La Queue-en-Brie

La Queue-en-Brie

48° 47′ 24″ N 2° 34′ 39″ E / 48.79, 2.5775

La Queue-en-Brie
Le vieux village de La Queue-en-Brie
Le vieux village de La Queue-en-Brie
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Arrondissement de Nogent-sur-Marne
Canton Canton d'Ormesson-sur-Marne
Code commune 94060
Code postal 94510
Maire
Mandat en cours
Jean Jacques Darves (PCF)
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne
Site web http://www.laqueueenbrie.fr
Démographie
Population 11 439 hab. (2008)
Densité 1 249 hab./km²
Gentilé Caudaciens, Caudaciennes
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 24″ Nord
       2° 34′ 39″ Est
/ 48.79, 2.5775
Altitudes mini. 69 m — maxi. 107 m
Superficie 9,16 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

La Queue-en-Brie (prononcer la kø.ɑ̃.bʁi Prononciation du titre dans sa version originale) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne et la région Île-de-France.

Sommaire

Géographie

Situation

Localisation de La Queue-en-Brie dans la "petite couronne" de Paris

La Queue-en-Brie est située à 17,9 kilomètres du centre de Paris à vol d'oiseau.

Elle est la commune située le plus à l'est du département du Val-de-Marne et, de ce fait, la commune la plus à l'est de la petite couronne de Paris.

Le 1er janvier 1968, en application de la loi du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, le département de Seine-et-Oise est supprimé et La Queue-en-Brie rejoint l'actuel département du Val-de-Marne.

Communes limitrophes

Relief et géologie

Hydrographie

On compte un seul cours d'eau dans le territoire communal, il s'agit du Morbras, ruisseau affluent de la Marne de 17,3 km de long.

La forêt domaniale de Notre-Dame au sud de la commune, abrite une vingtaine de mares abritant de nombreux batraciens et reptiles.

Urbanisme

Quartiers, lieux-dits et écarts

L'hôtel de ville, plus haut bâtiment de la commune, construit en 1975.

Comme la plupart des villes médiévales, La Queue-en-Brie s'est développée en absorbant au fil du temps les écarts avoisinants le vieux-village.

Le vieux-village[1] Situé au sud de la commune, le quartier traversé par le Morbras représente le centre historique de La Queue-en-Brie. On y trouve donc naturellement l'essentiel du patrimoine historique et religieux caudacien.
La Pierre Lais[2] Ancien lieu-dit, son toponyme est révélateur de la potentielle existence d'un monolithe aujourd'hui disparu.
Les Marnières[3] Le lieu-dit des Marnières, accueillant depuis les années 1970 la résidence des Marnières, est un lieu avéré d'occupation gallo-romaine ; en témoigne l'abondance de scories retrouvées pendant des fouilles archéologiques.
Le centre-ville[4] C'est le nouveau centre-ville de la commune depuis le déplacement de la mairie en 1975.
Les Bordes [5] C'est un quartier résidentiel construit sur d'anciennes zones agricoles.
Le bois des friches [6] C'est un quartier résidentiel boisé et traversé par le Morbras dont les premières constructions ont été achevées au mois de juin 1975[7].
Les Ormoies [5] C'est un ensemble de trois quartiers résidentiels situés entre le bois des friches et l'actuel centre-ville.
Le Val Fleuri [3] C'est un quartier résidentiel construit entre le quartier des Marnières et le bois Lacroix.
Les 3F C'est un quartier construit en 2007[5] sur un terrain vague jouxtant la halle des Violettes et la vallée du Morbras.

Transports en commun

La Queue-en-Brie ne disposant d'aucune voie ferrée, son réseau de transports en commun repose uniquement sur trois lignes de bus :


Champigny Saint-Maur (RER) (A) ↔ La Queue-en-Brie ↔ Pontault-Combault (RER) (E) dessert :


Sucy en Brie (RER) (A)Noiseau ↔ La Queue en Brie Hôpital des Murets

Réseau routier

La route nationale 4, axe routier historique, traverse la ville au sud.

Histoire

Article détaillé : Chronologie de La Queue-en-Brie.

Héraldique

Blason de La Queue-en-Brie

D'argent à la rivière du champ en fasce, à la tour de gueules maçonnée de sable de sable brochante, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or[9].

