Jean Leclerc de Pulligny

Jean Leclerc de Pulligny
Page d'aide sur l'homonymie Pour les autres membres de la famille, voir : Famille Le Clerc.
Jean Leclerc de Pulligny
Leclerc de pulligny jean 2.jpg

Nom de naissance Jean Leclerc
Surnom Florentin Leclerc
Naissance 9 novembre 1859
Écos
Décès 7 avril 1939 (à 80 ans)
Antibes
Nationalité Drapeau de France France
Profession Ingénieur-général des ponts et chaussées
Chef de bataillon du génie militaire
Autres activités Co-responsable des Cahiers de la Quinzaine, écrivain
Formation École polytechnique
École nationale des ponts et chaussées
Distinctions Ingénieur-général des ponts et chaussées
Chef de bataillon du génie militaire
Famille Famille Le Clerc

Jean Leclerc de Pulligny, ou Le Clerc de Pulligny, est né le 9 novembre 1859 au château de Chesnay-Haguest à Écos et mort le 7 avril 1939 à Antibes, dans sa villa, L'enclos, route du Cap.

Jean Leclerc de Pulligny est un polytechnicien français, diplômé l’École nationale des ponts et chaussées. Ingénieur-général des ponts et chaussées, chef de bataillon du génie militaire pendant la Première Guerre mondiale, il est entre autres secrétaire du Comité consultatif des Arts et Manufactures au ministère du Commerce et secrétaire de la Commission d'hygiène industrielle du même ministère. Aux États-Unis, il est directeur d’une importante mission et revient régulièrement exposer ses idées. Il préside d'ailleurs de nombreuses associations. Inventeur, Pulligny est à l’origine de l’interdiction des boîtes de conserve peintes ou vernies à l'aide de couleurs à base de plomb. Franc-maçon, rationaliste, leplaysien, il fréquente ou correspond avec des savants ou des hommes politiques de plusieurs pays. Proche de Barrès, il contribue au développement des Cahiers de la Quinzaine et influence parfois le choix de son contenu. Dans d’innombrables livres, articles et conférences, il dénonce chez les modernes leur dédain pour le passé et la misère qu’ils imposent à la classe ouvrière. Il est aussi en partie à l’origine du développement de l'enseignement l’Histoire des religions.

Sommaire

Sa famille

Jean Le Clerc de Pulligny est comme tous les autres Le Clerc du XIXe siècle le descendant du puîné, René, qui sauve la vie de la famille du général et marquis Galiot Mandat de Grancey et rachète leur château et leurs terres. Ce René Le Clerc n’est rapidement plus révolutionnaire et après sa mort, son fils, Nicolas, est fait comte et chevalier de l'ordre de l'Éperon d'or.

Son père, Félix Leclerc, et son oncle Victor sont autorisés à ajouter à leur nom patronymique celui de Pulligny, et à s’appeler, à l'avenir, Leclerc de Pulligny[1]. Donc, Jean Le Clerc de Pulligny est né Le Clerc et ne reprend le nom complet de ses ancêtres qu’après ce décret. Toutefois il ne faut pas confondre les Le Clerc de Pulligny et la famille de Pulligny éteinte à la fin du Moyen Âge et dont ils ne descendent que par les femmes.

Félix Leclerc de Pulligny, son père est explorateur, archéologue, amateur de beaux-Arts, botaniste, maire, auteur de plusieurs livres et études et restaure deux châteaux. Le 20 juin 1849, il se marie à Paris avec Geneviève Huvé de Garel. Elle est la fille du comte Jean Baptiste Édouard de Fussey, illustre veneur, pour l’Encyclopédie de la vènerie, grand propriétaire terrien issu d’une famille d’architectes du roi[2]. Les grands-parents maternels de Jean Le Clerc de Pulligny sont séparés et du côté paternel, son oncle a élevé dix ans le fils de sa femme, Léon Belot de Ladureau. Il se marie avec Camille de Malaret, l’une des Petites Filles modèles, Camille que l'on retrouve dans Les Malheurs de Sophie, petite-fille donc de la comtesse de Ségur.

Biographie

Polytechnique et l’École nationale des ponts et chaussées

Son dossier de l'École polytechnique, où il est élève à partir de 1878, nous fait une description physique de lui qui correspond à ses photos : « cheveux châtains - front ordinaire - nez moyen - yeux bleus - bouche moyenne - menton rond - visage ovale », mais grâce à lui nous savons qu’il est de très grande taille pour l'époque : 1,84 m[3]. Ses notes sont bonnes et il est 36e en 1879 sur 237 élèves et 33e en 1880 sur 235 élèves. Il fait après cela l'École nationale des ponts et chaussées.

