Societe des transports intercommunaux de Bruxelles

Societe des transports intercommunaux de Bruxelles

Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles

Logo de Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles

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Création 1er janvier 1954[1]
Slogan(s) « Bougeons mieux »
Siège social Bruxelles
Drapeau de la Belgique Belgique
Direction Alain Flausch
Activité(s) Transport public
Produit(s) Métro, Autobus, Tramway
Effectif 6 498[2]
Site Web www.stib.be
Chiffre d'affaires 173,476 m€ (2006)[2]

La Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles[3] (STIB), en néerlandais Maatschappij voor het Intercommunaal Vervoer te Brussel (MIVB), est un organisme d’intérêt public bruxellois de transport public.

Fondée en 1954, cette société est l’opérateur principal de transport public à Bruxelles. La STIB exploite aujourd’hui un réseau de 4 lignes de métro (39 km), 20 lignes de tramway (128,3 km) et 50 lignes d’autobus (348,8 km). Son réseau s’étend sur les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale (161 km2) et certains bouts de lignes de surface desservent des communes de la proche banlieue. La fréquentation du réseau est de 277,3 millions de voyageurs par an[2] (2007) soit près de 760 000 par jour.

Elle passe tous les cinq ans un contrat de gestion avec la Région de Bruxelles-Capitale pour fixer ses objectifs stratégiques (mission, production kilométrique, parts de marché) et déterminer le montant du subside.

Au niveau stratégique, la STIB est conseillère de la Région. Au niveau tactique (déterminer le réseau à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs) et opérationnel (exploitation, commercialisation), la STIB dispose d’une assez forte autonomie, la Région devant néanmoins marquer son accord pour les modifications du réseau.

Sommaire

Histoire des lignes supprimées

Remplaçante du 85

Bus

  • 70 : en 2002.
  • 74 : en 2003, elle reliait le rond-point du Meir à l’hôpital Érasme en passant par Veeweyde. Elle a été supprimée car la prolongation du métro de Bizet à Érasme la rendait caduque.
  • 96 : le 7 janvier 2007, reprise par le 41 sur le tronçon entre la place Keym et la station Herrmann-Debroux et par le 95, dont les fréquences ont doublé, entre la place Keym et la Bourse.
  • 11 : le 29 juin 2008, entièrement reprise par la ligne 21, prolongée à Brussels Airport.
  • 85 : 6 avril 2009, suite à la correspondance possible avec les 4 lignes de métro à la Gare de l’Ouest et entièrement repris par la ligne 82 avec une fréquence renforcée aux heures de pointe[4].

