Jean Le Clerc

Jean Le Clerc
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Jean Le Clerc
Blason des Le Clerc
Blason des Le Clerc

Naissance août 1586
Nancy
Décès 20 octobre 1633
Nancy
Nationalité Lorraine Arms 1538.svg Duché de Lorraine
Activité(s) Peinture
Formation École vénitienne
Maître Carlo Saraceni
Élèves Gasparo Della Vecchia, père de Pietro della Vecchia, Jean Nocret...
Mouvement artistique Peintres caravagesques Peinture baroque
Œuvres réputées Le Doge Enrico Dandolo (1123-1205) et les capitaines de la Croisade prêtant serment...
Mécènes Peintre officiel des ducs de Lorraine et de Bar
Récompenses Chevalier de Saint-Marc et anobli par eux.

Jean Le Clerc (naissance et mort à Nancy août 1586 - 20 octobre 1633), et un peintre d'histoire baroque caravagesque rattaché à l'école de Lorraine. Il se met au service de la République de Venise, et est aussi ambassadeur des ducs de Lorraine.

Sommaire

Sa famille

Jean Le Clerc est le fils cadet de Claude Leclerc de Pulligny et de Claudon Mengin de Pulligny. Il naît à Nancy au mois d’août 1586. Son père, protestant, doit quitter la Lorraine. Bien que secrétaire de la princesse de Tarente, il est persécuté du fait de ses convictions religieuses. Claudon Mengin de Pulligny reste catholique et Claude abjure. Ce dernier est mort en 1598[1].

Blason de sa famille avant qu'il soit fait chevalier de Saint-Marc

Biographie

Venise

Il arrive en Italie avec son frère en 1602. Selon ses écrits, il va vivre vingt ans à Venise et combattre dans les possessions vénitiennes du bassin oriental de la Méditerranée.[réf. nécessaire]

Pendant ce temps, le duc Henri II de Lorraine chasse de ses terres leur père, confisque ses biens et le déchoit de sa noblesse[réf. nécessaire]. Eux ont eu la prudence de rester catholiques. À Venise, ils sont les bienvenus.

Jean ne vient pas pour faire un apprentissage chez un peintre, il met d'abord son épée au service de la République de Venise pour combattre les Ottomans. Ils deviendront les ambassadeurs des ducs de Lorraine.[réf. nécessaire]

L’Histoire de Lorraine[réf. à confirmer]  nous dit que le plus grand des peintres lorrains de cette époque, le Nancéien Jean Leclerc (1588-1633), s'est partagé entre sa ville natale et l'Italie.[réf. nécessaire] C'est à Venise qu'il a passé presque toute son existence[réf. incomplète][2]

Un peintre presque vénitien

Pendant les guerres de la République de Venise pour défendre l’Europe ou tout au moins pendant les trêves, son frère devient un excellent musicien et lui rencontre Carlo Saraceni (1580-1620), Charles Vénitien. Mais il ne devient pas son élève. Jean Le Clerc a déjà 24 ans quand il séjourne de 1612 à 1616 dans la demeure à Rome du peintre vénitien, via di Ripetta, il est donc plutôt un compagnon d’atelier. Certes, il adopte sa manière, mais c’est surtout Caravage qui influence les deux artistes.[réf. nécessaire]

Le Clerc sera classé parmi les peintres baroques. Il est considéré comme lorrain par les critiques français, et flamand pour les Anglo-saxons. Toutefois, les Italiens l’appellent Giovanni di Chere ou Giovanni Le Clerc. Selon Adriana Augusti : A Venise, Carlo Saraceni et Jean Le Clerc sont des peintres caravagesques.[réf. nécessaire]

Jean Le Clerc n’est certes momentanément plus noble en 1608, mais il est encore officier vénitien et ambassadeur du duché de Lorraine et porte l’épée au côté. Comme son frère il va être fait chevalier de Saint-Marc par le sénat vénitien et le doge.[réf. nécessaire]

En 1617-18, il peint avec Carlo Saraceni, Le Miracle de Saint-Bernon, pour la paroisse allemande romaine de Santa Maria dell’Anima. Il réalisera par la suite une gravure de cette œuvre.[réf. nécessaire]

Jean Le Clerc s'est essayé aussi avec succès à la gravure.

