Jacques Guillaume Simoneau

Jacques Guillaume Simoneau
Jacques Guillaume Simonneau
Programme des fêtes en son honneur
Programme des fêtes en son honneur

Nom de naissance Jacques Guillaume Simonneau
Naissance 14 janvier 1740
Étampes
Décès 3 mars 1792 (à 52 ans).
Étampes
Nationalité Française
Profession Industriel (tanneries)
Distinctions Obsèques nationales grandioses
Compléments
Assassiné en voulant défendre la loi.

Jacques Guillaume Simonneau ou Simoneau ou bien encore Simonneau de Preslin[1] est né le 14 janvier 1740 à Étampes et a été assassiné le 3 mars 1792 dans sa ville natale.

Petit industriel[2], maire d'Étampes depuis 1791, Jacques Guillaume Simonneau est victime de ce qui ressemble à une émeute frumentaire, le 3 mars 1792, quelques mois avant la journée du 10 août 1792 et les massacres de Septembre. Il reçoit des coups de bâton, est blessé mortellement de deux coups de fusil, et frappé d’un coup de sabre par un cavalier de son escorte, voulant lui faire lâcher ses rênes afin de s’enfuir. Son corps subit des outrages. Choquée, l'Assemblée législative lui rend un hommage grandiose en précisant que ce maire voulait juste défendre la loi[3], mais après ce drame, la violence se généralise et deux de ses assassins sont relâchés.

Sommaire

Sa famille

L'hôtel de ville d'Étampes.

L’arrière-grand-père de Jacques Guillaume Simonneau de Preslin, Jacques Simonneau, est marchand à Châtres, à côté d’Arpajon, mais son grand-père, Étienne Simonneau (1680-1745), est officier chez le roi (garde-robe) et meurt à Étampes. Les parents de Jacques Guillaume Simonneau de Preslin, Pierre et Marie Leclerc sont des bourgeois, ni immensément riches, ni anoblis. Certes, l’un de ses frères, Pierre Étienne est conseiller du roi, lieutenant particulier au bailliage d'Étampes, mais une estimation de son office au bailliage royal à Étampes au 17 novembre 1771 précise qu’elle ne vaut que 7.200 livres[4]. Il est marié à Marie-Anne Le Proux de La Rivière, qui est la fille d’un Premier commis de la Marine, responsable du bureau des colonies, et tante de Madame Agathe de Rambaud. Jacques Guillaume Simonneau a trois enfants, deux fils et une fille.

Biographie

Sa vie avant le 3 mars 1792

L’assignat perd de sa valeur rapidement pendant que le prix des produits de grande nécessité augmente à la même vitesse créant une grande famine en France.

À Étampes, comme partout, des cahiers de doléances sont rédigés et des députés élus pour les États généraux de 1789, où ils ne se distinguent pas particulièrement. Malgré une vie quotidienne de plus en plus difficile, le calme règne et les Étampois suivent de loin les évènements parisiens. Simonneau est tanneur à Étampes, ayant plus de soixante ouvriers à ses ordres, et il est chéri d'eux tous comme un bon père[5]. Il est partisan des réformes de 89 et est élu maire de la localité lors des élections de 1791. Simonneau se distingue par sa justice et sa fermeté à faire exécuter les lois[6]. Simonneau est l'un des membre Société des amis de la constitution ou Club des Jacobins[7].

Néanmoins depuis la fin des années 1790 un climat d’insécurité, particulièrement ressenti en milieu rural, s’installe. La hantise des disettes et famines ressurgit dans les campagnes de la France révolutionnaire. Ce sont des années difficiles. Une partie des populations rurales sont poussées sur les routes, réduites à la mendicité et au brigandage. Les principales régions touchées sont la Picardie, la Normandie, l’Île-de-France.

La France sous l’Ancien régime a déjà connu ces émeutes frumentaires, dues à la misère. Mais en 1792, comme la valeur de l’assignat commence à chuter et que les récoltes sont très mauvaises, le prix des produits de grande nécessité augmente bien plus rapidement que les salaires. La Législative proclame la loi martiale. Jacques Guillaume Simonneau essaie de la faire appliquer et de protéger les paysans et les marchands d'Étampes. Car des bandes séditieuses de plusieurs milliers d'hommes armés de toutes façons, ayant à leur tête des officiers municipaux, qui marchent de gré ou de force, parcourent les départements voisins de Paris et taxent arbitrairement les denrées sur les marchés[8].

