François de Paule

François de Paule
Saint François de Paule
Image illustrative de l'article François de Paule
François de Paule
Naissance 27 mars 1416
Paule
Décès 2 avril 1507  (à 91 ans)
Plessis-lez-Tours
Nationalité Italienne, puis Française
Canonisation 1519
par Léon X
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 2 avril
Saint patron saint patron de la Calabre
Serviteur de Dieu • Vénérable • Bienheureux • Saint

Saint François de Paule, né le 27 mars 1416 à Paule, en Calabre (Italie) et décédé le 2 avril 1507 au couvent de Plessis-lez-Tours, était un religieux ermite italien, fondateur de l'ordre des Minimes. Liturgiquement il est commémoré le 2 avril.

Sommaire

Sa famille

François de Paule est le fils de Giacomo Martolilla de Salicon (1370-1465)[1] et de Vienne de Fuscaldo[2], née à L’Appunto di Fuscaldo, un couple de propriétaires terriens, catholiques très croyants. Ils se sont mariés en 1401 et n'ont pas d'enfant pendant 15 ans. Déjà d'un âge avancé, ils font des prières à saint François d'Assise. Né, l'aîné le futur saint se prénomme donc Francesco. Selon un site catholique : ... tandis que Vienne de Fuscaldo, femme de Jacques Martotille[3], est en train d’accoucher, des gens aperçoivent sa maison environnée de flammes, comme une auréole de feu, et ils entendent des musiques surnaturelles. Les oracles prédisent que ce nouveau-né étonnerait la chrétienté.

François de Paule a une sœur, Brigitte Martolilla, qui se marie avec Antoine d'Alesso[4].

Ils ont plusieurs enfants, dont :

  • Andrea d'Alesso, qui vient en France avec son oncle, le futur Saint François de Paule. Il est Contrôleur au grenier à sel de Lagny-sur-Marne, seigneur de Leseau et Lyons en Beauce, maître de la fourrerie du roi, valet du Roi Louis XI, échanson en son hôtel. Son contrat de mariage est fait chez Dionet et Charron, notaires au Châtelet, le 21 juin 1501. Il rédige son testament le 19 juillet 1530 et demande que sa sépulture soit en l'église des Bonshommes, près de Tours. Il est le père de Jean d’Alesso.
  • Nicolas et Pierre d'Alesso, Minimes dans un monastère en France. François de Paule ressuscite, parait-il, sept morts dont un autre de ses neveux, ce Nicolas d'Alesso.
  • Angèle et Paul, qui sont restés en Calabre.

Biographie

Saint François de Paule

Un enfant malade et religieux

Enfant, Francesco contracte une forme grave d’infection à un œil. Toute sa famille prie saint François d’Assise et lui promet, en cas de guérison, que l’enfant serait placé pour un an dans un couvent franciscain. Il guérit très vite.

En fait, dès son plus jeune âge, Francesco a une vie spirituelle déjà très marquée. C’est un adolescent humble, docile et obéissant. À l’âge de treize ans, il respecte la promesse faite par ses parents et se retrouve au couvent franciscain de San Marco Argentano (province de Cosenza), où il reste un an, comme promis par ses parents.

Dès son entrée, il se signale par un penchant mystique qui l’accompagnera toute sa vie. Cela n’empêche pas le jeune Francesco d’accomplir au couvent franciscain toutes les tâches de la vie quotidienne: nettoyage, la cuisine, le service de la cantine...

Pèlerin, ermite, supérieur général...

Saint François de Paule,  (Jean Bourdichon, 1507])

En 1430, à l'âge de 14 ans, il fait avec sa famille, un long pèlerinage à Assise, mais aussi à Loreto, Rome, l'abbaye du Mont-Cassin, et au Mont Luco. Le faste de la « ville éternelle » lui déplaît. Il fait remarquer à un cardinal que Jésus n'avait pas eu habits aussi somptueux que lui.

Rentré à Paule, il commence à vivre en ermite, dans un endroit inaccessible, le Patrimoine, propriété de sa riche famille. Sa vie dans le dénuement émerveille les habitants de sa ville natale. En 1435, il est rejoint par d'autres fidèles, attirés par sa renommée de sainteté, qui s'associent à ce mode de vie. Ils le reconnaissent comme leur guide spirituel.

Avec ses douze premiers compagnons, Francesco construit une chapelle et trois dortoirs. Il crée avec eux un ordre religieux, qu'il nomme « les Minimes », c'est-à-dire les tout petits. Ils font vœu d'humilité, se livrent surtout à l'exercice de la charité. On les appelle « les ermites de saint François d'Assise ». Jamais fondateur d'ordre n'a commencé à l'être à cet âge : François de Paule n'a que dix-neuf ans[5].

