Grand Moghol

Grand Moghol

Empire moghol

Empire moghol

گوركانى


Sultanat de Delhi
1526 — 1857
Raj britannique

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Drapeau

Expansion moghole en Inde.
Expansion moghole en Inde.

Informations générales
 Statut Monarchie
 Capitale Âgrâ, Delhi
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 Monnaie Roupie
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Population
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Superficie
3 000 000 km²
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Histoire et événements
 21 avril 1526 Première bataille de Pânipat
 21 septembre 1857 Révolte des Cipayes
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Pouvoir exécutif
   (Grand) Moghol
 (1e) 1526-1530 Bâbur
 (De) 1837-1857 Muhammad Bahâdur Shâh
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Pouvoir législatif
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Entité précédente Entité suivante
Sultanat de Delhi Sultanat de Delhi
Raj britannique Raj britannique

L'Empire moghol — ou mogol — est fondé en Inde par Bâbur, le descendant de Tamerlan, en 1526, lorsqu'il défait Ibrahim Lodi, le dernier sultan de Delhi à la bataille de Pânipat.

Le nom 'Moghol' est dérivé du nom de la zone d'origine des Timurides, ces steppes d'Asie Centrale autrefois conquises par Genghis Khan et connues par la suite sous le nom de 'Moghulistan' : "Terre des Mongols". Bien que les premiers Moghols aient parlé la langue tchaghataï, et conservé des coutumes turco-mongoles, ils avaient pour l'essentiel, été 'persanisés'. Ils introduisirent donc la littérature et la culture persanes en Inde, jetant les bases d'une culture indo-persane.

L'empire moghol marque l'acmé de l'expansion musulmane en Inde. En grande partie reconquis par Sher Shâh Sûrî, puis à nouveau perdu pendant le règne d'Humâyûn, il se développe considérablement sous Akbar, et son essor se poursuit jusqu'à la fin du règne d'Aurangzeb. Après la disparition de ce dernier, en 1707, l'empire entame un lent et continu déclin, tout en conservant un certain pouvoir pendant encore 150 ans. En 1739, il est défait par une armée venue de Perse sous la conduite de Nâdir Shâh. En 1756, une armée menée par Ahmad Shâh pille à nouveau Delhi. Après la révolte des Cipayes (1857-1858), les Britanniques liquident le dernier empereur moghol - resté, jusqu'à cette date, le souverain en titre de l'Inde.

Sommaire

Économie politique

Les Moghols employaient le système du mansabdar, ou officier appointé pour lever le revenu de la terre. L'empereur accordait des revenus au mansabdar en échange de la disponibilité de soldats en temps de guerre. Le nombre de soldats promis était fonction de la taille de la terre accordée par l'empereur. Le mansab était révocable et non héréditaire, ce qui donnait un grand contrôle aux empereurs.

L'organisation politico-juridique de l'empire

Voir aussi Droit en Inde

L'empire moghol était à dominance islamique. Quand Bâbur fonda l'empire, il insista plus sur son héritage turc que sur sa religion. Sous le règne d'Akbar, la jizya, l'impôt sur les non-musulmans, traditionnel dans le monde à dominance islamique, est abandonné, et le calendrier musulman lunaire laisse place à un calendrier solaire, plus utile pour l'agriculture. Cependant, l'importance de l'islam changera selon les empereurs (Aurangzeb fut ainsi un dirigeant musulman très rigoureux, qui rétablit la jizya). L'aire d'influence du droit hindou déclina, alors que les nouveaux convertis à l'islam vivaient sous le régime du droit musulman. Les juridictions impériales appliquaient aux sujets hindous le droit hindou. Dans le même temps, le droit se fractionna selon les territoires[1]. Selon le système politico-juridique de l'islam, les sujets hindous, sikhs, etc., avaient le droit de maintenir leurs coutumes et d'obéir à leur propre système juridique, tant qu'ils payaient la jizya. En échange, ils étaient exemptés de service militaire ; toutefois, ils ne devaient pas faire de prosélytisme.

