Guerre De Troie

Guerre De Troie

Guerre de Troie

La guerre de Troie est un conflit légendaire suscité par l'enlèvement d'Hélène, reine de Sparte par le prince troyen Pâris : en rétorsion, Ménélas, l'époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des rois grecs, qui assiège Troie et remporte finalement la victoire. Décrite principalement dans l’Iliade, elle est aussi le sujet d'un vaste cycle d'épopées perdues qualifié de « Cycle troyen », qui complète le récit d'Homère. Elle constitue une pierre fondatrice de la culture grecque et constitue encore une source d'inspiration pour les artistes et écrivains.

Sous l'Antiquité, l'historicité de la guerre ne donne guère prise au doute, même si certains doutent de la véracité du récit d'Homère : Hérodote rapporte une version bien moins romanesque des événements. Pour autant, peu remettent en cause l'existence d'Hélène et son rôle dans le déclenchement de la guerre. À l'époque moderne, les historiens se montrent plus divisés. Pour certains, les ruines de l'ancienne Troie découvertes sur la butte d'Hissarlik, en Turquie, corroborent les faits rapportés par Homère. Pour d'autres, le récit d'Homère est purement mythique et il faut renoncer à y chercher la trace d'un événement historique. D'autres encore défendent une position intermédiaire : la guerre de Troie aurait bel et bien eu lieu, mais sous une forme différente de celle, magnifiée, que décrivent les épopées.

Combat aux vaisseaux devant Troie, sarcophage attique du Musée archéologique de Thessalonique, deuxième quart du IIIe siècle.

Sommaire

La guerre de Troie

La guerre est entreprise à la suite de l'enlèvement d'Hélène, épouse du roi de Sparte, Ménélas, par le troyen Pâris, fils de Priam, roi de Troie. En effet, Hélène lui avait été promise par Aphrodite, en remerciement pour le jugement du mont Ida, lui attribuant la pomme d'or. Pâris dut alors choisir entre Héra, Athéna et Aphrodite, lui promettant respectivement l’Asie, la sagesse et l'amour de la plus belle femme du monde : Hélène.

Les rois grecs, descendants de Pélops, se réunissent alors. Liés entre eux par le serment de Tyndare, ils décident de mener la guerre contre Troie avec un contingent très important. Après avoir réuni d'autres héros comme Achille, ils constituent une flotte qui accoste, dans la deuxième année après l'enlèvement d'Hélène, en Mysie, non loin d'Élée. Ils affrontent d'abord Télèphe, roi de Mysie et fils d'Héraclès qui, alarmé par le débarquement d'une armée si imposante, a dépêché contre elle ses propres troupes. Après des combats acharnés, Télèphe apprend l'identité des chefs de l'armée ennemie et le combat cesse alors. La flotte grecque repart chez elle après cette première expédition, et se repose pendant huit ans. Dix ans après l'enlèvement d'Hélène, les Grecs lancent une seconde expédition qui accoste, grâce aux conseils de Télèphe, sur le rivage face à Troie. Après de premières batailles avec les Troyens, les Achéens commencent le siège de Troie. Pour affaiblir la ville et se ravitailler, ils lancent des incursions contre les villes alentour. Une ambassade menée par Ménélas et Ulysse réclame à Priam, roi de Troie, la restitution d'Hélène, sans succès.

Malgré les exploits de héros comme Diomède ou Ajax le Grand, les Grecs perdent pied. Patrocle, compagnon d'Achille, obtient de ce dernier la permission de porter ses armes, afin de galvaniser les troupes. Ainsi vêtu, il lance un vaste assaut contre la ville, mais est défait par Hector, fils aîné de Priam. Fou de douleur, Achille reprend les armes et tue Hector. Il vainc également les nouveaux alliés venus à l'aide de Priam : Penthésilée, reine des Amazones, et Memnon, prince éthiopien.