Tramway

Dernière relation de la ligne 90.
  • 25 : dans les années 1970, recréée en 2007 avec un tout autre tracé.
  • 35 : dans les années 1970, la ligne tramway est transformée en ligne de bus 34.
  • 90 : le 15 avril 2007, remplacée par la ligne 23 entre la Gare du Midi et la Place Meiser, et par la ligne 25 entre la place Charles Rogier et Buyl. La ligne 90 joignait la place Charles Rogier à la Gare du Midi via la Grande Ceinture.
  • 3 : le 1er juillet 2007. Elle est recréée en 2008 avec le même itinéraire : avenue Winston Churchill - Gare du Nord.
  • 18 : le 1er juillet 2007, remplacée par les lignes 4, 81, 82, 92, 94 et 97. Son itinéraire tortueux serpentait du Dieweg jusqu’à l’avenue Houba de Strooper via l’avenue Wolvendael, le square George Marlow, la rue de Stalle, la chaussée de Neerstalle, la place Saint-Denis, la chaussée de Bruxelles, l’avenue Van Volxem, l’avenue Wiellemans-Ceuppens, l’avenue du Parc, la Barrière de Saint-Gilles, la rue Théodore Veraghen, l’avenue Fonsny, la Gare du Midi, la Porte d’Anderlecht, la Porte de Ninove, la Porte de Flandre, la place de l’Yser, la place Sainctelette, le Boulevard Léopold II, le boulevard du Jubilé, l’avenue Belgica, l’avenue Charles Woeste, l’avenue de Smet de Naeyer, l’avenue Guillaume de Greef, l’Hôpital Brugmann, l’avenue Ernest Masoin et, enfin, l’avenue Stiénon jusqu’au terminus Houba de Strooper en bordure de l’avenue du même nom.
  • 52 : le 1er juillet 2007, elle reliait l’Esplanade à Drogenbos Château. Elle a été remplacée par la ligne 4 (entre Esplanade et la Gare du Midi) et la ligne 82 (entre Gare du Midi et Drogenbos Château) et en soirée entièrement remplacée par la ligne 32 (entre Gare du Nord et Drogenbos Château).
  • 83 : le 30 juin 2007, elle reliait la Gare du Midi à Berchem Station via la rue Ropsy-Chaudron, desservant les abattoirs d’Anderlecht. Sa suppression résulte du retrait anticipé des voies (travaux d’égouttage urgents) rue Ropsy-Chaudron. Elle est remplacée par la ligne 2 de métro entre la station Delacroix et la Gare du Midi et par la ligne 82 renforcée entre la Gare de l’Ouest et Berchem Station. Depuis le 30 juin 2008, la ligne 83 circule à nouveau, en soirée - après 20 h -, entre Berchem Station et le square Maréchal Montgomery via la Porte de Ninove, la Gare du Midi, puis par l’itinéraire de la ligne 81 jusqu’au square Maréchal Montgomery.
  • 91 : le 1er juillet 2007, remplacée par la ligne 4 entre le Parking Stalle et la place Vanderkindere, par le 92 entre le square des Héros et la place Louise et par le 97 entre la place Janson et la place Louise.
  • 93 : le 30 juin 2007. Elle joignait la Gare de Schaerbeek à l’avenue Legrand via la chaussée d’Haecht, la rue Royale et l’avenue Louise. Sa suppression entraînera le renforcement de l’offre sur la ligne 92 entre la place Louise et la Gare de Schaerbeek et sur la ligne 94.

La Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles

L'entreprise

Identité visuelle

Longtemps caractérisée par des coloris jaunes et bleus, la STIB a débuté le renouveau de son identité visuelle en 2005 avec la livraison du premier T3000, le nouveau tram à plancher surbaissé. Véritable révolution pour les tramways bruxellois, ce nouveau véhicule dessiné par le designer Axel Enthoven entraînera une évolution indéniable pour l’identité visuelle de la STIB qui, profitant de la livraison de ces 68 nouvelles motrices, abandonnera les coloris à dominance jaune au profit du gris-cuivre. La repeinture de la flotte a débuté en mars 2006 - conférence de presse exposant les premiers véhicules repeints au Heysel le 8 mars 2006 - et devrait s’achever en 2009.

Histoire de ne pas faire les choses à moitié, tout l’aspect « communication » sera revu grâce, notamment, à l’instauration d’une police de caractère spécifique à la STIB, la Brusseline. Celle-ci est utilisée absolument partout que ce soit dans la signalétique métro, sur les plaques d’arrêts, sur les plans et imprimés édités par la STIB, sur les avis destinés aux voyageurs, sur les afficheurs de destination des nouveaux véhicules.

Outre la Brusseline, la STIB établira également un nouveau design type pour ses imprimés adressés aux voyageurs. Ceux-ci sont tous surmontés d’un en-tête rouge courbé directement inspiré des courbes du design Art Nouveau du T3000, symbole emblématique du renouveau de l’image de la STIB.

Les dépôts

Dépôt de trams de Molenbeek.

