La Faucheuse

La Faucheuse

La Mort (mythologie)

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La Faucheuse est l'une des allégories de la mort

La Mort a été représentée en tant que figure anthropomorphe ou comme personnage fictif dans de nombreuses mythologies et cultures populaires. La personnification de la mort en tant qu'entité vivante, consciente et sensible, est lié à l'idée de la mort et à son poids historique et philosophique considérable. Selon les langues, elle est un personnage soit féminin, soit masculin. Elle est souvent représentée sous forme d'un squelette (ou d'un squelettoïde présentant quelques rares lambeaux de peau sur certains os), parfois vêtu d'un grand manteau à capuche.

Dans le folklore occidental moderne, La Mort est généralement représentée comme un squelette portant une robe, une toge, noire avec capuche, éventuellement une grande faux. La Mort est alors connue sous le nom de « La Grande Faucheuse » ou tout simplement « La Faucheuse ». Ce symbole d'origine italienne est très présent durant tout le Moyen Âge et à la Renaissance, dans les peintures apocalyptiques et macabres comme celle de Pieter Bruegel l'Ancien (Le Triomphe de la Mort). À une époque où la peste noire faisait des ravages, la faucheuse représentant un être terrifiant venu happer les vivants d'un coup de lame. Les allégories de la mort ont été reprise maintes fois dans des œuvres plus récentes, notamment liées à la fantasy, avec la même symbolique qu'à leur origine.


Exemples de représentation de La Mort :

  • Au Moyen Âge, La Mort est imaginée comme un corps humain momifié ou en décomposition, qui deviendra plus tard le squelette vêtu d'une toge qui nous est familier.
  • Inversement, La Mort est parfois représentée sous les traits d'une belle femme souvent vêtue de noir.
  • La Mort est parfois représentée dans les œuvres de fiction et l'occultisme sous le nom d'Azraël, L'Ange de La Mort.
    (le nom Azraël n'apparaît dans aucune version de la Bible ou du Coran)
  • À cause de l'intime lien entre le Temps, la vieillesse et La Mort, le Temps en tant que figure mythologique et parfois associé à La Mort
  • Un Psychopompe est un esprit, une déité ou un être dont la tâche est de conduire les âmes récemment décédées dans l'autre monde.
  • La représentation de la mort portant une faux remonte à l'image du dieu grec Cronos. Celui-ci était fréquemment représenté en portant un globe surmonté d'une faux. Chronos est le père des dieux de l'Olympe, dont Zeus. Cependant, pour échapper à la malédiction lancée par son père Ouranos, il décide de dévorer ses enfants. Au sixième enfant, son épouse Rhéa, lassée de ces infanticides lui donne une pierre à manger à la place de l'enfant: Zeus. Ce dernier combat son père et en le frapant au ventre lui fait « vomir » les autres enfants, qui le renverseront plus tard. Exilé sur Terre, en qualité de simple mortel, il fonde une communauté agricole, désignée par les Anciens sous le nom d'Âge d'Or. De là viendrait l'attribut de la faux, outil qui symbolise les récoltes, et de cette manière les saisons qui rythment l'existence, que Cronos a cru pouvoir maîtriser.[1]

Sommaire

La Mort dans les mythologies

Il existe dans toutes les mythologies des divinités qui incarnent la Mort ou certains de ses aspects :

La Mort dans la mythologie hindoue

Dans les écrits hindous connus sous le nom de Vedas, le maître des morts est appelé Yama ou Yamaraj (littéralement le seigneur de la mort). Yamaraj monte un bœuf noir et possède un lasso torsadé avec lequel il attrape les âmes pour les emmener dans sa demeure, Yamalok. Ce sont ses suivants, les Yamaduts, qui portent les âmes jusqu'à Yamalok. Ici, les bonnes et les mauvaises actions sont comptabilisées par Chitragupta, qui autorise alors Yama à décider où iront les âmes dans leur prochaine vie, suivant la théorie de la réincarnation. On croit que les âmes peuvent renaître sur Terre aussi bien dans un univers paradisiaque qu'infernal, en fonction des actions de la vie passée. Celles qui peuvent se prévaloir d'un bon karma et d'un bon bakhti dans leurs vies atteignent le Moksha, la libération du cycle des morts et des renaissances, ainsi que des souffrances induites par la vie emprisonnée dans le corps. Yama est également mentionné dans le Mahabharata comme un grand philosophe et comme un dévot de Krishna.

