Frederic-Maurice de La Tour d'Auvergne, comte d'Auvergne

Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne, comte d'Auvergne

Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne né le 15 janvier 1642, comte d'Auvergne et comte d'Oliergues et marquis de Lanquais, mort le 23 novembre 1707. Il est le fils de Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon et d'Eléonore-Catherine-Fébronie de Wassenaar de Berg

Lieutenant-général.

Il épouse en 1662, Henriette-Françoise marquise de Bergen-op-Zoom, fille d'Eitel-Frédéric I prince de Hohenzollern-Hechingen, morte l' 17 octobre 1698. Ils ont 12 enfants :

• Marie-Anne née le 11 novembre 1669.
• Emmanuel-Maurice dit « Le Bailli d'Auvergne » né le 3 décembre 1670, chevalier de l'ordre de Malte, mort en mars 1702.
• Henri Oswald de La Tour d'Auvergne né le 5 novembre 1671, abbé de Cluny, puis archevêque de Tours 1719-1722, puis archevêque de Vienne, élu cardinal en 1737 par Clément XII).
• François Le Prince de Limeuil né le 27 septembre 1672.
• Henriette née en 1673.
• Louis-Frédéric né en 1674.
• François-Egon Le Prince d'Auvergne né en 1675, comte d'Auvergne et marquis de Bergon-op-Zoom, mort en 1710 épouse en 1707, Marie-Anne fille de Philippe prince d'Arenberg. Leur petit-fils est Charles Théodore de Bavière.
• Frédéric-Godefroid.
• Frédéric-Constantin dit « Le Prince Frédéric » né en 1682, comte d'Oliergues, mort en 1732.
• Thérèse-Henriette, née le 16 mars 1683.
• Elisabeth-Eléonore de la Tour d’Auvergne (v.1665-1746), abbesse de Thorigny-sur-Vire.
• Louise-Émilie de la Tour d'Auvergne (1667-1737), abbesse de Saint-Remy de Villers-Cotterets, puis abbesse de « Mont-Martre-Les-Paris » (Montmartre) de 1727 à 1735^[1].

Frédéric-Maurice contractera une seconde union, le 1^er avril 1699 avec Élisabeth van Wassenaer-Starrenburg (morte le 16 septembre 1704^[2].).

Notes

1. ↑ Elle a donné son nom à l'actuelle « rue de la Tour d'Auvergne » dans le 9e arrondissement de Paris (Déc. du 3 août 1861 (UP), partie A)
2. ↑ François Aubert de la Chenaye Desbois, Dictionnaire de la Noblesse, Paris, 1863, XIX, p. 62.

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