11e régiment parachutiste de choc

11e régiment parachutiste de choc
11e Choc
Insigne du 11° BPC.jpg

Période 1er septembre 1946 – 31 décembre 1993
Pays Drapeau de France France
Branche Armée de terre
Type régiment Parachutiste
Ancienne dénomination 11e BPC
11e DBPC
Surnom 11e Choc
Devise Qui ose gagne
Guerres Guerre d'Indochine
Guerre d'Algérie

Le 11e Choc est une unité parachutiste d'élite de l'armée de terre française ayant connu plusieurs appellations au cours de son histoire. C'était autrefois le bras armé du SDECE (service de documentation extérieure et de contre-espionnage), rôle repris par le service action de ce même organisme, devenu division action.

Sommaire

Création et différentes dénominations

150ppx

Historique des garnisons, campagnes et batailles

Le 11e bataillon parachutiste de choc

Le 11e Choc fut de 1946 à 1963 la branche militaire du "service action" du SDECE.

D'après le colonel Jean Sassi, le 11e Choc a inspiré la création des Bérets verts[1]. En effet, en septembre 1947, impressionné par les performances du 11e Choc lors d'un exercice en Autriche, le colonel américain Aaron Bank demanda à son retour aux États-Unis la création d'une unité similaire qu'il obtint avec la création de la Psychologic Warfare Center (Centre de guerre psychologique) de Fort Bragg, l'école des Bérets verts.

Les débuts

En 1944, est mis en place en Extrême-Orient un service de renseignement français disposant d’un service action dépendant pour emploi de la Force 136. Cette dernière est une unité britannique appartenant au Special Operations Executive (SOE), constituée par des combattants britanniques et non britanniques afin d’encadrer des maquis dans les territoires d’Asie occupés par les troupes japonaises et y mener des opérations de sabotage, subversives. À partir du mois de novembre 1944, commencent à être parachutées des équipes de commandos français, les « French’s Indochina Section’s » spécialement entraînés à cet effet, en Indochine et notamment au Laos. Les cadres de cette unité proviennent en partie du Bureau central de renseignements et d’action (BCRA), services spéciaux de la France libre en Angleterre, dont les membres ont mené des actions en France avec la Résistance. En 1946, la guerre d’Indochine n’ayant pas encore atteint son paroxysme, « les opérations de police » sont menées par des unités coloniales et les renforts en hommes et en encadrement sont suffisamment pourvus en volontaires. Les commandos et les parachutistes métropolitains sont parqués dans leurs garnisons du Sud-ouest et ces durs qui ont frôlés cent fois la mort forment une espèce de club fermé qui ne peut plus qu’évoquer ses campagnes et échanger les souvenirs. Les autorités militaires en réunissent une partie à Mont-Louis, dans une citadelle à moitié délabrée. On leur donne un chef, un homme d’action, le chef de bataillon Mautaint qui va en faire une unité d’élite. Cette unité n’a pas encore d’appellation, mais on a pris l’habitude du numéro de téléphone, le 11 à Mont-Louis. Ce sera donc le Bataillon de Choc numéro 11. Le 11e bataillon parachutiste de choc est alors constitué le 1er septembre 1946 à Mont-Louis. Le 10 juin 1949, son PC est implanté à Perpignan[2]

Ce bataillon se place dès ses débuts hors des normes communes. La guerre d’Indochine prend de l’ampleur. Les services de renseignement français ont besoin de personnel capable d’effectuer des missions spéciales et souhaite puiser dans ce réservoir de combattants d’élite pour étoffer son Service Action. Ainsi dès le printemps 1947, les commandos du 11 sont formés par Mautaint, d'après les instructions du Commandant Jacques Morlane dit « Fille-Lambie »[3], dans les centres d’instruction spéciale de Persan-Beaumont et de Cercottes où l'on forme des combattants dans l’absolue règle du secret. Avant de rejoindre Mont-Louis, Mautaint rédige de nombreuses notes sur l'enseignement reçu au SOE (Special Operations Executive, le service secret britannique) afin de préparer celui des futurs agents du service action[4].

