Tourcoing

Tourcoing

50° 43′ 56″ N 3° 06′ 14″ E / 50.7323, 3.1040

Tourcoing
Hôtel de ville
Hôtel de ville
Armoiries
Détail
logo
Administration
Pays France
Région Nord-Pas-de-Calais
Département Nord
Arrondissement Lille
Canton chef-lieu des cantons de :
Tourcoing-Nord
Tourcoing-Nord-Est
Tourcoing-Sud
Code commune 59599
Code postal 59200
Maire
Mandat en cours
Michel-François Delannoy
2008-2014
Intercommunalité Lille Métropole Communauté urbaine
Site web www.tourcoing.fr
Démographie
Population 92 614 hab. (2008[1])
Densité 6 097 hab./km²
Gentilé Tourquennois, Tourquennoise
Géographie
Coordonnées 50° 43′ 56″ Nord
       3° 06′ 14″ Est
/ 50.7323, 3.1040
Altitudes mini. 24 m — maxi. 49 m
Superficie 15,19 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Tourcoing (en néerlandais : Toerkonje, en picard : Tourtchuin), commune française située dans le département du Nord. Elle est le chef-lieu de trois cantons.

Forte d'une population d'un peu moins de cent mille âmes[2], limitrophe de la Belgique, Tourcoing forme une grande métropole avec ses deux partenaires, Lille et Roubaix, auxquelles on ajoute parfois Mouscron.

La ville demeure célèbre pour le prodigieux essor économique qu'elle a connu durant la Révolution industrielle au XIXe siècle, grâce au textile. Elle est surnommée « la cité du Broutteux ».

Florilège tourcoing.JPG

Sommaire

Géographie

Site

Relief de la région de Lille

Tourcoing fait partie intégrante de la plaine des Flandres.

Le relief de Tourcoing est donc essentiellement plat, à une hauteur d'un peu moins d'une cinquantaine de mètres au-dessus du niveau de la mer.

Par rapport aux villes voisines de moindre importance (Roncq, Halluin, Neuville-en-Ferrain et Mouscron), Tourcoing donne l'impression d'être un "vallon" entouré de quelques rares collines (Mont d'Halluin, Mont-à-Leux à Wattrelos...). La ville possède néanmoins des quartiers avec un peu plus de relief, tel le Brun-Pain et les Francs.

Tourcoing n'est traversé par aucune rivière d'importance. Cette terre humide comporte par contre de nombreux ruisseaux de plus ou moins grand débit d'eau, entre autres l'Espierre et la Becque de Neuville. Ces cours d'eau sont à présent souterrains suite à l'expansion urbaine. La seule voie navigable et actuellement à l'air libre est le canal de Tourcoing, creusé au XIXe siècle suite à l'industrialisation et au prodigieux essor économique de la ville. Ce canal, qui est une ramification du canal de Roubaix qui joint la Deûle à l'Escaut, a été en partie rouvert à la navigation touristique en 2008 (programme Blue Links). Il sert de cadre durant la saison estivale au festival de Tourcoing Plage.

Communes limitrophes

Histoire

Pour plus de détails, voir l'article Histoire de Tourcoing.

L'église Saint-Christophe

Trucoinus, nom de personne d'origine germanique.
La première mention de Torcoin = Tourcoing dans un texte officiel remonte à 1080 : il s'agit d'un acte de donation de l'abbaye d'Harelbecque, qui a pour témoin un certain Saswalus de Turconium[3].

En 1130, la première église, dédiée à Saint Vaast (qui deviendra par la suite l'église Saint Christophe), est construite. La seigneurie de Tourcoing, qui se compose d'un bourg agricole dont les habitants augmentent leurs revenus en faisant de la draperie, surmonte difficilement les ravages de la Guerre de Cent Ans et des guerres de religion. En 1360, ses habitants obtiennent un sceau royal attestant la qualité de leurs draps. En 1491, Maximilien d’Autriche, qui domine alors la Flandre, lui accorde une franche foire. En 1668, la châtellenie de Lille, dont fait partie Tourcoing, est définitivement rattachée à la France. À la Révolution, la ville compte près de 15 000 habitants. Le 29 floréal an II (18 mai 1794), Tourcoing est le lieu d'une importante bataille entre les armées révolutionnaires françaises et celles de la première coalition. La victoire française conduisit peu après la bataille de Fleurus (1794).

