Homicide

Homicide
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Un homicide est l'action d'un humain qui tue un autre être humain. Dans la majorité des sociétés, quelle qu'en soit la raison, l'acte d'homicide est considéré comme l'un des crimes les plus graves pouvant être commis.

Selon les pays, les lois distinguent les homicides en catégories de différentes gravités.

En droit pénal français, par exemple, l'homicide peut avoir quatre qualifications juridiques différentes, correspondant à trois degrés dans l'intention de tuer.

  1. L'homicide volontaire, où un être humain en tue un autre volontairement ; il est qualifié de « meurtre » s'il n'y a pas de préméditation, et d'« assassinat » s'il est prémédité ;
  2. Les violences volontaires ayant entraîné la mort sans l'intention de la donner, où un être humain tue sans intention de tuer, mais en faisant usage d'une violence qui, elle, est volontaire ;
  3. L'homicide involontaire, où un être humain en tue un autre par accident en commettant un délit ou un crime ou par négligence criminelle.
  4. L'homicide accidentel, où un être humain en tue un autre alors qu'il ne pouvait pas prévoir que son acte soit la cause d'un décès (par exemple donner un produit à quelqu'un qui lui cause une allergie mortelle) ou que cet acte soit involontaire (par exemple tomber sur un enfant et l'écraser sous son poids).

Les deux premiers sont des crimes passibles de Cour d'assises, le troisième est un délit jugé par un tribunal correctionnel, le quatrième n'est ni un délit ni un crime.

Aux États-Unis par exemple, on distingue :

  1. le « meurtre au premier degré » (First Degree Murder) correspondant à l'assassinat ;
  2. le « meurtre au second degré » (Second Degree Murder) correspondant au meurtre ;
  3. le involuntary manslaughter (souvent traduit dans les séries américaines par « homicide involontaire » pour des raisons de synchronisme) correspondant aux « violences volontaires ayant entraîné la mort sans l'intention de la donner ».


Sommaire

Crime et homicide

Un crime est de manière générale une action considérée comme très grave par la loi. On utilise aussi le terme crime pour désigner un homicide, or tous les crimes ne sont pas des homicides:

  1. En France, par exemple, de nombreux faits sont qualifiés de crimes : le viol, le proxénétisme, la torture, l'excision ou encore le vol avec violence, la séquestration). Ce qui est différent de l'homicide.
  2. Aux États-Unis, le mot crime a un sens plus général qui englobe aussi les délits.

Et les homicides sont tous des crimes, sauf, dans certains pays, les homicides involontaires.

Gradation des homicides

Les cas d'homicides possibles, listés par ordre de gravité décroissante (au regard de la loi)[réf. nécessaire] :

  1. Homicide volontaire avec préméditation
  2. Homicide volontaire sans préméditation
  3. Homicide involontaire par coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner
  4. Homicide involontaire par négligence
  5. ...

Des exemples en sont:

  1. Quelqu'un tue une personne après avoir prémédité et préparé son acte : assassinat (autrement dit homicide volontaire avec préméditation), ce qui est un crime.
  2. Quelqu'un étrangle une personne dans un accès de rage lors d'une bagarre ou abat un cambrioleur en fuite sans pouvoir invoquer la légitime défense : meurtre (autrement dit homicide volontaire avec intention de donner la mort mais sans préméditation), ce qui est un crime.
  3. Quelqu'un tue une personne lors d'une bagarre sans avoir eu l'intention de donner la mort : coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner (autrement dit homicide volontaire non qualifié), ce qui est un crime.
  4. Quelqu'un cause la mort d'une personne dans un accident de la circulation : homicide involontaire, ce qui est un délit.
  5. Quelqu'un blesse une autre personne au cours d'une bagarre : coups et blessures volontaires, ce qui est un délit.
  6. Quelqu'un provoque involontairement un accident de la route qui fait des blessés : en France, cela est qualifié de coups et blessures involontaires, ce qui est un délit (Art 132-16-2 et 223-1 du Code Pénal) ;

Homicide involontaire

Par exemple dans le droit pénal français, l'article 221-6 définit l'homicide involontaire comme tel :

« Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.

En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende »[1].

