Fouday

Fouday

48° 25′ 18″ N 7° 11′ 12″ E / 48.42166667, 7.18666667

Fouday
Panorama de la ville de Fouday
Panorama de la ville de Fouday
Administration
Pays France
Région Alsace
Département Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Canton Schirmeck
Code commune 67144
Code postal 67130
Maire
Mandat en cours
René Petit
2008-2014
Intercommunalité C.C. de la Haute-Bruche
Démographie
Population 345 hab. (2007)
Densité 168 hab./km²
Gentilé Foudéens, Foudéennes
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 18″ Nord
       7° 11′ 12″ Est
/ 48.42166667, 7.18666667
Altitudes mini. 380 m — maxi. 680 m
Superficie 2,05 km2

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Fouday est une commune française, située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace. Le 1er janvier 1975, elle avait fusionné avec les localités voisinnes de Waldersbach, Belmont et Bellefosse pour former le Ban-de-la-Roche, calqué sur un territoire historique. Rétabli dans son indépendance le 1er janvier 1992, ce village vosgien de moyenne montagne a été intégré dans diverses structures (Civom en 1980, puis district), puis, finalement, dans la Communauté de communes de la Haute-Bruche.

Sommaire

Géographie

Fouday se situe dans la vallée de la Bruche, sur la rive droite, au confluent de la Chirgoutte, ou Schirgoutte, dans un environnement de forêts et de pâturages.

Pour l'essentiel groupé sous son église, le village est desservi par la route départementale 420, qui longe la rive gauche du torrent à peine assagi, et par la ligne Strasbourg - Saint-Dié, ici à voie unique, qui franchit le torrent pour un bref parcours et dessert la gare. Route et voie ferrée, cet écart excepté, vont de pair sur le lieu-dit Devant-Fouday (rive gauche), qui dépend de Plaine. La route départementale 57, qui rejoint la RD 420 Devant-Fouday, dessert également le village. Suivant le cours de la Chirgoutte et desservant Le Trouchy, elle remonte vers le col de la Charbonnière (accès au Champ du Feu, à Villé).

Le village commande la vallée de la Chirgoutte, où s'étend sa dépendance, Le Trouchy, et le vallon boisé en haut duquel s'étage Solbach.

Fouday est dominé, immédiatement, par la Roche de l'église et, en arrière-plan, par le mont Saint-Jean (rive droite de la Chirgoutte). La Colline du château, sur la rive gauche du gros ruisseau rapide, domine sa confluence avec la Bruche.

Les deux rives de la Bruche, en aval du pont du chemin de fer, ont été remodelées sur une centaine de mètres depuis le début des années 2000. Le rehaussement de la rive gauche a été effectué avec les importants déblais mis là en décharge lors de la réfection de la route autrefois nationale, défoncée sur 40 cm. Plus à val, vers le viaduc, la Bruche continue de divaguer dans des prairies inondables, abritées de toute intervention humaine en raison de la présence d'espèces protégées.

Article détaillé : Haute-Bruche.

Histoire

Le village de Fouday faisait partie de l'ancienne seigneurie du Ban de la Roche, tout comme les autres villages de la vallée de la Schirgoutte : Waldersbach, Solbach, Belmont, Bellefosse mais aussi ceux de Rothau, Neuviller et Wildersbach dans la vallée voisine de la Rothaine.

La première mention de Fouday remonte au XIVe siècle. Le village apparait alors dans les textes sous le nom d'Urbach. Il existait pourtant déjà à la fin du XIIe siècle, comme l'atteste le clocher de l'église, typique de l'art roman de cette époque.

À l'époque médiévale, cette église constituait une étape sur la route des pèlerins se rendant au Mont Sainte-Odile depuis la Lorraine, ce qui explique la représentation de saint Jacques (XVe siècle) de l'arc triomphal de l'ancien chœur. Elle abritait une tête en bois sculpté de saint Jean-Baptiste (épisode de la décollation de saint Jean), dont la vénération donna lieu à un petit pèlerinage local, qui ne s'acheva qu'au XVIIe siècle, lors du ministère du pasteur Jean Nicolas Marmet.

Le village était resté fidèle à cette dévotion bien que passé à la Réforme dès 1584. L'ensemble du Ban de la Roche était, en effet, devenu protestants lorsque la seigneurie avait été vendue par la famille Rathsamhausen zum Stein au comte palatin Georges-Jean de Veldenz au XVIe siècle.