Au XIXe siècle, elle prendra un essor extraordinaire suite à la révolution industrielle et sera l'une des « reines du textile »[4]. Sa population atteint bientôt les cent mille habitants. En 1860, l'église Saint Christophe est considérablement agrandie par l'architecte Charles Leroy. Elle devient l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord. En 1885, construction de l'actuel hôtel de ville. En 1906 enfin, à l'occasion de l'exposition internationale des industries textiles (qui se déroulent à Tourcoing), est édifié le beffroi de la Chambre de commerce[5]. La ville est particulièrement marquée par le mandat du maire Gustave Dron (maire de 1899 à 1919 et 1925 à 1930), qui entreprit une grande œuvre sociale[6].

La Place de la Victoire

Par la suite, Tourcoing subit les difficiles occupations allemandes durant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Un quartier de l'avenue de la Marne sera réquisitionné par l'armée allemande pour y établir le quartier général de la plus importante armée allemande du front Ouest. La "Cité du Broutteux" a été gravement touchée par la crise textile des années 1970.

Héraldique

Blason ville fr Tourcoing (Nord).svg

Les armes de Tourcoing se blasonnent ainsi : « D'argent à la croix de sable chargée de cinq besants d'or ».

Identité visuelle (logo)

Administration

L’échevinage de Tourcoing existe au moins depuis 1432. Le premier bailli fut Gautier des Prés, et les premiers échevins Pierrart de Falempin et Jean Noblet. En 1447, on trouve comme échevins : Jean du Castel, Arnoul le Maître, Jean Noblet et comme bailli Guillaume du Bus[7].
Il existait également un échevinage spécifique au quartier des Poutrains, qui était à l'époque une baronnie indépendante (il faut préciser que Tourcoing, sous l’Ancien Régime, constituait une seule et même paroisse mais se divisait en un véritable imbroglio de fiefs féodaux)[8].

Tourcoing et tous ses quartiers devinrent administrativement une Ville avec conseil municipal en 1790[8].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1899 1919 Gustave Dron Radical  
1919 1925 François Leduc    
1925 1930 Gustave Dron Radical  
1930 1930 Jules Brassart    
1930 1935 Albert Inghels Socialiste  
1935 1941 Edmond Salembien Radical Socialiste  
1941 1944 Léon Marescaux    
1944 1947 Fernand Lamblin   Maire à la Libération
1947 1954 Louis Paris Socialiste  
1954 1959 René Debesson Socialiste  
1959 mars 1977 René Lecocq Gaulliste  
mars 1977 1979 Guy Chatiliez Socialiste  
1979 mars 1983 Maurice Devloo PS  
mars 1983 mars 1989 Stéphane Dermaux UDF  
mars 1989 mars 2008 Jean-Pierre Balduyck PS  
mars 2008 en cours Michel-François Delannoy PS  
Toutes les données ne sont pas encore connues.
Tourcoing et ses quartiers

La ville est chef-lieu de trois cantons :

Démographie

Les Cantons de Tourcoing dans l'arrondissement de Lille.