Morlane demande ensuite à Paul Aussaresses, qui arrive au service action en juillet 1947[4], tandis que les effectifs augmentent[4], de remplacer Mautaint[4], avec pour mission, selon les mots d'Aussaresses, de

« mener ce qu'on appelait alors la « guerre psychologique », partout où c'était nécessaire, et notamment en Indochine (…) Je préparais mes hommes à des opérations clandestines, aéroportées ou non, qui pouvaient être le plasticage de bâtiments, des actions de sabotage ou l'élimination d'ennemis… Un peu dans l'esprit de ce qu'avais appris en Angleterre. » [5].

A son retour d'Indochine, en 1952, Aussaresses fut chargé par Morlanne d'éliminer ceux qui soutenaient la rébellion algérienne. Dans son livre Pour la France : Services spéciaux 1942-1954, il raconte que « Morlane était persuadé qu'une invasion soviétique était imminente et il s'était occupé de créer des dépôts d'armes secrets sur le territoire pour que, le moment venu, une résistance puisse s'organiser. » [6]

Des éléments du 11e BPC sont détachés à partir de 1952 en Indochine; le 11e choc n'est pas impliqué dans le conflit comme unité constituée, mais ses éléments encadrent le groupement de commandos mixtes aéroportés (GCMA), dépendant du SDECE.

L'Algérie

Dans l'Algérois, le Bataillon de choc n°11 participe au maintien de l'ordre et à la pacification depuis décembre 1954. Un EM opérationnel commandé par le Chef d'Escadron Decorse et comprenant une centaine de commandement et deux de combat a fait mouvement sur l'Afrique du Nord le 12 décembre et s'est implanté en Kabylie dans la région de Dra El Mizan-Tizi Reniff[7]. En février 1955, un 2e détachement composé de deux autres centaines vient renforcer le bataillon de marche et s'installe au Camp du Maréchal et à Haussonvillers. Le 11e BPC quitte le territoire de la 10e Région Militaire le 27 août. Son bilan se monte alors à 19 Hors La Loi tués, 15 prisonniers et 31 armes récupérées.

Peu de temps après, le 11 retourne en Métropole. En novembre 1955, le Groupement léger d'intervention commandé par le Capitaine Krotoff fait mouvement sur l'Algérie. La 11e Demi-brigade Parachutiste de Choc, composée alors du 11e BPC de Perpignan et du 12e BPC de Calvi, met finalement sur pied un Groupement de marche à quatre centaines de combat qui intègre le GLI. Aux ordres du lieutenant-colonel Decorse, le GM s'implante en Kabylie dans la région des Béni Douala. Le 9 mars 1956, le Cne Krotoff tué au combat est remplacé par le Cne Erouart. Après quatre mois d'opérations dans ce secteur, le groupement quitte le 27e DIA fin août pour préparer l'opération projetée au Moyen-Orient. Car déjà commencent à être évoquées des opérations contre l'Égypte qui soutient la rébellion algérienne.

Le Canal de Suez : Opération Mousquetaire[8]

La rumeur publique avait attribué à la centaine du 11e Choc engagée dans l'opération Mousquetaire le noir dessein d'aller se poser au Caire avec deux avions Hurel Dubois afin de s'emparer de documents relatifs à l'aide apportée par l'Égypte au FLN. Malgré son fort prestige, elle reçoit la mission plus prosaïque de s'assurer de l'intégrité de l'Usine des Eaux.

Sur ordre du colonel Chateau-Jobert, les éléments parachutistes du 11 sont largués au sud, dans un rectangle de 800 mètres sur 300 encadré par la lagune et l'Usine des Eaux, à 150 mètres de haut. Le colonel Henri Le Mire écrira à ce sujet :

" Si les 30 parachutistes sautent par les deux portes en quatorze secondes, ils auront quelque chance d'arriver sur la DZ. Ils disposeront de vingt secondes pour vérifier la coupole, dégrafer et laisser filer le sac ou la gaine de jambe, éviter les copains et puis s'il reste un peu de temps, essayer de faire une traction pour éviter un obstacle[9].".