Aux premières adhésions s'en ajoutent beaucoup d'autres. Elles sont si nombreuses que le 31 août 1452 le nouvel archevêque de Cosenza, Phyrrus Caracciolo, accorde son approbation pour fonder un oratoire, un monastère et une église. L'édification du monastère est l'occasion pour les nobles de sa ville de lui manifester leur estime profonde. Ils travaillent de leurs mains pour en hâter la construction.

La reconnaissance pontificale

Statue de saint François de Paule à Bormes-les-Mimosas

La réputation de sainteté de Francesco se répand rapidement, au point qu'en 1467 le pape Paul II envoie à Paule son émissaire, monseigneur Baldassarre De Gutrossis, pour avoir des nouvelles de l'ermite calabrais. Rentré à Rome, l'envoyé pontifical présente un rapport sur la vie de prière et d'austérité qui règne dans ce monastère. Le 4 juillet 1467, quatre cardinaux signent la lettre qui accorde l'indulgence à ceux qui ont contribué à la construction de l'église du monastère de Paule, ainsi qu'à ceux qui l'ont visitée.

En 1470, commence le processus canonique pour l'approbation du nouvel ordre d'ermites. La cause du paolano est défendue par Mgr Baldassarre da Spigno. Le 17 mai 1474, le pape Sixte IV reconnaît le nouvel ordre officiellement avec la dénomination : « Congregazione eremitica paolana di San Francesco d'Assisi ». La reconnaissance de la règle d'extrême austérité vient avec le pape Alexandre VI, en concomitance avec le changement du nom en celui encore actuel, d'« Ordre des Minimes ».

François, homme de grande taille, ne se tient pas droit, sous le poids des mortifications. Il ne change pas de vêtements et porte une robe de bure, comme ses parents avant-lui. Le futur saint ne se rase pas. Il erre sur les chemins rocailleux de Calabre et de Sicile, sans chaussures et couche à même le sol. L'ermite ne mange qu'une fois par jour, après le coucher du soleil, de l'herbe et des racines[6]. Il passe de nombreux carêmes entiers sans manger. Son corps, très odoriférant, sent l'ambre gris ou le musc, selon ses fidèles.

Les nouveaux monastères

Avec cette approbation, les ermitages, sur le modèle de celui de Paule, deviennent nombreux en Calabre et en Sicile. L'Annonciade à Paterno Calabro, en 1472, Spezzano della Sila, en 1474, la Très-Sainte-Trinité à Corigliano Calabro, en 1476, Jésus et Marie à Cortone, et Milazzo, en 1480, sont les plus actifs.

Francesco devient, donc, un point de référence essentiel pour les catholiques et pour les pauvres de sa terre natale. À lui, ils s'adressent pour des conseils de caractère spirituel, mais aussi pour des conseils sur leur vie matérielle.

Le Royaume de Naples est à cette époque une sorte de protectorat des Aragonais qui avaient instauré un régime colonial au détriment de la population. C'est dans ce contexte historique que François de Paule s'est donné la mission de diffuser la foi chrétienne.

Les miracles

Le miracle de Saint François de Paule (Bartolomé Esteban Murillo)

Les phénomènes surnaturels attribués à Francesco ne manquent pas.

Enfant, il déposait avec ses doigts des charbons ardents dans l'encensoir sans se brûler. Par la suite, il fait la prophétie que la ville d'Otrante va tomber aux mains des Turcs en 1480, puis être reconquise par le roi de Naples. Puis François de Paule ressuscite, dit-on, sept morts.

On lui attribue aussi :

  • la guérison d'un garçon atteint d'une plaie incurable à un bras, guérie avec des herbes communes banales,
  • des aveugles qui voient, des lépreux et des malades mentaux guéris,
  • la délivrance de la peste du village de Bormes (Var) en 1481[7],
  • il délivra aussi Fréjus de la peste en 1482, les habitants y célèbrent une bravade en son honneur chaque année depuis lors
  • le jaillissement miraculeux d'une source du Cucchiarella, qu'il fait jaillir en frappant avec un bâton une roche, près du couvent de Paule,
  • les « pierres du miracle » qui restent en équilibre instable au lieu de tomber sur le couvent
  • la traversée du détroit de Messine sur son manteau étendu, après que le patron de barque Maso lui a refusé de le faire passer avec quelques disciples gratuitement[8]. Ce miracle va faire de lui le patron des marins italiens.

