Girafe

Girafe
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 Giraffa camelopardalis angolensis mâle
Giraffa camelopardalis angolensis mâle
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Mammalia
Sous-classe Theria
Infra-classe Eutheria
Ordre Artiodactyla
Famille Giraffidae
Genre
Giraffa
Brünnich, 1771
Nom binominal
Giraffa camelopardalis
(Linnaeus, 1758)
Répartition géographique
Giraffa camelopardalis subspecies map.png
Statut de conservation UICN :

LC  : Préoccupation mineure
Schéma montrant le risque d'extinction sur le classement de l'UICN.

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La girafe (Giraffa camelopardalis) est une espèce de mammifères ongulés artiodactyles et ruminants, originaire des savanes africaines et répandue du Tchad jusqu'en Afrique du Sud. Le mot girafe vient de l'arabe زرافة, zarāfah signifiant « charmante ». Après des millions d'années d'évolution, la girafe a acquis une anatomie unique avec un cou particulièrement allongé qui lui permet notamment de brouter la cime des arbres.

Sommaire

Sous-espèces

Il y a des divergences entre scientifiques concernant les sous-espèces. Il y a 9 sous-espèces généralement acceptées, avec quelques variations de couleurs et de répartition géographique :

Caractéristiques physiques et comportementales

Il s’agit de l’animal le plus grand en hauteur, pouvant, grâce à la longueur de son cou , atteindre jusqu’à 5,50 m ou même 5,80 m. Cependant celui-ci ne comporte pas plus de vertèbres cervicales (7, de plus ou moins 40 cm chacune) que celui des autres mammifères[1]. Les girafes dorment très peu, moins de 2 heures pour 24 heures, et plus volontiers le jour, car elles peuvent continuer à surveiller l'horizon. En réalité, elles somnolent debout, les yeux grands ouverts et pas plus de 3 minutes d'affilée[réf. nécessaire].

Le poids d'une girafe varie entre 950 et 1 100 kg pour les femelles et peut aller jusqu’à 1 500 kg pour les mâles.

Son espérance de vie est de l'ordre de 25 ans[2].

Son pelage à dominante rousse est réticulé ou tacheté de jaune ; son ventre est blanc.

Sa queue, mince et longue, terminée par un pinceau de poils noirs, mesure de 70 cm à 100 cm.

La tête porte deux ossicônes, des appendices osseux recouverts de peau. Les ossicônes des femelles sont couverts d'une touffe de poils tandis que ceux des mâles en sont pratiquement dépourvues après quelques combats. Les mâles développent parfois en plus des dépôts de calcium sur leur crâne qui finissent par donner l'impression qu'un troisième ossicône est présent[3].

Contrairement à une idée répandue, les girafes possèdent des cordes vocales mais elles n'émettent que très rarement des sons, se reposant davantage sur la vision que sur l'audition pour communiquer via par exemple des postures et des mouvements du cou et de la tête. Néanmoins, il est possible d'entendre les girafons crier en situation de stress. Le cri de la girafe se rapproche du beuglement des bovins[4].

La girafe est le seul vertébré terrestre qui ne baille pas[5].

Autre curiosité, c'est le seul mammifère qui peut atteindre ses oreilles avec sa propre langue[réf. nécessaire].

Gravité et circulation

Ses caractéristiques physiques, notamment la longueur de ses membres et de son cou, font qu'elle est considérée par la NASA comme le modèle idéal pour étudier l'effet de la gravité sur la circulation sanguine. Les phlébologues de la NASA ont copié son réseau sanguin pour réaliser la combinaison anti-G des pilotes de chasse et astronautes[6].

Son cœur de 11 kg, au myocarde renforcé, pompe 60 litres de sang et bat à 170 pulsations par minute, ce qui donne une pression artérielle deux fois supérieure à la pression humaine. Dans les artères du cou, tout un réseau de muscles annulaires aident à hisser le sang jusqu'au cerveau. Dans les veines, des valvules orientent le sang vers le cœur.

Lorsque l'animal baisse la tête au sol, les valvules de la jugulaire sont fonctionnelles et empêchent le sang de retomber vers le cerveau (ce qui conduirait à un « voile rouge »).

La veine jugulaire de la girafe est la plus longue et la plus droite du monde animal et possède 9 valvules. En 1993, à Vincennes, son endoscopie confirma que les constituants anatomiques d'une veine sont orientés en fonction de son axe d'aplatissement et donc qu'une veine a bien deux faces et deux bords.