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Tourcoing depuis cette date :

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 12 110 11 380 11 999 14 661 17 973 19 966 22 503 26 834 27 615
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 29 646 33 498 38 262 43 322 48 634 51 895 58 008 65 477 73 353
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 79 243 81 671 82 644 78 600 81 379 81 972 78 393 76 080 83 416
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 89 258 98 755 102 239 96 908 93 765 93 531 92 357 92 118 92 614
Notes, sources, ...
Sources - Nombre retenu jusque 1962 : base Cassini de l'EHESS[9] et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[10],[11]

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Tourcoing en 2007 en pourcentage[12].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90 ans ou +
0,8 
4,2 
75 à 89 ans
7,6 
8,8 
60 à 74 ans
10,2 
17,0 
45 à 59 ans
17,2 
21,3 
30 à 44 ans
20,9 
23,7 
15 à 29 ans
21,7 
24,8 
0 à 14 ans
21,6 
Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[13].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90 ans ou +
0,7 
4,6 
75 à 89 ans
8,2 
10,4 
60 à 74 ans
11,9 
19,8 
45 à 59 ans
19,5 
21,0 
30 à 44 ans
19,9 
22,5 
15 à 29 ans
20,9 
21,5 
0 à 14 ans
18,9 

Monuments et architecture

Édifices tourquennois majeurs :

L'Hôtel de ville de Tourcoing
  • Église Saint Christophe[14] (XIe ‑ XIIIe siècles, XVe ‑ XVIe siècles et XIXe siècle) : remarquable association de pierres et de briques, récemment restaurée, agrémentée d'un clocher haut de 80 mètres et d'un carillon de 62 cloches, l'église Saint Christophe est considérée comme l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1981[15].
  • Hôtel de ville[16] (1885) : construit sur les plans de l'architecte Charles Maillard, l'hôtel de ville de Tourcoing est caractéristique du style Napoléon III. De vastes proportions, il s'agit d'un des plus beaux témoignages de la réussite économique d'une époque. À noter, son grand hall en atrium et la décoration intérieure des salles. Il est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1981[17]
Article détaillé : Hôtel de ville de Tourcoing.
  • L'Ancienne Chambre de commerce et son beffroi[18] (1906) : ce beffroi d'angle, de style éclectique, rappelle la Renaissance Flamande. Il fut édifié à la gloire de la prospérité de Tourcoing à l'occasion de l'Exposition internationale des Industries textiles de 1906.

Architecture civile :

  • La gare de Tourcoing (1906), construite à l'occasion de l'Exposition internationale textile. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1984[19].
  • Le lycée d'État Gambetta[20] (1885), typique de la fin du XIXe siècle.
  • Le lycée Colbert[21] (1935), dans un style néo-flamand.
  • Stand de Tir (1905).
  • Hôpital Gustave-Dron (1905).
  • Le Bureau de Bienfaisance (1894).
  • Centre-ville et alentours (particulièrement rue Nationale et rue de Lille) : un grand nombre d'hôtels particuliers (anciennes résidences des familles industrielles textiles) en cours de restauration (notamment l'hôtel Rasson-Wattine), construits à la fin du XIXe siècle dans un style éclectique inspiré de la Renaissance.
  • L'École Nationale des Douanes construite en 2004 par le cabinet d'architechture Jean Nouvel est un bel exemple d'architecture contemporaine. Son hall d'entrée est décoré par une œuvre d'Aki Kuroda inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2009.
  • De nombreux bourloires, inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 2003 : Bourloire La Nouvelle Bourloire[22], Bourloire Saint-Louis[23], Bourloire Saint-Christophe[24], Bourloire Notre-Dame de Consolation[25], Bourloire Saint-Eloi[26], Bourloire La Concorde[27], Bourloire Saint-Charles[28], Bourloire Saint-Raphaël[29].

Architecture religieuse :

