Homme-bête

Homme-bête

Thérianthropie

Horus, dieu égyptien prenant la forme d'un homme-faucon. Plus généralement, voir Dieux égyptiens par animal.

La thérianthropie ou zooanthropie désigne la transformation d'un être humain en animal[1], de façon complète ou partielle, aussi bien que la transformation inverse dans le cadre mythologique et spirituel concerné. Ce thème très ancien puise ses racines dans le chamanisme et apparait sur d'anciens dessins dans des grottes préhistoriques, comme la Grotte des Trois-Frères en Ariège[2], il s'exprime aussi à travers de nombreuses légendes, comme celles du nahualisme ou de la lycanthropie. En ce qui concerne l'étude culturelle, mythologique et anthropologique, la thérianthropie décrit un personnage qui partage des traits humains avec des capacités ou des traits empruntés à d'autres animaux. L'exemple le mieux connu est celui du lycanthrope (qui inclut le loup-garou européen), un hybride mi-homme mi-loup, mais il n'est pas le seul car la quasi-totalité des dieux égyptiens, possédant des têtes animales ou possédant la capacité de se changer en de tels animaux, sont aussi des thérianthropes. Plus récemment, la thérianthropie est devenue un thème populaire dans la sous-culture, probablement grâce aux nombreux films consacrés aux lycanthropes et aux animaux anthropomorphes, cette popularité se manifestant par l'apparition de mouvements comme celui du fandom furry et des otherkins.

Sommaire

Étymologie et terminologie

Le mot « Thérianthropie » est issu du grec ancien θηρίον, therion, qui signifie « animal sauvage » ou « bête », et de άνθρωπος, anthrōpos, qui signifie « homme », il désigne donc une créature mi homme et mi animale. Le terme de « thérianthropie » est usité de longue date en anglais[3] mais d'apparition récente dans la langue française, qui n'utilisait jusque-là que le terme lycanthropie (dans un sens étendu) pour désigner toutes les transformations d'un être humain en animal, le sens strict désignant seulement la transformation en loup[4].

La langue anglaise possède elle aussi ce sens étendu de lycanthropie[5]. Le nom de zooanthrope ou zoanthrope est parfois utilisé également[6],[7].

Le terme de therianthropie est utilisé pour désigner les transformations animales dans le folklore asiatique et européen dès 1901[8]. Therianthropie est également usité pour décrire les transformations spirituelles en animaux dès 1915[9] et selon un auteur[10] ce mot a pu être utilisé en langue anglaise pour désigner les personnes accusées de lycanthropie au XVIe siècle.

Origines

Cerf thérianthropique dans la grotte des Trois-Frères, en Ariège.

Les premières preuves d'un culte thérianthropique figurent dans la grotte des Trois-Frères, en Ariège, à travers la représentation pariétale de deux êtres mi-homme mi-animaux, rare dans l'art pariétal. Le premier, présentant simultanément les caractéristiques d'un humain et d'un bison, a été nommé le « petit sorcier à l'arc musical » car il semble jouer de cet instrument. Pour le second, les interprétations successives l'ont désigné comme un sorcier pratiquant un rite magique[11], ou un dieu des animaux dit le « dieu cornu »[11],[12], ou encore comme un chaman en transe[13].

L'ethnologue Ivar Lissner suggère que ces peintures dans les grottes représentant des êtres aux attributs humains et animaux mélangés n'étaient pas des représentations physiques de créatures métamorphes mythiques, mais des tentatives de description des voyages chamaniques, dans lesquels le chaman tentait d'acquérir les attributs mentaux et spirituels de plusieurs animaux[14]. l'historienne religieuse Mircea Eliade a pu observer que ces croyances concernant l'identité des animaux et la transformation d'humains en animaux sont très répandues[15]

Transmigration des âmes

La thérianthropie est souvent confondue avec la transmigration, mais la caractéristique essentielle de l'homme-animal est d'être une forme de remplacement ou un double d'un être humain vivant, tandis que l'âme animale est le véhicule, temporaire ou permanent, de l'esprit d'un être humain mort. Néanmoins, les légendes à propos d'hommes reincarnés en loups sont souvent classées dans les légendes lycanthropiques.