En bas des jambes où la pression est énorme, un système de capillaires sanguins très résistants (le rete mirabile, ou merveilleux réseau), comparables aux nôtres, empêche l'œdème fatal.

Course

Lorsqu'elle court, elle va à l'amble, à l'instar du chameau ou de l'ours, c'est-à-dire qu'elle lève ensemble les deux pieds du même côté. En vitesse de croisière, elle court à 15 km/h mais peut accélérer à 55 km/h en prenant un curieux galop. Les pattes avant se lèvent ensemble mais largement écartées pour éviter que ses sabots s'entrechoquent.

Son galop particulier est facilité par son long cou qui balance et crée l'équilibre, grâce à un petit muscle spécial qui le tire en avant.

Régime alimentaire

Girafe se restaurant en Tanzanie

La girafe se nourrit de feuilles d'arbre très nutritives, essentiellement des légumineuses, riches en sels minéraux car la girafe a besoin de 20 g/jour de calcium[3]. Elle peut occasionnellement se nourrir de fleurs, fruits, graines ou cosses. Sa consommation quotidienne va de 7 kg (nourriture rare) à 70 kg (nourriture abondante). Elle ne se nourrit ou ne s'abreuve au sol qu'en écartant les pattes de devant ou en pliant les genoux, après avoir bien inspecté les alentours. Elle lève souvent la tête entre deux gorgées lorsqu'elle est dans cette posture périlleuse, mais elle trouve l'essentiel de ses besoins en eau dans la nourriture et ne va boire que tous les 2 à 3 jours.

Les acacias de la savane ont atteint des tailles leur permettant d'échapper aux zèbres et aux antilopes, mais leurs feuilles les plus tendres poussent entre 2 et 6 mètres, ce qui constitue pour la girafe la hauteur idéale et sa niche alimentaire.

Sa langue noire et préhensile est la plus puissante, la plus coriace et la plus longue (55 cm) parmi les ongulés. Elle peut l'allonger pour atteindre les pousses les plus tendres entre les barrières d'épines d'acacias.

La girafe n'a pas d'incisives à la mâchoire supérieure. Elle saisit donc les pousses d'acacias avec sa langue, puis les guide entre ses lèvres, referme la bouche et tire la tête en arrière pour racler les feuilles grâce à ses dents du bas.

Certains acacias (Acacia drepanolobium) se défendent en hébergeant dans des galles des fourmis agressives du genre Crematogaster,[7],[8] à la morsure cuisante pour la bouche et les lèvres des girafes. Les acacias broutés émettent plus de nectar servant de nourriture à ces fourmis ainsi qu'une hormone végétale de stress qui prévient en quelque sorte les acacias voisins d'une agression. Ces derniers augmentent leur production de tanin, qui rend les feuilles plus amères et moins appétissantes pour la girafe, laquelle s'éloigne alors pour aller brouter plus loin. Cette boucle de rétroaction expliquerait que les girafes et les éléphants n'ont jamais surexploité les acacias.

Reproduction

La saison des amours a lieu toute l'année avec un pic de naissances en Décembre et en Mai. Les girafes ne se reproduisent qu'une fois tous les deux ans. Un seul girafon naît lors de la mise bas.

La girafe mâle

Girafe - Aalborg Zoo

Le grand mâle parcourt les pâtures des femelles pour trouver une partenaire. Il tente de dominer ses rivaux en leur coupant le passage et en dressant sa tête le plus haut possible. Le combat éclate lorsqu'un rival refuse de baisser la tête, de laisser le passage, ou fronce la lèvre en sa présence.

Dans les combats de girafes, les mâles utilisent leur tête comme une massue, qui est lourde, cornue et bosselée (comportement appelé necking). Ses ossicônes sont massifs et durs comme de l'ivoire et sur son front pousse une excroissance osseuse, la corne médiane.

Les deux mâles se cognent jusqu'à ce que l'un d'eux abandonne. La tête d'un mâle de 15 ans pèse 10 kg de plus que celle d'un jeune adulte de 7 ans, ce qui lui permet de gagner à tous les coups, mais le perdant est rarement tué et ils ne se battent jamais à coups de sabots.

Une fois qu'un mâle a conquis une femelle, ses amours sont caressantes et paisibles, avec beaucoup de coups de langues.

La girafe et le girafon (ou girafeau)

Un girafon

La girafe peut commencer à mettre bas dès l'âge de 5 ans. La gestation dure environ 15 mois. La mise bas s'effectue debout et le girafon tombe de près de deux mètres de haut. Il y a des risques que le girafon meure à la naissance, car en tombant il peut se blesser, et notamment se briser la nuque, même si cela reste rare. La girafe ne met au monde qu'un seul petit à la fois, rarement deux.