L’affaire Simonneau

Affiche de propagande britannique

Samedi 3 mars 1792, jour du meurtre, douze ou quinze hommes entrent à cinq heures du matin dans Boissy-sous-Saint-Yon, à quatre lieues d' Étampes, venant des environs de Montlhéry et La Ferté-Alais. Ils y battent la générale, réveillent le curé, et sonnent le tocsin. Les habitants effrayés, et les municipaux étant accourus, ces étrangers proclament leur projet d'aller à Étampes faire taxer le prix du blé. Pendant que les municipaux sont allés délibérer dans la maison commune, les instigateurs ont menacé, si l'on balance à les suivre, d'incendier la ville à l'heure même.... et l'on s'est mis à leur suite. Même manœuvre et même succès sur toute la route, jusqu'à la ville d'Étampes, où la troupe grossie paraît vers sept heures du matin[9].

Sur le marché d'Étampes, sept heures d'agitations et de tumulte amènent le maire à réagir[10]. Simonneau va à la maison commune, se disposant à retourner avec la municipalité sur la place du marché, malgré l'opposition et les instances de ses amis. Il demande, pour la dernière fois, à l'officier qui commande le détachement composé de 80 hommes du 18e régiment de cavalerie, ci-devant Berri :

- Si lui, officier, il pouvait compter sur sa troupe, à quoi l'officier a répondu :

- Comme sur moi-même.[11].

La veille, cet officier avait demandé des cartouches, et le maire lui en avait fait donner[12], ce qui a déplu à la troupe. Le rédacteur du Moniteur universel remarque que les cartouches avaient été distribuées la veille. Cela veut dire que les élus et les militaires se préparaient certainement à des émeutes à Étampes.

Les propos de l’officier, qui pourtant est au courant que ses hommes refusent d’emmener des mousquetons chargés, rassurent Simonneau. Il va sur le marché uniquement avec cette escorte et quelques élus. Vers seize heures, le détachement de cavalerie, ayant le maire et la municipalité dans son centre, s'avancent sur la place du marché, et il n'y a pas un seul cavalier qui a un mousqueton[2].

Le massacre de Simonneau annonce t'il les massacres de Septembre?

Arrivé sur la place du marché Saint-Gilles, le détachement ayant toujours dans son centre le maire et la municipalité, est tourné par le peuple. Celui-ci dit aux émeutiers :

- Ma vie est à vous, vous pouvez me tuer ; mais je ne manquerai pas à mon devoir ; la loi me défend ce que vous exigez de moi[13].

Comme il ne veut pas obliger les paysans et les marchands à diminuer le prix de leur blé et du pain[14], il est frappé de plusieurs coups de bâtons au milieu des militaires[15]. Et puis, le premier et le second coup de fusil sont tirés sur le maire d'Étampes. Les 80 militaires fuient. Il ne reste que deux cavaliers, et le malheureux maire expirant, qui saisit la bride des chevaux, en criant :

- A moi ! mes amis!

L’un de ces cavaliers se dégage par un coup de sabre qui abat le bras du maire déjà expirant[16]. Le procureur de la commune, Sédillon, est sérieusement blessé. Le meurtre commis, la troupe retirée, les scélérats sont restés maîtres de la place. Plus de vingt coups de fusils sont tirés sur le cadavre de l'infortuné maire, et toutes les horreurs de Cannibales ont été exercées sur ses restes défigurés et palpitants[9]. Les quinze scélérats ayant fait défiler leur troupe au son du tambour sur le cadavre, seul objet de leur complot, se retirent et sortent d'Étampes, tambour battant, en criant : Vive la nation ![9].

