Feng shui

Feng shui
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Fēng shuǐ.

Le fēng shuǐ Prononciation du titre dans sa version originale (en sinogrammes simplifiés : 风水 ; en sinogrammes traditionnels : 風水 ; en pinyin : fēng shuǐ) signifie littéralement « le vent et l'eau » ; en Chine, on appelle généralement la discipline fēng shuǐ xué 风水学 (« étude du vent et de l'eau »). C'est un art chinois millénaire dont le but est d'harmoniser l'énergie environnementale (le 氣/气) d'un lieu de manière à favoriser la santé, le bien-être et la prospérité de ses occupants. Il s'agit d'un des arts taoïstes, au même titre que la médecine chinoise traditionnelle (MTC) ou l'acupuncture, avec lesquelles il partage un tronc commun de connaissances.

Depuis des siècles, les Chinois s'y réfèrent pour concevoir leurs cités, construire leurs maisons et inhumer leurs morts[réf. nécessaire]. De nos jours, certaines personnes du monde chinois des affaires consultent encore les maîtres en fēng shuǐ pour décider de l'implantation de leurs bureaux.

Sommaire

Étymologie

Le terme signifie littéralement « vent » (fēng) et « eau » (shuǐ). Cet art fut tout d'abord appelé kānyú shù (堪輿術/堪舆术) (ou simplement kānyú (堪輿/堪舆), kān(堪/堪) « observation » et (輿/舆) « char », puis « terre » et shù signifie « art ». Kānyú shù signifie donc « l'art de l'observation de la terre » ; certaines interprétations considèrent que kān désigne la voie du ciel et la voie de la terre. Le nom fēng shuǐ apparaît pour la première fois dans le zàngshū (葬書/葬书) ou Traité des sépultures écrit par Guō Pú (郭璞 276-324) [1] :

« Les Classiques disent que le Qi se disperse par le vent et qu'il est arrêté par l'eau. Les Anciens l'ont collecté pour prévenir sa dissipation, ils l'ont guidé pour assurer sa rétention. Ainsi ils ont nommé (cette méthode) fēng shuǐ. » [1]

Un autre terme moins fréquent est Qīngniǎo shù (青鳥術), « art de l'oiseau bleu ». Oiseau bleu est selon le Zuozhuan le nom d'un fonctionnaire chargé de l'astronomie et du calendrier. Selon le « Yúnjí qīqiān » (雲笈七籤/云笈七签), ouvrage taoïste des Song, c'est le personnage qui enseigna à l'Empereur jaune comment diviser l'espace.

Principes et outils de base

Le principe du fēng shuǐ vient du mouvement taoïste basé sur la complémentarité du yīn et du yáng. Les parties yīn d'une maison sont l'arrière du bâtiment (les chambres, salles de bains) et les parties yáng sont les parties avant de la maison (séjour, cuisine, entrée, bureau). Les cinq éléments (bois, feu, terre, métal et eau) sont positionnés en fonction des axes cardinaux pour l'école de la boussole, la plus répandue à travers le monde[2].

Qi (ou chi)

La grande ligne directrice du fēng shuǐ est l'optimisation des flux de (氣/气 ici, souffle vital environnemental). Ces flux sont influencés par les formes et les matières composant l'environnement, mais également par l'écoulement du temps.

Cette discipline s'appuie sur la théorie des cinq éléments (terre, métal, eau, bois, feu), le principe du yīn et du yáng, les cycles temporels, etc. L'expert en fēng shuǐ s'attache à équilibrer les forces en présence, ou à modifier celles-ci en fonction d'un objectif précis.

D'après la légende,le fēng shuǐ n'est pas un « art du placement » et ne consiste pas non plus à vivre en harmonie avec la nature, mais bien à modifier les conditions énergétiques dans lesquelles se trouve un site, au même titre que l'acupuncture modifie la distribution du qì au travers des méridiens du corps, dans un but déterminé. À ce titre, le fēng shuǐ est quelquefois considéré comme une « médecine de l'habitat ».

Le yin et le yang

Article détaillé : Yin et yang.