La première toile connue de "Giovanni" Le Clerc

En 1619, la première toile connue de "Giovanni" Le Clerc est une Mort de la Vierge[3] qu’il réalise à Rome. Dans ce tableau, il peint deux femmes que nous retrouverons dans La mort de la Vierge de Nicolas Poussin (1594-1665), peinte à Paris en 1623.

Le repos en Égypte est une œuvre de cette période, tout comme Le Concert nocturne, où l’artiste reprend la tradition des peintres caravagesques par les jeux de lumières, avec les visages puissamment éclairés. Le Concert nocturne inspire en 1630 à Georges de La Tour Le paiement des droits.[réf. nécessaire]

Jean Le Clerc peint en Italie Le reniement de saint Pierre[4]Scène de beuverie qui annonce sa Scène de cabaret[5], où l’ombre s’oppose à la lumière, comme dans son Concert, conservé à Rome. Le naufrage, villa Contarini, à Piazzola sul Brenta est attribué à Carlo Saraceni et son élève. Mais les souvenirs des voyages et combats au Moyen-Orient de Le Clerc font que les personnages sont des captifs en costumes orientaux.[réf. nécessaire]

Saraceni et Le Clerc sont les maîtres du peintre vénitien Gasparo Della Vecchia (1602-1678), père de Pietro della Vecchia. Mais Carlo Saraceni décède le 16 juin 1620. À la fin de novembre 1619, ils avaient commencé de peindre une vaste composition : Le Doge Enrico Dandolo (1123-1205) et les capitaines de la Croisade prêtant serment exposée dans la Salle du Grand Conseil du Palais des Doges[réf. incomplète][6]. C'est, écrira un critique d'art « une toile magnifique, une œuvre véritablement saisissante et qui reflète la manière des meilleurs maîtres vénitiens. Le dessin est fier, d'un grand style, la couleur est splendide et l'ensemble n'est pas trop inférieur aux immortels chefs d'œuvre des Véronèse, Tintoret, Palma et autres maîtres au milieu desquels elle est placée. »[7]. En 1621, Jean Le Clerc signe ce travail et termine également une Annonciation, peinte par son ami, à Feltre, église San Giustina.

Au tout début de l’année 1622, en compagnie son frère Alexandre, il quitte la République de Venise. Ils y reviendront en même temps que Jacques Callot qui a leur âge, va être anobli et mourir la même année que Jean Le Clerc[8].[réf. nécessaire]

Le peintre du duc de Lorraine

La Lorraine a participé à la révolution artistique du début du XVIIe siècle et le rôle de Le Clerc, le vénitien, n’est pas des moindres.[réf. nécessaire]

De retour à Nancy, au début de l’année 1622, il touche une rente comme ambassadeur dès le 26 avril 1622, et devient le peintre officiel des ducs, Henri II (1608-1624), Nicole Ière (1624/1625), François II (1625), puis Charles IV (1625-1675). Son titre de chevalier de Saint-Marc est officiellement reconnu en Lorraine. Il est anobli ou plus exactement confirmé dans sa noblesse par Henri II. Cette noblesse attribuée aussi à son frère est héréditaire, mais les terres de sa famille ne lui sont pas rendues.[réf. nécessaire]

Si ce retour en Lorraine marque un tournant, son travail n’est pas plus connu[9]. La chronologie des œuvres lorraines reste très incertaine et repose sur une série d’hypothèses. Le martyr de Saint-Laurent qui vient de la Chartreuse de Bosserville, tableau attribué à Paul Véronèse, est en fait une œuvre de Jean Le Clerc rendant hommage à ce peintre[réf. nécessaire][10].