L'Hospice d'Havré réhabilité en « Maison Folie »
  • L'hospice d'Havré[30] (XVIIe siècle) : fondé en 1260 par Mahaut de Guisnes, le cloître et la chapelle datent du XVIIe siècle. Réhabilité en « Maison Folie » à l'occasion de Lille 2004 (capitale européenne de la culture cette année-là), l'hospice d'Havré est actuellement un haut lieu culturel tourquennois.
L'église Notre-Dame de la Marlière
L'église Sainte-Anne dans le quartier du Brun-Pain
  • Église Notre-Dame des Anges[31] (1850), dont l'intérieur témoigne d'un style Napoléon III flamboyant. L'église a été réalisée par les architectes de la ville Achile Dewarlez et Charles Maillard. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1981[32].
  • Église Notre-Dame de la Marlière[33], ensemble des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, lieu de pèlerinage. La rotonde a été réalisée en 1875 par l'architecte de la ville Charles Maillard. La statue de la vierge qui la couronne est l'œuvre de Viollet-le-Duc.
  • Institution libre du Sacré-Cœur[34], hall d'entrée et Cour d'Honneur (1885), Chapelle (1859).
  • Dans tous les quartiers de la ville, des églises (généralement en briques) datées de la deuxième moitié du XIXe siècle ou du début du XXe siècle, notamment les églises Sainte-Anne au Brun-Pain, Notre-Dame de la Consolation au Pont de Neuville, Saint-Louis (rue du Touquet) et Saint-Jean-Baptiste (au croisement de la rue de l'Épidème et des Cinq voies).

Le proche canal de Roubaix sera remis en navigation en 2008 (programme Blue Links). Il desservait notamment le site la « Zone de l’Union » (qui sur 80 ha de Roubaix, Tourcoing, et Wattrelos est l’un des plus grands chantiers de France (réhabilitation d’une friche industrielle de 80 ha environ, dont ancienne brasserie Terken) pour en faire probablement une zone d’activités de haute qualité environnementale, en associant les habitants des quartiers au projet, dans une dynamique de démocratie participative.

Personnalités liées à la commune

Enseignement

Pour plus de détails, voir Liste des établissements d'enseignement à Tourcoing.

Tourcoing draine la majeure partie des élèves de son bassin de population, qui se compose des communes plus ou moins limitrophes de Roncq, Neuville-en-Ferrain, Halluin, Mouvaux, Linselles, Bondues, Bousbecque et Comines ; en témoigne le réseau de transport scolaire qui débouche toujours sur le centre-ville de Tourcoing.

Tourcoing compte deux prestigieux établissements d'enseignement secondaire, historiquement liés à la ville : pour l'enseignement privé catholique, l'Institution libre du Sacré-Cœur[35], fondée en 1666 ; pour l'enseignement public, le Lycée d'Etat Gambetta[36], créé en 1885.

La carte scolaire de Tourcoing est riche : une vingtaine d'établissements secondaires, dont deux lycées d'enseignement général, deux lycées d'enseignement technologique, et un lycée d'enseignement professionnel. On notera le nombre relativement important de collège privés catholiques.

Depuis 2004, l'École Nationale des Douanes s'est installée à Tourcoing.

En 2008, avec le projet le Virolois se réinvente le Lycée Le Corbusier Tourcoing a déménagé rue des Piats dans une structure design et technologique offrant à ses élèves spécialisés en BTP et Communication graphique la possibilité de travailler dans des ateliers modernes et professionnels.

Sport

Vie culturelle

La Ville compte également de nombreuses structures artistiques et culturelles (liste non-exhaustive) :

Beffroi de la Chambre de commerce de Tourcoing

Théâtre

Musique

  • Le Conservatoire de musique et de danse[46]
  • L'Atelier lyrique de Jean-Claude Malgoire
  • Les Crick-Sicks, chorale d'hommes[47]
  • L'Orchestre d'harmonie de la ville[48]
  • Le Grand Mix, salle de concert[49]
  • Tourcoing Jazz Festival Planètes (25e édition en 2011) www.tourcoing-jazz-festival.com

Musées

Arts

  • Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains[53]
  • L'École régionale supérieure d'expression plastique (ERSEP) : enseignement supérieur des Beaux-Arts en collaboration avec le Département Arts Plastiques de l'Université Lille 3.