Les origines

La Queue-en-Brie se situe en bordure du massif forestier de l'Arc Boisé, haut lieu d'occupation préhistorique en Île-de-France.

Les différentes fouilles archéologiques menées lors de travaux de construction ont mis en évidence une occupation humaine importante dans la vallée du Morbras au cours du néolithique. Des terrasses ont pu être aménagées en bordure du Morbras, en attestent les nombreux sites découverts sur le territoire communal.

La découvert d'une amulette en plomb à l'effigie d'une vierge allaitant l'enfant Jésus datée du XIIe siècle[10] indique l'occupation protohistorique des lieux.

Des indices d'occupation gallo-romaine ont été trouvés au sud du domaine des Marmousets (meule du IIIe siècle[11]), et des foyers ayant servi à la réduction de minerai de fer ont été mis en évidence aux Marnières.

Le Moyen Âge

L'époque moderne

L'époque contemporaine

Devise

La devise de la commune est « De Brie, toujours fidèle à la France ».

La Queue-en-Brie partage également avec Le Plessis-Trévise[12] la devise « La ville à la campagne »[13]. En effet, la proximité à la fois des commerces (zones d'activités de Pontault-Combault, Ormesson-sur-Marne) et des zones boisées (Forêt de Notre-Dame, Bois des Marmousets, Bois Lacroix) offre un cadre de vie singulier.

Politique et administration

En 2005, la commune de La Queue-en-Brie a été récompensée par le label « Ville Internet @ »[14].

Tendances politiques

Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
2001 en cours Jean-Jacques Darves PCF  
1995 2001 Jacques Aubry UDF  
1983 1994 Roger Fontanille RPR  

Sécurité

Intercommunalité

La Queue-en-Brie appartient à la Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne[16].

Jumelages

La Queue-en-Brie n'est actuellement jumelée avec aucune ville.
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Population et société

Démographie

Évolution démographique

En 2008, La Queue-en-Brie est la 38e commune la plus peuplée du Val-de-Marne (sur 47) et la 813e au niveau national.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 459 428 431 515 497 467 474 462 512
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 450 580 600 559 629 712 723 701 707
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 519 502 554 393 524 562 481 430 771
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 996 3 009 7 140 9 722 9 897 10 868 11 388 11 392 11 439[17]
Notes, sources, ... Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Sources : Base Cassini de l'EHESS[18] et Insee)

La population communale ne cesse de croître. De nombreux projets immobiliers (principalement de nature pavillonnaire) voient le jour dans les années 2000 : Plaine de bordes, Rue de Stockholm, Rue Jean Jaurès.

Pyramide des âges

Pyramide des âges en 2007 en nombre d'individus[19].
Hommes Classe d'âge Femmes
90 et +
20 
110 
75 à 89
173 
622 
60 à 74
609 
1 070 
45 à 59
1 210 
1 340 
30 à 44
1 433 
1 091 
15 à 29
1 054 
1 384 
0 à 14
1 275 
Pyramide des âges en 2007 en pourcentage[19].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90 et +
0,3 
2,0 
75 à 89
3,0 
11,1 
60 à 74
10,6 
19,0 
45 à 59
21,0 
23,8 
30 à 44
24,8 
19,4 
15 à 29
18,2 
24,6 
0 à 14
22,1 

Répartition des ménages

[20]

Éducation

Établissements éducatifs

Collège Jean Moulin

Cultes

Manifestations culturelles et festivités

Sport

Installations sportives

Stade Robert Barran

Le stade Robert Barran — nommé en l'honneur du célèbre joueur de rugby à XIII et rugby à XV qui s'illustra notamment en championnat et coupe de France entre 1944 et 1947 — propose les équipements suivants :

Il peut accueillir jusqu'à 2 300 personnes, dont 300 dans ses tribunes.

Le stade Léo Lagrange — nommé en l'honneur d'un homme politique français — propose un terrain de football ainsi qu'un terrain de basket-ball.

Le stade annexe situé près de la résidence des Marnières est un lieu ouvert au public, où s'entraînent différentes équipes de la commune, ainsi que les élèves des écoles élémentaires et du collège Jean Moulin. C'est aussi un lieu de rendez-vous, notamment le 14 juillet de chaque année, puisque c'est ici qu'est tiré le feu d'artifice célébrant la fête nationale.

La halle des Violettes est une salle polyvalente accompagnée de vestiaires.