En religion

Judaïsme

Dans le Judaïsme, le meurtre est un grave péché qui ne recouvre pas tout à fait l'homicide. Il est énoncé dans les dix commandements (en hébreu: עשרת הדיברות) : 20.13 Tu ne commettras point d'assassinat. La traduction classique de ce commandement est Tu ne tueras point. Il n'est pas écrit "Lo taharog", verbe utilisé en particulier quand Caïn tue Abel, en Ge. 4,8 mais "Lo tirtza'h" - לא תרצח. C'est une notion juridique plus complexe, qui ne couvre pas l'homicide en cas de guerre, de légitime défense, ou prononcé par un tribunal régulier (peine de mort).

Christianisme

« Dieu tient en son pouvoir l'âme de tout vivant et le souffle de toute chair d'homme. (Job 12.10) » ; « Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu. (Matthieu 5.9) ». Selon un des dix commandements (« Tu ne tueras pas. Celui qui tuera sera passible de jugement. »), toute vie humaine, dès le moment de la conception jusqu'à la mort, est sacrée parce que la personne humaine a été voulue pour elle-même à l'image et à la ressemblance du Dieu vivant et saint. Le meurtre d'un être humain est gravement contraire à la dignité de la personne et à la sainteté du Créateur. Sont considérés comme homicide : Avortement volontaire, euthanasie, guerre, suicide. La légitime défense est un devoir grave[2].


Islam

L'homicide volontaire sans raison de guerre ou de légitime défense est puni en Islam par la peine de mort en vertu de la loi du talion héritée de la Bible. Verset 17 :33 : "Ne tuez pas l'âme que Dieu a interdite, sauf à bon droit. Quiconque est tué opprimé, alors nous avons donné autorité à son allié. Que celui-ci n'excède pas en tuant, car il est déjà secouru". En revanche, l'homicide involontaire ouvre droit à compensation seulement. Cette mesure est venue limiter le recours à la vengeance, autrefois invoquée en toutes circonstances.

Statistiques

Statistiques mondiales des homicides en 2000 (ou l'année la plus proche) [3]
Rang Pays Nombre total
(environ)
Taux
pour 100 000
habitants
Pourcentage
de l'ensemble
des décès
1 Afrique du Sud 26 539[4] 60,8
2 Russie (hors Tchétchénie) 28 904[4] 28,4
3 Brésil 50 000 23,3
4 Kazakhstan 18,8
5 Lettonie 15,3
6 Estonie 13,9
7 Ukraine 13,1
8 Moldavie 11,9
9 Biélorussie 11,4
10 Mexique 13 144[4] 10,8
11 Lituanie 9,3
12 Kirghizistan 7,7
13 États-Unis 16 204[4] 6,2 0,7 %
14 Cuba 5,2
15 Albanie 4,2
16 Géorgie 3,3
17 République de Macédoine 3,0
18 Pologne 2,1
19 Belgique 1,9
20 Pérou 1,8
21 Corée du Sud 1,7
22 Canada 1,5
23 Pays-Bas 1,4
24 Italie 1,2
25 Suède 1,2
26 Allemagne 0,9
27 Espagne 0,9
28 France 430 0,7 [5] 0,08 %
29 Royaume-Uni 406 0,7 0,07 %
30 Japon 0,6

Le taux d'homicides le plus élevé au monde en 2009 est celui du Salvador, qui compte 72 homicides pour 100 000 habitants. Selon la justice de ce pays, la plupart de ces meurtres sont dus à des crimes de gang[6].

Plusieurs pays de l'est de l'Europe ont un taux élevé d'homicides des jeunes (entre 7 et 9 pour 100 000 habitants pour l'Estonie, la Lettonie, la Moldavie, l'Ukraine et la Biélorussie[7]). Aux États-Unis, ce taux était de 11 pour l'année 1998 (15e rang mondial) [7].

Les 20 premiers pays pour le taux d'homicides
Nombre moyen d'homicides
commis par des jeunes de 10 à 29 ans
par an
[7]
Rang Pays Année Pour 100 000
habitants
Total
1 Colombie 1995 84,4 12 834
2 Salvador 1993 50,2 1 147
3 Porto Rico 1998 41,8 538
4 Brésil 1995 32,5 20 386
5 Albanie 1998 28,2 325
6 Venezuela 1995 25,0 2 090
7 Russie 1998 18,0 7 885
8 Équateur 1996 15,9 757
9 Mexique 1997 15,3 5 991
10 Panama 1997 14,4 151

Amérique latine

L'Amérique latine est cinq fois plus touchée par les homicides que les autres continents[8]. La moyenne des meurtres en 2008 s'établit à 27 pour 100 000 habitants, alors que la moyenne mondiale est de 5 pour 100 000[8]. C'est aussi le continent qui rassemble plusieurs des pays les plus inégalitaires au monde. Brésil, Guatemala, Honduras ou Colombie ont ainsi un coefficient de Gini de 0,6. L'Amérique centrale affiche un taux de meurtres parmi les plus élevé du monde avec 33 homicides pour 100 000 habitants[9].