Il n'y a pas de ligne de démarcation claire, ce qui rend probable un lien entre la thérianthropie et le nahualisme ainsi que la croyance en les esprits familiers, plutôt que la métempsycose, comme E. B. Tylor le fait remarquer, ou avec le totémisme, comme suggéré par J. F M'Lennan. Ainsi, les origines de la thérianthropie se mêlent à la croyance en la réincarnation, une croyance dans le partage des âmes entre les êtres humains vivants et les bêtes et une croyance selon laquelle le fantôme d'un homme apparait comme non-humain (généralement sous forme animale) après sa mort. Une caractéristique de la métempsycose est le brouillage des frontières entre l'immatériel et le corporel, de sorte que les âmes sont souvent conçues comme des formes solides et visibles qui ont besoin de manger et peuvent causer un mal physique[16].

Ancêtres animaux

Des légendes selon lesquelles des êtres humains descendent d'animaux sont des explications communes pour les origines tribales et claniques. Parfois, les animaux prennent forme humaine afin de s'assurer que leurs descendants conservent leur forme humaine, d'autres fois le récit des origines de l'homme inclut un mariage avec un animal normal.

En Amérique du Nord, la mythologie amérindienne propose en particulier l'idée d'ours métamorphes comme ancêtres, ces ours étant souvent en mesure de retirer leur peau afin de prendre une forme humaine, épousant des femmes sous cette apparence. Leur progéniture pouvant avoir une partie de l'anatomie de ces animaux, les enfants pouvaient être très beaux mais posséder une force étrange, ou être métamorphes eux-mêmes[17].

P'an Hu est représenté dans diverses légendes chinoises comme un chien surnaturel, un homme à tête de chien, ou un métamorphe canin qui épousa la fille d'un empereur et fonda au moins une lignée. Quand il est dépeint comme un changeforme, il peut prendre apparence humaine à l'exception de sa tête. La lignée descendante de P'an Hu étaient souvent caractérisées par les écrivains chinois comme celle de monstres qui combinaient l'anatomie de l'homme et du chien[18].

Dans la mythologie turque et chez les peuples de Mongolie, le loup est un animal vénéré. Les peuples turcophones chamanique même cru qu'ils étaient descendants des loups dans les légendes turques. La légende d'Asena est un mythe turc ancien qui raconte comment le peuple turc a été créé : Dans le Nord de la Chine, un petit village turc fut attaqué par des soldats chinois, mais un petit bébé fut laissé en vie. Une vieille louve avec une crinière bleu ciel nommée Asena trouva le bébé et l'allaita, puis donna plus tard naissance à des êtres moitié loup, moitié humains qui furent les ancêtres du peuple turc[19],[20].

Esprits tutélaires

En Amérique du nord et Amérique centrale, et dans une certaine mesure, en Afrique de l'ouest, en Australie et d'autres parties du monde, tous les jeunes garçons pubères doivent acquérir un esprit tutélaire. Dans certaines tribus amérindiennes, l'adolescent tue l'animal dont il rêve dans son initiation rapide, sa griffe, sa peau ou ses plumes sont mis dans un petit sac et deviennent son remède. Ils doivent être soigneusement conservées car un « remède », une fois perdu, ne peut jamais être remplacé. En Afrique occidentale, cette relation est conclue par le biais du lien du sang, homme et animal sont si proches que la mort de l'animal fait mourir l'homme, et vice versa. Ailleurs, la possession d'un esprit tutélaire sous forme animale est le privilège du magicien. En Alaska, le candidat à l'acquisition de pouvoirs magiques doit quitter la demeure des hommes, le chef des dieux envoie une loutre pour le rencontrer, qu'il doit tuer en disant: « O » quatre fois, il coupe ensuite la langue de l'animal et sécurise ainsi les pouvoirs qu'il recherche.