Les cinq phases, ou éléments

La théorie des cinq phases de transformation du qì, improprement appelée théorie des cinq éléments en raison des appellations données à ces cinq phases (eau, bois, feu, terre, métal), est le principal pilier sur lequel s'appuie le fēng shuǐ. Ces cinq phases correspondent à des périodes définies, comme par exemple les saisons (hiver = eau, printemps = bois, été = feu, automne = métal, intersaisons = terre) mais aussi les années, mois, jours, heures. En fonction de l'écoulement du temps, le qì subit des transformations et donc des changements de propriétés cycliques. Selon cette théorie, il existe deux cycles principaux d'engendrement (sheng) et de contrôle (ke).

Le facteur temporel

La transformation cyclique des propriétés du qì fait intervenir la notion de temps, très importante en fēng shuǐ (comme en acupuncture ou en MTC).

La boussole

Luo pan

Il est commun de dire qu'on ne peut pratiquer le fēng shuǐ sans boussole, à l'exception de l'École de la forme. On peut utiliser indifféremment une boussole classique ou un luópán (罗盘 boussole chinoise) qui, en plus de l'aiguille magnétique, est pourvu d'un certain nombre de cercles concentriques chargés de données transformant celui-ci en véritable règle à calcul pour le praticien. Devenu hermétique et incompréhensible de nos jours pour la majorité des spécialistes, il n'en reste pas moins un bel objet. Plusieurs modèles de luópán existent, les plus simples comportant seulement quatre ou cinq cercles, les plus complexes en comptant jusqu'à trente-six.

Le bagua

Le bāguà (ou pa kua) est utilisé pour positionner chaque élément dans la maison.
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Le bāguà (ou pa kua) du Yi Jing (« Livre des mutations ») est un diagramme octogonal utilisé dans les analyses fēng shuǐ. Le sud est toujours placé en haut et le nord en bas. Chaque direction de l'octogone (nord, nord-est, etc.) a une certaine signification qui peut varier selon les écoles.

Il existe deux représentations du bāguà : celle du ciel antérieur et celle du ciel postérieur. L'agencement postérieur est utilisé pour l'agencement de l'habitat.

Le bāguà est utilisé dans l'approche moderne du fēng shuǐ.

Le bāguà zhǎng (八卦掌) peut être aussi un art martial interne qui représente les huit trigrammes.

Carré de Lo Shu (ou carré magique)

MagicSquare-LoShu.png

Le Carré Luòshū (en sinogrammes simplifiés : 洛书 ; en sinogrammes traditionnels : 洛書 ; en pinyin : luò shū ; littéralement : livre de Luò (fleuve Luò)) ou les Neuf diagrammes (en sinogrammes simplifiés : 九宫图 ; en sinogrammes traditionnels : 九宮圖 ; en pinyin : jiǔ gōng tú, les neuf diagrammes du palais) est un carré magique d'ordre 3 qui est utilisé comme règle de calcul dans l'établissement du schéma énergétique d'une habitation et la détermination de certains transits d'énergie.

Selon la légende, il y a 3 000 ans, une tortue était sortie de la rivière et portait sur sa carapace le carré magique du Luòshū.

Dans la mythologie du feng shui, le Luòshū montre l'emplacement des neuf étoiles volantes. Ainsi le déplacement de ces étoiles volantes suit un cheminement fixe et bien précis dans ce carré magique qu'est le Luòshū. Chaque chiffre représente un élément. Ainsi, le 1 ici représente l'élément eau au nord, le 8 la terre, le 3 le bois, le 4 le bois, le 9 le feu, le 2 la terre, le 7 le métal, le 6 le métal et le 5 la terre.

Ce sera à partir de ce carré que l'on définira les zones à éviter ainsi que les zones à énergétiser. Le 2 et le 5 par exemple sont néfastes donc à éviter, tandis que le 1, le 6, le 8 et le 9 sont favorables.

Histoire

Aubes lointaines

Il y a plusieurs milliers d'années que les devins et les sages de la Chine ancienne ont jeté les bases du fēng shuǐ. La légende stipule que la boussole fut inventée pendant le règne de l'Empereur jaune et fut d'abord utilisée pour la navigation. Elle fut ensuite modifiée pour l'usage en fēng shuǐ.

