Histoire des yvelines

Histoire des yvelines

Histoire des Yvelines

L'histoire des Yvelines, département jeune sur le plan administratif puisqu'il est né seulement en 1968 en application de la loi du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, est celle d'une terre très anciennement peuplée, riche en monuments de différentes époques. Elle a été marquée par sa position géographique, à cheval sur la vallée de la Seine, voie privilégiée de développement grâce aux échanges commerciaux mais aussi voie d'invasion, entre Paris à l'est et la Normandie à l'ouest, ce qui en a fait longtemps un terrain d'affrontement. La proximité de la capitale a permis que plusieurs cités des Yvelines deviennent tour à tour des résidences royales : Poissy, Saint-Germain-en-Laye, Versailles.

Blason des Yvelines.
Le nouveau département a conservé le blason de l'ancienne Seine-et-Oise dans lequel les deux bandes ondées d'argent symbolisent la Seine et l'Oise[1]

Sommaire

Histoire générale du territoire des Yvelines

Préhistoire

La présence de peuplements humains dans les Yvelines est attestée depuis le paléolithique ancien (environ 400 000 ans avant Jésus-Christ). Des vestiges des différentes civilisations ont été retrouvés dans plus de 3000 sites ayant fait l'objet de fouilles archéologiques dans l'ensemble du département et témoignent des différentes civilisations qui se sont succédé jusqu'à l'âge du fer.

L'allée de la Justice à Élisabethville (Épône)

Plusieurs monuments mégalithiques[2] datant de la fin du néolithique (environ 2500 ans avant J.-C.) peuvent encore se voir en place dans leurs sites originels, pour la plupart dans la vallée de la Seine ou non loin de celle-ci. Ce sont notamment des sépultures collectives, allées couvertes ou dolmens, notamment les allées couvertes, comme l'« allée de la justice » à Épône (Élisabethville), la « cave aux fées » à Brueil-en-Vexin, l'« allée des gros murs » aux Mureaux, le « cher arpent » à L'Étang-la-Ville et la « pierre ardoue » à Saint-Léger-en-Yvelines ainsi que trois menhirs subsistant, la « pierre levée » à Drocourt, la « pierre drette » à Guitrancourt et la « pierre grise » à Neauphlette. Deux allées couvertes, celle de Conflans-Sainte-Honorine et celle d'Aubergenville (le « trou aux Anglais[3] »), ont été déplacées par mesure de sauvegarde et remontées dans les douves du château de Saint-Germain-en-Laye.

Période gauloise et gallo-romaine

A l'époque gauloise, le territoire actuel des Yvelines se trouvait principalement dans le domaine de la tribu des Carnutes qui s'étendait vers le sud jusqu'à Cenabum (Orléans) et englobait la vaste forêt d'Yveline. D'autres tribus étaient présentes sur les franges est, nord et ouest du département, dont assez curieusement les limites purement administratives suivent à peu près d'antiques frontières qui séparaient les Carnutes des Parisis à l'est, des Véliocasses au nord de la Seine et des Aulerques Éburovices à l'est.

La période gauloise a laissé peu de vestiges, le site le plus remarquable étant le sanctuaire de Bennecourt qui a subsisté jusqu'à l'époque gallo-romaine.

De l'époque gallo-romaine on a pu reconnaître plusieurs sites, dont celui de Diodurum (près de Pontchartrain qui se trouvait au croisement de deux importantes voies romaines ainsi que plusieurs villae, notamment à Richebourg, Limetz-Villez et aux Mesnuls (La Millière), et un sanctuaire dédié au dieu Mithra à Septeuil.

Du Moyen Âge à la veille de la Révolution

Selon une légende, la fleur de lys, emblème des rois de France, aurait son origine dans la forêt de Cruye (forêt de Marly), près de Saint-Germain-en-Laye[4]. Près du château de Montjoie où selon la tradition le roi Clovis venait séjourner, vivait près d'une fontaine un ermite que la très chrétienne reine Clotilde avait l'habitude de venir consulter. Un jour qu'elle était en prière avec le saint homme, un ange leur serait apparu et lui aurait demandé de remplacer l'écusson de son mari, portant trois croissants ou trois crapauds, par trois fleurs de lys qui brillaient d'une couleur d'or sur la plaine de l'actuel Joye-en-Val.