Fouday est devenu au XVIIIe siècle un haut lieu du protestantisme, par l'action d'une personnalité bien connue pour son œuvre philanthropique et éducative, le pasteur Jean-Frédéric Oberlin (1740-1826), qui repose dans le cimetière attenant à l'église.

La route Schirmeck-Saint-Dié avait été mise en chantier en 1831. Elle suit la rive gauche de la Bruche et passe par Devant-Fouday (ce lieu-dit dépendant de Plaine, non de Fouday, ne fut rattaché à la France qu'en 1793 et appartint d'abord au département des Vosges).

La route Fouday-Waldersbach-La Charbonnière a été aménagée de 1868 à 1872.

Fouday s'est dénommé Breusch-Urbach de 1871 à 1918 et de 1940 à 1945 (Bach = ruisseau).

Administration

La Mairie, ancienne école construite en 1839
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 René Petit    
mars 2008 en cours René Petit[1]    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[2])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
230 233 222 253 277 303 340 345
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Lieux, monuments, demeures

L'église protestante

Le clocher de l'église protestante
Les fresques restaurées

Le village est dominé par son église protestante au clocher roman. Modifié au XVIIIe siècle dans ses parties hautes, il remonte à la deuxième moitié du XIIe siècle ou au début du XIIIe siècle.

Cette tour-chœur est un élément de l'ancienne église, autrefois catholique, dédiée à saint Jean-Baptiste. Il a été rehaussé à l'époque de la reconstruction de la nef, mais en réutilisant les éléments anciens du XIIe siècle (les quatre baies géminées romanes de l'étage des cloches), et en adoptant la toiture en bâtière typique des silhouettes de nombreuses églises médiévales rurales en Alsace. Le clocher abrite encore une cloche datée de 1502 (une des plus anciennes cloches de la vallée de la Bruche après celle de Belmont datant de 1434).

La nef de l'édifice remonte au XVIIIe siècle (on lit la date de 1776 sur le portail ouest). Cet édifice est l'aboutissement du modèle architectural des églises du Ban de la Roche, introduit par le prédécesseur du pasteur Oberlin à Waldersbach, Jean Georges Stuber. La construction de la nouvelle nef de l'église a été impulsée par le pasteur Oberlin, du fait de l'exiguité de la nef médiévale d'alors. Le chantier a été essentiellement financé par le baron de Dietrich, qui était alors comte du Ban de la Roche.

L'agencement intérieur se caractérise par l'utilisation particulière de l'espace : habituellement, une nef d'église comporte des rangées de bancs regardant vers le chœur, mais ce n'est plus le cas ici. A Fouday, l'ancien chœur est tout simplement laissé de côté, et c'est la nef elle-même qui devient tout entière lieu de célébration. La porte latérale constitue l'axe de symétrie de l'édifice : elle s'ouvre directement dans l'alignement de l'autel et la chaire. Ces deux éléments liturgiques sont le point central autour duquel est organisé l'espace : les bancs du parterre sont disposés autour de l'autel (en face, de part et d'autre d'une allée centrale, mais aussi de chaque côté), et on remarque la même organisation sur la tribune occupant trois côtés de l'édifice autour de la chaire. La présence d'une tribune répond avant tout à un problème pratique : elle double pratiquement la capacité de cette petite église. Toutefois, elle avait une autre fonction importante : elle permettait une stricte séparation symbolique entre hommes et femmes durant le culte. La tribune était réservée aux hommes du village, le parterre aux femmes. Les hommes se plaçaient ainsi à la hauteur du pasteur en chaire pendant la prédication, alors que leurs épouses devaient lever les yeux vers lui. Un agencement strictement identique (mais à échelle réduite) se retrouve à l'église de Waldersbach.

L'autel est une simple table de célébration en grès, soutenue par un pied central en grès mouluré

La chaire, depuis laquelle prêchait Oberlin, est le lieu central de la liturgie. C'est aussi l'élément le plus richement traité du mobilier : elle est en chêne et présente un panneautage de style Louis XV. Elle est surmontée d'un élégant abat-voix baroque à volutes. L'ensemble tranche fortement avec l'aspect des bancs et de la tribune, d'une sobriété absolue.

L'imposant tableau à droite de la chaire, représentant le Portement de croix, date sans doute de la seconde moitié du XIXe siècle et aurait été offert par les industriels rubanniers Fallot.