Pour les habitants de la Chine ancienne, les éléments naturels, comme le vent et l'eau, matérialisent l'énergie du ciel et de la terre. En mouvement, cette énergie est nourricière, excessive ou au contraire stagnante, elle possède des qualités destructrices.

Les premières tribus chinoises sont dirigées par des rois-chamans qui connaissent les voies du vent et de l'eau et ont pouvoir sur les éléments. L'un d'eux est le sage Fú Xī (伏羲/伏犧), aujourd'hui vénéré comme protecteur des sciences et des arts divinatoires, notamment en raison de sa découverte du Hétú (河圖/河图 comportement cyclique du fleuve).

Le sinologue James Legge rapporte que le Yi Jing affirme que, près de trois millénaires avant notre ère, un animal mythique sorti du Fleuve Jaune et portant empreint sur son dos un arrangement de marques, aurait inspiré à Fú Xī l'idée du Hétú[3].

Yu le Grand est un autre roi-chaman dont on dit qu'il a reçu d'un immortel l'ouvrage intitulé Livre de la maîtrise des Eaux. D'après la légende, il découvrit le schéma Luòshū, qui exprime le comportement cyclique du fleuve Luò, sur la carapace d'une tortue. Lorsqu'il devient roi après la mort de l'empereur Shun, Yu possède aussi la faculté de comprendre les changements terrestres et célestes qui affectent le vent et l'eau, ainsi que le cycle des saisons.

Huang Di, l'empereur jaune, fut un souverain légendaire qui acquit la maîtrise des caractéristiques propres à la topographie. Selon la légende chinoise, la dame des neuf béatitudes lui enseigna la technique de la boussole géomantique[4].

Au début de la dynastie Zhou (1122 - 207 av. J.-C.) le roi Wén fut le premier à utiliser le bāguà pour décrire les changements du monde. Vers le VIIIe siècle avant J.-C. les Chinois utilisaient le bāguà et les théories du changement pour favoriser la circulation d'un bon qì dans les palais, afin d'apporter au royaume la prospérité et l'harmonie.

Le kan yu

L'art du kānyú (kānyú shù 堪輿術/堪舆术) prit naissance sous la dynastie Han (- 206 à 219). Le kānyú est l'étude de la distribution de l'énergie dans le paysage et pose comme axiome que les formations géologiques, en particulier les reliefs montagneux et les rivières, sont chargés d'énergie vitale ou qì.

Les Chinois pensaient alors que l'énergie tellurique pouvait faire et défaire un royaume.

Par exemple, si la capitale d'un royaume était établie sur un lieu propice et nourricier, ceci pouvait profiter à l'ensemble du royaume. Si la capitale était établie sur un site néfaste, le royaume pouvait subir différentes catastrophes. De même si un empereur était enseveli sur un bon site, sa dynastie devait perdurer.

De fait, le kānyú fut d'abord utilisé au profit des familles impériales. Il se divisa en deux branches : fēng shuǐ yīn pour le choix des sépultures et fēng shuǐ yáng pour l'aménagement des lieux de résidence des vivants.

L'âge d'or

L'âge d'or du kānyú s'étendit de 618 à 1279 sous les deux dynasties Tang et Song. Pendant cette période, de nombreuses évolutions se produisirent. Yang Yun Sun fut un des maîtres kānyú les plus célèbres. Il fonda les écoles Dà sān yun (trois périodes) et Sān hé (三和 trois harmonies) et établit de nombreuses théories.

Sous la dynastie Song, Xu Jenwang développa les vues de l'école des Trois Périodes et créa celle du xuán kōng (玄空, vide mystérieux), instaurant le système des astres mobiles (flying stars).

La dernière phase de développement du fēng shuǐ se produisit sous la dynastie Qing (1644-1911) puis sous la république de Chine (1912-1949). Très tôt sous la dynastie Qing, la « Méthode des huit maisons » (bā zhái fǎ, 八宅法) fut créée et appliquée exclusivement au fēng shuǐ des résidences. Le bā zhái fǎ cherche à accorder l'astre protecteur des occupants à celui de la maison. Pendant la période républicaine, l'école du xuán kōng intégra les données géologiques, en tant que complément au système des astres mobiles, dans l'évaluation d'un site. C'est également pendant cette période que le xuán kōng se développa dans l'évaluation des établissements d'entreprise et de commerce.