Un disciple de Frédéric Le Play

Jean Le Clerc de Pulligny est un ingénieur des Ponts et Chaussées, mais il se soucie beaucoup de la situation du prolétariat. Au Congrès international des Charity Organization Societies, de 1896 à Genève. Il est un le playsien actif à la Société d'économie sociale. Jean Le Clerc de Pulligny représente au congrès de la Société Internationale pour l'étude des questions d'assistance l'Office du Travail, pour lequel il a rédigé en 1895 un autre rapport sur les Sociétés d'assistance par le travail. Pulligny propose la suppression de la phrase concernant la réduction des secours publics à domicile : Un des buts principaux de cette organisation serait de permettre la réduction au minimum des secours d'assistance publique à domicile, en tant que ces secours seront distribués en argent, à des pauvres valides, et destinés aux besoins ordinaires de la vie[4].

Jean Le Clerc de Pulligny reprend exactement les principes et la méthode de la « charité scientifique » : réaliser une enquête avant toute attribution de secours, faire de la disposition à travailler la pierre de touche de toute aide aux indigents valides, diriger ceux-ci vers des œuvres privées d'assistance par le travail, favoriser la collaboration de tous les éléments charitable publics et privés. Il déclare lors de son discours : « Un des buts principaux de cette organisation serait de permettre la réduction au minimum des secours d'assistance publique à domicile, en tant que ces secours seront distribués en argent, à des pauvres valides, et destinés aux besoins ordinaires de la vie. » Il est rédacteur en chef du Bulletin de l'Office du Travail en 1899[5].

Péguy

Jean Le Clerc de Pulligny est un proche de Charles Péguy. Du Péguy qui écrit : « Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à la retraite ». Pulligny, lui, critique bien des aspects du monde moderne et pas seulement les conditions de vie faites au peuple. Pour lui les modernes n’ont rien inventé et rejettent les leçons du passé : « La philo a commencé avec Aristote ; l’amour propre des modernes les attache à leurs systèmes par une vanité scolaire. Si peu instruits qu’ils sont qu’ils soient ils ont pour le passé le mépris aisé des docteurs »[6].

Jean Leclerc de Pulligny, s'active autour de lui pour faire connaître les Cahiers de la Quinzaine, notamment par huit lettres à des amis occupant des fonctions importantes[7]. En 1902, Pulligny publie dans les Cahiers de la Quinzaine un article intitulé : « Les Poisons industriels, Hygiène industrielle générale ».

Charles Péguy souvent commence à rédiger un texte après réception d'une lettre de Jean Leclerc de Pulligny et parfois la commente[8]. Répondant à une lettre de son collaborateur, il se dit enchanté que celui-ci présente ses objections sous forme de propositions. Il va parfois déjeuner avec sa chère femme chez M. et Mme Leclerc de Pulligny, 30, rue Notre-Dame-des-Champs.

Un monde sans dieu lui pose néanmoins problème. Péguy reprend la plume et commence son troisième cahier pour répondre à Jean Le Clerc de Pulligny, traducteur de A new Catechism. Mais il décide d'aller plus loin et publie intégralement la version française que Pulligny a intitulé : Un monde sans dieu. Il a cédé en effet aux instances de Jean Le Clerc de Pulligny, même s’il se méfie des catéchismes, tous viciés par le dogmatisme. Toutefois Mangasarian, l’auteur se limite à une argumentation purement rationnelle et ne préconise pas l’oppression politique, comme certains Français[9]. Notez bien, confie-t-il à Leclerc de Pulligny que cette question de l'enseignement de l'histoire religieuse est une de celles que je traite dans la thèse [10]...

Pulligny et le rationalisme

Jean Leclerc de Pulligny

Jean Leclerc de Pulligny est franc-maçon[11]. Il fonde en 1907 l’Union des libres penseurs et libres croyants pour la culture morale. Cette association regroupe des libres penseurs occupant de hautes responsabilités dans l’administration et des protestants libéraux[12].

En janvier 1908, Pulligny prend l'initiative avec un petit groupe de penseurs et de savants, membres du Groupe d'Études et de propagande rationalistes dont Georges Renard ; Albert Laisant ; Maurice Vernes... de rencontrer le ministre de l'Instruction publique, Gaston Doumergue. La délégation lui demande de faire insérer dans le budget et dans la loi de finances en préparation les crédits nécessaires pour organiser dans les principales universités de France un enseignement de l'Histoire générale des religions. Le ministre, confirmant les assurances données précédemment sur le sujet par Aristide Briand, répond favorablement à la demande.