L'orgue occupant la tribune ne date pas du XVIIIe siècle : son petit buffet néo-Renaissance et sa console indépendante à fleur de tribune ne s'accordent pas précisément avec l'édifice. Il a été construit en 1890 par Franz-Xaver Kriess, facteur d'orgues à Molsheim, dont c'est l'une des toutes premières réalisations. Il est à transmission mécanique, comporte 7 jeux répartis sur 2 claviers et pédalier.

Le poêle à bois De Dietrich, de conception surprenante, a été installé au milieu du XXe siècle, et remplace deux poêles cylindriques du XVIIIe malheureusement disparus.

L'ANCIEN CHŒUR de l'église, voûté d'ogives, présente un ensemble de peintures murales des XIVe, XVe et XVIe siècles, représentant les quatre évangélistes. Ces peintures ont malheureusement été irréversiblement altérées au début du XXe siècle. A cette époque, le pasteur Freund de Fouday et le curé Rabavoie de Blancherupt se sont improvisés restaurateurs et ont remis à jour les peintures, jusque-là recouvertes d'un badigeon blanc parsemé d'étoiles. Leurs intentions étaient louables mais, par méconnaissance, ils ont éliminé en partie les couches picturales du XVe siècle, du plus grand intérêt car représentatives des modèles de la peinture rhénane, pour faire apparaître des peintures antérieures du XIVe siècle, de facture nettement moins soignée.

On voit également dans ce chœur, insérée dans le mur est, une armoire eucharistique du XVe siècle, de style gothique flamboyant, aux armes de la famille de Rathsamhausen zum Stein, seigneurs du Ban de la Roche. Le blason de la famille Rathsamhausen apparaît aussi sous forme de peinture murale aux côtés des armes de la famille d'Andlau au-dessus de la fenêtre du mur sud.

Tombes d'Oberlin et de Louise Scheppler

Près de l'église, la tombe du pasteur Oberlin (fleurs jaunes)

Une modeste croix signale la tombe souvent fleurie de Jean-Frédéric Oberlin (1740-1826), à proximité du chevet de l'église, dans le petit cimetière de Fouday.

De 1767 à sa mort, le célèbre pédagogue fut pasteur au Ban de la Roche, l'ancienne seigneurie, devenue enclave protestante, dont le village faisait autrefois partie.

Louise Scheppler, fidèle collaboratrice d'Oberlin décédée en 1837. repose à son côté.


Le viaduc ferroviaire

Le viaduc SNCF sur la Bruche


La ligne de chemin de fer Rothau-Saales, à voie unique, filait à l'origine (presque) droit dans la vallée, parallèlement à la route : la station du petit train-tramway se trouvait alors sur la rive gauche de la Bruche, à l'emplacement du parking extérieur de l'hôtel-restaurant Chez Julien qui a succédé à l'ancien restaurant Zum Bahnhof.

Depuis les aménagements effectués à la fin des années 1920, afin de permettre à des rames plus lourdes de remonter la vallée, la voie, initialement double, maintenant unique en ce parcours amont de Rothau, suit partiellement un nouveau tracé. Il passe sur la rive droite de la Bruche au niveau de Fouday et du lieu-dit Devant-Fouday (sur le territoire de Plaine).

La voie ferrée franchit le fond de vallée où serpente la rivière sur un viaduc aux doubles arches en quinconce en pierre et béton hautes de 17 m. Le parement de l'ouvrage est un mélange de granit blanc (granit d'Andlau) et de granit local plus foncé. Cet ouvrage aux bossages élégants, dont la longueur totale dépasse 200 m, marque le paysage en aval de Fouday. Dynamité en partie en 1940, lorsque l'armée française reculait, il avait été remis en état par une entreprise allemande, qui utilisa le même granit de parement qu'à l'origine.

La nouvelle gare de Fouday, sur la Ligne TER Alsace Strasbourg - Saint-Dié-des-Vosges a été construite en léger retrait du village, près de la route de Solbach. La ligne, qui avait été inaugurée en 1928 par Raymond Poincaré et André Tardieu, est maintenant à voie unique depuis Rothau.

Rubanerie Legrand : vestiges et réutilisations

Fouday est également marqué par le souvenir de la famille Le Grand, ou Legrand. Le Suisse Jean-Luc Le Grand avait transféré sa fabrique de "rubans à soie" à Fouday, en 1813. Il s'était installé là avec plusieurs familles hugenotes et s'était inspiré de l'exemple artisanal de Jean-Georges Reber, industriel ami d'Oberlin qui distribuait du travail dans les villages de montagne vosgienne, notamment dans la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines. Son fils Daniel Legrand, industriel philanthrope, lui aussi familier d'Oberlin, se présentait simplement comme "un industriel des montagnes des Vosges". Il contribua à l'adoption de la première loi sur le travail des enfants et se soucia de l'éducation de la population.