Dès la sortie des avions, les parachutistes du colonel Chateau-Jobert sont pris à partie par des tirs de mitrailleuses. Cependant, le largage s'effectue parfaitement et malgré l'exiguité de la zone, aucun homme n'atterrit dans l'eau. Arrivé sur objectif, la Centaine du Choc du lieutenant Moutin entame le nettoyage de l'usine.

L'opération a couté aux Français 11 tués et 44 blessés. Mais le bilan matériel est considérable. Le 2e RPC à lui seul, pour 11 tués et 41 blessés dans ses rangs, éléments du 11e Choc compris, a infligé de lourdes pertes aux Égyptiens : 203 tués, 158 prisonniers, 531 armes capturées dont 47 canons, mitrailleuses et mortiers.

Le 19 novembre, il est décidé de ne conserver en Égypte que certains éléments de la 10e DP avec notamment le 1e REP, le 2e RPC et la 5e Centaine de la 11e DBPC. L'ensemble du groupement opérationnel devant être coiffé par le commandant de la 10e DP, les deux centaines du 11e Choc participent avec le 4e RIC à la relève des opérationnels.

La 11e Demi-Brigade Parachutiste de Choc

Création, évolution et organisation

Le 1er octobre 1955 fut créée la 11e demi-brigade parachutiste de choc comprenant un État-Major (EM), des Centres de perfectionnement, le 12e BPC stationné à Calvi et Corte, constitué dans le but d'augmenter ses effectifs, un Centre d'Entraînement Spécialisé (CES) stationné également en Corse et le 11e BPC en Roussillon.

Le 23 octobre 1955, le 12e BPC est regroupé à Calvi avec les Nageurs de Combat et le CES. Quelques mois plus tard, le Groupement de Marche de la 11e DBPC (GM 11.DBPC) commandé par le Lieutenant-Colonel Decorse est mis sur pied. Le 1er mai, une unité du GM absorbe les éléments du GLI. À partir de cette date et ce jusqu'au 28 août, des opérations sont effectuées en Kabylie dans le cadre de la 27e DIA. En septembre, Tipasa devient la nouvelle base du GM 11.DBPC.

Le 21 octobre 1956, le Groupement opérationnel du Moyen-Orient dont font dorénavant parties les 1e, 5e et 6e centaines, est créé. Le Lt-Cl Decorse prend son commandement. La 5ecentaine saute à Port Saïd avec le 2e RPC deux semaines plus tard.

En mars 1957, le GM change encore une fois de garnison : ce sera dorénavant Orléansville. Un mois plus tard, le 12e BPC est dissous pour se reformer le lendemain le 1e mai 1957 sous la dénomination de 1er BPC. Pendant le séjour de la 11e DBPC en Algérie, on décide de créer une section spéciale et un détachement spécialisé. Le 1erjuillet 1957 est alors crée la Section A/CCI (service action) commandé par le Capitaine Texier et un détachement spécialisé appelé DS.111. Après le transfert du CI n°2 en Corse en avril 1958, le 1erBPC participe aux "évènements de mai" en Corse.

Après pléthore d'opérations en Algérie, la 11e DBPC est réorganisée par ordre du 1er janvier 1959. A cette occasion, les 1er et 11e BPC sont refondus et le CERP y est rattaché. Le 15 mars, le CI n°1 est transféré à Calvi. Le 1er mai 1960, tous les éléments de la 11e DBPC sont regroupés en Algérie sous l'autorité du Commandant du Groupement de Marche. Le CI n°5 (Nageurs de Combat) est transféré à Aspretto le 26 octobre. Le 30 juillet 1962, le Groupement de Marche est rapatrié sur la Métropole.

Le 11e choc ne participe pas au Putsch des Généraux, mais certains de ses cadres sympathisent avec les putschistes.

La demi brigade est dissoute le 30 décembre 1963.

  • L'insigne du 11e passe au 11e RPC,
  • L'insigne du 12e passe au CIRVP,
  • L'insigne du 1er passe au CNEC de Mont-Louis.