De façon intéressante, Yama est aussi connu comme Dharmaraj ou roi du Dharma ou de la justice. Le raisonnement est que justice soit faite équitablement pour tous - si ils sont vivants ou morts, basé sur leur karma ou leur destin. C'est davantage consolidé par le fait que Yudhishthira, l'aîné des Pândava est considéré comme la personnification de la justice, à Mahabharata où il était né en raison des prières de Kunti à Yamaraj.

Au Japon

Dans le Kojiki, on raconte qu'après avoir donné naissance au dieu du feu Hinokagutsuhi, la déesse Izanami mourut, blessée par ce feu, et entra dans le royaume de la nuit perpétuelle, Yaminokuni. Par la suite, Izanagi, son époux, la trouva dans le pays de Yomi alors qu'il tentait de la ramener chez les vivants. Hélas, Yomi est situé dans le monde souterrain, et Izanagi retrouva son épouse ravagée par la décomposition. Lors d'une dispute avec lui, Izanami proclama que prendre 1000 vies chaque jour était la preuve de sa position de déesse des morts. Dans la culture populaire, la mort est également représentée sous les traits d’Enma (Yama), Enma Ō ou Enma Daiō (Enma-Roi ou Enma-Grand Roi, traductions de यम रज Yama Raja). Le Yama hindouiste a également inspiré le Yanluo chinois et le Enma japonais. Enma règne sur le monde souterrain, pareil à l'Hadès grec, et décide si les morts vont au paradis ou en enfer. Les parents japonais menaçaient ainsi leurs enfants : s'ils mentaient, Enma leur couperait la langue dans l'au-delà.

Il existe d'autres dieux de la mort, les shinigamis, qui ressemblent à la vision occidentale de la mort sous la forme de faucheuse. Les représentations des shinigamis (le terme est souvent au pluriel en français) sont courants dans l'art et la fiction du Japon moderne, et totalement absents dans la mythologie japonaise traditionnelle.

Dans le paganisme slave

Les anciennes tribus slaves voyaient la mort comme une femme vêtue de blanc, tenant à la main des jeunes pousses qui ne fanaient jamais. Être touché par ces pousses faisait tomber dans un sommeil perpétuel. Cette représentation a survécu au christianisme durant tout le Moyen-Âge, et n'a été remplacée par l'image plus répandue dans la tradition européenne d'un squelette allant et venant qu'à la fin du XVe siècle.

Dans le paganisme lituanien

Les Lituaniens appelaient la Mort Giltinè, du mort "gelti" qui signifie "piquer". Giltinè était représentée sous les traits d'une vieille femme laide, avec un long nez bleu et une langue empoisonnée. La légende raconte que Giltinè était une jolie jeune femme enjouée qui fut emprisonnée durant sept ans dans un cercueil. La déesse de la Mort était la sœur de la déesse de la Vie et de la Destinée, Laima, ce qui symbolisait les relations entre le début et la fin de la vie.

Par la suite, les Lituaniens ont adopté la vision chrétienne de la Mort, avec sa robe noire et sa faux.

Dans les trois religions monothéistes

Dans la Bible, le quatrième cavalier de Révélation 6 est appelé la Mort : il est représenté suivi par les Juifs et Hadès. L'Ange du Seigneur a ainsi fauché 185 000 hommes dans un camp assyrien (2 Rois; 19,5). Quand Dieu décide de tuer les premier-nés égyptiens, il ordonne au "destructeur" (shâchath) d'épargner les maisons marquées par du sang sur le linteau et les montants des portes (Exode; 12, 23). L'ange de la destruction mal'ak ha-mashḥit, se déchaîne contre le peuple de Jérusalem (2 Samuel; 24,15). Dans les Chroniques (21, 16), le roi David voit "l'ange de Yahvé qui se tenait entre le ciel et la terre, l'épée dégainée à la main, tendue vers Jérusalem."[2] Dans le livre de Job (33,2), on trouve le terme de "destructeur" (memitim)que la tradition a identifié à "l'ange destructeur" (mal'ake Khabbalah), alors que le livre des Proverbes (26, 14) fait mention des "anges de la mort" (mal'ake ha-mavet). On trouve également le nom d'Azraël comme ange de la mort.