Tourcoing, sinistrée par la crise des années 1970, remonte lentement la pente depuis quelque temps, malgré un taux de chômage élevé et une forte insécurité dans certains quartiers. Elle souffre cependant de la comparaison avec Lille, la capitale régionale qui a réussi sa reconversion économique, ainsi que Roubaix, la "rivale" de toujours, qui a enclenché le processus de relèvement plus tôt grâce à l'aide de la Communauté Urbaine Lille Métropole.

La Ville a cependant accompli divers travaux de grande ampleur :

  • La prolongation de la ligne de métro jusqu’à l'hôpital Dron, situé près de la frontière belge avec Mouscron
  • Il y a déjà quelques années, la restauration complète de l'église Saint-Christophe, considérée comme le joyau de la ville
  • La récente rénovation de l'hospice d'Havré et sa reconversion en centre artistique et culturel[54]
  • La construction de la nouvelle piscine Tourcoing-les-Bains (dans le respect des façades anciennes de l'ex-caserne des pompiers du XIXe siècle, à côté de l'hôtel de ville), s'est achevée au premier semestre 2008. C'est un centre nautique multifonctions partagés en plusieurs espaces : aquatique (pataugeoire, toboggans, bassin sportif...), zen (hammams, saunas, banquettes massantes...), power plate et fitness (cardiotraining, fitness).

Ce dernier projet répond à la tradition tourquennoise en matière de natation : c'est à l'initiative de Gustave Dron, le fameux maire de Tourcoing, que la première piscine de la ville fut construite en 1904 : ce bâtiment, typique de l'architecture locale du début du XXe siècle, subsiste toujours aujourd'hui, mais est actuellement fermé et n'a pas encore de nouvelle affectation.

Sont encore en projet ou en chantier :

  • La création d'un centre commercial et de galeries marchandes dans le centre-ville, afin de redynamiser ce dernier (ce centre commercial devrait voir le jour d'ici à 2010)[55]
  • La construction d’un bassin de dimension olympique sur Tourcoing. Cet équipement de 50 mètres répondrait aux besoins des clubs sportifs et serait susceptible d’accueillir de grandes compétitions. Profitable à tous, il serait l’un des grands équipements structurants du territoire. Il s’agit donc de faire d’une pierre deux coups. Dès lors, LMCU (Lille Métropole Communauté urbaine) en serait le maître d’ouvrage[56].

Jumelage

La ville de Tourcoing est jumelée avec huit villes[57] :

Un neuvième jumelage devrait être officialisé courant 2009 :

Festivités

Cinéma

La ville ou ses monuments ont servi de décors ou de lieux de tournages à plusieurs films et notamment :

1975 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil avec Jean-Paul Belmondo ;
2010 : Copacabana de Marc Fitoussi avec Isabelle Huppert ;
– et un épisode de la série Les Petits Meurtres d'Agatha Christie.

Bibliographie

  • (fr) Henri Leblanc, Histoire du Collège de Tourcoing, Imprimerie Jean Mathon (Tourcoing), 1870[63]
  • (fr) J.-E. Van Den Driessche, Histoire de Tourcoing, Editions La Découvrance, impression originale 1928[64]
  • (picard) Jules Watteeuw, Chansons, fables et pasquilles tourquennoises, Tourcoing, Imprimerie Frère-Glorieux, 1883