À la naissance, le girafon mesure 2 mètres pour un poids variant de 40 à 80 kg. Les jambes sont plus longues que le cou et sortent les premières. Le cou est proportionnellement moins long que celui des adultes. Sur la tête, deux touffes de poils noirs recouvrent les cartilages des futurs ossicônes, qui se souderont avec les os du crâne. Il s'agit de l'un des rares animaux dont les appendices crâniens existent dès la naissance.

La girafe n'adopte son petit que s'il est capable de se tenir rapidement debout (généralement au bout de 15 minutes) et de stimuler la lactation. Au bout d'une heure, il doit tenir sur ses pattes pour atteindre les mamelles de sa mère où il pourra se nourrir d'un lait très gras. Dans le cas contraire, elle l'abandonne ou même le tue.

La mère se fait comprendre de son petit en le caressant avec le bout de son museau. Elle l'incite ainsi à la suivre et à la téter, créant ainsi le lien maternel.

Le girafon grandit de 1 mètre durant la première année de sa vie. À six mois, il approche les 3 mètres et à 7 ans, il aura sa taille d'adulte avec un minimum de 5 mètres.

Le sevrage intervient au bout de 12 à 16 mois mais le girafon peut rester avec sa mère jusqu'à l'âge de 2 ans et demi. Après cette période, il est gardé dans une « nurserie » qui permet à sa mère d'aller s'alimenter. La maturité sexuelle est acquise au bout de 3 à 4 ans pour un girafon femelle, et 4 à 5 ans pour un mâle[3].

La girafe et ses prédateurs

Adulte et en bonne santé la girafe n'a à craindre que le lion, et encore : elle le voit approcher de loin et peut d'une ruade lui briser le crâne ou les côtes. Par contre les jeunes qui échappent à la surveillance de leur mère ou isolés du troupeau et les sujets affaiblis par la vieillesse, la maladie ou une blessure, peuvent être la proie de prédateurs comme les lions, les hyènes rayées, les hyènes tachetées, les léopards ou les lycaons. C'est ainsi que trois girafons sur quatre se font tuer avant l'âge de trois mois. Aux points d'eau, les girafons peuvent aussi être victimes des crocodiles[3].

La girafe se repose et dort debout. Ce n’est que si elle se sent parfaitement en sécurité qu’elle dormira et se reposera par terre. En effet, de par sa stature, elle met beaucoup de temps à se relever, ce qui la rend vulnérable aux prédateurs.

Conservation

La girafe est chassée pour sa viande et sa peau. Elle fut tuée aussi pour sa queue, utilisée comme monnaie primitive ou symbole d'autorité. En plus de ce braconnage, elle est menacée par la destruction de son habitat, notamment dans le Sahel où la déforestation est répandue. La population des girafes d'Afrique occidentale a baissé fortement dans les décennies récentes. D'autre part, les populations de l'Afrique de l'Est et de l'Afrique australe sont stables, et dans certaines régions elles ont même augmenté. La girafe est une espèce protégée dans la plupart des pays correspondant à son aire de répartition.

On a estimé que la population totale des girafes représente 110 000 à 150 000 animaux, contre un million au milieu des années 1990[9]. Les plus grandes populations nationales se trouvent au Kenya (45 000), en Tanzanie (30 000) et au Botswana (12 000).

Le dernier troupeau de girafes en liberté de toute l'Afrique de l'Ouest se trouve au Niger dans les environs de Kouré, à environ une heure de la capitale Niamey. Il fait l'objet d'un suivi par l'association pour la sauvegarde des girafes du Niger (ASGN), impliquant les populations des villages avoisinants, permettant un repeuplement du troupeau. Afin d'éviter les problèmes de consanguinité, des échanges sont pratiqués avec des zoos et réserves d'autres continents.

La girafe et les hommes

Comportement de necking, girafes du zoo de San Francisco

Une longue histoire

Les Grecs pensaient que la girafe résultait de l'union du chameau et du léopard, d'où le nom scientifique de l'espèce camelopardalis.

Selon Pline l'Ancien, le cortège ramenant Vercingétorix vaincu à Rome aurait comporté une girafe[3].

Le sage arabe Al-Qazwini dit d'elle : « Sachant qu'elle se nourrirait dans les arbres, Allah lui donna des membres antérieurs plus longs que les postérieurs »[réf. souhaitée].

