Georges II de Grece

Georges II de Grece

Georges II de Grèce

Georges II de Grèce
Roi des Hellènes
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Règne
27 février 1922 - 19 décembre 1923 ;
3 novembre 1935 - mai 1944 ;
1er septembre 1946 - 1er avril 1947
Dynastie Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg
Prédécesseur Constantin Ier de Grèce
Successeur Paul Ier de Grèce

Autres fonctions
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Biographie
Naissance 20 juillet 1890
Hellenic Kingdom Flag 1935.svg Athènes (Grèce)
Père Constantin Ier de Grèce
Mère Sophie de Prusse
Consort(s) Élisabeth de Roumanie
Descendance Sans postérité
Signature George II of Greece Signature.svg

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Monarques de Grèce
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Georges II de Grèce (en grec moderne : Γεώργιος Β' [Geōrgios] Βασιλεύς των Ελλήνων [roi des Hellènes]) est né le 20 juillet 1890 au palais de Tatoï, et est décédé le 1er avril 1947 au palais royal d’Athènes. C’est un roi des Hellènes qui règne de 1922 à 1923 puis de 1935 à 1944 et enfin de 1946 à 1947.


Sommaire

Famille

Georges II est le fils aîné du roi Constantin Ier de Grèce (1868-1923) et de son épouse la princesse Sophie de Prusse (1870-1932), elle-même fille de l’empereur Frédéric III d’Allemagne (1831-1888) et de sa femme la princesse Victoria du Royaume-Uni (1840-1901).

Il a donc la particularité généalogique d'être à la fois l'arrière-petit-fils du roi Christian IX de Danemark (1818-1906), surnommé « le beau-père de l'Europe », et de la reine Victoria Ire du Royaume-Uni (1819-1901), surnommée la « grand-mère de l'Europe ».

Le 27 février 1921, Georges de Grèce épouse à Bucarest la princesse Élisabeth de Roumanie (1894-1956), elle-même fille du roi Ferdinand Ier de Roumanie (1865-1927) et de son épouse la reine Marie de Saxe-Cobourg-Gotha (1875-1938). De cette union, qui se termine par un divorce le 6 juillet 1935, ne naît aucun enfant.

Biographie

La famille royale hellène vers 1914. Au centre, on peut voir la reine Sophie et le roi Constantin Ier de Grèce avec, autour d'eux, les futurs rois Paul Ier, Alexandre Ier et Georges II de Grèce ainsi que les futures reines Hélène de Roumanie et Irène de Croatie.

Premières années

Le prince Georges reçoit très jeune une éducation militaire en Grèce puis part terminer sa formation dans l’armée prussienne, qu’il intègre à l’âge de dix-huit ans. Pendant les Guerres balkaniques, le prince sert son pays en combattant dans le premier régiment d’infanterie hellène. Lorsque son grand-père, le roi Georges Ier, est assassiné le 18 mars 1913 et que son père, le roi Constantin Ier, monte sur le trône hellène, le prince Georges reçoit les titres de diadoque de Grèce et de duc de Sparte, réservés à l’héritier du trône.

Fils d’une princesse prussienne et ancien soldat dans l’armée de son oncle le kaiser Guillaume II d’Allemagne, Georges de Grèce est considéré, pendant la Première Guerre mondiale, comme un prince germanophile. Lorsque son père est déposé en 1917 par les forces de la Triple Entente, le diadoque est donc écarté de la succession au trône au profit de son frère Alexandre Ier, et doit prendre le chemin de l’exil avec ses parents et plusieurs autres membres de la famille royale. Il s’installe alors en Suisse, à Saint-Moritz, où il vit jusqu’à la restauration de son père[1].

En 1920, le roi Alexandre Ier meurt d’une septicémie à la suite d’une morsure de singe. Peu de temps après, le Premier Ministre Eleftherios Venizelos, ennemi de Constantin Ier, est battu aux élections législatives et un référendum contesté rappelle le père de Georges sur le trône. À cette époque, la Grèce est en guerre avec la Turquie de Kemal Atatürk et le diadoque Georges sert comme colonel puis comme major général dans l’armée hellène. Après la défaite de la Sakarya en 1921 et la prise de Smyrne par les forces turques en 1922, les forces militaires hellènes forcent le roi Constantin à abdiquer et à repartir en exil[2].

Un monarque en difficulté

Georges II dans sa jeunesse.

Hasard du calendrier, Georges II monte sur le trône hellène un an jour pour jour après avoir épousé à Bucarest la princesse Élisabeth de Roumanie, le 27 février 1921. Mais il hérite d’un pays en proie à d’énormes difficultés, qui sort meurtri et humilié du conflit avec la Turquie. La famille royale est largement discréditée et plusieurs de ses membres sont inquiétés par le gouvernement. Le prince André de Grèce est même un temps rendu coupable des défaites hellènes et menacé d’être exécuté en conséquence[2].

À la suite du coup d’État royaliste manqué du général Ioannis Metaxas en octobre 1923, le Comité Révolutionnaire au pouvoir à Athènes demande au souverain de quitter la Grèce tandis que l’Assemblée nationale s’interroge sur la forme future du gouvernement. Georges II se soumet mais refuse d’abdiquer. Il quitte son pays le 19 décembre 1923[3] et gagne le Royaume de Roumanie, terre natale de son épouse.