Voir aussi

Notes et références

  1. Populations légales 2008 de la commune : Tourcoing sur le site de l'Insee
  2. Tourcoing en chiffres, sur le site de la ville [1]
  3. Histoire de Tourcoing, sur le site de la Ville[2]
  4. Tourcoing, fiche pratique sur le site de Lille Métropole [3]
  5. Chambre de Commerce, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [4]
  6. Biographie de Gustave Dron, sur le site du Sénat de la République française [5]
  7. Histoire de Tourcoing, J-E Van Den Driessche (1928)
  8. a et b Ibid.
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 1er août 2010
  10. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 1er août 2010
  11. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 1er août 2010
  12. Évolution et structure de la population à Tourcoing en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 1er août 2010
  13. Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 1er août 2010
  14. Patrimoine tourquennois sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [6]
  15. Église Saint-Christophe, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  16. Patrimoine de Tourcoing, sur le site de la Ville [7]
  17. Hôtel de ville, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  18. Le Centre d'Histoire Locale, sur le site de la Ville [8]
  19. Gare, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  20. Site internet du lycée Gambetta (Tourcoing) [9]
  21. Site internet de l'Institut Colbert (Tourcoing) [10]
  22. Bourloire La Nouvelle Bourloire, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  23. Bourloire Saint-Louis, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  24. Bourloire Saint-Christophe, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  25. Bourloire Notre-Dame de Consolation, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  26. Bourloire Saint-Eloi, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  27. Bourloire La Concorde, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  28. Bourloire Saint-Charles, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  29. Bourloire Saint-Raphaël, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  30. L'Hospice d'Havré, sur le site de la ville [11]
  31. Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [12]
  32. Église Notre-Dame-des-Anges, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  33. Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [L'église Notre-Dame de la Marlière, sur le site de l'Office de Tourisme de Tourcoing [13]
  34. Site internet de l'Institution Libre du Sacré-Cœur [14]
  35. Par tradition séculaire, encore surnommée simplement Collège de Tourcoing.
  36. le plus souvent surnommé lycée de Tourcoing ; le "Collège" ecclésiastique et le "Lycée" laïc se livraient autrefois une lutte féroce, ce qui n'est plus le cas de nos jours.
  37. Site internet du TFC [15]
  38. Site internet du TLM [16]
  39. le site officiel du club de la Jeune Garde Tourcoing section basket[17]
  40. Page Sports, sur le site internet de la Ville de Tourcoing[18]
  41. Site internet de l'Union sportive tourquennoise [19]
  42. Le Lutteur Club de Tourcoing, sur l'Annuaire des Sports [20]
  43. Le Centre d'Initiation à l'Escrime de Tourcoing, sur le site de la Ville [21]
  44. Site de la Compagnie théâtrale "La Virgule" [22]
  45. Le Théâtre du Broutteux sur le site de l'Office du tourisme de Tourcoing [23]
  46. Le Conservatoire de Musique à Rayonnement Départemental (site internet de la Ville de Tourcoing [24]
  47. Site de l'association musicale des Cricks-Sicks [25]
  48. Site officiel de l'Harmonie municipale de Tourcoing[26]
  49. Le Grand Mix, site officiel [27]
  50. Musée des Baux-Arts de Tourcoing, fiche pratique sur le site "Amis des Musées"[28]
  51. Site officiel du Musée "Message Verlaine" à Tourcoing
  52. Le Musée du Carillon sur le site de l'Office du tourisme de Tourcoing [29]
  53. Le Fresnoy, sur son site officiel [30]
  54. Les grands projets de la Ville sur le site de la Ville de Tourcoing [31]
  55. Ibid.[32]
  56. http://www.lillemetropole.fr/index.php?p=1138&art_id=
  57. Jumelages tourquennois sur le site internet de la Ville de Tourcoing[33]
  58. a et b Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le site de la Ville [34]
  59. La Franche Foire sur le site de l'office du tourisme de Tourcoing [35]
  60. Site officiel de l'opération "Tourcoing Plage" [36]
  61. Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le ste de la Ville [37]
  62. Site officiel du "Tourcoing Jazz Festival" [38]
  63. Site de l'Université de Lille III [39]
  64. Site de l'Université de Lille III [40]

Annexes

Articles connexes

Géographie Histoire et patrimoine Personnalités Autres

Liens externes

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  • Tourcoing — [to͞or kwan′] city in N France, near the Belgian border: pop. 94,000 …   English World dictionary

  • Tourcoing — French commune native name = Ville de Tourcoing common name = Tourcoing caption = The Town Hall, Tourcoing région=Nord Pas de Calais département=Nord arrondissement=Lille canton=Chief town of 3 cantons insee=59599 cp=59200 maire=Michel François… …   Wikipedia

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