Le rédacteur du Moniteur universel s’interrogera sur ce drame. Par les témoignages de ses lecteurs, il apprendra que les meneurs, avant d’arriver au marché, sont allés boire à trois quarts de lieue d'Étampes, dans un village qu'on appelle Saint-Michel. Là, ils se sont enivrés, et en payant une dépense assez forte, ils ont laissé voir quantité d'assignats. Ce fait est incontestable. Autre remarque essentielle : pendant que, sur le marché, les émeutiers massacraient le maire pour obtenir du blé bon marché, plusieurs des meneurs se sont présentés chez des marchands de blé, demandant qu'on le leur vende à 24 livres. Un des marchands, M. Hamony, le leur a de lui-même offert à 22 livres et n'en a pas vendu un seul sac. Nul marchand n'est pillé sur le marché Saint-Gilles; on n'a pas enlevé un grain de blé, comme lors d’une émeute frumentaire habituelle. Le maire est tué à coup de fusils, et pas par des instruments de labourage[9]. Toutefois aucune enquête sérieuse ne permettra de savoir pour quelle raison, ou pour qui agissent ce 3 mars 1792 ces douze ou quinze hommes.

La cérémonie nationale

Le meurtre trouve un grand retentissement dans toute la France.

La garde nationale se plaint à la municipalité de Paris du scandale de son silence. Elle demande à Assemblée législative que la mémoire du maire Simonneau soit consacrée par une fête publique. Ce souhait est aussi celui des Sociétés populaires[15]. L’Assemblée législative voit en Simonneau un martyr de la Liberté et de la Fidélité à la Loi.

Antoine Chrysostome Quatremère de Quincy, député du département de Paris à l'Assemblée législative fait décréter le 12 mai 1792, malgré une vive opposition de la Montagne, une fête pour honorer la mémoire de Jacques Guillaume Simonneau.

L’Assemblée législative fait célébrer en sa mémoire une Fête de la Loi, le 3 juin 1792, à Paris[13]. Elle veut lui décerner un monument[17] sur la place Saint-Gilles, où il a été assassiné.

D’autres villes organisent des services funèbres. À Blois, c’est l’abbé Grégoire qui est l’auteur du discours qu’il prononce en la cathédrale[18].

Jean-Charles Jumel prononce l’Oraison funèbre de Jacques Guillaume Simonneau, maire d'Estampes martyr de la loi, le 29 mars, au service solennel célébré dans l'église cathédrale de Tulle.

A Paris, une musique lugubre et touchante, deux cent mille spectateurs, la gendarmerie à pied, les soixante bataillons de la garde nationale, un modèle en pierre de la Bastille, des députations des quarante-huit sections de la capitale, marchent, précédées d’un drapeau portant pour inscription "Indivisibles"[19]. Les représentants des différents tribunaux, les citoyens qui l’ont défendu, des groupes de vieillards, d’enfants, de femmes, des députés, et cinq régiments de troupes de ligne ou de chasseurs, dont celui des gardes suisses, lui rendent hommage. Même le peintre David a composé une œuvre d'art gigantesque.

Le Panthéon de Paris en 1792.

Ce cortège se rend au champ de la Fédération par les boulevards, la place Louis XV et le pont Louis XVI.

La cérémonie funèbre en l'honneur de Jacques Guillaume Simonneau, maire d'Étampes, le 3 juin 1792 a lieu en l’église de la Madeleine, qui n'est pas encore tout à fait terminée.

Le dimanche 3 juin 1792, lors une cérémonie nationale, consacrée au respect de la loi, on accroche aux voûtes du Panthéon de Paris l'écharpe tricolore du maire d'Étampes, Jacques Guillaume Simonneau, mort le 3 mars 1792, victime de son dévouement à la Patrie[20].

Le jugement des coupables

Un jugement est rendu à Versailles, le 22 juillet 1792. Il condamne à la peine de mort les nommés Gérard Henri, ancien garde-chasse à Étampes, et Baudet Gabriel, charretier à Étampes, ancien carabinier. Dans ce jugement il est dit que ces deux individus seraient exécutés à Étampes, sur la place Saint-Gilles et seraient conduits à l’échafaud vêtus d’une chemise rouge (destinée aux assassins et empoisonneurs[21]); mais les évènements de la Révolution se précipitant, les condamnés, protégés par Robespierre, ne seront pas guillotinés.

Des gardes nationaux marseillais et parisiens dirigés par Claude Fournier-L'Héritier dit Fournier l'américain, séjourneront à Étampes et libèreront les prisonniers[22]. Ces hommes sont parmi les auteurs des massacres du 9 septembre 1792 à Versailles.