Deuxième exil

Lorsque la Deuxième République hellène est proclamée le 25 mars 1924, Georges II est officiellement déposé et déchu de sa nationalité grecque tandis que ses biens sont confisqués par le gouvernement[4]. Exilé, le roi passe de plus en plus de temps en voyage au Royaume-Uni et à Florence, où sa mère s’est installée, tandis que sa femme reste à Bucarest. Sans enfant, le couple s’éloigne et finit par divorcer le 6 juillet 1936.

De la Restauration à la dictature de Metaxas

Entre 1924 et 1935, la Grèce connaît vingt-trois gouvernements, une dictature et treize coups d’État. Le général Georgios Kondylis, un ancien venizeliste, renverse le gouvernement en octobre 1935 et se proclame Premier Ministre. Il organise alors un referendum qui vise à la fois à légitimer son gouvernement et à renverser la République. Le 3 novembre 1935, plus de 95% des électeurs grecs auraient réclamé la restauration de la monarchie[5]. Cependant, la consultation populaire s'est déroulée dans des conditions plus que contestables : le vote n’est pas secret et la participation est obligatoire. Time magazine décrit ainsi l’événement : « Un électeur a le choix entre placer dans l’urne un bulletin bleu en faveur de Georges II et de plaire ainsi au général Georges Kondylis… ou d’y mettre un bulletin rouge pour la République et de risquer les problèmes[6] »

Georges II, qui vit alors au Brown's Hotel de Londres, retourne sur le sol hellène le 25 novembre. Presque immédiatement, il entre en désaccord avec Kondylis à propos de l’amnistie générale que le souverain souhaite déclarer et le roi nomme le professeur Konstantinos Demertzis comme Premier Ministre intérimaire. De nouvelles élections ont lieu en janvier. Les gains électoraux communistes empêchant de dégager une majorité de gouvernement, le Parlement est suspendu. Une série de décès inattendus au sein de la classe politique hellène (dont ceux de Kondylis et de Demertzis) ainsi qu’une situation politique incertaine, conduisent à l’arrivée au pouvoir du général monarchiste Ioannis Metaxas. Le 4 août, 1936, Georges favorise l’établissement de la dictature par Metaxas : c’est le Régime du 4 août[7]. Le parlement grec est dissout, les partis politiques interdits, la constitution abolie et la « Troisième Civilisation Hellénique » proclamée[8]. Avec Metaxas, le roi met donc en place un régime de type fasciste dans lequel les opposants politiques sont arrêtés et une stricte censure est imposée. Un index de livres interdits incluant les œuvres de Platon, de Thucydide et de Xénophon est également mis en place.[8]

Deuxième Guerre mondiale

L'occupation tripartite de la Grèce par les troupes de l'Axe entre 1941 et 1944.

Malgré les tendances fascistes de son régime et les liens économiques étroits qu’il entretient avec l’Allemagne nazie, Georges II est profondément pro-britannique au début de la Seconde Guerre mondiale[9]. Le 28 octobre 1940, Metaxas rejette l'ultimatum italien demandant à la Grèce d’accepter le stationnement de ses troupes sur le sol hellène. C’est le début de la Guerre italo-grecque. Face à l’Italie mussolinienne, la Grèce se défend avec succès et parvient même à occuper l’Épire du nord, la partie albanaise de cette région. Cependant, quand l’Allemagne envahit la Yougoslavie le 6 avril 1941, l’armée grecque et le corps expéditionnaire britannique sont dépassés et la Grèce continentale occupée[10]

Le 23 avril, le roi et le gouvernement abandonnent le continent pour la Crète mais, après l’attaque aérienne allemande sur l’île, ils sont évacués en Égypte. Au bout de quelques semaines, le souverain hellène quitte Alexandrie et retourne en exil en Grande-Bretagne, ce qui ne semble pas déplaire au roi Farouk Ier et à ses ministres pro-Italiens[11]. Cependant, en mars 1943, le roi transfère à nouveau son gouvernement en Égypte et s’installe au Caire.

Pendant toute la durée du conflit, Georges II reste, pour la communauté internationale, le seul chef d’État légitime de la Grèce et le fait que des troupes hellènes continuent à combattre aux côtés des Alliés au Moyen-Orient renforce sa légitimité. Sur la scène internationale, le souverain dispose particulièrement du soutien des Britanniques et de leur Premier Ministre, Winston Churchill. Ce dernier voit en effet en Georges II le symbole de la continuité constitutionnelle et nationale. Il considère en outre que les Alliés ont une dette morale envers la Grèce et son roi pour la lutte acharnée qu'ils ont menée contre les Allemands lors de l'hiver 1940-1941.

Cependant, dans la Grèce occupée, la gauche soutient le Front de libération nationale (EAM) et l’Armée populaire de libération nationale (ELAS). Libérés de l’oppression de Metaxas, les républicains entrent en grand nombre dans la Résistance et jouissent d’un important soutien populaire.