La situation de la classe ouvrière

En 1908, Jean Leclerc de Pulligny publie un Traité d'hygiène industrielle qui introduit en France l'utilisation de la glace dans la pêche industrielle dans le but d'augmenter les quantités de poissons transportés et les durées de campagnes de pêche.

Mais, il se soucie surtout de la vie des ouvriers et de leurs conditions de travail. Le portrait qu’il fait de l’ouvrier exploité par le capitalisme sauvage est sans concession :

« Son métier est souvent fatiguant et les grèves fréquentes. Ignorant et grossier, le malheureux procrée sans cesse au hasard de ses cuites. Sa femme est épuisée par ses grossesses incessantes et les soins réclamés par ses enfants la détruisent. Obligée d’accomplir trop de tâches, elle n’arrive à rien faire et se décourage. Sa maison est un taudis où ses enfants crient entassés, et le père y reste le moins sensible. Il va au bar où il trouve sa consolation et laisse le meilleur de son salaire, et ce qu’il rapporte chez lui ne suffit pas pour sa nourriture, quand sa femme a pris le nécessaire pour ne pas mourir de faim, elle et ses enfants. Fatigué, il n’a qu’une idée, boire. Boire pour se réconforter, boire pour se distraire, boire pour oublier et l’on comprend que si l’ouvrier nanti succombe assez facilement aux tentations qui nuisent à sa santé, l'ouvrier misérable est vaincu par elles sans combat »[13].

Pour lui la condition faite aux femmes par les patrons du XIXe siècle est pire. Yvette Roudy le citera dans La Femme en marge : « L'ingénieur en chef des ponts et chaussées, Leclerc de Pulligny, écrit de son côté : L'eau est partout; sur le sol où les débris de filasse se noient dans ... »[14].

Un inventeur

S’il est plus du fait de ses études un opticien qu’un photographe, il fait de la photo en amateur. C’est à cette époque qu’il met au point avec Constant Puyo un objectif photographique tirant parti des aberrations optiques pour obtenir le flou artistique. Émile Joachim Constant Puyo, dit le commandant Puyo (1857-1933) a fait comme Leclerc de Pulligny des études à Polytechnique. Il met au point des objectifs et téléobjectifs anachromatiques[15]. Dans les années 1900, Jean travaille avec Puyo sur la théorie chromatique. Ils écrivent le livre : Les Objectifs d'artistes.

Missions et fonctions en France et à l’étranger

Du fait de ses fréquents séjours à l'étranger ses filles vont se marier avec des diplomates, parfois fils de diplomates, comme Marcel Jouffroy d'Abbans, fils de Louis Jouffroy d'Abbans.

Jean Leclerc de Pulligny est chargé d'une mission aux États-Unis. Il dirige la construction des ports de Recife au Brésil (en 1909), puis de Marseille et nommé directeur du port de Marseille.

En mars 1913: lors de la seconde convention, nationale des "Good Roads Federal-Aid", à Washington, Jean Leclerc de Pulligny, JLP, développe devant son auditoire les méthodes françaises de construction des routes, les comparant de façon peu flatteuse à celles mises en œuvre aux U.S.A. : Here in the United States, it seems to me that you began with complete liberality, not to be impolite enough to call it anarchy, and perhaps you are now on the road toward a little centralizationqui peut se traduire ainsi : Ici aux États unis, Il me semble que vous avez commencé dans une libéralité complète; ne soyons pas trop impoli pour l'appeler anarchie, et peut-être que maintenant vous êtes sur la voie (le chemin ou la route) d'une petite centralisation[16].

Au banquet pour le 75e anniversaire de l'American Statistical Association, en 1914, Leclerc de Pulligny prend la parole au nom de la Société de Statistique de Paris[17].

La guerre et la fin de sa vie

Pendant la Première Guerre mondiale, Jean commande un bataillon du génie. Il est grièvement blessé et obtient la croix de guerre 1914-1918 et est fait officier de la Légion d'honneur.

Après la guerre, il réside à Antibes et échange avec des hommes politiques et des savants, dont Albert Einstein.

Il meurt le 7 avril 1939 à Antibes, dans sa villa, L'enclos, route du Cap[18]. Jean Leclerc de Pulligny est inhumé au cimetière du Vésinet avec sa femme Théodora et sa fille Dora.