Bus

  • (8) Haren
  • (5) Jacques Brel
  • (9) Delta

Tramway

  • [1] Saint-Gilles (Avenue du Roi)
  • [3] Haren (Houtweg)
  • [4] Ixelles (Avenue de l’hippodrome)
  • [5] Molenbeek (Rue d’Enghien)
  • [6] Schaerbeek (Chaussée d’Haecht)
  • [7] Woluwe (Avenue de Tervuren)

Métro

  • Delta
  • Jacques Brel

Certaines stations font également office de dépôt :

  • Simonis
  • Beekkant
  • Gare de l’Ouest

Réseaux

La ligne 3.

Généralités

Depuis peu dans l’histoire de la STIB, celle-ci possède trois réseaux distincts exploités en fonction du moment de la journée. Le réseau classique dit « de journée » qui regroupe l’ensemble des lignes de bus, trams et métros est exploité tous les jours de 5 h à 20 h. Dès cette dernière heure, le réseau de soirée prend la relève et ce jusqu’à passé minuit. Les divergences par rapport au réseau de journée sont faibles voire inexistantes pour la plupart des lignes ; c’est surtout la structure fondamentalement différente des lignes de trams desservant l’axe Nord-Sud qui a poussé l’exploitant à instaurer un réseau de soirée de façon à clarifier son offre dans l’esprit du voyageur. Enfin, les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche, de 0 h 20 à 3 heures du matin, Noctis, le réseau nocturne, est exploité.

Pourquoi une offre distincte journée/soirée dans l'axe Nord-Sud ? : La politique de la STIB pour l’exploitation de l’axe Nord-Sud est claire : les problèmes d’une ligne ne peuvent pas se répercuter sur une autre. Ainsi, seules deux lignes sûres qui disposent de sites propres sur la grande majorité de leurs itinéraires sont autorisées à se côtoyer dans l’axe Nord-Sud en journée. Les fréquences cumulées de ces deux lignes offrent, théoriquement, un tram toutes les 3 minutes.
Par contre, en soirée, la pression automobile se faisant moindre (les lignes de trams présentent donc un risque bien plus faible d’être perturbées) et les usagers étant moins nombreux à cette période de la journée (impliquant également moins de trams et donc une fluidité plus grande sur les tronçons communs), de nombreuses lignes (31, 32, 33, 3) sont autorisées à parcourir l’axe Nord-Midi de part en part (re)créant ainsi de nouvelles liaisons directes entre l’hyper centre, les quartier centraux de 1re couronne et les communes périphériques.

Le réseau de journée

La ligne 22.

Ce réseau est exploité 7 jours sur 7 de 5 heures à 20 heures. Il regroupe l’ensemble des lignes de bus, trams et métros. Sa ligne directrice est basée sur les correspondances dites « non-pénalisantes ». Traversant, en sous-sol, l’hyper centre de part en part, l’axe Nord-Sud est exclusivement exploité à l’aide des lignes 3 (Churchill - Esplanade) et 4 (Parking Stalle - Gare du Nord). Les autres lignes de trams qui autrefois traversaient également cet axe de part en part sont limitées aux extrémités de l’axe où les correspondances avec les lignes 3 et 4 sont possibles.

Le réseau de soirée

L’exploitation de celui-ci débute sur le coup des 20 heures. Bien que dans l’écrasante majorité des cas, les changements entre le réseau de journée et celui de soirée soient imperceptibles voire inexistants, il faut cependant souligner ce qui justifie l’instauration de ce réseau de soirée : la structure des lignes de l’axe Nord-Midi. En soirée, les lignes de trams provenant de la périphérie ne sont plus limitées aux extrémités de l’axe mais le parcourent à nouveau de part en part de façon à (re)créer des liaisons directes lorsque les fréquences sont plus faibles.

Noctis : le réseau nocturne

Article détaillé : Noctis (STIB).

Depuis avril 2007, de nouvelles lignes baptisées Noctis sont en circulation les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche, à raison d’un bus toutes les 30 minutes jusqu’à environ 2 h 45 du matin, offrant la possibilité de sortir tard le soir sans avoir de problème pour rentrer chez soi, ni être contraint de prendre un taxi. Bruxelles se dote ainsi d’un réseau nocturne digne de nombreuses autres capitales européennes.