En mai 1958, les formations spécialisées des TAP sont représentées par la Section de Saut en Vol de la Préparation militaire, qui dispose àParis d'un organisme central d'entraînement au saut et de 25 officiers et 50 sous-officiers chargés dans les Régions militaires de l'instruction des jeunes prémilitaires, et par des unités relevant directement de la Présidence du Conseil par l'intermédiaire du SDECE. Il s'agit du Centre d'instruction des Réserves volontaires parachutistes de Cercottes (qui s'appelait le CERP jusqu'en 1963) encadré par des éléments de la 11e DBPC et de la Demi-Brigade de Choc. Certains de ces éléments opérant en Algérie se sont faits remarquer dans les opérations de la Force K dans l'Ouarsenis en mars, et vers Djelfa avec les Bellounistes, combattants du MNA ralliés à la cause française contre le FLN en mai 1957.

Le 11e régiment parachutiste de choc

En 1985, le nouveau directeur général de la DGSE, le général René Imbot, annonce la re-création de l'unité sous l'appellation de 11e régiment parachutiste de choc (11e RPC). Le 11e RPC prend part à l'assaut de la grotte d'Ouvéa en 1988.

En 1993, après la guerre du Golfe et ses enseignements, une profonde réorganisation dans l'univers du renseignement et des opérations spéciales amène à la dissolution administrative du 11e RPC. Il sera dissout le 31 décembre 1993.

On retrouvera un certain nombre de photos relatives au 11e Bataillon de Choc Aéroporté ainsi que des photos et documents sur le Colonel Jean Sassi, ancien chef du 2e Commando, sur le blog suivant (http://philippe-raggi.blogspot.com/).

Traditions

Devise

Qui ose gagne, devise reprise des unités SAS Who dares wins

Insigne

L'unité est célèbre pour son insigne, la panthère Bagheera dessinée par le lieutenant Dupas.

Insigne de grade (Avant 1958)
  • Militaires du rang : galons cul de dés en laine ou fibranne de couleur jonquille,
  • Sous-officiers subalternes : galons lézardé argent,
  • Adjudant : galons tissé en trait côtelé or
  • Adjudant-chef et officiers : galons tissé en trait côtelé argent
  • Titre d’épaule « Bataillon de Choc » en encadrement blanc sur fond en drap bleu roi.

Drapeau[10]

L'unité reçoit son drapeau alors qu'elle n'est encore qu'un bataillon. C'est celui du 11e régiment d'infanterie dissous en 1940.

La 11e DBPC reçoit le drapeau du 1er Régiment de Choc.

Le 11e RPC. reçoit son drapeau le 7 février 1986, en présence des plus hautes autorités militaires. Après la dissolution du régiment le 30 juin 1993, le CPIS de Perpignan garde le drapeau du 11e RPC et les traditions du 11e Choc.

Bérets

Avant 1958

Béret de couleur bleu roi avec insigne des troupes aéroportées métropolitaines. Cerclé d’argent à un demi vol armé du même brochant des extrémités. Épaulettes en drap bleu roi écusson et pattes de collet en drap bleu roi avec soutaches blanches et numéro du corps blanc (pour les militaire du rang) ou argent pour les cadres.

Après 1958

Béret rouge commun à tous les parachutistes de l'Armée Française excepté ceux de la Légion étrangère.

Décorations

Chant

Les Commandos, chant écrit par des parachutistes du 11e Choc lors des manœuvres dans le Tyrol[11].