L’opinion des Français

Programme arrêté par le directoire du département de Paris, pour la fête décrétée par l'Assemblée nationale, le 18 mars 1792, à la mémoire de Jacques Guillaume Simonneau, maire d'Étampes, mort à son poste pour la défense de la loi.

L’ampleur des fêtes et la participation du peuple et des élus à ces fêtes grandioses montrent que la majorité des Français réprouvent cet assassinat. Au palais des Tuileries, les 700 proches de la famille royale s’en inquiètent. Madame de Tourzel dans ses Mémoires écrira : La France était livrée dans toutes ses provinces aux brigandages les plus affreux. Les bois étaient dévastés, les greniers pillés, la circulation des grains arrêtée par des paysans, qui, sous prétexte de la crainte de disette, refusaient de les laisser sortir de la province où ils abondaient pour alimenter celles qui en manquaient, quoiqu’elles les eussent payés d'avance. Les riches propriétaires n’étaient plus en sûreté contre les pillages; tout annonçait une prompte dissolution. Simonneau, maire d'Étampes ayant voulu s’opposer à ces excès, fut assassiné par ces furieux, qui hachèrent en pièces un fermier des environs[23].

Bien qu'acquis aux principes des Lumières, parce que riche, il est soupçonné d’être un accapareur et de soutenir la spéculation. Mais les travaux de son commerce font subsister plus de trente familles, et lui et les siens n’agissent en rien comme des spéculateurs. Après sa mort, son fils quittera ses études pour se mettre à la tête du commerce de son père, moins pour augmenter sa fortune déjà suffisante pour avoir une existence heureuse, mais dans le dessein de soutenir une maison de commerce utile à un grand nombre de familles laborieuses. C'est la première consolation que ce digne jeune homme saura donner à sa respectable mère[9] Sa femme est une bonne citoyenne, comme son mari et son fils, elle refusera les importants dédommagements pécuniaires que le président de l’Assemblée nationale lui offre pour ses enfants. La fortune publique doit être réservée pour les personnes sans ressources. Mes enfants, dira-t-elle dans cette lettre, mes enfants n’en ont pas besoin, je veux qu’il héritent dans toute sa pureté du dévouement de leur père pour que, riches d’un bien qui ne peut périr, ils sachent mourir comme lui pour la patrie et pour la loi, sans autre récompense que celle d’avoir rempli leur devoir France[24].

Les accusations contre Simonneau en mars 1792

Un certain Dolivier présente aux jacobins le 29 avril, puis à l’Assemblée législative, le 1er mai, un texte expliquant les causes des violences qui ne rencontre aucun succès : son radicalisme fait peur. Dolivier rédige une pétition qui est signée par quarante citoyens d'Étampes.

Autre caricature britannique, hostile à la Révolution française.

Le texte dépasse le cadre de l’affaire Simonneau. Deux conceptions de l’économie s’affrontent : le libéralisme économique de la Législative et une certaine forme de pré-communisme : Il est révoltant que l’homme riche et tout ce qui l’entoure, gens, chiens et chevaux, ne manquent de rien, dans leur oisiveté, et que ce qui ne gagne sa vie qu’à force de travail, hommes et bêtes, succombe sous le double fardeau de la peine et du jeûne. Je prétends donc que dans des circonstances, en temps de disette, la denrée alimentaire ne doit pas être abandonnée à une liberté indéfinie qui sert si mal le pauvre, mais qu’elle doit être tellement dispensée que chacun se ressente du fléau de la nature et que nul n’en soit accablé.

Dolivier va plus loin encore, quand il rédige une apologie véhémente de la classe populaire et formule, au nom du droit naturel à l’existence, une remise en cause radicale du droit de propriété et de l’obéissance à la loi. La classe infime du peuple est bien plus près de la philosophie du droit, autrement dit de l’équité naturelle, que toutes les classes supérieures qui ne font que s’en éloigner progressivement. (...) Sans remonter aux véritables principes d’après lesquels la propriété peut et dit avoir lieu, il est certain que ceux qu’on appelle propriétaires ne le sont qu’à titre de bénéfice de la loi. La Nation seule est réellement propriétaire de son terrain. Or en supposant que la Nation ait pu et du admettre le mode qui existe pour les propriétés partielles et leur transmission, a-t-elle pu le faire tellement qu’elle se soit dépouillée de son droit de souveraineté sur les produits et a-t-elle pu tellement accorder de droits aux propriétaires qu’elle n’en ait laissé aucun à ceux qui ne le sont point, pas même ceux de l’imprescriptible nature ? [25].