Les lignes

Réseau Bus

Bus de la ligne 77.

Réseau Tramway

Un T2000 sur la ligne 92.
Article détaillé : Tramway de Bruxelles.

Bruxelles a aujourd’hui un réseau très vaste et dense (20 lignes), mais celui-ci va encore être étendu. Certaines lignes sont aménagées en prémétro grâce à des tunnels. Contrairement à Anvers, La Haye et Charleroi, les principales lignes de métro léger sont devenues des lignes de métro lourd.

Réseau Métro

Une rame de métro de la série U à quai.
Article détaillé : Métro de Bruxelles.

Le métro de Bruxelles est un des nombreux moyens de transport en commun desservant la capitale de la Belgique. Il possède quatre lignes en site propre dont deux ayant un tronçon commun de 6,1 kilomètres[5]. Les lignes totalisent une grosse cinquantaine de kilomètres de voies, dont 37,5 km souterraines.[réf. souhaitée]

Informations statistiques

Vitesse commerciale constatée[2] :

  • Métro : 29,84 km/h
  • Tram : 16,9 km/h
  • Bus : 17,21 km/h

L’objectif est d’atteindre une vitesse moyenne de 20 km/h par l’augmentation du nombre de « sites propres », c’est-à-dire des bandes de circulation réservées aux véhicules de la STIB, soit marquées par un damier au sol, soit complètement isolées des voies de circulation destinées aux automobiles.

Billettique

Un bus du réseau STIB.

La STIB développe une large gamme de titres de transports utilisables en fonction de la fréquence des déplacements du client et de son âge.

Les principaux titres de transport sont les cartes de 1, 5 ou 10 voyages ainsi que la carte d’un jour. Un abonnement mensuel ou annuel existe, tant pour le réseau de la STIB seul que pour l’ensemble des réseaux de transport public (STIB, SNCB, TEC et De Lijn) dans la Région Bruxelloise. Les enfants de moins de 12 ans habitant la Région de Bruxelles-Capitale, ainsi que les personnes âgées de plus de 65 ans peuvent solliciter un abonnement gratuit. Des tarifs réduits sur les abonnements existent pour les 12-18 ans, les 60-65 ans, les personnes à faible revenu ainsi que les étudiants de moins de 25 ans.

Tarification

De façon à inciter le voyageur à ne plus acquérir son titre de transport auprès du chauffeur afin de favoriser la vitesse commerciale du véhicule, la STIB majore de 30 cents le prix du ticket « 1 voyage » si celui-ci est acheté à bord du véhicule.

Nombre de voyages Temps maximal Prix par carte Prix au trajet Carte « JUMP » de la STIB, qui sera progressivement remplacée par la carte MoBIB.
1 voyage 1 unité d’une heure 1,70 €[6],[7] 1,70 €[7]
5 voyages 5 unités d’une heure 7,30 € 1,46 €
10 voyages 10 unités d’une heure 12,30 €[7] 1,23 €[7]
aller-retour dans les 24 heures 24 heures 3,30 € 1,65 €
1 journée 24 heures 4,50 €[7]
3 journées 72 heures 9,50 €[7]

Les deux derniers tarifs sont forfaitaires et permettent un nombre illimité de voyages sur l’ensemble des réseaux métro, tram et bus durant un ou trois jours. Il existe également différentes offres destinées aux touristes comme la « Brussels Card » qui combine les moyens de transport et les entrées de nombreux musées pour une durée déterminée. Le prix des abonnements sans réduction revient à 44,00 € pour un mois et 440 € pour un an et permettent un nombre illimité de voyages sur l’ensemble du réseau (métro, tram et bus) pendant un mois ou une année. Il existe des réductions pour de nombreuses catégories de personnes, incluant notamment la gratuité totale pour les moins de 12 ans, les plus de 65 ans et les bénéficiaires du revenu d’intégration sociale[8],[9].