Géomancie

Des missionnaires chrétiens parcourant la Chine au XIXe siècle ont indûment traduit la notion de fēng shuǐ en « géomancie », « traduction » qui a eu cours pendant des décennies, en français et dans d'autres langues occidentales. Mais cette confusion de vocabulaire a quasiment disparu depuis les années 1970, l'appellation originelle de fēng shuǐ étant désormais employée de façon quasi exclusive en Occident, ce qui est plus en adéquation avec la vogue extrême orientale que certains esprits mystiques entretiennent ; si l'on se réfère d'ailleurs aux titres des nombreux ouvrages publiés sur le sujet, la vogue est particulièrement rentable.

Aujourd'hui

On a toujours recours aux maîtres de fēng shuǐ dans le sud de la Chine et à Hong Kong, et souvent pour des prix très onéreux. Par exemple, le sens d'une cage d'escalier a dû être inversé dans un immeuble à Hong Kong, suite aux recommandations d'un maître.

Depuis le milieu des années 1980, le fēng shuǐ a fait son apparition en Occident, d'abord aux États-Unis d'Amérique et plus tardivement dans les pays francophones.

Le fēng shuǐ classique (classical fēng shuǐ en anglais), également connu comme le « fēng shuǐ xuán kōng », comme pratiqué en Asie et en Occident aujourd'hui, est un amalgame de tous les aspects traditionnels du fēng shuǐ. Ceci inclut l'école de forme, l'école de boussole et la méthode des étoiles volantes.

Évolution

Au fil du temps, le fēng shuǐ est devenu de plus en plus complexe et plusieurs « écoles » ou « méthodes » complémentaires ont vu le jour, chacune apportant un éclairage différent d'une même réalité.

À titre d'information, on peut citer :

  1. Le bāguà fǎ (八卦法), plus connue en tant que méthode des huit aspirations
  2. Le bā zhái fǎ (八宅法), ou méthode des huit demeures
  3. Le xuán kōng fēixīng (玄空飞星), ou méthode des étoiles volantes
  4. etc.

Une autre classification existe, qui consiste à diviser le fēng shuǐ en deux « écoles », celle de la forme, et celle de la boussole. Ces deux écoles ont souvent été présentées comme opposées, alors qu'elle se complètent au point qu'aujourd'hui cette dichotomie paraît obsolète. Elle subsiste néanmoins dans de nombreux ouvrages et sites.

Approches modernes

Depuis les années 80, la forme originelle du fēng shuǐ s'est révélée au grand public, aux États-Unis d'abord, puis partout dans le monde. Celle-ci présente le fēng shuǐ dans son aspect originel sans la complexité du luópán que très peu de personnes au monde savent encore lire. L'approche est plus pragmatique.

Fēng shuǐ tibétain

Ce feng shui consiste à diviser les maisons en neuf secteurs (prospérité, carrière, etc.) sans utiliser la boussole, mais en définissant un nord symbolique toujours situé là où se trouve la porte d'entrée qui devient le référentiel. Cette méthode est aussi appelée feng shui des Böns tibétains (black hat) ou feng shui de l'intention ou encore méthode des trois portes.

Il s'agit d'un feng shui de la forme renforcé par l'intention. Relativement pratique, ce système se distingue par son action rapide et sa grande efficacité. Il est très largement répandu aux États-Unis et doit sa popularité à sa souplesse (pas de symbolique asiatique) et à la facilité de sa mise en œuvre, notamment pour un public occidental. Il a fait l'objet de quantité de publications en Occident, surtout aux Etats-Unis. De plus en plus connu et reconnu en France et plus globalement en Europe comme le feng shui des origines, il présente l'avantage d'offrir une alternative au système chinois de la boussole, très complexe et bardé de symboles asiatiques.

Ce feng shui de la forme, associé aujourd'hui à des notions de psychologie de l'habitat, et de design en font un système complet assez proche d'un autre système très ancien, le vastu shastra, feng shui indien de la forme.