De l'époque mérovingienne, on a retrouvé de nombreuses nécropoles, dont la plus importante se trouve à Vicq au centre du département. La présence de croix dans les sépultures atteste de la christianisation du territoire entre le IVe et le VIIIe siècle.

Conclu le 11 juillet 911 , le traité de Saint-Clair-sur-Epte fixe sur le cours de l'Epte la frontière entre le royaume de France et le futur duché de Normandie. Cette limite encore celle qui délimite le territoire des Yvelines vers l'ouest.

A l'époque des rois capétiens, le territoire des Yvelines entre progressivement dans le domaine royal[5]. En 987, à l'avènement d'Hugues Capet, seule la chatellerie de Poissy, qui couvre le pays du Pincerais, en fait partie. De nombreux seigneurs locaux sont les vassaux du roi de France, mais certaines familles puissantes contestent sa suzeraineté : les comtes de Meulan, les comtes de Vexin au nord, les comtes de Montfort, les seigneurs de Rochefort au sud.

La reddition de Mantes en 1449 par les soldats anglais à Jean de Dunois
par Martial d'Auvergne (Vigilles de Charles VII à neuf psaumes et neuf leçons)

Au XIIe siècle, des chartes communales sont accordées à trois villes riveraines de la Seine, Mantes, Poissy et Meulan, par le roi pour les deux premières, par le seigneur local, le comte Robert III pour la dernière. Ces communes sont des personnes morales qui se gèrent librement, mais Meulan renoncera à ce statut en 1320, la communauté communale ne pouvant assumer ses charges. En 1188, la ville de Chevreuse obtient aussi le droit d'élire un prévôt et des échevins.

La guerre de Cent Ans éprouve durement le territoire. Après avoir pris la Normandie, les Anglais occupent les villes de la vallée de la Seine, Mantes, Meulan et Poissy, où le roi d'Angleterre Édouard III s'installe dès août 1346[6] et juste avant la bataille de Crécy. Du 13 au 16 août 1346, c'est la chevauchée du prince de Galles, Édouard de Woodstock, fils aîné d'Édouard III d'Angleterre, dit le Prince noir, âgé de seize ans, qui partant de Poissy incendie l'abbaye de Joyenval et le château de Saint-Germain et poursuit ses dévastations vers l'est jusqu'à Bourg-la-reine[7]. Mantes-la-Jolie n'est définitivement libérée qu'en 1449.

En 1561, du 9 au 26 septembre, se tient le colloque dit de Poissy[8], à l'initiative de Catherine de Médicis qui réunit réunit 46 prélats catholiques, 12 ministres du culte protestant et une quarantaine de théologiens afin de maintenir la paix religieuse en France. Mais l'assemblée, prolongée au château de Saint-Germain-en-Laye se termine sur un échec.

Le 17 janvier 1562, Catherine de Médicis fait signer au roi Charles IX, alors âgé de douze ans, l'édit de Saint-Germain, un édit de tolérance qui autorise les réformés à pratiquer leur religion dans certaines conditions mais qui n'empêche pas le déclenchement des guerres de religion. Celles-ci frappent la région, Poissy est prise et pillée par les Huguenots en 1567[9].

En 1631, le roi Louis XIII fit construire le premier château de Versailles sur l'emplacement d'un pavillon de chasse acquis en 1624, et en 1632 acquiert les droits seigneuriaux de Versailles.

En 1682, Louis XIV décide de transférer la Cour à Versailles.

En 1760, Christophe-Philippe Oberkampf crée à Jouy-en-Josas la manufacture de toiles imprimées (connues sous le nom de toile de Jouy), qui deviendra « manufacture royale en 1783.

De la Révolution à la Grande Guerre

Versailles, ville du roi et siège du gouvernement, fut aussi le théâtre d'événements de portée nationale qui marquèrent la première phase de la Révolution au cours de l'été 1789.