Le gymnase Pierre de Coubertin — nommé en l'honneur d'un historien et pédagogue français — est situé entre les écoles Lamartine et Pasteur, et propose les équipements suivants :

La plaine de jeu du Liquidambar est un terrain aménagé dans le centre-ville qui propose un petit terrain de sports collectifs (football, basket-ball) ainsi que de nombreux équipements de loisir (balançoires, toboggans, etc).

Le centre départemental de modélisme des Marmousets, géré par l'association loi 1901 club Modélisme Des Marmousets (ou c2m)[21] est un site de 12 hectares consacré au modélisme sous toutes ses formes : pilotage à distance de véhicules terrestres, avions, hélicoptères, etc.

Équipes et associations sportives

L'association Entente Sportive Caudacienne, fondée le 28 février 1968 propose 15 sections sportives[22] : l'athlétisme, le badminton, la boxe française, le football, le football américain, le futsal, la gymnastique volontaire, le handball, le judo, le karaté, la lutte, le pancrace, le tennis, le tir à l'arc et le volley-ball.

L'équipe de football américain les Gladiateurs de la Queue-en-Brie — créée en 2001 — s'entraîne régulièrement au stade annexe et au stade Robert Barran, en compagnie de ses pom-pom girls. Le club évolue pour la première fois de son histoire en deuxième division de casque d'or pour la saison 2011.

L'Entente Sportive Caudacienne de Football (ES Caudacienne)[23], s'entraîne au stade Léo Lagrange et moins souvent au stade Robert Barran.

Médias

Port Saint Nicolas[24] est un site web réalisé à l'origine (6 décembre 1995[25]) par des paroissiens de La Queue-en-Brie comme premier site Web catholique francophone[26]. Depuis 1998, il n'y a plus de lien direct entre le site et La Queue-en-Brie. Selon le journal La Croix, ce site est « une référence de l'Internet catholique francophone »[27].

Vivre ensemble, le magazine municipal d'information édité plusieurs fois par an par la mairie, présente aux caudaciens un discours du maire, des informations sur le service public et l'administration, les travaux en cours de réalisation ou à venir et l'actualité de la commune[28] .

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Emploi au lieu de travail La Queue-en-Brie en 2007

Secteur d’emploi Nombre  % dont femmes en % dont hommes en % dont salariés en %
Primaire Agriculture 14 0,5 25,5 74,5 74,5
Secondaire Industrie 220 7,8 25,4 74,6 92,6
Construction 269 9,5 6,9 93,1 71,4
Tertiaire Commerce, transports, services divers 1 015 35,8 40,6 59,4 89,1
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 317 46,5 74,6 25,4 97,4
Total 2 835 100,0 51,9 48,1 91,3
Sources des données : Insee[29]

Entreprises et secteurs d'activité

L'activité économique de la commune est répartie sur plusieurs zones d'activités :

  • La zone industrielle de la Croix Saint-Nicolas,
  • La zone d'activités de la RN4,
  • La zone du Chemin de la Montagne,
  • Le centre commercial Pince-Vent.

Secteur primaire

Secteur secondaire

Secteur tertiaire

Commerce
Santé

La commune abrite le centre hospitalier "Les Murets"[30].

Cet établissement qui a vu ses portes s'ouvrir à partir de 1963[31], a été implanté sur un domaine boisé de 17 hectares, ou un château a été construit à la fin du XIXe siècle[32]. Il propose notamment des services de psychiatrie, d'assistance aux personnes âgées dépendantes et de formation en soins infirmiers[30].

Culture et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Patrimoine civil

Le vieux-village

De type briard, il est le principal témoin de l'histoire de La Queue-en-Brie.

Le lavoir du vieux-village (ou le lavoir d'été)

Lavoir "d'été", vieux-village

Construit au XIXe siècle, il n'a été doté de sa toiture qu'en 1843[33].

Restauré en 1969 par la municipalité et le groupe nature caudacien[34], ce lavoir a été construit sur le Morbras, quelques mètres en aval d'un abreuvoir.

De par la dureté et la fraîcheur de l'eau du Morbras, il était plutôt utilisé en été, d'où son surnom de "lavoir d'été".

L'abreuvoir du vieux-village

Construit XIXe siècle, il permettait aux caudaciens d'abreuver leurs bêtes.