L'organisation politique et juridique de l'Empire moghol était loin de se cantonner au respect de la charia: « l'essentiel de son fonctionnement dans la guerre, la politique, l'administration agraire, la justice criminelle et même civile, reposait sur des notions extra-islamiques (iraniennes, mongoles et hindoues) » (Gaborieau, 1989[2]). Le rôle des oulémas-soufis (les deux étant alors indissociables[2]), recrutés parmi les classes supérieures musulmanes (les ashraf (en), les « nobles » étrangers ou réputés tels[2]), reste limité: leur fonction étatique se restreint « à l'administration des cultes et de ce domaine limité de la justice qui était régi par la Loi islamique »[2]. En tant que soufis, ils légitiment les souverains moghols, assurant les populations hindoues que ceux-ci étaient bénis ; la confrérie soufie Chishtiyya, très indianisée, joue à cet égard un rôle important[2]. Les gouvernants, eux, étaient plutôt d'origine turco-mongole ou afghane[2].

L'empereur Akbar (1542-1605) promeut un syncrétisme religieux, le Dîn-i-Ilâhî, qui le conduit à une grande tolérance religieuse, et à la réforme à la fois du droit musulman et du droit hindou.

De classe noble, les oulémas-soufis ne s'intéressaient guère aux basses castes. Pour celles-ci, les experts religieux étaient les fakirs, affiliés à des ordres soufis hétérodoxes (be-shar' )[2]. Jusqu'en 1818, les oulémas s'intéressent peu à la conversion des basses castes[2].

De plus, l'apostasie, selon le droit hindou, conduisait à la renonciation envers tout droit à l'héritage, ce qui handicapait lourdement les conversions à l'islam[3]. De façon générale, les empereurs moghols, du moins jusqu'à Jahângîr (1569-1627)[4] montraient une tolérance religieuse importante, ce qui a fait l'objet de critiques de la part des jésuites[3].

Empreint de syncrétisme, l'empereur Akbar (1542-1605) va jusqu'à promouvoir la Tauhid-i Ilahi (divin monothéisme), ce qui conduit certains à le tenir pour apostat[4]. Pour Gaborieau (1989), il accapare plutôt la fonction de soufi, tout comme Jahângîr prendra celle d'ouléma[2]. Akbar finit par se déclarer 'infaillible'[4] ; par ailleurs, il supprime la jizya[4] ; prohibe les conversions forcées et la circoncision sans consentement avant l'âge de 12 ans[4] ; et décourage les mariages précoces[4].

Un certain nombre de musulmans, sous le règne moghol, se sont convertis à l'hindouisme[3], ainsi qu'au sikhisme[3]. Gurû Arjan et son successeur, Gurû Hargobind (XVIe siècle et XVIIe siècle), parvinrent à convertir bon nombre de musulmans, suscitant la colère de Jahângîr (1569-1627) [3]. Dans son autobiographie, Jahângîr indique que les lieux de pélerinage hindous de Mathura et Kangra attiraient un nombre important de musulmans[3].

Au niveau de l'organisation juridique, les Moghols ont mis en place le système des zamindar (en), qui fut repris plus tard par les Britanniques. Ils renforçaient le droit hindou, y compris contre les violations commises par des Européens[3]. Toutefois, plusieurs tentatives furent prises pour interdire la satî (immolation par le feu) : le second empereur moghol, Humâyûn (1508-1556), l'interdit avant de se rétracter, suivi par Aurangzeb en 1663[3].

Après l'éclatement de l'empire moghol, en 1707, qui se fragmente sous les invasions musulmanes (Iraniens et Afghans) et hindoues (Marathes), on assiste, pendant le XVIIIe siècle et le XIXe siècle, à une période d'expansion économique et de renouveau du soufisme, ainsi que de la pensée politique et juridique[2]. L'ijtihâd (interprétation) est rouvert[2], avec un intérêt marqué pour Gazâlî (XIe siècle) et Ibn Tamiyya (XIIIe siècle)[2], apparenté à l'école juridique hanbalite. Les échanges avec La Mecque et les écoles du Yemen se multiplient (Shâh Walî Allâh (en), réformateur religieux, fut l'un des nombreux pélerins-étudiants à faire le hajj[2]).

Timourides de l'Inde

Les grand Moghols sont les six premiers empereurs de cette dynastie, Bâbur (1526-1530), Humâyûn (1530-1556), Akbar (1556-1605), Jahângîr (1605-1627), Shâh Jahân (1627-1658) et Aurangzeb (1658-1707).