En Malaisie, on croit que la fonction de pawang (prêtre) est seulement héréditaire, car l'âme du prêtre mort doit, sous la forme d'un tigre, passer dans le corps de son fils. Alors que le familier est souvent considéré comme la forme alternative du magicien, le nagual est communément considéré comme entièrement distinct de l'être humain. Des croyances de transition, cependant, sont mentionnées, en particulier en Afrique, dans laquelle le pouvoir de transformation est attribuée à l'ensemble de la population de certaines régions. Le peuple de Banane, au Congo, pense qu'il peut se changer lui-même en animaux par des moyens magiques, composé d'embryons humains et d'autres ingrédients, mais sous leur forme de léopard, ils ne doivent pas nuire à l'humanité sous peine de conserver à jamais la forme de bête. Dans d'autres cas, le changement est censé être accomplit uniquement à des mauvaises fins, la magie et les victimes humaines ne sont pas interdites.

Un lien supplémentaire est fourni par la croyance zoulou selon laquelle le familier du magicien est bien un être humain transformé, et que quand il découvre un cadavre sur lequel il peut travailler ses sorts sans crainte d'être découvert, le sorcier lui insuffle une sorte de vie, ce qui lui permet de se déplacer et de parler, ainsi, certains sorciers peuvent prendre possession des morts. Les zoulous font alors un trou dans la tête des morts et retirent leur langue. Des sorts supplémentaires ont pour effet de modifier le corps revivifié pour lui donner la forme de certains animaux, hyène, hibou ou chat sauvage, ce dernier étant le plus commun. Cette créature devient alors le serviteur du sorcier et lui obéit en toutes choses, son utilisation principale est, cependant, d'infliger des maladies et la mort aux personnes qui ne sont pas aimés de son maître.

En Mélanésie il y a une croyance en la tamaniu ou atai, qui est un homologue animal d'une personne. Il peut être une anguille, un requin, un lézard, ou quelque autre créature. Cette créature est corporelle, peut comprendre la parole humaine, et partage la même âme que son maître, conduisant à des légendes qui ont de nombreuses caractéristiques typiques des contes à propos des thérianthropes, tels que la mort ou les blessures touchant les deux formes à la fois[21].

Mythe

On retrouve le mythe de l’homme se transformant en animal féroce ou des mentions de créatures mi-humaines et mi-animales dans bien d’autres cultures. La thérianthropie peut aussi désigner les représentations de créatures présentant simultanément des traits humains et animaux, comme les dieux égyptiens tels que Ra, Sobek, Anubis, et beaucoup d'autres, aussi bien que des créatures mythologiques comme les centaures et les sirènes. Au Moyen Âge, les bestiaires contiennent plusieurs représentations symboliques d'animaux.

Créatures hybrides

Les créatures hybrides sont une variété de thérianthropes possédant des caractères humains et animaux à la fois, et en permanence. Ils n'ont pas le don de métamorphose. Les centaures et les sirènes sont des hybrides, mais il en existe de nombreux autres.Dans le panthéon de l’Égypte ancienne, de nombreux dieux étaient représentés sous la forme d’un hybride, moitié homme et moitié animal.

Métamorphes

Article détaillé : Métamorphe.

Cette forme de thérianthropie a développé son propre vocabulaire spécifique, ainsi, les thérianthropes se divisent en lycanthropes, cynanthropes, et ailuranthropes, pour les plus connus[22]. Le terme « cynanthropie » est attesté en 1901 dans les mythes chinois à propos d'humains qui se changent en chiens, de chiens qui se changent en hommes, et de relations sexuelles entre chiens et humains[23]. En Afrique, on connaît la très forte présence de l’homme-léopard, et même de l’homme-chacal et de l’homme-hyène, en Asie de l’homme-tigre, et en Océanie de l’homme-requin.

Lycanthropie

Article détaillé : Lycanthrope.

Dans le folklore, la mythologie et l'anthropologie, les lycanthropes forment les thérianthropes les plus communs. En Grèce, jusqu’à la fin du XIXe siècle, les loups-garous dont les corps n’étaient pas détruits hantaient ensuite les champs de bataille sous forme de hyènes en buvant le sang des soldats mourants.