L'école de musique Lionel André

Bâtie en 1860, l'ancienne mairie et école de la commune se dresse au centre du vieux-village, à côté de l'église Saint-Nicolas.

L'école fut transférée en 1938 vers l'actuelle école Jean Jaurès, et la mairie resta en fonction jusqu'en 1975, où elle fut transférée vers l'actuel centre-ville.

La borne royale #19

Brisée pendant son déplacement, la borne royale numéro 19 qui jouxtait l'actuelle route nationale 4 était à l'origine ornée d'une fleur de lys, symbole de la monarchie française. Ce bas-relief fut martelé à la révolution pour être transformé en bonnet phrygien[35].

Le chiffre gravé sur cette borne milliaire indique la distance par rapport à Paris, qui est de dix-neuf milliers de toises, soit environ 36,7 kilomètres.

Son origine est estimée entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, et elle se tient actuellement dans le vieux-village, devant les vestiges de l'ancienne tour féodale.

La pierre Lais
Fontaine du lavoir "d'hiver", pierre Lais

La fontaine et le lavoir de la pierre Lais (ou le lavoir d'hiver)

Construite en 1873 (la date y est gravée) sur le lieu dit de la pierre Lais, cette fontaine tire son eau d'une source profonde.

Gravée des initiales de son concepteur —  N.H (H pour Hérault) —, la fontaine de forme hémisphérique se déverse dans le bassin d'un ancien lavoir.

L'eau y étant moins froide que celle du Morbras situé à 300 mètres de là, il était principalement utilisé par les lavandières en hiver, d'où son surnom de "lavoir d'hiver".

Le domaine des Marmousets

Au début du XIXe siècle, le domaine devient propriété de Jean-Baptiste Nompère de Champagny (1756-1834), duc de Cadore, ministre de Napoléon Ier[36].

Le château des Marmousets 
Vraisemblablement édifié à la fin du XVIIIe siècle, la tradition indique pourtant qu'il fut construit par le Général Hulin en 1828[37].
La glacière des Marmousets 
Construite au XVIIIe siècle, elle était principalement utilisée pour la conservation de la viande[38].
Le domaine de l'Hermitage

Le pavillon de l'Hermitage

Construit au XVIIe siècle, ce pavillon d'angle constitue l'unique vestige de l'ancien château de l'Hermitage[39].

La maison Rouart

Ancienne demeure d'Alexis et Henri Rouart, il s'agit d'un vestige des communs de l'ancien château de l'hermitage[40].

La glacière Rouart (XVIIe siècle)

Anciennement aménagée dans les caves d'une partie aujourd'hui démolie du château de l'Hermitage, la glacière était destinée à conserver les denrées périssables[41].

Patrimoine religieux

Église Saint-Nicolas, vieux-village.
  • Église Saint-Nicolas du XIe siècle - XIIe siècle
  • Monument sépulcral des curés de La Queue-en-Brie[42]
  • Église Saint-Jean, bâtie en 1974.

Patrimoine militaire

Vestiges de l'ancienne tour féodale, vieux-village

Les vestiges de l'ancienne tour féodale, appelée à tort "le donjon", qui aurait été construite au début du XIIe siècle, sont visibles place de la Tour, dans le vieux-village[43].

Patrimoine environnemental

La Vallée du Morbras.

La Queue-en-Brie bénéficie du label « ville fleurie » avec une fleur attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[44].

La Forêt de Notre-Dame, l'une des plus grandes forêts de l'est francilien, se trouve en partie sur le territoire de la commune.

Patrimoine culturel

  • Maison pour tous Henri Rouart : Lieu d'expositions, de concert, de représentations diverses. Il s'agit de la seule salle à proprement parler capable d'accueillir du public pour des évènements culturels,
  • La bibliothèque municipale George Sand[45],
  • Des expositions ont régulièrement lieu dans le hall de la mairie.

Vie nocturne

La boîte de nuit Lua Vista, située sur la route nationale 4 offre aux noctambules un lieu de festivités.