Ulysse a alors l'idée du cheval de Troie : des guerriers grecs se dissimulent dans un grand cheval de bois, déguisé en offrande à Athéna. La flotte grecque feint de se retirer, abandonnant le cheval sur la plage. En signe de victoire, les Troyens font entrer le piège dans leurs murs. Croyant la guerre terminée, ils festoient et se réjouissent. La nuit venue, les guerriers grecs sortent du cheval et ouvrent les portes. Troie est pillée, les membres de la famille royale tués ou emmenés en esclavage, et Ménélas peut enfin ramener Hélène à Sparte, vingt ans après son enlèvement. Lors du combat, Achille est blessé au talon par une flèche tirée par Pâris, et meurt - ce qui a donné naissance à l'expression « talon d'Achille ».

Interprétation mythologique de la guerre

Pour comprendre ce qu'a vraiment été la guerre de Troie, il faut se rappeler les premiers temps de l'histoire de cette cité. Ses murailles réputées imprenables furent bâties par Poséidon, sous le règne du cruel roi Laomédon. Ce roi ayant refusé de lui payer son salaire, il envoya sur la cité un monstre marin qui dévorait les hommes et vomissait de l’eau de mer. Sur le conseil d’un oracle, Laomédon lui offrit sa fille Hésioné en sacrifice : il l’enchaîna nue sur le rivage de la Troade, avec ses seuls bijoux. Mais l’arrivée d’Héraclès la sauva. Il venait d’effectuer son neuvième « travail », qui consistait à prendre la ceinture de la reine des Amazones. Après avoir brisé les chaînes d’Hésioné, il proposa de tuer le monstre en échange de chevaux immortels que possédait Laomédon. Il entra dans la gueule du monstre au moment où celui-ci arriva à un rempart construit par les Troyens et ressortit victorieux trois jours après. Le perfide Laomédon n'ayant pas donné à Héraclès ce qu'il lui avait promis, le héros se jura de revenir. Ayant terminé ses travaux, il affréta plusieurs navires pour partir en expédition contre Troie. Laomédon envoya son peuple armé d’épées et de torches pour incendier cette armada, mais ses hommes furent repoussés. Grâce à Télamon, les troupes d’Héraclès ouvrirent une brèche dans la muraille et entrèrent dans la ville. Laomédon et ses fils furent exécutés, sauf Podarcès qui avait essayé de pousser son père à tenir ses engagements. Il fut plus tard connu sous le nom de Priam.

Le mythe de Persée présente une évidente analogie avec celui d'Héraclès, à cette différence près qu'il n'est pas situé à Troie, mais sur la côte phénicienne. Après avoir décapité Méduse, Persée longea cette côte et aperçut une jeune fille nue enchaînée à un rocher, portant seulement quelques bijoux. C’était Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée. En raison de paroles vaniteuses tenues par Cassiopée sur sa beauté et sur celle d’Andromède, Poséidon avait envoyé un monstre marin ravager son pays. L’oracle d’Ammon avait dit à Céphée qu’il devait sacrifier sa fille au monstre. Persée proposa d’intervenir en échange de la main d’Andromède. Il décapita le monstre avec l’épée d’Hermès. Il célébra ensuite ses noces avec Andromède, car Céphée et Cassiopée lui avaient promis la main de leur fille. Phinée arriva avec une armée pour réclamer Andromède, prétextant qu’il avait demandé sa main avant Persée. C’était en fait Céphée et Cassiopée qui l’avaient fait venir, car ils n’avaient accepté le mariage de leur fille avec Persée qu’à contre-cœur. Persée se défendit vaillamment, tuant de nombreux adversaires, mais ceux-ci étaient si nombreux qu’il utilisa finalement la tête de Méduse pour les pétrifier. Deux cents soldats furent changés en pierre. Poséidon plaça les images de Céphée et Cassiopée au ciel, ce qui montre qu'il était proche d'eux.