Hommes-hyènes

Les hommes-hyènes ou hyène-garou sont largement répandus en Afrique. Au Nigeria, ils sont nommés bultingin, ce qui signifie littéralement je me change en hyène. En Éthiopie, les forgerons sont des magiciens capables de se transformer en hyène. Ils profanent des tombes la nuit venue. On les appelle des budas. Ils sont craints par leurs contemporains. Les chrétiens éthiopiens prétendent que les juifs éthiopiens sont des budas qui déterrent les corps de chrétiens et les dévorent. Cette croyance est sûrement liée au fait que la profession de forgeron était commune chez les Juifs éthiopiens. Au Soudan, en Tanzanie et au Maroc (dans les croyances Berbères), les budas sont des hommes qui se transforment en hyène la nuit venue et retrouvent forme humaine à l’aube. Dans certaines tribus du Soudan, on mentionne un homme devenant une créature mi-homme mi-hyène la nuit et faisant preuve d’un penchant cannibale. Il terrorise principalement les amants.

Les hommes-hyènes sont aussi mentionnés en Perse et en Grèce. En Perse, un traité médical a été publié en 1376, il décrit comment soigner les kaftar, des hommes-hyènes qui s’attaquaient aux enfants.

Psychiatrie / Monomanie

Lorsque certaines personnes affichent des troubles cliniques qui les poussent à croire à une transformation en animal, on parle de lycanthropie clinique. Ces pathologies ne sont généralement pas considérées graves, mais associées à des schizophrénies ou à des dissociations de la personnalité, peuvent être la source de comportements à risques. Cette catégorie d'atteinte mentale est, selon certains anthropologues, à l'origine de certaines croyances chamaniques. Certaines personnes, isolées pendant des années, peuvent développer une thérianthropie clinique et se considérer comme appartenant à d'autres espèces.

Culture populaire

Donjons et dragons

Article détaillé : Lycanthrope (Donjons et dragons).

Un livre thématique publié par Wizards of the Coast, A Practical Guide To Monsters, pour l'univers de Donjons et Dragons, fait référence à la page 33 à l'utilisation du mot « lycanthrope » pour désigner de nombreux types de métamorphes humanoïde/animal. Le texte poursuit en indiquant qu'un meilleur terme pour ce groupe serait « thérianthrope »[24].

Sous-culture

Article détaillé : Otherkin.

La première utilisation bien connue du terme « thérianthrope » se développa sur le groupe Usenet du nom de alt.horror.werewolves[25]. Certains utilisateurs d'Usenet commencèrent à affirmer publiquement qu'ils étaient en partie des animaux, généralement au sens spirituel du terme[26]. Ces personnes s'appelaient initialement entre elles des lycanthropes, mais à cause de la connotation du terme, spécifique aux loup-garous, le terme de thérianthrope devint plus populaire. Sur ces bases, une sous-culture rassemblant des personnes qui s'identifient comme des thérianthropes s'est développée[27]. Certains de ces thérianthropes se considèrent aussi comme membres de la culture des otherkin[28].

Fandom furry

Une renarde anthropomorphique, illustration typique du mouvement fandom furry
Article détaillé : Fandom furry.

Le fandom furry (de l'anglais fan, « admirateur », -dom, « appartenant à une idéologie », et furry, « poilu ») est le nom donné aux groupes de personnes intéressées par le furry[29], un mouvement culturel apparu sous ce terme vers le milieu des années 1980[30]. Le mouvement furry est défini comme étant l’attrait pour les animaux imaginaires, mythologiques ou anthropomorphes[31], c’est-à-dire l’attrait pour les animaux possédant des caractéristiques humaines : usage de la parole, port d’habits, utilisation d’un style de vie humain, etc. Les personnes qui appartiennent au fandom furry sont appelées furs.

Jeu vidéo

La saga vidéoludique Bloody Roar met en scène de nombreux thérianthropes.