Le Serment du Jeu de paume par Jacques-Louis David (Musée du château de Versailles)

Le 4 mai 1789, les États généraux s'ouvrent dans la salle de l'assemblée des Notables à Versailles. Le 17 juin, les États généraux, sur proposition de l’abbé Sieyès, prennent le titre d’« Assemblée nationale ». Le 20 juin, les députés du tiers état réunis dans la salle du Jeu de paume prêtent le serment du Jeu de paume et s’engagent à ne pas se séparer avant d’avoir donné une Constitution écrite à la France. Le 9 juillet, l'Assemblée se proclame Assemblée constituante.

Dès l'automne 1789, Versailles est désertée par le roi, l'Assemblée et les administrations, partis à Paris, et perd rapidement la moitié de sa population qui tombera à moins de 27 000 habitants en 1806.

Le 4 mars 1790, le département de Seine-et-Oise est créé en application de la loi du 22 décembre 1789. Son territoire qui participe du démembrement de l'ancienne province d'Île-de-France a une forme particulière enclavant totalement Paris (département de la Seine). Il est composé de neuf « districts » : Corbeil, Dourdan, Étampes, Gonesse, Mantes, Montfort, Pontoise, Saint-Germain et Versailles. Le chef-lieu est fixé à Versailles, finalement préférée à ses concurrentes : Saint-Germain-en-Laye, Étampes et Pontoise. La ville récupère ainsi l'administration du département, qui comprend une assemblée de 36 membres et un directoire de huit membres. Ces organes de direction étaient flanqués de « représentants du peuple en mission » qui exerçaient la réalité du pouvoir.

Plaque commémorative de la bataille de Rocquencourt

Le 9 septembre 1792, Versailles fut le théâtre de massacres à l'encontre de prisonniers d'Orléans dont le convoi passait par la ville, puis dans les prisons de la ville où les tueries se poursuivirent les jours suivants. On estime le nombre de victimes à 70[10]

Napoléon fait de fréquents séjours au château de Rambouillet. C'est lui qui décide la création de l'arrondissement de Rambouillet en 1811[11]. Il y passe la nuit du 29 au 30 juin 1815, sa dernière nuit dans un château français, avant de partir en exil pour Sainte-Hélène.

Le 1er juillet 1815 eut lieu la bataille de Rocquencourt, dans laquelle le général Exelmans défit une brigade prussienne de l'armée de Blücher. Victoire sans lendemain, l'état-major français ayant décidé de signer l'armistice dès le 3 juillet suivant.

Le 2 août 1830, Charles X, retiré au château de Rambouillet, abdique et part en exil pour l'Écosse.

Les châteaux royaux sont reconvertis en musées.
Le 10 juin 1837, le roi Louis-Philippe inaugure le musée historique nouvellement installé dans le château de Versailles. Napoléon III décide par décret du 9 mars 1862[12] la création d'un musée d’antiquités celtiques et gallo-romaines dans le château de Saint-Germain-en-Laye. L'inauguration a lieu en 1867.

La guerre franco-prussienne et la Commune

Proclamantion de l'Empire allemand en 1871 par Anton von Werner (Bismarck-Museum - Friedrichsruh)

Immédiatement après la capitulation de Sedan le 2 septembre 1870, les troupes prussiennes font leur entrée à Versailles. Le 18 septembre un premier détachement de huit hussards de la Mort se présente et le lendemain ce sont plusieurs régiments de cavalerie. Les Prussiens font de la ville leur quartier général. L'occupation est très dure pour Versailles et la région. Un préfet allemand, Von Brautshitch, est nommé, qui fait rapidement arrêter le maire de Versailles, Rameau, et ses conseillers. Ils sont pris en otage jusqu'au 6 janvier 1871. Dans tout le territoire actuel des Yvelines, des accrochages opposent les troupes prussiennes à des francs-tireurs. De lourdes représailles sont exercées contre la population : ainsi le 22 septembre, Mézières-sur-Seine est en partie incendiée, en octobre Ablis est mise à sac, Bréval incendié le 1er novembre après qu'un Allemand ait été tué sur la place du village...

Le 18 juin 1871, humiliation suprême pour les Français, le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume 1er, se fait proclamer empereur d'Allemagne dans la Galerie des Glaces.

Versailles fut par la suite le cadre d'un autre événement historique : la signature le 28 juin 1919 du Traité de Versailles qui mit fin à la Première Guerre mondiale. Revanche voulue par Clemenceau : la cérémonie eut lieu dans la même galerie des Glaces.