Le Brésil est l'un des pays les plus violents du monde : 600 000 personnes ont été assassinées entre 1980 et 2000, et le taux d'homicide a augmenté de 130 % sur cette période[10]. En 2008, on compte environ 50 000 homicides par an dans tout le pays[11]. Chaque jour, trois jeunes de 15 à 24 ans sont assassinés[11].

Caracas, la capitale du Venezuela est l'une des villes les moins sûres d'Amérique latine, avec 105 homicides pour 100 000 habitants en 2006[12], 140 en 2009[13]. Les conditions de sécurité dans ce pays continuent de s’y dégrader rapidement. On estime à 19 000 le nombre d’homicides enregistrés en 2009 au Venezuela[14].

Au Guatemala, 14 000 homicides ont été commis sous la présidence d'Alfonso Portillo (2000-2004) [15], 21 509 en 2004-2007, soit une dizaine par jour, essentiellement par arme à feu[15].

Au Mexique, la violence liée au trafic de drogue a provoqué la mort de 7 724 personnes en 2009[16]. Le 30 août 2008, des dizaines de milliers de Mexicains sont descendus dans les rues pour exiger l'arrêt de ces violences. Pour l'année 2007, la police a enregistré 438 enlèvements contre rançon, mais le chiffre réel serait plus élevé, car beaucoup de ces enlèvements ne sont pas signalés[17].

Le Salvador est le pays le plus dangereux au monde avec 114 meurtres pour 100 000 habitants sur la période 2003-2004 et 67 en 2008[18]. Entre 2004 et 2008, plus de 16 000 personnes ont été assassinées dans ce pays[18]. L'Institut de médecine légale du Salvador estime que le nombre total de meurtres est passé de 3 802 en 2005 à 3 928 en 2006 et qu'il est redescendu à 3 491 en 2007[19].

40 % des meurtres seraient dus aux gangs particulièrement violents qui sévissent dans ce pays, les maras, d'après la justice et la police, et un certain nombre à des milices de citoyens qui souhaitent faire justice eux-mêmes, selon le quotidien El Diario de Hoy, au Salvador.

Homicides en baisse aux États-Unis

Évolution du nombre de meurtres par arme à feu aux États-Unis

Aux États-Unis, le nombre d'homicides a diminué pendant les années 1990[20] : le nombres d'homicides en 1991, année record, a été de 24 703 soit 9,8 meurtres pour 100 000 habitants; En 2005, il s'établit à 16 910 victimes soit 5,7 meurtres pour 100 000 habitants, soit la 24e place mondiale[4]; en 2008, ce taux, avec 16 272 victimes est passé à 5,4 meurtres pour 100 000 habitants[21]. En 2009, le nombre des meurtres a enregistré un recul de 7,2%.

Certains attribuent cette baisse à la politique de tolérance zéro, à la stricte application des peines et à la modernisation de la police. D'autres, comme le sociologue Loïc Wacquant mettent davantage en avant la bonne santé de l'économie américaine, l'arrivée d'immigrés dans des quartiers délaissés et la baisse du trafic du crack[20], le fait que le crime continue de baisser alors les États-Unis sont entrés dans la crise financière de 2007-2010 lui donne tort sur le premier point. L'économiste américain Steven Levitt y voit lui une conséquence à retardement de la libéralisation de l'avortement deux décennies auparavant[22]. Selon le criminologue canadien Marc Ouimet le nombre des personnes âgées de 20 à 34 ans a chuté de 18% entre 1990 et 2001. Cette catégorie d'âge est celle qui commet justement le plus de crimes. En 2005 et 2006, la criminalité est repartie à la hausse dans le pays sauf dans les trois premières agglomérations (New York, Los Angeles et Chicago)[20] avant de rebaisser depuis 2007.

