Philibert de Brichanteau

Philibert de Brichanteau

Philibert ou Philbert de Brichanteau est né le 25 juillet 1588 à Paris et mort le 22 décembre 1652 à Paris[1].

Philibert de Brichanteau, reçu chevalier de Malte l'an 1594 puis abbé de Saint-Vincent de Laon en 1607, succède à son frère Benjamin de Brichanteau, comme évêque-duc de Laon (1621-1652 et pair ecclésiastique de France[2]. Les évêques de Laon, ducs et pairs du royaume, ont le privilège de porter la Sainte Ampoule au cours de la cérémonie du sacre des rois de France. Lors de son entrée solennelle le 11 juin 1621, comme évêque et duc de Laon, la vidamé de Laonnois est réunie à nouveau à l’Église de Laon[3]. Il est sacré évêque-duc de Laon par son cousin, le cardinal, François de La Rochefoucauld (1558-1645). Il est député en 1628 à l’assemblée du clergé à Fontenay-le-Comte. Ayant pris la liberté de parler du cardinal de Richelieu d'une façon qui ne lui est point agréable, Monseigneur Brichanteau obligé de s'absenter de son diocèse pendant l'espace de six années meurt en 1652 dans l'exil[1],[4]. Il est à l’origine du couvent de sœurs de la Congrégation de Notre-Dame-Saint-Ignace de Laon[5].

Sommaire

Sa famille

Philibert de Brichanteau est le fils d'Antoine et d'Antoinette de La Rochefoucauld. Antoine de Brichanteau, marquis de Nangis, colonel du régiment des Gardes-Françaises, amiral de France, ambassadeur, chevalier du Saint-Esprit (reçu le 7 janvier 1595), député de la noblesse de Melun aux États-Généraux de Blois et fait partie du conseil restreint où le sort de Guise est décidé[6].

Philibert est le neveu de Geoffroy de Billy, évêque duc de Laon (1598-1612) et pair ecclésiastique de France, qui traduit du latin et de l'espagnol en français quelques ouvrages de dévotion[7]. Geoffroy est aussi député aux États-Généraux de Blois de 1576 à 1577 et de 1588 à 1589 et participe à la conférence de Suresnes[8]. Son oncle tient aussi un synode et y publie des statuts sur la discipline ecclésiastique[9].

Benjamin de Brichanteau, son frère auquel il succède est abbé de Barbeau, de Sainte-Geneviève de Paris, évêque titulaire de Philadelphie, et puis évêque duc de Laon (1612-1619) et pair ecclésiastique de France[10]. Son frère et prédécesseur meurt le 14 juillet 1619 à Paris, âgé seulement de trente-cinq ans. Les médecins de l’époque parle à sa famille de la peste, car ils ne connaissent pas les causes réelles de son décès. Il est inhumé le 15 dans la crypte de l’abbaye de Sainte-Geneviève de Paris[10],[11].

Biographie

Philibert de Brichanteau est admis dans l'ordre de Malte le 15 juin 1594. Il est très jeune. Il accompagne Samuel de Champlain dans un de ses voyages au Canada. Le futur évêque de Laon, Philibert de Brichanteau et quelques-uns de ses chanoines précédent là-bas Jacques Marquette[12].

Des affaires familiales : l'évêché et les bénéfices des abbayes

Intérieur de l’abbaye Saint-Vincent de Laon.
Palais épiscopal de Laon.

En 1607, Henri IV écrit au pape une lettre concernant Geoffroy de Billy, son oncle[13] :

Tres Sainct Pere, Nostre cher et bien amé Mgr Geoffroy de Billy, evesque de Laon, abbé de l'abbaye de S* Vincent lès la dicte ville de Laon, nous a faict entendre qu’il desiroit, soubs le bon plaisir de Vostre Saincteté et le nostre, resigner la dicte abbaye en faveur de Philibert de Brichanteau, clerc du diocèse de ....... à la reserve, toutesfois de la somme de trois mille livres de pension, franche et quicte de toutes charges, sa vie durant, à prendre sur tous et chacuns des fruicts et revenus de la dicte abbaye. Et d'autant que de nostre part nous avons la dicte resignation tres agreable, po11r les bonnes vertus et qualitez qui sont en la personne du dict Brichanteau, à ceste cause, Tres Sainct Pere, nous le nommons et presentons à Vostre Saincteté, en la priant et requerant autant et si affectueusement que faire pouvons, que le bon plaisir d’icelle soit, à nostre priere et requeste, le faire pourveoir de la dicte abbaye, à la reservation de la dicte pension de trois mille livres, luy en octroyant et faisant à ceste fin expedier toutes vos bulles, dispenses et provisions.