À la cour de Louis XI

À partir de 1481, Francesco vit à la cour de Ferdinand Ier de Naples. Mais comme celui qu'on surnomme désormais « le saint homme » a la réputation d'opérer des guérisons miraculeuses, il ne va pas pouvoir regagner Paule. Les marchands napolitains parlent de ses miracles à Louis XI de France, dangereusement malade et dont les jours sont comptés. Le roi, qui auparavant croyait prolonger ses jours en s'entourant de reliques, espère être guéri par ses prières. Le souverain écrit au Pape Sixte IV, qui envoie deux brefs à François[9] pour lui ordonner d'aller en France. Il obéit à ce commandement.

Le Pape et le roi de Naples veulent renforcer les rapports fragiles avec la grande puissante de l'époque, la France. Leur but est de trouver un accord pour abolir la Pragmatique Sanction de Bourges de 1438. Ils doivent convaincre Francesco de laisser sa terre natale et d'abandonner son style de vie austère pour la cour de France.

Au cours de son voyage, le petit navire qui le conduit d'Ostie à Marseille est attaqué par des pirates, et essuie une tempête. Arrivé très miraculeusement à Marseille, notre ermite ne peut débarquer, car la Provence est ravagée par la peste. Refoulé aussi à Toulon, il réussit à débarquer à Bormes. Il y soigne les malades par l'apposition des mains[7]. Il fait de nouveaux adeptes, ainsi qu'à Fréjus, où il crée le couvent Notre-Dame-de-la-Pitié.

Accueilli partout avec de grandes marques de respect et de dévotion, François traverse le Dauphiné, Lyon et le Bourbonnais, et arrive au château de Plessis-lez-Tours le 24 avril 1482. Le Roi se jette à ses pieds et implore ses bénédictions[10]. Il le flatte, il le supplie et fait construire deux couvents pour son ordre...[11].

Mais le pieux ermite ne peut que préparer le roi, comme son médecin payé 10 000 écus par mois, à se résigner et à mourir chrétiennement. Louis XI décède le 30 août 1483, à l'âge de 60 ans.

Du temps de Charles VIII et Louis XII

Tombeau de Louis XII et d'Anne de Bretagne à la Basilique de Saint-Denis. Saint François de Paule est en partie à l'origine de cette union.

Après la mort de Louis XI, François de Paule va rester un quart de siècle à la cour de France, où il est protégé par Charles VIII et Louis XII. Affectueusement surnommé le bonhomme par le peuple, qui le vénère, mais aussi par la cour, par dédain[12], ce simple frère-laïc bénit inlassablement cierges et chapelets. Pourtant il gouverne à merveille la vie spirituelle des prêtres, évêques et rois. Il sait se faire apprécier des plus humbles, comme des savants de la Sorbonne. Il a son logement au château de Plessis-lez-Tours. Bossuet nous dit que : Cependant l'incomparable François de Paule est solitaire jusque dans la Cour... François ne trouve rien qui soit digne de lui que le ciel.[13]. Et Bossuet ajoute : François de Paule, Ô l'ardent amoureux ! Il est blessé, il est transporté, on ne peut le tirer de sa chère cellule, parce qu'il y embrasse son Dieu en paix et en solitude.

Beaucoup de franciscains religieux, bénédictins et ermites, fascinés par son style de vie, se joignent à lui en France, comme par le passé en Italie et contribue ainsi à l'universalisation de son ordre. François de Paule établit en France quelques maisons de son ordre. En 1489, Charles VIII fait bâtir les couvents de Tours et d'Amboise qu’il dote de précieux privilèges.

Lors de la Guerre franco-bretonne (1489-1491), François de Paule plaide pour un mariage entre Anne de Bretagne et Charles VIII, qui établirait la paix. La reine Anne de Bretagne fonde le couvent royal de Notre-Dame-de-Toutes-les-Grâces, à Chaillot et un monastère à Gien.

François de Paule meurt dans le monastère qu’il avait fondé au Plessis-lez-Tours, le Vendredi saint de l'an 1507. Coïncidence ou récompense divine pour un saint qui avait commencé sa retraite à 12 ans[14] ?

Après sa mort

Église San Francesco di Paola à Castelleone di Suasa

François de Paule est encore à l'origine d'un miracle après sa mort. Son corps, selon ses proches, resté sans sépulture durant onze jours, demeure sans corruption, et rend même une odeur agréable.