En 1625, son protecteur, François de Lorraine, comte de Vaudémont, oncle (et beau-père) de la jeune duchesse Nicole Ière, revendique le duché. Les états Généraux de Lorraine estiment sa requête légitime et il devient le duc François II de Lorraine le 21 novembre 1625. Cinq jours plus tard, il abdique en faveur de son fils (et époux de Nicole), qui devient le duc Charles IV de Lorraine en lieu et place de son épouse. Il se consacre ensuite à la gestion de ses comtés de Vaudémont et de Salins.

François II ne redonne pas ses terres à Le Clerc, mais lui commande plusieurs tableaux. Le peintre réalisera le décor de la chapelle du château de Viviers, disparu au XIXe siècle, et un nombre assez important de tableaux.[réf. nécessaire]

En 1629 les portraits exécutés par Jean Le Clerc, payés par la Recette générale des finances du duc François sont envoyés de Lorraine en Italie[11].

Une peinture nouvelle

Bien entendu ce peintre vénitien introduit en Lorraine une peinture nouvelle, marquée par les recherches luministes des peintres établis à Rome et influencés par l'art de Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (1571-1610). L'artiste reprend à Nancy la technique du clair-obscur. Mais, il se libère du caravagisme le plus véhément, en introduisant une sensualité intimiste.[réf. nécessaire]

Le Clerc entretient des liens avec Georges de La Tour (1593-1652) et les artistes lorrains. Les affinités ne manquent pas entre ses œuvres et celles de La Tour[12]. C’est sans doute grâce aux œuvres de Le Clerc que La Tour prend connaissance de la peinture caravagesque. Il est aussi un rival. En 1620, Georges de La Tour décide de s'installer à Lunéville, berceau de la famille de sa femme, parce qu'il sait que le marché nancéien, dominé par Jacques Bellange, jusqu'à sa mort en 1616, mais bientôt investi par Claude Deruet et Jean Le clerc revenus d'Italie respectivement en 1619 et avant 1622, lui est en grande partie fermé. Georges de La Tour n’est pas le peintre des ducs et il n’est pas non plus anobli.[réf. nécessaire]

Le Souper galant[13] de Le Clerc, sanguine et lavis brun[14] date de 1628, comme Le Concert nocturne et ils font penser aux œuvres de l’école d’Utrecht. Ce curieux dessin pourrait représenter un épisode de l'histoire du Fils prodigue, ce dernier dissipant son bien auprès d'une courtisane. Le thème évoque également les banquets caravagesques.[réf. nécessaire] La feuille de Rennes présente des affinités avec une estampe de Le Clerc, Le Concert nocturne[15]. Le Concert nocturne est exposé à Munich[16].

Des sujets religieux

L'une des gravures sur la vie de saint Ignace de Loyola de Jean Leclerc (1612)

Jean Le Clerc est un homme très pieux. Ile est membre de la Congrégation des hommes, dont font partie : François II de Lorraine, Charles IV de Lorraine, le marquis et peu de personnes jugées qualifiées.[réf. nécessaire]

Dans ses œuvres, esprit de croisade, esprit missionnaire, esprit de pèlerinage convergent souvent[17].

Grâce à son grand-oncle, Gilles de Trèves, doyen de la collégiale Saint-Maxe, Jean Le Clerc devient le peintre des jésuites lorrains. Les tableaux du maître-autel de l’église des jésuites sont certainement de lui.[réf. nécessaire] Le 11 février 1632 le recteur du Collège des jésuites, Jean Bonnet, lui commande un tableau de neuf pieds de hauteur et sept pieds de longueur représentant La prédiction de saint François Xavier[18]. Nous sommes, à la fin de sa vie, et Jean Le Clerc se remémore ses voyages et ses combats. Même s’il s’agit de l’action missionnaire aux Indes orientales, ce sont des moyen-orientaux qu’il peint[19], comme dans Têtes d’hommes enturbannés.