Brichanteau fait abbé de Saint-Vincent en 1612, par nomination du roy, et en prend possession en même temps. Il ne néglige pas moins les réparations de l'église que son parent et prédécesseur. De là vient la ruine de la grosse tour où sont les cloches. Ce désastre arrive en l'année 1618. L'abbé a dénié une somme fort modique pour empêcher cette seconde ruine. Il donne aux révérends pères capucins les pierres et bois de ces ruines pour bâtir leur maison. Il en donne aussi une partie aux filles de Sainte-Marie pour construire la leur, après les avoir fait venir en cette ville de Laon, laissant la seconde église et le second siège de sa dignité épiscopale tellement désolés, qu'il n'y a plus aucun lieu où on peut dire la messe en assurance, à cause du vent, lequel envole un jour la sainte hostie de dessus l'autel. Les moines alors sont contraints d'abandonner le grand autel et de se servir de l'autel de Saint-Nicolas et Saint-Martin pour les offices divins, prenant la vieille sacristie qui est au-dessous de l'ancien dortoir pour servir de chœur, et la neige y couvre quelquefois les frocs des moines de telle sorte qu'il semble qu'ils estoient tout blancs[14].

Son cousin, François de La Rochefoucauld (1558-1645), cardinal, évêque de Senlis, grand aumônier de France lui succède comme abbé de Sainte-Geneviève de Paris, du fait d'une colère d'un roi, qui déplore la décadence qui a frappé l'abbaye du temps de Benjamin de Brichanteau. Malgré les demandes du chapitre et de la famille de Philibert de Brichanteau ne succède à son frère que comme évêque-duc de Laon (1620-1652 et pair ecclésiastique de France et abbé de l'abbaye de Barbeau. Mais il ne doit qu'à François de La Rochefoucauld (1558-1645) qui défend le fils d'une La Rochefoucauld[11].

Blason de son cousin, François de La Rochefoucauld (1558-1645) qui lui succède comme abbé.

En 1619, Louis XIII écrit à François de La Rochefoucauld (1558-1645)[15] :

A votre recommandation, j'ai donné à Philibert de Brichanteau l'évêché de Laon l'abbaye de Barbeaux. Mais je veux que vous acceptiez l'abbaye de Sainte-Geneviève, pour y rétablir la régularité. Elle est fituée dans la Capitale de mon Royaume. Le bien qui s'y fera fer vira d'exemple. Après les mémoires que vous m'avez donnés la-deffus je ne vois perfonne plus propre que vous à cette bonne œuvre ; et à quelqu autre que j'eus donné ce bénéfice, ma confcience auroit jamais été si bien déchargée. Rendez-moi donc, je vous prie, ce fervice ; ou plutôt rendez-le a l'Eglife, et délivrez-moi de la peine que je ne puis m empêcher de reffentir, lorfque je vois tant de licence et de défordre dans des lieux qui devraient être aujourd'hui, comme ils étaient anciennement, le domicile de la fcience & de la fainteté.

Le cardinal remercie le roi des dons qu'il fait à M. de Brichanteau, et parle avec éloge des bonnes qualités de cet ecclésiastique, afin de lui obtenir la grâce tout entière. Bien que Philibert de Brichanteau soit chevalier de Malte le parlement de Paris le reçoit, sans difficulté, au ferment de duc et pair[16].

Titulaire de l'abbaye de Barbeau en 1626, il s'intéresse peu à ses devoirs, a quelques intrigues avec les ennemis de Richelieu. Une harangue à la Régente Anne d’Autriche en faveur de l'évêque de Laon, Philippe de Brichanteau n'évite pas les sanctions.

Le couvent de sœurs de la Congrégation de Notre-Dame-Saint-Ignace (1624-1632)

La première pierre du couvent est posée en 1624 par l'évêque Philibert de Brichanteau dont les armes figurent au fronton de la chapelle, placée sous l'invocation de saint Ignace. Les travaux se poursuivent les années suivantes (1627 sur un cadran solaire) et semblent terminés en 1632 (les religieuses emménagent à ce moment)[5]. L'opposition faite par les habitants de Laon à l'établissement de la Congrégation de Notre-Dame, contrarie vivement Philbert de Brichanteau[17]. Il y a dans le trésor de ce monastère une dent et un bras de saint Philibert, abbé de Jumiège, lesquels l'évêque et abbé Philibert de Brichanteau enlève, comme voulant dire que la relique lui appartient parce qu'il porte le prénom de ce saint. Le même évêque disperse aussi quantité de reliques de saint Canoald et en donne en divers lieux.