Chefs de corps[12]

11e bataillon parachutiste de choc

  • 1946-1947 : capitaine Mautaint
  • 1947-1947 : capitaine Rivière
  • 1947-1948 : capitaine Aussaresses
  • 1948-1953 : chef de bataillon Godard
  • 1953-1955 : chef d'escadrons Decorse
  • 1955-1957 : capitaine Bauer
  • 1958-1960 : capitaine Erouart
  • 1960-1961 : chef de bataillon Crousillac
  • 1961-1962 : chef de bataillon Mouton
  • 1962-1963 : chef de bataillon Dabezies
  • 1963-1963 : chef de bataillon Barthes

1er bataillon parachutiste de choc

  • 1958-1960 : capitaine Faury
  • 1960-1961 : commandant Bichelot
  • 1962-1963 : chef de bataillon Camus
  • 1963-1963 : capitaine Gout

12e bataillon parachutiste de choc

  • 1955-1958 : capitaine Mantei
11e demi-brigade parachutiste de choc
  • 1955-1961 : colonel Decorse
  • 1961-1963 : lieutenant-colonel Merglen

Groupement de Marche

  • 1956-1957 : lieutenant-colonel Decorse
  • 1957-1958 : capitaine Rocolle
  • 1958-1958 : capitaine Baven
  • 1958-1959 : chef de bataillon Mantei
  • 1959-1960 : chef de bataillon Crousillac
  • 1960-1961 : chef de bataillon Erouart
  • 1961-1962 : chef de bataillon Mantei
  • 1962-1962 : chef de bataillon Prevot

11e régiment parachutiste de choc

Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment

  • Juillet 1961[13] : élimination du chef de la wilaya 4 et de son équipe à Blida. Récupération de 80 millions de francs, 2 postes radio et de documents importants. Décès du lieutenant Blazy.

Personnalités ayant servi au sein du régiment

Voir aussi

Amicales

1er Choc, 11e Choc, 11e DBPC, 11e RPC "Bagheera"
15, rue Charles Despiau
66 000 PERPIGNAN

"Panther Choc" Amicale des Anciens du 11° Choc et de la 11° demi-brigade de choc
43, rue Biesse
38 160 SAINT MARCELLIN

Articles connexes

Liens externes

Sources et bibliographie

  • Erwan Bergot, 11e Choc - Bataillon Action, Presses de la cité, 1986, (ISBN 978-2-7242-3720-7).
  • Éric Huitric, Le 11e Choc, Jacques Grancher éditeur, 1985.
  • Collectif, Histoire des parachutistes français, Société de Production Littéraire, 1975.

Références

  1. Colonel Jean Sassi, en collaboration avec Jean-Louis Tremblais, Opérations spéciales : 20 ans de guerres secrètes, Editions Nimrod, 2009, (ISBN 978-2-915243-17-8), p. 169-170.
  2. Henri Le Mire, Les Paras Français : La Guerre d'Algérie, Éditions Princesse, 1977, p.29
  3. Ministère de la défense, Service historique de la défense, Département de l'innovation technologique et des entrées extraordinaires, Bureau des témoignages oraux, Histoire orale. Inventaire analytique de la sous-série 3K, tome III, par Sébastien Laurent, Hervé Lemoine, Marilyne Morais, Stéphane Simmonet, Guillaume Zeller. Château de Vincennes, 2005. p.137
  4. a, b, c et d Ministère de la défense, Service historique de la défense, op.cit., p.210
  5. Entretien avec Marie-Monique Robin cité in Marie-Monique Robin, Escadrons de la mort, l'école française [détail des éditions], 2008, chap. IV, p.49
  6. Paul Aussaresses, Pour la France : Services spéciaux 1942-1954, Editions du Rocher, 2001, p.257, cité in Marie-Monique Robin, Escadrons de la mort, l'école française [détail des éditions] chap. VI, p.76
  7. Henri Le Mire, Les Paras Français : La Guerre d'Algérie, Éditions Princesse, 1977, p.20
  8. Henri Le Mire, Les Paras Français, La Guerre d'Algérie : Intervention à Suez
  9. Henri Le Mire, Les Paras Français, La Guerre d'Algérie : La préparation de Mousquetaire, page 40
  10. In 11e Choc - Bataillon Action page 52
  11. Chants des armées françaises - Chants des parachutistes 1938-2003 Volume 1 - France Productions - Réf. 51010 - Pour avoir les paroles : Chant "Les Commandos"
  12. In 11e Choc - Bataillon Action page 307
  13. JM Patocco s/lieutenant au 1er commando du GM participant à l'opération

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