Les titres de transport peuvent être achetés à des bornes automatiques situées aux entrées des stations ou auprès de vendeurs agréés (gares ferroviaires, grosses stations de métro, supermarchés, librairies…). Les abonnements nécessitent une photo.

Il existe aussi un abonnement dit MTB, offrant l’usage illimité de tous les transports en commun sur le territoire de la Région Bruxelloise, toute entreprise publique de transport confondue, à savoir le métro, les trams et les bus de la STIB, les trains de la SNCB et les bus des sociétés TEC et De Lijn. Cet abonnement ne couvre pas l’usage de ces transports hors de la Région.

Systèmes de validation

Au cœur du prémétro.

Le système mécanique

Le système mécanique était constitué d’une part de tickets vendus dans les véhicules à la pièce, dans les véhicules, et d’autre de cartes donnant droit à 5 ou 10 voyages, lesquelles se voyaient progressivement amputées par les machines à composter, laissant au sol un grand nombre de petits losanges en carton. Les tickets d’un voyage donnaient droit à un transit, et étaient alors validés par une machine dédicacée.

Avant l’instauration de ce système, un accompagnateur se trouvait à l’arrière des véhicules (trams) afin de vendre les titres de transport aux voyageurs.

Le système PRODATA

Un appareil dit « PRODATA » (communément appelé « la machine orange ») est l’appareil permettant l’oblitération d’une carte magnétique (billet « JUMP ») faisant office de titre de transport. La STIB a adopté ce procédé en 1993.

MoBIB

MoBIB est le nom du nouveau système de validation des titres de transport, introduit en 2008, un lecteur de carte sans contact. Ce système est amené à remplacer progressivement les oblitérateurs à lecture magnétique. Il existe des synergies entre les différentes sociétés de transports en commun nationale et régionales de façon à homogénéiser la billettique en une seule et unique carte qui pourrait également faire office de porte monnaie électronique. MoBIB répond aux standards européens ce qui ouvre la porte à un système compatible à l’échelle du Vieux Continent. Cependant, une étude de l’UCL a révélé que de nombreuses informations personnelles étaient conservées dans les puces de la carte MoBIB. Ainsi, les horaires des pointages effectués lors des différents voyages restent enregistrés. D’autre part, la carte est lisible par un simple lecteur que l’on trouve dans le commerce et permet de révéler notamment le numéro de registre national. La STIB a passé sous silence ces révélations et n’a pas justifié ces dérives. Il semble opportun de s’interroger sur le respect de la vie privée de la part de la STIB dans ce cas.[réf. souhaitée]

Notes, sources et références

  1. Source, sur le site de la STIB.
  2. a , b , c  et d Source, consulté le 14 juin 2008
  3. selon cette page du site officiel
  4. Restructuration : dernière étape, site de la STIB.
  5. Mesures [pdf], site de la STIB.
  6. Note : la carte d’un voyage coûte 2 € si elle est achetée dans un véhicule (tram ou bus), mais ne coûte que 1,70 € si elle est achetée à l’avance, dans le commerce, dans les points de vente Kiosks et Bootiks de la STIB, ou via un automate de vente (Go), que l’on peut trouver dans les stations de métro, ainsi que le long des principales lignes de tram et de bus.
  7. a , b , c , d , e  et f La recharge d’une carte MoBIB pour un voyage revient à 1,60 € (contre 1,70 € pour son équivalent en carte JUMP), la recharge pour dix voyages revient à 11,20 € (contre 12,30 € pour son équivalent en carte JUMP), la recharge pour un nombre illimité de voyages sur une période de 24 heures revient à 4,20 € (contre 4,50 € pour son équivalent en carte JUMP), la recharge pour un nombre illimité de voyages sur une période de 72 heures revient à 9,20 € (contre 9,50 € pour son équivalent en carte JUMP).
  8. Tickets, sur le site de la STIB.
  9. Abonnements, sur le site de la STIB.

Annexes

Articles connexes

Liens externes


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