Dans le judaïsme

Formes et fonctions

D'après le Midrash, l'ange de la mort a été créé par Dieu lors du premier jour. Son domaine est le paradis, d'où il atteint la Terre en huit jours, alors même que la pestilence n'en met qu'un. Il possède six paires d'ailes.

Dans le christianisme

Le Triomphe de la Mort, peinture de Pieter Bruegel l'Ancien, XVIe siècle

La Mort est quelque fois mentionnée dans le Nouveau Testament, que ce soit sous forme de personnification, ou bien comme un état de fait. Elle est assimilée à l'ange diabolique Samaël. On trouve une allusion dans les Actes des Apôtres (2,24): "Mais Dieu l'a ressuscité , le délivrant des affres de l'Hadès. Aussi bien n'était-il pas possible qu'il fût retenu en son pouvoir."

Quelques passages après, cependant, sont plus explicites. L'Épître aux Romains 5 parle de la Mort comme ayant « dominé de la période d'Adam à Moïse », et divers passages dans les Épître parlent du labeur du Christ sur la Croix et sa Résurrection comme une confrontation avec la Mort. Des versets de cette sorte incluent l'Épître aux Romains (6,9) et la Deuxième épître à Timothée (1,10).

Malgré la victoire de Jésus sur cela, la Mort est encore vue durablement dans les Ecrits. La Première épître aux Corinthiens (15,26) affirme, « Le dernier ennemi à détruire est la mort », qui implique que la Mort n'a pas été détruite une fois pour toute. Cette affirmation est prouvée plus tard comme vrai dans l'Apocalypse.

Dans l'Islam

La Mort dans les arts et la culture populaire

Le personnage de la Mort apparaît dans de nombreuses œuvres de fiction, que ce soit des films dramatiques ou comiques, de science-fiction ou de fantasy.

Films

  • En 1957, le réalisateur suédois Ingmar Bergman tourne Le Septième Sceau. Dans ce film, il brosse un des portraits les plus marquants et les plus symboliques de la mort, cette description influencera par la suite fortement le cinéma. On y voit un chevalier médiéval de retour des croisades (Max von Sydow) jouer aux échecs avec la mort, dont l'enjeu est sa vie même. Le critique américain Roger Ebert a dit de cette représentation qu'elle était « si parfaite qu'elle survivrait à toutes les parodies ». L'influence de la Mort de Bergman se fait ressentir notamment dans les films suivants :
  • Dans le dernier sketch du film Monty Python : Le Sens de la vie, la Mort arrive dans une maison pour emmener tous ses occupants, morts à cause d'une mousse au saumon. Elle les entraîne (ainsi que leurs voitures) dans l'au-delà.
  • Dans Last Action Hero avec Arnold Schwarzenegger, la Mort telle qu'elle est imaginée par Bergman et jouée par Ian McKellen, est amenée temporairement du « film dans le film » au monde réel.
  • Dans Fantômes contre fantômes, sorti en 1996, Peter Jackson met en scène une figure invisible de la Mort, armée d'une faux et meurtrière. Il s'avère à la fin du film que ce n'est pas la Mort elle-même, mais le fantôme déguisé d'un tueur en série mort exécuté.
  • Dans Les Aventures de Bill et Ted (Peter Hewitt, 1991), la Mort est un personnage hilarant, paresseux et sarcastique. Elle porte une robe noire, une faux, a la peau blanche, et est chauve. Elle escorte ceux qui le désirent vers trois destinations : la Terre, l'Enfer ou le Paradis, si on réussit à la battre au jeu. Lors des flashs spéciaux d'informations qui émaillent le générique de fin, on apprend que la Mort a gagné la course automobile Indy 500. On lui prête alors les propos suivants : je n'imaginais pas pouvoir aller aussi vite!. On apprend également qu'elle a monté son éphémère groupe de rock.
  • Dans le film Click : télécommandez votre vie Adam Sandler joue le rôle de Michael Newman, un homme qui découvre qu'il a le pouvoir de modifier des aspects de sa vie en utilisant une télécommande. La Mort est représentée par Morty, (Christopher Walken), et finit par emporter son père puis Newman lui-même après lui avoir expliqué l'importance de vivre sa vie au jour le jour.
  • Dans Rencontre avec Joe Black, la Mort emprunte les traits de l'acteur Brad Pitt.

