 12.
  5. Berry médiéval, op. cit., p. 13.
  6. Berry médiéval, op. cit., p. 21.
  7. Bernard Moreau, Marianne bâillonnée : les républicains de l’Indre et le coup d’État du 2 décembre 1851, Chaillac : Points d’Æncrage, 2002. 109 p., ISBN 2-911853-05-9, p. 10.
  8. Bernard Moreau, op. cit., p. 10-11.
  9. Bernard Moreau, op. cit., p. 25-27.
  10. Bernard Moreau, op. cit., p. 32-37.
  11. a et b Bernard Moreau, op. cit., p. 30.
  12. Bernard Moreau, op. cit., p. 41.
  13. Bernard Moreau, op. cit., p. 51.
  14. Bernard Moreau, op. cit., p. 54-55.
  15. Bernard Moreau, op. cit., p. 57.
  16. Bernard Moreau, op. cit., p. 71.
  17. Bernard Moreau, op. cit., p. 75.
  18. Issoudun sur le site Catholique-bourges.cef.fr.
  19. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. ISBN : 2-7171-0838-6, p. 41.
  20. Bernard Gagnepain, Les Américains à Issoudun : Histoire du 3e centre d'instruction de l'aviation des États-Unis entre 1917 et 1919, Saint-Cyr-sur-Loire, [Alan Sutton], 2007, 191 p. (ISBN 978-2-84910-686-0) .
  21. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. ISBN : 2-7171-0838-6, p. 208.
  22. [1].
  23. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture de l'Indre.
  24. L'office de tourisme sur le site Berry.fr.
  25. Site officiel du centre hospitalier d'Issoudun.
  26. Carte de la viabilité hivernale du conseil général de l'Indre.
  27. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
  28. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc ainsi que la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 23 juillet 2011.
  30. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
  31. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
  32. Évolution et structure de la population à Issoudun en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
  33. Résultats du recensement de la population de l'Indre en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
  34. Site officiel de l'inspection académique de l'Indre.
  35. Thaumas de la Thaumassière Gaspard, Histoire du Berry, 1689, t.2, p.144.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes



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