Jean Le Clerc est également très proche des scientifiques de son temps. Son Reniement de saint Pierre est la magistrale application de complexes problèmes de perspective dans une architecture éclairée par plusieurs sources de lumière. Il adopte des préparations brunes, pratique nouvelle, mais très fréquente en Italie.[réf. nécessaire]

En 1633, dans sa dernière toile, L'Adoration des Bergers, pour l’église Saint-Nicolas de Nancy, l’influence de l'école caravagesque et de Saraceni est évidente. Rémond Constant finit certainement cette œuvre, car se voyant mourir Jean Le Clerc lui cède en octobre 1633, deux contrats signés avec les carmélites de Chaumont (Haute-Marne), qui lui ont commandé seize peintures de l’Apocalypse[20].

Le Christ et saint Pierre, de l’église Saint-Nicolas à Nancy et Le Festin d’Hérode, à Chaumont (Haute-Marne), église Saint-Jean-Baptiste sont attribués à Jean Le Clerc.

Un maître

Jean Nocret (1612-1672) est son élève.

En 1628, Jean Le Clerc prend aussi comme apprenti François Vernier, filleul du duc François, pour une durée de deux ans et moyennant 400 francs. Outre Rémond Constant, il est le maître de plusieurs peintres parmi lesquels Jean Tassel (1608-1667).[réf. nécessaire]

Ses mariages, sa fortune et sa mort

Jean Le Clerc s’est marié après son retour en Lorraine, en 1622, avec Antoinette des Pilliers, fille de Thierry II et d’Anne de Giraucourt. Devenu veuf, il se remarie le 14 janvier 1629 avec Marguerite Navel, dont le père, Geoffroy, est concierge de l’hôtel de Salm en 1614, puis munitionnaire.

Il devient hydropique et meurt cinq ans plus tard, le 20 octobre 1633, à Nancy âgé de seulement 46 ans, et un an après son protecteur, François II de Vaudémont. Il est inhumé aux Cordeliers aux côtés de sa première femme.[réf. nécessaire]

Il laisse plusieurs enfants mineurs.

Après sa mort

Le fils de Jean Le Clerc et d’Antoinette des Pilliers, Jean II Le Clerc, est encore un enfant à la mort de son père. Il sera, en 1665, capitaine au régiment du général de Mercy et participera entre autres à la bataille de Vienne, en 1683.[réf. nécessaire]

Nancy ne possède que deux tableaux de Jean Le Clerc. Dom Calmet, Lionnois et Lepage nous en donne la liste[réf. nécessaire] :

  • Saint Pierre,
  • Saint Paul[21],
  • Saint François Xavier, exécuté le 11 février 1632,
  • La Sainte Vierge,
  • La nativité de Jésus-Christ[22],
  • Sainte Pélagie,
  • La Madeleine,
  • Saint Ignace,
  • Saint Jean l'évangéliste[23],
  • Saint Sébastien[24],
  • Crucifix[25],
  • Saint Félix[26],
  • L'adoration des bergers[27] (musée de Langres),
  • Deux tableaux représentant des anges[28],
  • Un tableau dans un des parloirs[29],
  • Saint Antoine de Padoue[30].
  • Saint François Xavier prêchant aux Indiens est exposé à Nancy, au Musée historique lorrain. Une autre adoration des bergersest dans l'église Saint-Nicolas de Nancy.

Les peintures de Jean Le Clerc deviendront de ce fait très rares, et se vendront jusqu’à 1 000 000 de dollars, comme pour son Adoration des Bergers[réf. nécessaire]. Le Palais des Doges de Venise conserve encore son chef-d'œuvre, Le Doge Enrico Dandolo et les capitaines de la Croisade prêtant serment. Plusieurs de ses œuvres sont aux États-Unis, dont :

  • Scène de cabaret, Washington, Osuna Gallery.
  • La résurrection de Lazare, huile sur toile, 85,9 x 128 cm, Paris, musée du Louvre, acquis en 2011 (faisait autrefois partie d'une collection new yorkaise).
  • L'extase de saint François d'Assise est en l'église paroissiale de Bouxières.
  • Le banquet d'Hérode, est à la collégiale de Chaumont.
  • Têtes d'hommes enturbannés, l'une de ses gravures est au musée du Louvre.