Ces deux mythes commencent avec l'histoire d'une jeune fille nue attachée à un rocher pour être offerte en sacrifice à un monstre marin. Ses libérateurs, Héraclès et Persée, la libèrent en échange d'une promesse effectuée par ses parents, mais la promesse n'est pas tenue et une grande bataille éclate. Elle se termine par la défaite totale de l'armée ennemie. Ces deux mythes sont des variations sur un même thème provenant de la religion proto-indo-européenne. À l'origine, la déesse Soleil de la Terre (comme l'appelaient les Hittites) était enlevée par le dieu des Enfers au début de la nuit ou de l'hiver. À la fin de cette période, elle était libérée par la version divine du roi, qui la transformait en l'Aurore, une splendide jeune fille découvrant son corps. C'était alors le début du matin ou du printemps. Une grande bataille avait lieu au début de l'après-midi ou de l'été avec les mêmes protagonistes: le roi affrontait le dieu des Enfers. Celui-ci finissait par être tué.

L'Aurore, Éos, intervient effectivement dans l'histoire de Troie, puisqu'elle tombe amoureuse de Tithon, le fils de Tros ou d'Ilos, et lui offre l'immortalité. Les chevaux immortels promis par Laomédon rappellent le Soleil levant, qui pouvait être assimilé à oiseau ou à un cheval (c'est l'origine du mythe de Pégase). On comprend alors qu'Hésioné et Andromède sont des hypostases de la déesse Soleil de la Terre, qu'elles sont amenées à Troie au début de la nuit ou de l'hiver et que cette cité est le domaine du dieu des Enfers, Poséidon. Hélène, dont le nom signifie « Éclat du Soleil », n'est qu'une autre hypostase de cette déesse, libérée par son royal époux Ménélas et par le frère de celui-ci, Agamemnon. Homère a confondu le mythe de sa libération avec celui de la guerre des Troyens.

Dans tout le domaine indo-européen, on retrouve l'habitude d'identifier les Enfers à des territoires périphériques, notamment étrangers. C'est par exemple le cas de l'Espagne dans la mythologie irlandaise. Les Grecs les ont donc localisés sur les côtes de la Troade, mais aussi sur celles de la Phénicie et en Crète. C'est pourquoi Minos, un roi mythique de cette île, est devenu un juge des Enfers avec Éaque et Rhadamante. Poséidon, constructeur des murailles de Troie, n'est pas le dieu des Enfers (rôle revenant à Hadès), mais il possède bel et bien des liens avec l'Autre Monde. Héraclès passe son temps à tuer ses fils de même qu'il combat les Troyens. Priam a repris une caractéristique de Poséidon: son extraordinaire prolificité. Il engendra pas moins de cinquante enfants, dont dix-neuf avec la seule reine Hécube.

Récits de la guerre de Troie

L'Iliade et l'Odyssée sont les plus anciens récits qui nous soient parvenus au sujet de la guerre de Troie. Néanmoins, à l'époque archaïque, ce sujet était l'un des préférés des aèdes et des poètes. Les œuvres épiques qui y étaient consacrées étaient donc nombreuses. L'ensemble de ces œuvres est nommé le « Cycle troyen ».

Pendant la période classique et surtout alexandrine, le sujet resta à la mode. De nombreux mythographes comme Proclos (Chrestomathie) ou le pseudo-Apollodore rédigèrent des résumés ou des analyses des événements décrits dans l'Iliade. À l'époque tardive fleurirent aussi des suites et des contre-récits. Ces derniers avaient pour but de présenter les événements sous un angle différent de celui adopté par Homère. En fait, nombre des détails ou des traditions associés pour nous à tel ou tel héros ne sont pas présentes dans l'œuvre homérique, mais proviennent de versions alternatives.

Virgile conta également dans son Énéide le récit d'un des héros troyens, Énée, fils d'Aphrodite, qui suivit sans le savoir les traces d'Ulysse, pour aller fonder une nouvelle Troie, Rome.

Enfin, au Moyen Âge, des auteurs s'efforcèrent de mettre à la portée du public cultivé le contenu des œuvres grecques.