L’Avion III de Clément Ader

Le 11 novembre 1876 est mis en service le premier réseau, à traction hippomobile, des tramways versaillais[13]. Il sera par la suite, en octobre 1895, repris et électrifié par la SVTE (Société versaillaise de tramways électriques). Le réseau fonctionna jusqu'en octobre 1953 avant d'être remplacé par des services de bus urbains.

Les Yvelines sont le théâtre de plusieurs épisodes des débuts de l'aviation.

  • 1852, le 24 septembre, Henri Giffard fait un vol de démonstration entre Paris et Trappes à la vitesse de 7 km/h dans un aérostat[, ballon de 2 500 m³ qui utilise une petite machine à vapeur pour se propulser.
    Le dirigeable Giffard en 1852
  • Clément Ader effectue sur le plateau de Satory près de Versailles un des ses premiers vols en 1890 avec Éole, puis le 14 octobre 1897 avec l' Avion n° 3, son premier vol de 300 mètres, essai qui se termine mal et entraîne la destruction de l'appareil et l'abandon de ses recherches par Ader[14]. Un monument situé à Versailles célèbre cet exploit intervenu six ans avant le premier vol des frères Wright. En 1909, Santos-Dumont relie Satory à Buc, distant de huit kilomètres en cinq minutes à bord de la Demoiselle. En février 1910, Le comte de Lambert découvre le site de Villacoublay où rapidement s'installent une école de pilotage et une usine de montage d'avion[15].

De la Grande Guerre à nos jours

Les Yvelines ont été aussi le témoin de la première ligne de chemin de fer ouverte aux voyageurs en France entre Paris et Le Pecq en 1837, puis au XXe siècle de la première autoroute française entre Saint-Cloud et Orgeval à partir de 1939.

L'année 1910 est marquée par la grande crue de la Seine qui affecte les communes riveraines du fleuve entre le 20 janvier et le 2 février.

En juin 1940, la majeure partie de la population fuit devant l'avance de l'armée allemande, c'est l'exode qui laisse presque vides la plupart des agglomérations. Ainsi à Versailles, il ne subsiste que 10 000 habitants sur 60 000[16]. Les Allemands franchissent la Seine, malgré la destruction des ponts, dès le 13 juin et Versailles est occupée comme le reste du département.

L'année 1944 est marquée par de nombreux bombardements alliés qui visent notamment les ponts sur la Seine, les gares et les zones industrielles. Certains font de nombreuses victimes parmi la population, comme à Trappes ,à Mantes-la Jolie dont le centre ancien est dévasté et à Versailles même. la libération du département par l'armée américaine intervient entre le 19 et le 24 août 1944.

Le 2 avril 1951, le général Eisenhower établit les quartiers généraux du Commandement Allié en Europe (ACE, Allied Command Europe ou SHAPE, Supreme Headquarters Allied Powers Europe) nouvellement créé, à Rocquencourt, à Camp Voluceau.

Quartier général du Commandement allié en Europe vers 1960

[17]

En 1954, les quartiers généraux du Commandement des États-Unis en Europe furent transférés au Camp des Loges (militaire), afin d’être plus près des quartiers généraux du SHAPE et y restèrent jusqu’au retrait de l’OTAN et des Forces américaines de la France en 1966 après que le président Charles de Gaulle eut annoncé le retrait de la France du commandement militaire intégré de l'OTAN au mois de mars de la même année.

Deux réunions au sommet du groupe des pays les plus industrialisés (actuellement le G8) se sont tenues dans les Yvelines : la première du genre (G6) en 1975 au château de Rambouillet réunie à l'initiative du président Valéry Giscard d'Estaing rassemblait six pays (l'Allemagne (Helmut Schmidt), les États-Unis (Gerald Ford), la France, l'Italie (Aldo Moro), le Japon (Takeo Miki) et le Royaume-Uni (Harold Wilson), puis la huitième en 1982 sous la présidence de François Mitterrand au château de Versailles.

En 1972, création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines en application de l'art. 3 de la loi n° 70-610 du 10 juillet 1970 tendant à faciliter la création d'agglomérations nouvelles[18].

En 1999, le château de Rambouillet fut le théâtre de l'accord de Rambouillet, proposition d'accord de paix entre la Yougoslavie et les Albanais du Kosovo.