Mariage et descendance

Ida Leclerc de Pulligny, sa nièce, femme de Louis Jouffroy d'Abbans.
Blason des Le Clerc

Jean Leclerc de Pulligny se marie avec Théodora Lucassen, fille de Théodore Lucassen et Magdalena van Braam-Morris, le 24 janvier 1884 à Paris. Théodora est née le 13 décembre 1860 à Tégal (Java). Son père est industriel à Java et membre comme sa mère d’une famille célèbre du patriciat hollandais[19]. Otto van Rees, gouverneur général des Indes néerlandaises, ministre des colonies se marie avec une Lucassen, puis avec une Braam Otto van Rees. Jean et son père, Félix Leclerc de Pulligny figurent d'ailleurs dans Nederland's Patriciaat. Théodora Lucassen est fondatrice de L'œuvre du repos des jeunes filles à la villa Trianette, leur imposante demeure au Vésinet. Elle meurt le 19 septembre 1922 à Thonon-les-Bains. Elle est enterrée au cimetière du Vésinet. Son décès est signalé par l’Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l’Europe de 1922.

Jean Leclerc de Pulligny et Théodora Lucassen ont eu quatre filles. Jean Leclerc de Pulligny est le dernier des Le Clerc, puisque la branche de Frédéric Le Clerc est elle-aussi éteinte. Toutefois il reste les descendants de leurs filles :

Maison d'Humilly

À Viry (Haute-Savoie), se trouve le manoir d’Humilly appartenant aux comtes d’Humilly de Chevilly, d’une famille d’ancienne noblesse citée depuis le XIVe siècle. Elle y rencontre le futur roi du Maroc, qui leur rend visite à l'époque de la Société des Nations.

Pierre d'Humilly de Chevilly est tour à tour vice-consul à Düsseldorf, consul de France à Seattle et à Cardiff, chef du bureau d'ordre au ministère des affaires étrangères, vice-Consul de Washington et l’Alaska[20].

Leur fille se marie au comte de Foras, descendant d’Amédée de Foras (descendance Foras)

Madeleine Leclerc de Pulligny, sa fille, à un bal costumé.

La famille de cet Attaché au Gouvernement d'Alger remonte au chevalier Jean Jouffroy, seigneur de Bletterans qui teste en 1347, selon Moreri, et son Grand Dictionnaire historique, ou mélange curieux de l'histoire sacrée et profane. Le chef de la branche d’Abbans fait une demande et présente ses preuves en 1782 pour les honneurs de la Cour[21]. Les sires d'Abbans avaient leur sépulture en la cathédrale Saint-Étienne de Besançon à côté de celles des grands barons de Franche-Comté. Marcel est le descendant aussi du marquis Claude François Jouffroy d'Abbans.

Ils ont trois filles (descendance Meunier de Pulligny, Noetinger et Pâris de Bollardière).

Blason des du Mesnil du Buisson

Le comte Robert du Mesnil du Buisson est aussi lieutenant au 6e régiment de chasseurs à cheval, lors de son mariage, puis chef d'escadron de cavalerie. Commandeur de l'ordre de la légion d'honneur, croix du combattant volontaire, croix de guerre 1939-1945, médaillé de la résistance, médaillé de Verdun, de la Syrie, commandeur de l’ordre des Arts et des Lettreslettres, il est président de la Société d'histoire et d'archéologie de l'Orne, président de la Société ethnographique de Paris...

Ils ont une très nombreuse descendance, dont une fille mariée à Jean-François Burgelin, des médecins, un général, des chercheurs en agronomie...