Série Histoire monde indien
Cet article fait partie de la série
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Les grands Moghols

En 1526, Bâbur défait les Lodî et tue Ibrahim Lodi lors de la première bataille de Panipat. Cet événement marque la fondation de l’Empire moghol et le début du règne de Bâbur. En 1529, celui-ci vainc le Bengale à Gaghra.

En 1530, Humâyûn succède à Bâbur. Il hérite d'un empire que son père n'a pas eu le temps d'organiser, et se trouve pris en tenailles entre deux généraux en pleine ascension : Bahadur Shah au Goujerat, et Sher Shâh Sûrî dans le Bihar. En 1531, Diu est bombardée par la flotte portugaise, puis conquise et fortifiée par eux. Il fonde une ville nouvelle à Delhi. En 1534, Sher Shah Suri est victorieux au Bengale. Humâyûn le rattrape, et l'assiège pendant six mois, au fort de Chunar, en 1537. Mais Sher Shah lui ayant échappé, Humâyûn, plutôt de le poursuivre, décide de s'emparer du Bengale. Sher Shah lui coupe la route de retour et le défait, le 26 juin 1539, à la bataille de Chansa. Humâyûn est obligé de s'enfuir pour Âgrâ, accompagné de seuls quelques fidèles. Il perd une nouvelle bataille contre les Afghans, à Kanauj, en 1540 ; et s'enfuit au Penjab, puis dans le Sind, s'exilant d'abord en Afghanistan, puis, en 1544, en Perse. En 1554, il entre à Peshawar ; en 1555, il occupe Lahore, puis Dîpalpur. La même année, la bataille de Macchiwara, contre les Afghans, consacre sa victoire. En juillet, Humâyûn entre finalement dans Delhi : il a retrouvé son trône, après quinze ans d'exil.

En 1556, Akbar succède à son père. Il est alors âgé de quatorze ans, et son tuteur Bairam Khân va assurer sa régence. Grâce à son aide et à celle de ses troupes, Akbar remporte, la même année, la bataille de Pânipat sur les Afghans du Bihar. En 1560, Akbar s'empare du Mâlvâ. Il épouse la princesse hindoue d'Amber en 1562. Il supprime la jizya - l'impôt religieux sur les non musulmans - en 1564. L'année suivante, les chefs musulmans du Dekkan - Ahmadnâgar, Bîjâpur Bîdâr, et Golkonda - défont et détruisent, à la bataille de Talikota, le royaume de Vijayanâgara. Lors de la chute de Chittor, en 1568, trente-mille râjputs sont massacrés. Akbar agrandit son empire en faisant la conquête du Goujerat en 1573, du Bengale en 1576, du Sind en 1590, de l'Orissa en 1592, et du Balouchistan en 1594. En 1585, lors du décès de son frère Hakîm, roi de Kaboul, il hérite du Cachemire. Il se lance ensuite à la conquête du sud de l'Inde.

En 1571, l'empereur fonde Fatehpur-Sikrî et en fait sa capitale. En 1581, Akbar promulgue la Dîn-i-Ilâhî, ou « religion des lumières », un syncrétisme unifiant le Coran, la Bible et les textes hindous. 1604 est l'année de la compilation de l'Âdi Granth, livre saint des Sikhs par Gurû Arjun Dev.

En 1605, Jahangir succède à son père. Sous son règne, l'empire reste en état de guerre, de façon à continuer son expansion. L'ennemi le plus sérieux de Jahângîr est Amar Singh, le râna du Mewâr, qui capitule finalement en 1613 devant les forces de Khurram, le futur Shâh Jahân. Au nord-est, les Moghols affrontent les Âhoms, dont la tactique de guerilla les met en difficulté. En Inde du nord, sous le commandement de Khurram, ils défont le râja de Kângrâ en 1615. Dans le Dekkan, ses victoires permettent de consolider l'empire. L'art, la littérature, et l'architecture prospèrent durant son règne, il commence ses mémoires, le Jahângîr Nâma et fait construire des jardins à Srinagar.

En 1627, Shâh Jahân succède à son père puis, en 1628, est proclamé empereur. En 1631, suite au décès de Mumtaz Mahal, l'épouse de Shah Jahan, la construction du Taj Mahal est entreprise.