Cependant, à l’approche de la Libération, la perspective de retour du roi provoque des dissensions au sein des Grecs de l’intérieur comme de l’étranger. Bien que le roi ait officiellement renoncé à restaurer le régime de Metaxas lors d’une émission de radio, de nombreux Grecs refusent son retour du fait de son soutien passé à la dictature. Or, en novembre 1943, Georges II écrit au Premier Ministre en exil Emmanouil Tsouderos : « Je devrais examiner à nouveau la question de la date de mon retour en Grèce en accord avec le gouvernement ». Intentionnellement ou non, la note est publiée sans les mots « de la date », ce qui donne l’impression aux Grecs que leur roi est d’accord sur le principe d’un nouveau référendum concernant la monarchie[12].

Après deux changements de Premier Ministre en exil et l’établissement d’un gouvernement rival mené par les communistes dans la Grèce occupée, une mutinerie pro-EAM a lieu parmi les forces armées grecques du Moyen-Orient. Peu de temps après, en mai 1944, il est décidé, lors de la Conférence du Liban, que le sort de la monarchie serait décidé par un référendum national. Sous la pression des Alliés, Georges II nomme régent monseigneur Damaskinos, l’archevêque d’Athènes, en janvier 1945. Or, Damaskinos forme immédiatement un gouvernement à majorité républicaine. Malade, fatigué et sans pouvoir, Georges achète à bail une maison à Chester Square, à Belgravia, et s’y installe avec sa maîtresse anglaise[13].

De la restauration à la mort

Timbre grec à l'effigie du roi Georges II.
Article détaillé : Guerre civile grecque.

Lors des élections législatives grecques du 3 mars 1946, les royalistes obtiennent une nette majorité au parlement et un référendum sur la monarchie est programmé pour le 1er septembre. Entre-temps, les registres électoraux sont contrôlés sous la supervision des Alliés. Finalement, lorsque le referendum se produit, 90% des Grecs y participent et, parmi ceux-ci, 69% des votants expriment leur désir de voir revenir le roi[14]. Malgré tout, le résultat provoque le déclenchement de la guerre civile entre communistes et monarchistes.

Le 26 septembre, Georges II revient en Grèce. Il y retrouve le palais royal pillé, les bois de Tatoï dévastés et des milliers de morts. L’économie de son pays s’est effondrée et la situation politique est plus qu’instable[15].

Quelques mois après, le 31 mars 1947, le roi est retrouvé inconscient dans une pièce du palais royal d’Athènes et meurt le jour suivant d’artériosclérose. Lorsque la nouvelle est rendue officielle, certains croient d’abord à un poisson d'avril, avant de se rendre à l’évidence[16].

Georges II est enterré dans le cimetière royal du palais de Tatoï.

Divers

Faisant référence à ses nombreux exils, Georges II aurait déclaré un jour : « l’outil le plus important pour un roi de Grèce est sa valise[17]. »

En 1941, Georges II est décoré par le gouvernement britannique de l’Ordre du service distingué pour le courage qu’il a montré sous le feu de l’ennemi. Il est le premier et le seul souverain à avoir jamais reçu cette décoration. En 1942, le roi reçoit également l’ordre norvégien de la Croix de Guerre avec une Epée.

Bibliographie

  • (fr) Georges Contogeorgis, Histoire de la Grèce, Coll. Nations d'Europe, Hatier, 1992. (ISBN 2218038412)
  • (en) Michael of Greece, Arturo B. Eéche et Helen Hemis-Markesinis, The Royal Hellenic dynasty, Eurohistory.com, 2007. (ISBN 0977196151)
  • (en) John Van der Kiste, Kings of the Hellenes: The Greek Kings, 1863-1974, Sutton Publishing, 1994 (ISBN 0750921471).

Notes et références

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  1. John Van der Kiste, Kings of the Hellenes. The Greek kings, Alan Sutton Publishing, Stroud, 1994, p. 107.
  2. a  et b Celia Bertin, Marie Bonaparte, Perrin, Paris, 1982, p. 230.
  3. Celia Bertin, Op. cit., p. 238.
  4. John Van der Kiste, Op. cit., p. 144.
  5. John Van der Kiste, Op. cit., p. 153.
  6. « By the Grace of God » dans Time Magazine, 18 novembre 1935.
  7. John Van der Kiste, Op. cit., p. 154-156.
  8. a  et b Current Biography 1943, p. 225-229
  9. John Van der Kiste, Op. cit., p. 159-161.
  10. John Van der Kiste, Op. cit., p.161-162.
  11. John Van der Kiste, Op. cit., p. 164
  12. John Van der Kiste, Op. cit., p. 165-167.
  13. John Van der Kiste, Op. cit., p. 171.
  14. John Van der Kiste, Op. cit., p. 172.
  15. John Van der Kiste, Op. cit., p.173.
  16. John Van der Kiste, Op. cit., p.175.
  17. Anthony Beevor, Crete: The Battle and the Resistance, Govostis Publications, Athènes, 2004, p.104.


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(1922-1923 ; 1935-1944 et 1946-1947)
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