Personnalités

  • Le Maréchal Mortier, de son vrai nom Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier, a été maire de la commune entre 1822 et 1830.
  • Le Général Hulin, de son vrai nom Pierre-Augustin Hulin, est un soldat de l'armée française ayant joué un rôle important lors de la prise de la Bastille. Il a vécu dans la retraite à la Queue-en-Brie.
  • Cathy Fleury, judokate, de son vrai nom Catherine Fleury-Vachon, a résidé à la Queue-en-Brie[46]. Le Dojo du gymnase Pierre de Coubertin porte son nom. Celui-ci est situé près du quartier des Marnières, où se trouve son ancienne résidence.
  • Philippe Rombi, pianiste, compositeur français, a résidé à la Queue-en-Brie de 2001 à mi-janvier 2003[47]. L'école municipale de musique (rebaptisée Lionel André[48] en 2005) . Elle est située dans l'avenue Jean-Jaurès, où se trouve également la salle Claude Debussy.

La Queue-en-Brie dans la culture populaire

L'écrivain Victor Hugo, dans son roman Notre-Dame de Paris envoie le capitaine Phœbus se reposer à la Queue-en-Brie pour se remettre de ses blessures.

Le peintre André Dunoyer de Segonzac a immortalisé en 1931 l'allée de tilleuls de l'actuelle rue Jean Jaurès dans son aquarelle "Grande rue du village", qui se trouve maintenant à l'Ambassade de France à Washington[49]. Une rue de la commune porte d'ailleurs son nom[50].

Galerie

Sur les autres projets Wikimedia :


Notes et références

  1. Le Vieux Village, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  2. La Pierre Lais, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  3. a et b Les Marnières et le Val Fleuri, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  4. Le centre ville, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  5. a, b et c Les Bordes, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  6. Le Bois des friches, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
  7. Historique de l'Association Syndicale Libre du Bois des Friches, boisdesfriches.org. Consulté le 10 novembre 2010
  8. Base de données SILOÉ
  9. Banque du Blason
  10. Amulette en plomb
  11. Meule du IIIe siècle
  12. Le Plessis-Trévise, "ville à la campagne"
  13. La Queue-en-Brie "ville à la campagne"
  14. La Queue-en-Brie, Ville Internet @ 2005. Consulté le 23/08/2010.
  15. Site municipal- Liste des maires
  16. Territoires de la Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne
  17. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee
  18. Notice communale de La Queue-en-Brie sur le site Cassini de l’EHESS
  19. a et b Évolution et structure de la population, Insee
  20. Répartition des ménages, Insee
  21. Site du c2m, Club Modélisme Des Marmousets
  22. Entente Sportive de La Queue-en-Brie
  23. Site de l'ES Caudacienne de Football
  24. Port Saint Nicolas - Site Web, page d'accueil
  25. Petite histoire des débuts du port
  26. Église réformée de France
  27. Guillaume Barou, « Port-Saint-Nicolas.org fête ses dix ans », La Croix, 26 décembre 2005
  28. Vivre ensemble, le magazine municipal d'information
  29. INSEE, « Recensement de la population 2007, thème : Emploi - Population active » sur recensement.insee.fr, 2007. Consulté le 04 novembre 2010
  30. a et b Centre hospitalier Les Murets
  31. Les Murets - Environnement
  32. Centre Hospitalier "Les Murets" - Environnement
  33. ROBLIN (J.), 1994, p. 134.
  34. Le lavoir d'été de La Queue-en-Brie
  35. La borne royale 19
  36. Chateau des Marmousets sur www.flickr.com. Consulté le 30 avril 2011
  37. Le château des Marmousets
  38. La glacière des Marmousets
  39. Le château de l'hermitage
  40. Maison Rouart de la Queue-en-Brie
  41. Glacière Rouart
  42. Monument Sépulcral des curés de la Queue-en-Brie
  43. Vestiges de la tour féodale
  44. Palmarès 2009 du concours des Villes et Villages Fleuris
  45. Bibiothèque municipale George Sand, sur www.laqueueenbrie.fr
  46. Liste des athlètes du Val-de-Marne présents aux JO de Barcelone 1992.
  47. Les personnages célèbres du val de marne.
  48. L'école municipale de musique, sur le site de la mairie.
  49. Roger Fontanille, « Le site de Roger Fontanille ». Consulté le 23 septembre 2010
  50. Écoles maternelles de La Queue-en-Brie, laqueuenbrie.fr. Consulté le 23 septembre 2010

Bibliographie

  • ROBLIN (J.), La-Queue-en-Brie. Nouvelle chronique caudacienne, Manchecourt, 1994, 187 p. (ISBN 978-2-9508908-0-1)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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