En 1507, on ne compte pas moins de 13 couvents dans le royaume de France, puis 38 en 1600 et plus de 150 à la fin du XVIIe siècle. L'Ordre, après s'être installé en Italie et en France arrive en Espagne, après les succès remportés par Ferdinand V sur les Maures. Dans le Saint Empire, l'empereur Maximilien les accueille avec dévotion.

Les Minimes respectent une partie de ses règles de vie. Pendant des siècles, ils portent une robe de drap grossier de couleur noire qui descend jusqu'aux talons, une ceinture de laine nouée de cinq nœuds ; ils ne peuvent quitter cet habit ni le jour, ni la nuit. Il leur est interdit de porter des chaussures fermées, sauf en voyage, sabots de bois ou sandales rappelant aux moines qu'ils sont parmi les plus pauvres. En voyage, ils vont à pied ou sur le dos d'un âne ou, seulement lorsqu'ils ne trouvent pas d'âne, sur un mulet ou un cheval.

Jules II, en 1512, permet l’ouverture d’un procès apostolique en vue de la canonisation de François de Paule. Léon X qui, par le bref Illius, daté du 7 juillet 1513, avait autorisé son culte privé, le canonise, le 12 mai 1519, par la bulle Excelsus Dominus, la première canonisation de son pontificat, qui loue en saint François de Paule la force confondue par la faiblesse, la science qui enfle cédant à la simplicité qui édifie[15].

Pendant la révolution religieuse du XVIe siècle, sa dépouille mortelle est brûlée par des réformés.

La famille de François de Paule est éteinte. Mais après la mort du dernier des d'Alesso, les La Saussaye et les d'Ormesson ont tenu à l'honneur de mettre au nombre de leurs prénoms celui du célèbre consolateur des derniers jours de Louis XI[16]. Le 2 avril 1745, à Paris, dans l’église des Minimes, Massillon prononça le panégyrique de saint François de Paule devant le chancelier d’Aguesseau et sa femme, Jeanne d’Ormesson, qui descendait de la sœur du saint, Brigitte d’Alesso[17].

Notes et références de l'article

  1. Le site officiel de l'Ordre des Minimes l'appelle Martolilla,ce qui veut dire, propriétaire terrien. L'appellation française est "Martotille" ou Martorel, (Godescart, cité par Héraldique et Généalogie).
  2. Des seigneurs de Chastel-Fourgatel, B.N. Mss D.B. N° 11
  3. Giacomo Martolilla de Salicon
  4. Selon Le Toscan, mais cela reste à vérifier, les d'Alesso sont originaire de la province de Cosenza et de condition nobiliaire. Héraldique et Généalogie précise aussi que le beau-frère du futur saint est son cousin issu de germains.
  5. Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou ... Par Jean-Baptiste-René Robinet, Réd Robinet, p. 163
  6. Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, avec les ..., Par Hoefer (Jean Chrétien Ferdinand), p. 479
  7. a et b La chapelle qui lui est dédiée à Bormes-les-Mimosas contient un long descriptif de cet épisode.
  8. la traversée du détroit de Messine sur le site La tribune de l'art
  9. Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou ... Par Jean-Baptiste-René Robinet, Réd Robinet, p. 161
  10. La scène a été peinte par Nicolas Gosse : son « Louis XI au pied de saint François de Paule » se trouve au musée du Louvre à Paris.
  11. Dictionnaire historique et critique de Pierre Bayle, Par Pierre Bayle, Pierre Desmaizeaux, Eusèbe Renaudot, Anthelme de Tricaud, p. 414
  12. Bossuet écrit qu'il les regarde avec mépris
  13. Oeuvres complètes de Bossuet, Par Jacques Bénigne Bossuet, p. 450.
  14. Oeuvres complètes de Bossuet, Par Jacques Bénigne Bossuet, p. 45.
  15. Saint François de Paule
  16. Héraldique et Généalogie, 92.II.384.
  17. Saint François de Paule

Bibliographie

CHAPPOT (Jean). Vie et miracles du bienheureux S. François de Paule, Fondateur de l'ordre des Minimes, dict de Iesus Maria. Nancy, S. Philippe et C. Loys, 1621.

VICTON (François). Vie admirable du glorieux père et thaumaturge S. François de Paule, instituteur de l’ordre des minimes, dict de Jésus-Maria, consacrée aux victoires du roy Louis Le Juste. Paris, S. Cramoisy, 1623. Cet article comprend des extraits du Dictionnaire Bouillet. Il est possible de supprimer cette indication, si le texte reflète le savoir actuel sur ce thème, si les sources sont citées, s'il satisfait aux exigences linguistiques actuelles et s'il ne contient pas de propos qui vont à l'encontre des règles de neutralité de Wikipédia.

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