La confrérie de Notre-Dame-de-la-Paix (1644-1652)

1644, les blessés de la bataille de Rocroi viennent se faire soigner à Laon. Ils remplissent les maisons de la ville et y sont traités avec tout le soin imaginable. C’est sans doute à la vue de leurs plaies et de leurs douleurs que l'évêque de Laon, Philbert de Brichanteau, ému d'une pitié toute chrétienne institue la Confrérie de Notre-Dame-de-la-Paix, pour demander à Dieu la cessation de la guerre et le rétablissement de la tranquillité publique. Mais les vœux du pieux prélat ne vont pas être exaucés de sitôt[18].

L’hôpital général de Laon, fondé par le cardinal César d'Estrées, n’est pas le premier à soigner la population du Laonnois. L’association sous le titre et l'invocation de Notre-Dame reine de paix, de Brichanteau, dure 26 ans, et recueille, pendant cet espace de temps, une somme de 56.000 francs, que des dames charitables sont chargées de porter dans l'asile de l'infortune. Dans cet hospice sont entretenus 90 vieillards des deux sexes, qui y occupent des bâtiments particuliers[19].

La congrégation de Saint-Maur

Philbert de Brichanteau, évêque de Laon et abbé commendataire y appelle la congrégation de Saint-Maur, et celle-ci travaille avec zèle à la restauration du spirituel et du temporel[20].

Philbert de Brichanteau et le corps Municipal de Laon font, en 1645, un traité avec la congrégation de Saint-Maur, par lequel elle doit se charger du Collège, moyennant qu'on lui en abandonne les revenus, avec la prébende préceptoriale, et qu'il lui sera payé une rente annuelle de mille livres. Le Lieutenant-généraldu bailliage en ordonne l'exécution. Il y en a appel et des interventions de la part du Chapitre, du Principal du Collège, et même de l'Université de Paris[21]

Son décès et sa succession

Son successeur comme évêque de Laon, César d'Estrées.

Brichanteau av payé de trois années d'exil quelques discours libres tenus sur le compte de Richelieu. La modération de Mazarin touche peu l'évêque de Laon, si l'on en juge par sa conduite dans l'affaire de celui de Léon, qui, accusé du crime de lèse-majesté et condamné par de premiers Commissaires, est absous par d'autres Juges. Brichanteau, quoique récusé par la Cour, a siégé avec eux. Cette période est singulièrement marquée par l'implacable opposition de l'évêque Philbert de Brichanteau au ministère du cardinal Mazarin[22]. Monseigneur Brichanteau oest bligé de s'absenter de son diocèse pendant l'espace de six années meurt dans l'exil[1],[4].

Philibert de Brichanteau meurt le 22 décembre 1652 à Paris[1]. Selon ses intentions, son cœur est placé dans la petite chapelle de la Trinité sur le Bourg, une partie de ses entrailles aux Capucins et l'autre à l'église des religieuses de la Congrégation qu'il avait établies. Son corps est porté à Meillant, en Bourbonnais. Monseigneur Brichanteau dans l’église paroissiale Saint-Aubin de Meillant a fait construire pour lui la chapelle nord[23].

Philbert de Brichanteau, voulant que son cœur restât au milieu du peuple qu'il avait tendrement chéri, ordonna qu'il fût déposé au centre de la ville dans la Chapelle de la Trinité. Cette Chapelle, qui était située sur la place contre la grosse tour, et qui a été détruite en même temps que la porte Morté ou Mortelle, avait été fondée en 1400 par Jean, Seigneur de Clamecy et de Prouvais, Maître-d'hôtel du Roi et Bourgeois de Laon. Le Chapitre de S. Jean en avait l'administration et il était chargé d'y dire la Messe tous les Dimanches et Fêtes[24].

Après sa mort, le siège de Laon ne vaque pas longtemps : il est d'abord donné à Jean de Ligné ; mais ce prélat n'en ayant point reçu les bulles, est nommé à l'évêché de Meaux. Bientôt après, le roi donne celui de Laon à César d'Estrées, prêtre, docteur eu théologie de l'université de Paris, abbé commendataire de Longpont. Il est fils du maréchal François-Annibal d'Estrées et de Marie de Béthune. Il n'obtient ses bulles qu'en 1655[25].