En Asie de l'Est et notamment au Japon où elle porte ce nom, la girafe est associée au qilin (ou kirin), animal mythique proche de la licorne. En effet, une girafe fut ramenée d'Afrique en Chine dès 1414 par Zheng He et accueillie par l'empereur Ming Yongle comme un qilin, témoignage de son bon gouvernement.

Elle a été décrite, pour la première fois en France, par Pierre Belon (1517-1564).

En 1809, Lamarck pensait qu'à force d'allonger le cou, elle avait transmis ce trait à sa descendance. En 1872, Darwin pensait que son long cou était dû à une sélection liée aux périodes de famines, où un ou deux pouces faisaient la différence et permettaient de survivre. L'hypothèse de la sélection sexuelle est aussi avancée, les mâles se battant à coup de cou ou au contraire se caressant (comportement appelé necking)[3].

La girafe de Charles X

La première girafe à entrer vivante sur le sol français fut rammenée d'Égypte en 1827 par le naturaliste Étienne Geoffroy Saint-Hilaire : elle parcourut près de 800 km (dont plus de la moitié à pied) entre Marseille et le Jardin des Plantes à Paris. L'événement eut à l'époque une portée considérable. Il s'agit de celle qui est actuellement visible, naturalisée, au Muséum d'histoire naturelle de La Rochelle[3].

« Peigner la girafe »

L'expression « peigner la girafe » signifie ne rien faire ou perdre son temps. L'origine de cette expression, qui n'est pas attestée avant 1900, est inconnue[10]. On sait cependant que lorsqu'une girafe fut offerte à Charles X par le pacha d'Égypte, celle-ci fut présentée à la France dans un grand tour où elle était accompagnée en permanence de quatre soigneurs[11], dont l'un avait en effet pour charge de la peigner (de l'étriller, pour être plus précis) chaque jour, travail qui en regard de la condition ouvrière à l'époque ne devait pas paraître exténuant.

La girafe dans les arts et la culture

Girafe figurant sur le Paradis de Jérôme Bosch

Une girafe est visible sur une fresque de Giorgio Vasari au Palazzo Vecchio de Florence. Salvador Dali a peint en 1935 la Girafe en feu visible au musée des Beaux-Arts de Bâle.

Honoré de Balzac a écrit Discours de la girafe au chef des six Osages prononcé le jour de leur visite au jardin du Roi, traduit de l’arabe par l’interprète de la girafe. François-René de Chateaubriand a écrit un pamphlet : La girafe ou le gouvernement des bêtes.

« La girafe n'existe pas » est un texte de Jacques Bergier paru en 1965 dans Planète et destiné à se moquer des esprits trop fermés selon lui aux idées inhabituelles[12]. Il présente le mérite de montrer quels argument rationnels pertinents pourraient être opposés aux témoignages de l'existence de cet animal.

En France, Sophie la girafe est un jouet en caoutchouc créé en 1961 et destiné à être mordillé par les nourrissons.

Galerie

Squelette de girafe

Annexes

Note

  1. Girafe (Giraffa camelopardalis) sur conservation-nature.fr
  2. Encyclopedia Universalis version 9 (2003)
  3. a, b, c, d, e, f et g Jean-Louis Hartenberger, Grandeur et décadence de la girafe, Editeur Belin , mars 2010
  4. http://www.youtube.com/watch?v=Y7iuOZVJhs0
  5. Pourquoi baille-t-on ?
  6. Alan R. Hargens, Developmental Adaptations to Gravity/Cardiovascular Adaptations to Gravity in the Giraffe, Life Sciences Division, NASA Ames Research Center (California), 1994, p.12.
  7. (en) Truman P. Young, Maureen L. Stanton, Caroline E. Christian (2003) « Effects of natural and simulated herbivory on spine lengths of Acacia drepanolobium in Kenya ». Oikos April 2003, 101 (1), 171–179. DOI:10.1034/j.1600-0706.2003.12067.x
  8. (en) Stapley L (1999) « Physical worker castes in colonies of an acacia-ant (Crematogaster nigriceps) correlated with an intra-colonial division of defensive behaviour ». Insectes sociaux 1999, vol. 46, n° 2, pp. 146-149.
  9. Jean-Louis Hartenberger; Grandeurs et décadences de la girafe; Belin; 2010; ISBN 978-2-7011-3354-6
  10. Laurent Herz, Dictionnaire des animaux et des civilisations : linguistique et symbolique, L'Harmattan, 2004, p. 115.
  11. Peigner la girafe, cf. commentaire 17
  12. La girafe n'existe pas

Voir aussi

Liens externes


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