Statistiques en France

Chiffres en France
Année Homicides Tentatives d'homicide Pourcentage de la mortalité
1996 1 171 1 214 0,21 %
1997 963 1 122 0,18 %
1998 961 1 189 0,18 %
1999 953 1 044 0,17 %
2000 1 051 1 115 0,19 %
2001 1 047 1 243 0,19 %
2002 1 322 1 296 0,24 %
2003 nc nc nc
2004 1 108 1 107 0,20 %
2005 1 113 1 131 0,20 %
2006 980 1 058 0,18 %
2007 932 1 040 nc
2008 981 1 060 nc
2009 755 948 nc

En France, les morts violentes (homicides, suicides, accidents) sont la première cause de mortalité chez les 15-34 ans. Les homicides en forment une toute petite minorité, loin derrière les accidents de la circulation, les suicides et à égalité avec les chutes (par exemple lors d'un accident du travail)[23]. Toutefois, le nombre annuel de décès par accident du travail est supérieur à celui des décès par homicide volontaire[24].

La France dispose de statistiques sur le nombre d'homicide depuis le Premier Empire. La tendance longue est à la baisse. Ainsi, en 1936, le taux d'homicide était de 1,1 pour 100 000 habitants. En 1968, ce même taux était descendu à 0,8. En 2000, avec un taux de 0,7 pour 100 000, la France présentait un des plus faibles taux d'homicide au monde[25]. Entre 1950 et 1980, le taux de mort par homicide est relativement stable en France. Chez les hommes, il connaît une brusque -et temporaire- augmentation entre 1956 et 1962 (mort des appelés du contingent durant la guerre d'Algérie). Depuis le début des années 1980, le taux de mortalité masculine par homicide est en légère baisse. Chez les femmes, cette baisse est plus marquée et débute elle aussi au début des années 1980[23].

Ces chiffres sont issus du site du ministère de l'Intérieur français[26]. On remarque qu'ils sont supérieurs à ceux de l'Ined présentés dans le paragraphe précédent (environ 1 000 morts par an soit 1,6 pour 100 000 habitants). Le pourcentage de la mortalité totale est estimé à partir du taux de mortalité de 2001 (9,09 ‰, 909 morts pour 100 000 habitants, soit environ 545 000 morts par an).

En 2008, la Corse détient le record des homicides par arme à feu avec 20 meurtres et 13 tentatives de meurtre[27]. En 2009, 25 assassinats liés au grand banditisme étaient recensés sur l'Île de Beauté[28].

Statistique en Suisse

Le taux d'homicide en Suisse est relativement stable avec en moyenne de 213 cas enregistrée (tentative et acte pleinement réalisé) entre 2000 et 2004[29]. La même tendance se confirme au niveau des condamnations entre 2005 et 2009 (de 84 à 95 condamnation par an), les infractions d'homicide demeurent une extrême minorité des crimes ou délits jugés en Suisse (84 condamnations pour homicide sur un total de 94'574 condamnations en 2009)[30].

La plus grande partie des homicides est liées au contexte domestique (45% des cas)[29]. Les ressortissants étrangers demeurent sur représentés (responsables à hauteur de 59% des homicides en 2009 alors qu'ils ne représentent que 21% de la population[31]) .

La majorité des suspects sont des hommes (88%) ainsi que la majorité des victimes (60%) : on remarque des lors que les femmes sont plus souvent victime qu'auteur d'homicide. Le taux d'élucidation des actes d'homicide atteint les 94% dont 64% l'ont été le jour même du crime[32].