En novembre 2005, la vague de violence urbaine qui touche la banlieue parisienne n'épargne pas les Yvelines. Elle ne fait pas de victimes mais embrase toutes les cités dites « sensibles » à Achères, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Sartrouville, Trappes-en-Yvelines, Chanteloup-les-Vignes. L'état d'urgence est décrété dans l'ensemble du département le 8 novembre[19] d'abord pour 12 jours, puis prolongé trois mois.

Histoire administrative du département des Yvelines

  • 1964 (loi du 10 juillet[20]) : la création du département des Yvelines est décidée, ses limites sont fixées (partie ouest de l'ancien département de Seine-et-Oise, à savoir la presque totalité des arrondissements de Mantes-la-Jolie, Saint-Germain-en-Laye et Versailles, une grande partie de l'arrondissement de Rambouillet et une petite partie de l'arrondissement de Pontoise)
  • 1965 (décret du 25 février) : le chef-lieu du département est fixé à Versailles
  • 1966 (décret du 2 juin) : les 4 arrondissements sont délimités
  • 1967 (décret du 20 juillet) : création des 31 cantons des Yvelines
  • 1967 (décret du 19 septembre) : l'entrée en vigueur complète de la loi du 10 juillet 1964 est fixée au 1er janvier 1968
  • 1968 (1er janvier) : création officielle du département des Yvelines et entrée en fonction du conseil général élu en 1967
  • 1969 (décret du 21 novembre) : rattachement des communes de Châteaufort et Toussus-le-Noble au détriment de l'Essonne
  • 1976 (décret du 15 janvier) : le nombre de cantons est porté à 37
  • 1982 (décret du 15 janvier) : le nombre de cantons est porté à 38
  • 1985 (décret du 31 janvier) : le nombre de cantons est porté à 39

Notes et références

  1. Source : Connaître les Yvelines, 1er semestre 1992, p. 4, revue éditée par le Conseil général des Yvelines.
  2. John Peek, Inventaire des mégalithes de France, 4 - Région parisienne, CNRS, 1975.
  3. Le « Trou aux Anglais » sur le site du service archéologique des Yvelines
  4. François Boulet, Leçon d'histoire de France - Saint-Germain-en-Laye, des antiquités nationales à une ville internationale, Les presses franciliennes, 2006, (ISBN 2-9520091-8-X), p. 22.
  5. Histoire et patrimoine des Yvelines de Hugues Capet à Philippe Auguste, Connaître les Yvelines, Conseil général des Yvelines, 1988.
  6. Marcel Delafosse, Des Carolingiens à la guerre de Cent Ans in Les Yvelines, Projet Éditions, 1988, p. 61.
  7. François Boulet, op. cit. p.38.
  8. Colloque de Poissy
  9. Marcel Delafosse, op. cit., p.66.
  10. Versailles, ville royale, Jacques Levron, éd. La Nef de Paris, 1964.
  11. Monique Bardy, La grande histoire des Yvelines, p. 238.
  12. Histoire du musée, Musée d'archéologie nationale.
  13. Histoire des tramways versaillais, site personnel
  14. Clément Ader et ses vols, EADS.
  15. Jean-Gérard Pimpaneau, Un riche passé aéronautique, Les Yvelines, Projet Éditions, 1990, p. 390.
  16. Les Yvelines, sous la direction de Françoise Jenn, Projets Éditions, 1990, (ISBN 2-905282-27-4), p. 99.
  17. [1] Localisation sur Google Maps
  18. Décret du 11 août 1972 portant création de l'agglomération nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines [pdf]
  19. Fil-info-France.com
  20. Loi portant réorganisation de la région parisienne, n°64-707, 10 juillet 1964

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • La grande histoire des Yvelines, les 262 communes d'Ablis à Voisins-le-Bretonneux, Monique Bardy, Édijac, Pontoise, 1989. (ISBN 2-904625-25-6)
  • Inventaire des mégalithes de France, 4 - Région parisienne, John Peek, CNRS, Paris, 1975.
  • Antiquités gauloises et gallo-romaines de l'arrondissement de Mantes (Seine-et-Oise), Armand Cassan, 1835.

Liens externes

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