La fabrique de rubans, notamment de soie fine et de filoselle (une soie grossière) employa jusqu'à 400 hommes, femmes et enfants du Ban de la Roche. Le siège et des ateliers de maintenance, puis de fabrication, se trouvaient à Fouday. Les deux grands bâtiments accolés, construits vers 1840 par les Legrand, subsistent, près de la Chirgoutte, et sont devenus des habitations. Les ouvrier-paysans vinrent d'abord chercher le fil, pour travailler à domicile et rapporter les rubans terminés (il s'agissait le plus souvent d'un complément de revenu), puis le tissage se développa en atelier, à la rubanerie. Les frères Legrand et Louis-Frédéric Fallot, qui leur était apparenté, développèrent le blanchiment et la teinturerie du ruban, fabriquèrent des métiers à tisser.

Une plaque en l'honneur de Daniel Legrand est apposée sur la grande maison où il vécut jusqu'à sa mort, en haut du village. Il repose au cimetière de Fouday, non loin d'Oberlin.

La maison de commerce constituée par Daniel Legrand et son frère Frédéric devint la société Legrand Fallot et cie, puis Oschwald et cie (les Oschwald, originaires de Schaffhouse, en Suisse, achetèrent l'entreprise en 1859. Elle fabriqua des rubans de coton jusqu'aux années 1950.

Les Oschwald habitèrent une grande et simple maison remarquable en raison de sa véranda-terrasse à deux niveaux, proche de la Bruche et de la Chirgoutte.

Originellement couverte d'un essentage de tavaillons côté route, devenue le foyer Sainte-Aurélie, assez délabrée, elle a été rénovée et incluse dans l'ensemble hôtelier Chez Julien lorsque celui-ci s'est étendu sur la rive droite de la Bruche. Cette extension a entraîné l'aménagement du parc en partie public longeant la rivière (la berge rive droite autrefois inondable a été rehaussée), ainsi que la réhabilitation de plusieurs maisons.

Le long mur édifié depuis la rive droite de la Bruche jusqu'à cette maison, en 2008, a été construit avec le grès rose veiné de blanc extrait des carrières encore en activité de Champenay, à Plaine.

Jumelages

Jumelage avec Woolstock

Comme sept autres communes du Ban de la Roche (Bellefosse, Belmont, Neuviller-la-Roche, Rothau, Solbach, Wildersbach et Waldersbach), Fouday est jumelée depuis le 15 juillet 1984 avec Woolstock, une petite localité américaine de l'Iowa qui a accueilli au XIXe siècle des immigrants en provenance du Ban de la Roche.

Voir aussi

Notes et références

Bibliographie

  • G. Silbermann, Jubilé séculaire d'Oberlin le 31 mars 1867 à Fouday, 1867
  • Albert Thomas, Inauguration d'une plaque commémorative en l'honneur de Daniel Le Grand à Fouday, le 2 septembre 1928, Société de l'histoire du protestantisme français, Paris, 1928
  • Monnier (Frédéric), Notice sur Daniel Legrand, Paris, Berger-Levrault, 1859.
  • Denis Leypold, Le Ban de la Roche au temps des seigneurs de Rathsamhausen et de Veldenz (1489-1630), Oberlin, Strasbourg, 1989, 119 p.
  • Même auteur, "Les peintures gothique et Renaissance de l'église de Fouday", in L'Essor, n°176.
  • Rabavoie (O.), "Petite notice archéologique sur l'église de Fouday (Ban-de-la-Roche)", in Bulletin de la Société pour la conservation des monuments historiques d'Alsace, 1903.
  • L'Essor, revue trimestrielle de l'Association culturelle de la vallée de la Bruche et de l'ancien pays de Salm, numéro 216, 2007 : article d'Arnold Kientzler sur le viaduc de Fouday.
  • Gérard Goetz et Jacques-Louis Delpal, Saveurs d'Alsace Plaisir des Vosges, préface de Jean-Pierre Haeberlin, photos de Marcel Ehrard, Christophe Meyer et J.-L. Delpal, 2007, La Nuée Bleue, Strasbourg, 240 p.
  • « Fouday », in La Haute vallée de la Bruche, Patrimoine d’Alsace, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2005, p. 60-63 (ISBN 2-914528-13-9)

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