Notes et références de l'article

  1. Mémoires de la Société d'archéologie lorraine 1893 (SER3,VOL21 = T43), p. 25.
  2. Parisot Robert, Histoire de Lorraine (duché de Lorraine, duché de Bar, Trois-Évêchés), 1922, Picard.
  3. Cette œuvre d'après Carlo Saraceni, 1619, est visible à Londres, au British Museum.
  4. Florence, Galerie Corsini.
  5. Washington, Osuna Gallery
  6. Tanaka Hidemichi, Georges de La Tour dans ses rapports avec Le clerc Callot et Rembrandt. Inform. Hist. Art, XV, 1960, p. 55-60.
  7. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la, 1876, p.76 et 77.
  8. Mémoires de la Société d'archéologie lorraine. , 1876, p.44.
  9. Pétry Jean-Claude, Entre Callot et La Tour, Jean Le Clerc cet inconnu, Dossier de l’art, n° 8, p. 52-53.
  10. Nancy, Musée des beaux-arts- peintures italiennes et espagnoles, XVIe-XIXe siècles, Clara Gelly Blandine Chavanne.
  11. Claude Lorrain, Pittori lorenesi in Italia nel XVII secolo, aprile-maggio 1982, Par Accademia di Francia (Rome, Italy).
  12. Meaume E., Georges Lalleman et Jean Le Clerc, peintres et graveurs lorrains, M.A.S.L., p. 29-30
  13. Voir en ligne.
  14. Saisie révolutionnaire (collection marquis de Robien), 1794.
  15. Vienne, Albertina.
  16. Alte Pin.
  17. Choné Paulette, Emblèmes et pensée symbolique en Lorraine, 1525-1633: comme un jardin au cœur de la chrétienté', p. 57.
  18. Saint François-Xavier prêchant, Nancy, Musée historique lorrain.
  19. Choné Paulette, Emblèmes et pensée symbolique en Lorraine, 1525-1633: comme un jardin au cœur de la chrétienté', p. 56.
  20. Chone Paulette, Jean Le Clerc, Claude Deruet et le carmel de Chaumont (1633-1635)
  21. Tous les deux d'abord dans l'église de Girecourt, selon Dom Calmet.
  22. En 1876 dans l'église Saint-Nicolas de Nancy
  23. Dans l'église de Girecourt
  24. Dans l'église Saint Sébastien, portrait du peintre Bermand, ami et élève de Le Clerc, payé 250 francs.
  25. Dans l'église des Annonciades
  26. Dans l'église des Capucins
  27. Dans l'église du Saint Sacrement
  28. Dans l'église des Minimes de Bon-Secours
  29. Dans l'église des Dames du refuge
  30. Chez Monsieur Barbe

Voir aussi

Bibliographie

  • [réf. incomplète]Mariette Pierre Jean, Abecedario de P.J. Mariette, Ouvrage publié d'après les manuscrits autographes conservés au ..., publié 1856, J.-B. Dumoulin, p. 97.
  • Tanaka Hidemichi, Georges de La Tour dans ses rapports avec Le clerc Callot et Rembrandt. In: Inform. Hist. Art XV, 1960, p. 55-60.
  • Meaume E., Georges Lalleman et Jean Le Clerc, peintres et graveurs lorrains, M.A.S.L., pp. 29-30.
  • Pariset F.G., Jean Leclerc et Venise, Venizia e l’Europa, Atti del XVIII Congresso internazionale di Storia dell’Arte, Venizia 1955.
  • Claude Gellée et les peintres lorrains au XVIIe siècle, Cat. exp. Rome Nancy 1982, p. 72 et 78.
  • Pétry Jean-Claude, Entre Callot et La Tour, Jean Le Clerc cet inconnu, Dossier de l’art, n° 8, pp. 52-53.
  • [réf. incomplète]Nancy, Musée des beaux-arts, peintures italiennes et espagnoles, XIVe-XIXe siècle, Clara Gelly
  • [réf. incomplète]Choné Paulette, Emblèmes et pensée symbolique en Lorraine, 1525-1633: comme un jardin au coeur de la chrétienté, Klincksieck (23 septembre 1992).

Articles connexes

Liens externes


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