Notes et références

  1. Article 221-6 du Code Pénal ( voir lexinter)
  2. Catéchisme du Vatican, cinquième commandement : En bref.
  3. (fr)[PDF] Les morts violentes dans le monde, dans le numéro 395 de novembre 2003 de la publication Population et Société de l'Ined.
  4. a, b, c, d et e (en) Murders (most recent) by country, Nationmaster.comconsulté le=20-04-2009
  5. (fr)Données détaillées et indicateur de mortalité sur www.cepidc.vesinet.inserm.fr. Consulté le 29 mai 2010.
  6. (es)2009 el año más violento desde 1992 (spanish), ELFARO.NET / El primer periódico digital latinoamericano. Consulté le 2010-05-05
  7. a, b et c (fr)[PDF] Rapport mondial sur la violence et la santé (2002), OMS. Consulté le 15-02-2008
  8. a et b « Amérique latine: 5 fois plus de meurtres qu'en moyenne dans le monde », dans Le Monde du 08-10-2008, [lire en ligne]
  9. Amérique Centrale : le respect de l'État de droit, la solution contre la violence, PNUD, 20-10-2009. Consulté le 27-10-2009
  10. Francisco Alves Filho et Eliane Lobato, « Rio paralysé par la guerre des favelas », dans Courrier international n° 703 du 22-04-2004, [lire en ligne]
  11. a et b Jean-Pierre Langellier, « Les favelas prises entre deux feux, par Jean-Pierre Langellier », dans Le Monde du 20-03-2008, mis en ligne le 19-03-2008, [lire en ligne]
  12. Selon le Centre pour la Paix de l'Université centrale du Venezuela ; nombre cité dans Marie Delcas, « La lutte contre l'insécurité grandissante est devenue la priorité des Vénézuéliens », dans Le Monde du 20/06/2007, [lire en ligne]
  13. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2010/03/15/week-end-sanglant-a-caracas-67-tues_1319790_3222.html
  14. (fr) Conseils aux voyageurs : Venezuela, ministère français des affaires étrangères, 25 juin 2010
  15. a et b Paulo A. Paranagua, « L'ONU s'implique dans la lutte contre l'insécurité au Guatemala », dans Le Monde du 24-01-2008, [lire en ligne]
  16. (es) Esther Sánchez, « Aumenta nivel de violencia del narco », dans El Universal, 1er janvier 2010 [texte intégral (page consultée le 7 janvier 2009)] 
  17. « Le Mexique descend dans la rue pour manifester contre la violence », dans Le Monde du 31-08-2008, [lire en ligne]
  18. a et b Jean-Michel Caroit, « Le thème de l'insécurité a pesé sur une campagne présidentielle très disputée au Salvador », dans Le Monde, 14 mars 2009 [texte intégral (page consultée le 30 mars 2009)] 
  19. (fr) Immigration and Refugee Board of Canada, « El Salvador : information sur la criminalité et sur l'efficacité du gouvernement et de la police, y compris sur la protection des victimes et des témoins (2007 - juin 2009) » sur http://www.unhcr.org/, UNHCR, 15 juillet 2009. Consulté le 16 juillet 2010
  20. a, b et c (fr) Nicolas Bourcier, «États-Unis : remontée de la criminalité », dans Le Monde du 28-09-2007, mis en ligne le 27-09-2007, [lire en ligne]
  21. (en) Table 1 - Crime in the United States, Federal Bureau of Investigation, septembre 2009. Consulté le 16 juillet 2010
  22. Steven Levitt, "Freakonomics"
  23. a et b (fr) [PDF]Recent Improvements in Life Expectancy in France: Men are Starting to Catch Up, rapport de France Meslé publié par l'INED le 26 septembre 2006 .
  24. Philippe Squarzoni, Dol, p. 199, Les Requins Marteaux, Albi, 2007, (ISBN 9782849610688)
  25. Emmanuel Todd, Après la démocratie, p. 214, Gallimard, Paris, 2008 (ISBN 9782070786831)
  26. Statistiques de la criminalité, Ministère de l'Intérieur
  27. Corse : les armes prolifèrent, l'État renforce les contrôles, Le Figaro, 27/01/2009.
  28. La guerre des clans met la Corse à feu et à sang, Le Parisien, 21/12/2009.
  29. a et b [PDF] Enquête sur les homicides sur bfs.admin.ch. Consulté le 26 novembre 2010
  30. Condamnation pour crime ou délit selon un choix d'infraction sur bfs.admin.ch. Consulté le 26 novembre 2010
  31. Les Suisses votent sur le renvoi des criminels étrangers sur leMonde.fr. Consulté le 26 novembre 2010
  32. Homicides - Ampleur, structure sur bfs.admin.ch. Consulté le 26 novembre 2010

Voir aussi

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Bibliographie

  • Laurent Mucchielli et Pieter Spierenburg (dir), Histoire de l'homicide en Europe. De la fin du Moyen Âge à nos jours, La Découverte, 2009.
  • Jean-Pierre Bouchard, Jean-Christian Petitfils. Henri IV un mythe français : L’énigme Ravaillac. Le Figaro Magazine, 7 mai 2010.


Articles connexes

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Homicide de Wikipédia en français (auteurs)

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