D'apparence plus simpliste que le feng shui chinois de la boussole, en réalité, le feng shui tibétain fait appel à la notion de sensitivité, à la compréhension énergétique des lieux. Seul le praticien expérimenté peut comprendre pleinement l'intention qu'exprime les lieux étudiés, et apporter les corrections adéquates en vue de rétablir l'équilibre énergétique, et donc l'harmonie.


Archipuncture

L’archipuncture a été créée en 1988 par l’architecte belge Christian Braibant, par contraction des mots architecture et acupuncture. Basée sur l’art du fēng shuǐ, elle applique aux bâtiments les principes de l’acupuncture, issue de la tradition taoïste. Elle établit un parallèle entre les circulations d’énergie terrestre et les méridiens du corps humain. Les principes et moyens qui servent à soulager peuvent dès lors servir à analyser l’architecture, la forme des ouvrages ou les matériaux qui les composent et « soigner » ainsi les déséquilibres. La recherche des qualités prédominantes yīn et yáng d’un élément est raffinée par les cinq éléments et leurs cycles.

Il est convenu, à défaut de certitudes scientifiques autres que les champs magnétiques, qu'un maillage d'énergie parcourt le globe terrestre du pôle Nord, par l'équateur, vers le pôle Sud. Il serait déformé par la rotation de la Terre et donc s'orienterait, en Europe, à environ 45° par rapport à l'axe N-S. Ces courants alternativement positifs et négatifs se croiseraient en des points de qualité ++, +-, -+, --. Ce maillage serait fortement influencé par le relief mais aussi par la forme des bâtiments. L'archipuncteur observe une concentration des réseaux par les formes pointues comme les menhirs et une expansion autour des formes ramassées comme les dolmens ou pyramides.

Annexes

Références

  1. a et b The Zangshu, or Book of Burial translated by Stephen L. Field, Ph.D.
  2. Josette Bouvier, La maison fēng shuǐ
  3. Book of Change, James Legge, Hunan, 1995
  4. Leçons approfondies de fēng shuǐ, Eva Wong

Bibliographie

  • La Maison miroir ou le fēng shuǐ à l'occidentale, Luc Antoine, architecte. Prolongement du fēng shuǐ traditionnel, adapté aux Occidentaux, éd. de Mortagne, Québec, 2000, ISBN 2-89074-636-4
  • Fēng shuǐ, force d’harmonie, Fēng shuǐ occidental, Bruno Colet, A. Viragh, éd. Open Way, 2006
  • Fēng shuǐ dans votre maison, harmoniser chaque pièce de votre maison, entièrement illustré, Karine Van Li, éd. Exclusif, 2003, ISBN 2-84891-006-2
  • Fēng shuǐ, Purifier et protéger votre maison, Les méthodes pratiques, Giulia Vegni Petrelli, éd. Cristal, 2006, ISBN 2-84895-036-6
  • Leçons approfondies de Fēng shuǐ, Eva Wong, le Courrier du Livre, 2000, ISBN 2-7029-0402-5
  • A Translation of the Ancient Chinese Book of Burial (Zang Shu) by Guo Pu (276-324), Zhang Juwen, Mellen Press, 2004, ISBN 0-7734-6352-6
  • Traité pratique du fēng shuǐ, Guy-Charles Ravier, Editions de l'Aire, 1991, ISBN 2-88108-079-0
  • La vérité des apparences, fēng shuǐ taoïste, Zu-Hui Yang & Hiria Ottino, Trédaniel, 2001, ISBN 2-84445-253-1
  • Fēng shuǐ manuel pratique, Gérard Edde, éd. Chariot d'Or, ISBN 2-911806-09-3
  • Le fēng shuǐ pour les Nuls, Daniel D Kennedy, Editions First, 2006
  • Fēng shuǐ antique et magnétisme mystérieux, Water Lilly & Lewis Clarck, éd. New Builders Keys Editions Co. Ltd., 2010.
  • Le Feng Shui, Science taoïste de l'habitat, Nicolas Hardy, Eyrolles, 2008, ISBN 2-212-54047-7
  • Le manuel de Feng Shui, Maître Lam Kam Chuen, Le Courrier du Livre, 1996, ISBN 2-7029-0335-5


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Feng shui de Wikipédia en français (auteurs)

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