Principaux héros

L'objet du conflit
Hélène, épouse du Roi de Sparte enlevée par le troyen Pâris
Les Achéens Les Troyens
Les Rois
Agamemnon, roi de Mycènes, chef de l'expédition
Ménélas, roi de Sparte, époux d'Hélène
Achille, chef des Myrmidons
Ajax fils d'Oïlée, roi de Locride
Ajax fils de Télamon, roi de Salamine
Diomède, roi d'Argos
Nestor, roi de Pylos
Ulysse, roi d'Ithaque
Priam, roi de Troie
Anchise, roi des Dardanelles
Sarpédon, roi de Lycie
Éétion, roi de Cilicie
Penthésilée, reine des Amazones de Lesbos
Rhésos, roi de Thrace
Memnon, considéré parfois comme roi d'Éthiopie
Autres
Calchas, devin
Patrocle, cousin d'Achille
Néoptolème ou Pyrrhus, fils d'Achille
Andromaque, femme d'Hector
Cassandre, fille de Priam, prêtresse
Énée, fils d'Anchise
Hector, fils aîné de Priam
Hécube, femme de Priam, reine de Troie
Laocoon, prêtre de Poséidon
Pâris, fils de Priam, séducteur d'Hélène,

Historicité de la guerre de Troie

Quant aux historiens antiques, Thucydide pensait lui que l’importance qu’Homère avait accordé au conflit était exagérée : la guerre aurait bel et bien eu lieu, mais l'importance que les Grecs lui donnèrent fut influencée par leur fort sentiment nationaliste.

La découverte en 1870 par l’archéologue et homme d'affaires Heinrich Schliemann des ruines de Troie sur la butte d’Hissarlik, en Turquie, a relancé un vieux débat sur l’historicité des évènements relatés par Homère. On ignore toujours à l'heure actuelle si la guerre de Troie a bien eu lieu. Carl Blegen concluait en 1963, à la suite de ses travaux réalisés à partir des fouilles de Schliemann et la découverte du trésor de Priam, à la certitude du conflit entre Grecs ou Mycéniens et Troyens. Cependant, il fut attesté que le trésor en question datait du deuxième millénaire avant Jésus Christ, et qu'il ne pouvait donc pas être associé à l'épisode du siège de Troie. Pour Claude Mossé, professeur à l’université de Paris VIII-Saint Denis collaboratrice de la revue L'Histoire, on ne pourra jamais prouver avec certitude l'existence ou non du conflit.

Si son caractère mythique ne fait évidemment aucun doute, des travaux archéologiques récents livrent des indices indiquant que l'épisode de la guerre de Troie repose très probablement sur un ou plusieurs événements historiques[1][2][3][4][5].

Etant donné l'incertitude qui règne autour de la réalité de cet épisode, il est évident que toute datation revêt un caractère hasardeux. De nombreuses dates ont été proposées par les chercheurs. L'hypothèse recueillant le plus de suffrages à l'heure actuelle place la chute de Troie en 1184 av. J.-C., date établie à partir des éléments donnés dans sa chronologie par Eratosthène (savant grec du IIIe siècle av. J.-C.).[réf. nécessaire]