Son œuvre

  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Le Congrès des ingénieurs à l'Exposition de San-Francisco et l'achèvement du Canal de Panama, Paris, 19, rue Blanche, 1917, Société des ingénieurs civils de France. Extrait des Mémoires de la Société, Bulletin de mai 1917, FRBNF30766328
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Création d'un service départemental de désinfection, rapport de la commission nommée par arrêté de M. le préfet des Bouches-du-Rhône en date du 18 juillet 1892, Extrait du Marseille médical, FRBNF30766329
  • Martinet, Alfred (Dr), Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Desfosses, Paul (Dr) : L'Exercice des alités, ou la Clinicinésie, Paris : Masson, 1922, Extrait de la Presse médicale, 27 mai 1922. - Extrait de la Presse médicale, n° 42, 27 mai 1922, FRBNF30897816
  • Hygiène industrielle, par Leclerc de Pulligny, Boulin, Courtois-Suffit, Lévy-Sirugue, J. Courmont. Avec figures dans le texte, Paris : J.B. Baillière & Fils, 1908
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix, Les Conditions de 1'hygiene dans les filatures de lin, Paris 1903.
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Ministère des Travaux publics. Quatrième Congrès international de navigation intérieure, tenu à Manchester en 1890. Canal maritime de Manchester, notice par M. de Pulligny,... Paris : Impr. nationale, 1892, Ministère des Travaux publics. Quatrième Congrès international de navigation intérieure, tenu à Manchester en 1890. Éditeur scientifique, Autre(s) forme(s) du titre : Canal maritime de Manchester, notice par M. de Pulligny,... FRBNF30766331
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Note sur les marées de la Méditerranée et le marégraphe de Marseille, avec un appendice sur le niveau moyen des mers en Europe, Marseille : impr. de Barlatier et Barthelet, 1891, FRBNF30766332
  • Puyo, Constant (1857-1933), Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), L. de Pulligny, C. Puyo. Les Objectifs d'artiste, pratique et théorie des objectifs et téléobjectifs anachromatiques, Paris : P. Montel, 1924, Bibliothèque de la ″Revue française de photographie″, FRBNF31160213
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Pour les médecins automobilistes : le pouls au chronographe, Paris : Masson, 1925, Extrait de la Presse médicale, n° 78, du 30 septembre 1925, FRBNF30766333
  • Leclerc de Pulligny, Jean-Marie-Félix (dit Florentin Leclerc), Le But de la vie, Notice n° : FRBNF30766327
  • Mangasarian, M., Un nouveau catéchisme, traduit... par Leclerc de Pulligny. Préface de E. Vandervelde,... Paris : le traducteur, 1907, FRBNF30871279. Il lui donne le titre plus explicite : Le Monde sans Dieu.

Notes et références

  1. Décret impérial (contresigné par le garde des sceaux, ministre de la Justice) portant ce qui suit :
    • M. Leclerc (Augustin-Victor), propriétaire, né à Paris, le 8 avril 1818, y demeurant,
    • Leclerc (Félix-Augustin), propriétaire, né à Paris, le 14 février 1821, demeurant à Écos (Eure),
    sont autorisés à ajouter à leur nom patronymique celui de Pulligny, et à s’appeler, à l'avenir, Leclerc de Pulligny Bulletin des lois de France, p. 91.
  2. Une famille d'architectes du roi, les Huvé : Huvé de Garel et de Boinville, Chartres, Mantes, Paris, Vesly-en… , de Robert du Mesnil du Buisson.
  3. La moyenne en 1900 est de 1,66 m.
  4. Extrait de Laboratoires du nouveau siècle La nébuleuse réformatrice et ses réseaux en France, 1880-1914.
  5. L'accélération du temps juridique, page 881, de Philippe Gérard, François Ost, Michel van de Kerchove, 2000.
  6. Philosophie de l'art littéraire et socialisme selon Péguy, de Jacques Viard, 1969, p. 302.
  7. Courrier d'Orléans... courrier du Centre Charles Péguy d'Orléans, page 16, de Centre Charles Péguy, 1980.
  8. Charles Péguy, Catalogue ... par Bibliothèque nationale (France), Marie Clothilde Hubert, 1974, p. 127.
  9. Péguy et ses Cahiers de la quinzaine, de Frantisek Laichter, Amitié Charles Péguy, p. 85.
  10. Péguy devant Dieu - page 105, de Bernard Guyon – 1974.
  11. Liste des francs-maçons du G.O..°., Grand Orient de France, Freemasons, p. 355.
  12. Independence and exegesis : the study of early Christianity in the work of Alfred Loisy (1857-1940), Charles Guignebert (1857-1939), and Maurice Goguel (1880-1955), by Alan H. Jones, p. 44.
  13. Jean Leclerc de Pulligny, cité par Bunge, 1910, L'Urbanisme dans les Amériques modèles de ville et modèles de société, page 100, de Jérôme Monnet, 2000.
  14. Yvette Roudy, La Femme en marge, Flammarion 1982 (ISBN 2-08-064446-7), p. 97 et Leclerc de Pulligny, Les Conditions de l'hygiène dans les filatures de lin, en France.
  15. Bibliothèque de la Revue de photographie
  16. …From dense ignorance and otherwise. America's 100-plus years 'road war' against Europe..
  17. Journal de la Société de statistique de Paris, page 186, de Société de statistique de Paris, Centre national de la recherche scientifique (France), 1913.
  18. Annales de l'Institut océanographique, de Institut océanographique.
  19. Het Corps als Koninkrijk150 jaar Delftsch Studenten Corps ,age 101, de Emile Henssen, 1998 et Nederland's Patriciaat, page 262, de Didericus Gijsbertus van Epen, 1910.
  20. Marcel Proust, Selected Letters 1880-1903 v.1, page 209, de Marcel Proust, Philip Kolb, 1983.
  21. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, 1894, p.453.

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