Seul Robespierre, qui avait pris le parti des habitants d'Étampes, osera défendre Dolivier aux Jacobins, et publier sa pétition dans son journal, Le Défenseur de la Constitution. Effectivement, cet évènement, qui a un impact énorme sur l’opinion en mars 1792, n’est rien comparé aux massacres de Septembre et aux exécutions massives pendant la Terreur.

La Loi du maximum général instituera le maximum décroissant du prix des grains, voulu par les assassins de Jacques Guillaume Simonneau, mais aussi par les 600 pauvres qui les accompagnaient. Toutefois, les paysans et les marchands, eux, n’en voudront pas. Sa suppression va pourtant être à l'origine d'une terrible famine après le 9 Thermidor.

Notes et références de l'article

  1. Son nom selon Histoire civile, politique, militaire, religieuse, morale et physique de la ..., par Jean Lambert Derheims, p.512
  2. a et b Histoire générale et impartiale des erreurs, des fautes et des crimes commis ..., par Louis Marie Prudhomme, p.32.
  3. Histoire parlementaire de la révolution française ou, Journal des assemblées ..., par Philippe Joseph Benjamin Buchez, Prosper Charles Roux, p. 421.
  4. AD Yvelines, série 5B, Etampes 1633.
  5. Histoire parlementaire de la révolution française ou, Journal des assemblées ... par Prosper Charles Roux, Philippe Joseph Benjamin Buchez, p.419.
  6. Biographie nouvelle des contemporains [1787-1820], par Antoine-Vincent Arnault, p.214.
  7. Histoire de la terreur, 1792-1794, par Louis Mortimer Ternaux, Mortimer Ternaux, p.99.
  8. L'Armée et la Garde nationale, par Charles Poisson, p.373.
  9. a, b, c, d et e Réimpression de l'ancien Moniteur universel, seule histoire authentique et inaltérée de ..., par A. Ray, p.573.
  10. Biographie universelle, ancienne et moderne, ou, Histoire par ordre ..., par Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud, p.266.
  11. Réimpression de l'ancien Moniteur universel seule histoire authentique et inaltérée de ..., par A. Ray
  12. Histoire générale et impartiale des erreurs, des fautes et des crimes commis ..., par Louis Marie Prudhomme, p.31.
  13. a et b Biographie universelle, ancienne et moderne, ou, Histoire par ordre ... par Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud, p.266.
  14. Biographie moderne, ou, Galerie historique, civile, militaire, politique ..., par Alph. de Beauchamp, Étienne Psaume, p.262.
  15. a et b L'Armée et la Garde nationale, par Charles Poisson, p.373.
  16. A-t-il coupé le bras du maire pour fuir ?
  17. Mémoires particuliers pour servir à l'histoire de la Révolution qui s'est ..., par Charles Georges Clermont-Gallerande, p.431.
  18. Discours prononcé en la cathédrale de Blois par l’abbé Grégoire.
  19. Anonyme. Fêtes et cérémonies révolutionnaires, p.257 et suivantes
  20. Histoire de la Terreur (1792-1794), Mortimer Ternaux, page 106, tome premier, deuxième édition, 1863, Michel Levy frères, libraires éditeur Paris.
  21. article 4, titre Ier, 1re partie, Code pénal de 1791
  22. Histoire de la terreur, 1792-1794, par Louis Mortimer Ternaux, Mortimer Ternaux, p.383.
  23. Citée par Guy de Rambaud, Pour l’amour du Dauphin.
  24. Lettre de la Dame Simonneau, Assemblée nationale législative (1791-1792).
  25. Extrait de l’article sur Pierre Dolivier (ou Dollivier) (1746-après 1817)

Voir aussi

Articles connexes

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