Notes et références

  1. Voir cette page d'un site universitaire pédagogique consacré aux fouilles de Troie
  2. Trevor Bryce, An historian's observations on Troy and homeric tradition, in Michel Mazoyer, Association Kubaba, Université de Paris I, Homère et l'Anatolie, L'Harmattan, 2008, pp. 31-46.
  3. Jacques Freu, Homère, la guerre de Troie et le pays de Wilusa, in Michel Mazoyer, Association Kubaba, Université de Paris I, Homère et l'Anatolie, L'Harmattan, 2008, pp. 107-148.
  4. Carol G. Thomas, Craig Conant, The Trojan War, Greenwood Publishing Group, 2005.
  5. Joachim Latacz, Kevin Windle, Rosh Ireland, Troy and Homer: Towards a Solution of an Old Mystery, Oxford University Press, 2004.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • (en) Trevor R. Bryce, « The Trojan War: Is There Truth behind the Legend? », Near Eastern Archaeology, vol. 65, no3 (septembre 2002), p. 182-195.
  • (en) Jonathan S. Burgess, The Tradition of the Trojan War in Homer and the Epic Cycle, The Johns Hopkins University Press, Baltimore, 2001 (ISBN 080187890X).
  • Michel Mazoyer, Homère et l'Anatolie, L'Harmattan, 2008.
  • Jean-Claude Poursat, La Grèce préclassique, des origines à la fin du VIe siècle, Seuil, coll. « Points Histoire / Nouvelle histoire de l’Antiquité », Paris, 1995 (ISBN 2-02-013127-7) .
  • Carol G. Thomas, Craig Conant, The Trojan War, Greenwood Publishing Group, 2005.
  • Joachim Latacz, Kevin Windle, Rosh Ireland, Troy and Homer: Towards a Solution of an Old Mystery, Oxford University Press, 2004.
  • Claude Mossé, La guerre de Troie a-t-elle eu lieu ?, L’Histoire, n°104, 1987, p.18-25.
  • On a perdu la guerre de Troie, Moses Finley On a perdu la guerre de Troie, Paris, 1990, p. 31-44.
  • A. Schnapp-Gourbeillon, « Neufs strates de ruines entre histoire et légende », dans Les cahiers de Science et Vie, no70, 2002, p. 22-28.
  • L. Schofield, La Grèce ancienne, Paris, 1999.
  • J.M. Roberts, L’Extrême orient et la Grèce antique, vol. 2, Paris, 1988.

Filmographie

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Portail de la mythologie grecque Portail de la mythologie grecque
  • Portail de l’histoire militaire Portail de l’histoire militaire
Ce document provient de « Guerre de Troie ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Guerre De Troie de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужно решить контрольную?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Guerre de troie — La guerre de Troie est un conflit légendaire suscité par l enlèvement d Hélène, reine de Sparte par le prince troyen Pâris : en rétorsion, Ménélas, l époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des rois… …   Wikipédia en Français

  • Guerre de Troie — Guerre de Troie …   Wikipédia en Français

  • La Guerre De Troie N'aura Pas Lieu — Hector adressant des reproches à Pâris par Pierre Claude François Delorme Auteur Jean Giraudoux …   Wikipédia en Français

  • La Guerre de Troie n'aura pas lieu — Hector adressant des reproches à Pâris par Pierre Claude François Delorme Auteur Jean Giraudoux …   Wikipédia en Français

  • La guerre de Troie n’aura pas lieu — La guerre de Troie n aura pas lieu La guerre de Troie n aura pas lieu Hector adressant des reproches à Pâris par Pierre Claude François Delorme Auteur Jean Giraudoux …   Wikipédia en Français

  • La guerre de troie n'aura pas lieu — Hector adressant des reproches à Pâris par Pierre Claude François Delorme Auteur Jean Giraudoux …   Wikipédia en Français

  • La guerre de Troie n'aura pas lieu — Hector adressant des reproches à Pâris par Pierre Claude François Delorme …   Wikipédia en Français

  • Ephemeride de la guerre de Troie — Éphéméride de la guerre de Troie L’Éphéméride de la guerre de Troie est une œuvre grecque écrite probablement au IIe siècle de notre ère, censément rédigée par un certain Dictys de Crète (en grec ancien Δίκτυς / Díktys). Elle est plus connue …   Wikipédia en Français

  • Éphéméride de la guerre de troie — L’Éphéméride de la guerre de Troie est une œuvre grecque écrite probablement au IIe siècle de notre ère, censément rédigée par un certain Dictys de Crète (en grec ancien Δίκτυς / Díktys). Elle est plus connue sous sa traduction latine,… …   Wikipédia en Français

  • Éphéméride de la guerre de Troie — L’Éphéméride de la guerre de Troie est une œuvre grecque écrite probablement au IIe siècle de l ère chrétienne, censément rédigée par un certain Dictys de Crète (en grec ancien Δίκτυς / Díktys). Elle est plus connue sous sa traduction latine …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”