Notes et références de l'article

  1. a, b, c et d Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique, dogmatique, canonique, géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques ...; Par Charles Louis Richard, Collaborateur Jean Joseph Giraud, Publié par Boiste fils ainé, 1827, 27-28, p.327.
  2. Histoire de la ville de Laon, Par Jacques-François-Laurent Devisme, Publié par Le Blan-Courtois, 1822, p.79.
  3. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France ; 3e éd. / par de La Chenaye-Desbois et Badier, Aubert de La Chesnaye Des Bois, François-Alexandre (1699-1783), Schlesinger frères (Paris), 1863-1876, p.485.
  4. a et b Histoire de l'abbaye de Saint-Vincent de Laon, publ., annotée & continuée par l'abbé Cardon et l'abbé A. Mathieu,Par Robert Wyard, 1858, p.29.
  5. a et b couvent de soeurs de la Congrégation de Notre-Dame-Saint-Ignace
  6. Revue contemporaine, 1863, Notes sur l'article: t.66, Copie de l'exemplaire Université de Harvard.
  7. Biographie universelle, ancienne et moderne; ou, Histoire, par ordre alphabétique: de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, Par Joseph Fr Michaud, Louis Gabriel Michaud, Publié par Michaud frères, 1811, t. 4 (Be-Bo), p.495.
  8. Collection universelle des mémoires particuliers relatifs à l'histoire de France, Par Jean-Antoine Roucher, Antoine Perrin, Louis d'Ussieux, Publié par s.n., 1789, v. 51, p.398.
  9. L'Université de Paris, 1200-1875: la nation de Picardie, les collèges de Laon et de Presles, la loi sur l'enseignement supérieur, Par Charles Adrien Desmaze, Publié par Charpentier, 1876, p.83.
  10. a et b Histoire de la ville de Laon et de ses institutions: civiles, judiciaires, féodales, militaires, financières et religieuses : monuments, antiquités, mœurs, usages, impôts, finances, commerce, population, etc, Par Maximilien Melleville, Publié par À l'impr. du Journal de l'Aisne, 1846, v.2, p.56.
  11. a et b La France pontificale (Gallia christiana), histoire chronologique et biographique des archevêques et évêques de tous les diocèses de France depuis l'établissement du christianisme jusqu'à nos jours, divisée en 17 provinces ecclésiastique. Paris / par M. H. Fisquet,..., Fisquet, Honoré, E. Repos (Paris), 1864-1873, p.460 et suivantes.
  12. Laon (Aisne).
  13. Wikisource : Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/426
  14. Histoire de l'abbaye de Saint-Vincent de Laon, publ., annotée & continuée par l'abbé Cardon et l'abbé A. Mathieu,Par Robert Wyard, Publié par , 1858, p.77.
  15. Histoire ecclésiastique de la cour de France, où l'on trouve tout ce qui concerne l'histoire de la Chapelle, & des principaux officiers ecclésiastiques de nos rois: Où l'on trouve tout ce qui concerne l'histoire de la Chapelle, & des principaux Officiers Ecclésiastiques de nos Rois, Par Étienne Oroux, Publié par Impr. royale, 1777, v. 2, p.351.
  16. Traité des droits, fonctions, franchises ... annexés en France à chaque dignité, ouvrage de plusieurs jurisconsultes, publ. par m. Guyot (& Merlin), publié par Germain Antoine Guyot, 1787, p.184.
  17. Bulletin, Par Société académique de Laon, 1876, t.21 (1874-1875), p.3.
  18. ESSAI HISTORIQUE SUR ROZOY-SUR-SERRE ET LES ENVIRONS: COMPRENANT UNE GRAND PARTIE DE LA THIÉRACHE ET DU PORCIEN ET QUELQUES COMMUNES DU LAONNOIS, Par G.-A. Martin, Publié par ED. FLEURY, 1864, t.2, p.213.
  19. Statistique du département de l'Aisne, Par J.-B. L. Brayer De Beauregard, Publié par Impr. de Melleville, 1824, v.1, p.301.
  20. Antiquités religieuses du diocèse de Soissons et de Laon, Par J. F. M. Lequeux, Publié par Parmantier, 1859, p.128.
  21. Histoire de la ville de Laon, Par Jacques-François-Laurent Devisme, Publié par Le Blan-Courtois, 1822, ..
  22. Histoire des villes de France: avec une introduction générale pour chaque province, Par Aristide Matthieu Guilbert, Publié par Furne, 1844, t.2. p.190.
  23. Bulletin, Par Société historique de Haute-Picardie, 1939, v.17, p.550.
  24. Histoire de la ville de Laon, Par Jacques-François-Laurent Devisme, Publié par Le Blan-Courtois, 1822, p.169.
  25. Histoire de la ville de Laon et de ses institutions: civiles, judiciaires, féodales, militaires, financières et religieuses : monuments, antiquités, mœurs, usages, impôts, finances, commerce, population, etc, Par Maximilien Melleville, Publié par À l'impr. du Journal de l'Aisne, 1846, Notes sur l'article: v.2, p.57.

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