Entre 1630 et 1632, une des pires famines qu’ait connu l’Inde s’est produite, elle a touché la région de Deccan et du Gujarat, et serait due à un retard de la mousson et aurait entraînée la mort de près de 2,000,000 d’Indiens[5],[6],[7]

Les Moghols envahissent Bîjâpur en 1632, puis, l'année suivante, s'emparent de Daulatâbâd. En 1635, Shâh Jahân bat les Bundelâ et s'empare de la forteresse d'Orchhâ. En 1646, le chef marathe Shivaji Bhonsla capture Torna, près de Poona ; puis Javli, en 1656. Les Moghols attaquent Hyderâbâd et Golkonda. En 1657, Aurangzeb s'empare de Bîjâpur, Bîdâr et Kalyani, mais Shivaji Bhonsla se livre à des raids sur Ahmadnâgar et Junnar.

En 1658, Aurangzeb, nommé vice-roi du Dekkan dès 1636, emprisonne son père Shah Jahan dans le fort rouge d'Âgrâ et prend le pouvoir. Il étend les limites de l'Empire aussi bien à l'est, en soumettant l'Assam et en s'emparant du port de Chittagong, qu'à l'ouest - où il exercera un certain contrôle de l'Afghanistan - et au sud du Dekkan, où les états de Tanjore et de Tiruchirapalli deviendront ses tributaires. Mais son empire ne connaît pas la paix. En 1669, Aurangzeb adopte, en rupture avec ses prédécesseurs, une politique de prohibition de la religion hindoue et de destruction des temples hindous ; rétablit la jizya en 1679 ; les révoltes dues à son intransigeance religieuse se succèdent sans fin : Jâts de Mathurâ, Bundelâ, Patiala, Sikhs conduits par le gourou Gobind Singh, Marathes fédérés par Shivaji... tous ceux-ci se consacrent à construire l'empire marathe, s'opposant au pouvoir moghol. En 1707, avec le décès d'Aurangzeb, disparaît le dernier grand Moghol.

Déclin de l'Empire

Les autres souverains de cette dynastie, appelés simplement « Moghols », sont :

Les débuts de la colonisation de l'Inde

En 1578, Antonio Cabral est ambassadeur des Portugais auprès d'Akbar. Les jésuites de Goa sont en mission auprès d'Akbar en 1580. En 1597, Philippe II d'Espagne se nomme roi de Ceylan. Trois ans plus tard, en 1600, Élisabeth Ire d'Angleterre accorde une charte à la Compagnie anglaise des Indes orientales, geste suivi par les Hollandais qui fondent la Compagnie hollandaise des Indes orientales en 1602. En 1603, John Mildenhall, le représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales arrive à Âgrâ mais n'obtient pas de concession avant 1608.

  • 1609 : Les Hollandais fondent un comptoir à Pulicat.
  • 1611 : Les Hollandais fondent un comptoir à Masulipattanam.
  • 1612 : Les Anglais fondent un comptoir à Surat après avoir défait la flotte portugaise.
  • 1616 : Les Hollandais ouvrent un comptoir à Surat
  • 1639 : Les Anglais fondent le fort Saint-George, l'origine de Madras.
  • 1640 : Début des voyages de Jean-Baptiste Tavernier en Inde. (fin en 1667)

Le sultan de Golkonda accorde le Golden Firman à la Compagnie anglaise des Indes orientales en 1632.

Références

  1. David Annoussamy, Le droit indien en marche, Société de législation comparée, 2001, chap. III, « La codification dans l'Inde moderne », p. 41-53
  2. a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l  et m Marc Gaborieau. « Les oulémas/soufis dans l'Inde moghole : anthropologie historique de religieux musulmans », in Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1989, n° 5, pp. 1185-1204. [lire en ligne]
  3. a , b , c , d , e , f , g  et h XVII. Economic and Social Developments under the Mughals de Muslim Civilization in India, par S. M. Ikram, publié par Ainslie T. Embree New York: Columbia University Press, 1964. Site web maintenu par Frances Pritchett, Université de Columbia
  4. a , b , c , d , e  et f Jean-Paul Roux, Akbar et Fatehpur Sikri, sur Clio.fr, mai 2009
  5. A time-line of ancient India
  6. en:Deccan Famine of 1630–32
  7. Mediaeval Deccan History: Commemoration Volume in Honour of Purshottam Mahadeo Joshi, By P. M. Joshi, A. Rā Kulakarṇī, M. A. Nayeem, Teotonio R. De Souza-Published by Popular Prakashan, 1996[réf. incomplète]

Voir aussi

Liens externes

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