Littérature

Le Fantôme qui doit arriver montre sa tombe à Ebenezer Scrooge dans Un chant de Noël
  • Dans le deuxième livre du Paradis Perdu de John Milton, la Mort garde avec Péché les clés de La Porte de l'enfer. Après que Dieu et ses anges ont défait Lucifer (désormais appelé Satan), qu'ils l'ont banni avec ceux qui l'ont suivi en Enfer, Dieu ordonne à Péché et à Mort de garder la Porte perpétuellement verrouillée. Satan, ayant appris que Dieu avait crée un nouveau monde et de nouveaux êtres, Adam et Ève, chercha un moyen de causer leur perte. À la Porte, il discute avec Péché et Mort et apprend ainsi l'histoire de Mort. Péché était la fille de Satan, et tomba enceinte de ses œuvres. L'accouchement fut douloureux, à tel point qu'elle s'écria "Mort!" quand la chose inconnue naquit. Les caves de l'Enfer portèrent l'écho de ce nom, et depuis son fils est appelé Mort. Celui-ci viola sa mère qui mit alors au monde des chiens monstrueux qui la mordirent et la déchirèrent en se frayant en chemin à travers son ventre. Selon Péché, la Mort méprise tout ce qui vivant et a le pouvoir de détruire tout, sauf Dieu. Elle prévient Satan que Mort peut le détruire, et que s'il ne l'a pas anéanti, elle, c'est parce que la Mort n'existe pas sans Péché.
  • La Mort est un des personnages récurrents les plus importants dans l'univers du Disque-Monde de Terry Pratchett. Elle[note 1] apparaît dans tous livres de la série, sauf un. Si au début, elle est un personnage vaguement malfaisant (quand Rincevent essaye d'éviter d'être emporté, elle lui inflige une crise cardiaque, et tue une petite mouche, un de ses « avatars »), elle évolue pour devenir quelqu'un qui effectue sa tâche non pas par méchanceté, mais par intérêt, et qui finit même par penser que c'est un mal nécessaire à l'humanité. Parmi les éléments notables qui la caractérisent, on peut relever la phrase « Ce n'est pas la justice, c'est juste moi », les effets de style dramatiques qui accompagnent ses paroles « ...dit-elle avec une voix de pierre tombale », effets encore exagérés par l'usage systématiques des CAPITALES dans son discours. Tout ceci fait de la Mort un personnage attachant, et pas seulement drôle. Terry Pratchett parodie aussi les visions stéréotypées, en la faisant par exemple jouer aux échecs, mais sur un mode comique. Cet aspect est visible notamment dans l'épisode De bons présages, quand elle est un des quatre cavaliers de l'Apocralypse.
  • Dans Harry Potter et les Reliques de la Mort, on trouve un conte pour enfants : l'histoire de trois objets, et qui utilisés intelligemment, devaient permettre à trois frères sorciers de traverser un pont. Ces objets étaient des pièges créés par la Mort elle-même, et elle entendait bien que les trois frères périssent aussi sûrement que s'il s'étaient noyés. L'aîné demanda une baguette qui lui ferait gagner tous les combats : il l'eut, mais bien pour mourir, tué dans son sommeil. Le cadet demanda une pierre qui lui permettrait d'appeler les morts. Il appela ainsi sa fiancée morte, mais ce fut un échec, puisqu'elle n'appartenait plus au royaume des mortels. Il se suicida donc pour la rejoindre.
  • Dans la bande dessinée Death, l'écrivain anglais Neil Gaiman a imaginé la mort comme une jeune fille tout de noir vêtue arborant maquillage et bijou égyptien (un Ankh), et partageant les émotions humaines. Les dessins sont de Chritopher Bachalo et Mark Buckingham.
  • Dans le manga Death Note, le sujet est basé sur les dieux de la mort.

Musique

Mortelle galerie

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Le personnage déguisé au Mexique

Notes

  1. Attention, si en français on dit « La » Mort, en anglais elle est bien un personnage masculin (NdT)

Références

  1. Commelin, Pierre Maréchaux, Mythologie grecque et romaine, Paris, éd. Nathan, coll. Lettres Sup, 2002
  2. Toutes les traductions de la Bible proviennent de la Bible de Jérusalem, Paris, éditions du Cerf, 2001

Voir aussi

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