Notes et références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Therianthropy ».
  1. (en) Edward Podolsky, Encyclopedia of Aberrations: A Psychiatric Handbook, Philosophical Library, 1953 
  2. Trois Freres, Encyclopedia Britannica. Consulté le 06 décembre 2006
  3. Voir, entre autres, Encyclopædia Britannica , 1886, vol. XX p. 367 (C.P.Teile)
  4. À l'article LYCANTHROPIE, le Trésor de la Langue Française informatisé écrit : « Forme de délire dans lequel le sujet se croit transformé en loup (ou, p. ext., en un animal quelconque) et en imite le comportement »
  5. cf. en:Therianthropy#Scholarly use of the term
  6. Dans le jeu vidéo Bloody Roar notamment
  7. (en) R.E. Guiley, The Encyclopedia of Vampires, Werewolves & Other Monsters, Facts on File, New York, 2005 (ISBN 0-8160-4685-9), p. 192 
  8. (en) J.J.M. De Groot, The Religious System of China: Volume IV, Brill, Leiden, 1901, p. 171 
  9. (en) Frank Brinkley, A History of the Japanese People from the Earliest Times to the End of the Meiji Era, The Encyclopædia Britannica Co, 1915 
  10. (en) Katherine Ramsland, The Human Predator: A Historical Chronicle of Serial Murder and Forensic Investigation, Berkley Hardcover, 2005 (ISBN 042520765X) 
  11. a  et b D'après les théories de H. Bégouën et H. Breuil qui ont été les premiers à étudier la grotte
  12. voir une photo
  13. J. Clottes et D. Lewis-Williams, Les chamanes de la préhistoire, transe et magie dans les grottes ornées, Seuil, 1996 
  14. (en) B. Steiger, The Werewolf Book: The Encyclopedia of Shape-Shifting Beings, Visible Ink, Farmington Hills, MI, 1999 (ISBN 1-57859-078-7) 
  15. (en) Mircea Eliade, Rites and Symbols of Initiation: the mysteries of birth and rebirth, Harper & Row, 1965 
  16. (en) F. Hamel, Human Animals, Werewolves & Other Transformations, University Books, New Hyde Park, NY, 1969 (ISBN 0-8216-0092-3), p. 15 
  17. (en) T. Pijoan, White Wolf Woman & Other Native American Transformation Myths, August House, Little Rock, 1992 (ISBN 0-87483-200-4), p. 79 
  18. (en) D.G. White, Myths of the Dog-Man, The University of Chicago Press, Chicago, 1991 (ISBN 0-226-89509-2), p. 150 
  19. (en)Cultural Life – Literature Turkey Interactive CD-ROM. Consulté le 11 août2007
  20. (en) T.C. Kultur Bakanligi Nevruz Celebrations in Turkey and Central Asia Ministére de la Culture, République de Turquie. Consulté le 11 août2007
  21. (en) F. Hamel, Human Animals, Werewolves & Other Transformations, University Books, New Hyde Park, NY, 1969 (ISBN 0-8216-0092-3), p. 21 
  22. (en) R. Greene, The Magic of Shapeshifting, Weiser, York Beach, ME, 2000 (ISBN 1-57863-171-8), p. 229 
  23. (en) J.J.M. De Groot, The Religious System of China: Volume IV, Brill, Leiden, 1901, p. 184 
  24. (en) Nina Hess, A Practical Guide to Monsters, Wizards of the Coast, Inc., Renton, WA, 2007 (ISBN 978-0-7869-4809-3), p. 33 
  25. (en) Chantal Bourgault Du Coudray, The Curse of the Werewolf: Fantasy, Horror and the Beast Within, I. B. Tauris, 2006 (ISBN 1845111583) 
  26. (en) D. Cohen, Werewolves, Penguin, New York, 1996 (ISBN 0-525-65207-8), p. 104 
  27. (en) Rosalyn Greene, The Magic of Shapeshifting, Weiser, 2000 (ISBN 1578631718), p. 239 
  28. (en) Lupa, A Field Guide to Otherkin, Immanion Press, 2007 (ISBN 978-1-905713-07-3), p. 50 
  29. Le pluriel d’un « furry » est des « furries », et se prononce /fyʁɪz/.
  30. (en) Fred Patten, « A Chronology of Furry Fandom » sur YARF! The Journal of Applied Anthropomorphics, février 1999
  31. (en) Daveen Rae Kurutz, « It's a furry weekend » sur Pittsburgh Tribune-Review, juin 2006

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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