Elizabeth Taylor (actrice)

Elizabeth Taylor (actrice)

Elizabeth Taylor

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Elizabeth Taylor
Géant (1956)
Géant (1956)

Nom de naissance Elizabeth Rosemond Taylor
Surnom Dame Elizabeth Taylor
Liz Taylor
Naissance 27 février 1932 (77 ans)
Hampstead, Londres
Royaume-Uni Royaume-Uni
Nationalité(s) Drapeau des États-Unis Américaine
Film(s) notable(s) Fidèle Lassie
Géant
Une place au soleil
L'Arbre de vie
La Chatte sur un toit brûlant
Soudain l'été dernier
Cléopâtre
Qui a peur de Virginia Woolf ?
Reflets dans un œil d'or
la Mégère apprivoisée
Conjoint(e) Conrad Hilton Jr. (1950-1951)
Michael Wilding (1952-1957)
Michael Todd (1957-1958)
Eddie Fisher (1959-1964)
Richard Burton
(1964-1974) / (1975-1976)
John Warner (1976-1982)
Larry Fortensky (1991-1996)
Enfant(s) Michael Howard Wilding (1953)
Christopher Edward Wilding (1955)
Elizabeth Frances Todd (1957)
Distinction(s) Oscar de la meilleure actrice, British Academy Award (BAFTA), Golden Globe Award

Elizabeth Rosemond Taylor (née le 27 février 1932 à Hampstead en Angleterre), aussi connue sous le diminutif Liz Taylor, est une actrice américaine.

Elle débute sa carrière à l'âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie ou Les Quatre Filles du docteur March. Après quelques déconvenues, Géant lui ouvre, en 1956, les portes du cinéma. Étoile d'Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l'été dernier ainsi que Cléopâtre.

Plus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire, Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA depuis le décès de son ami Rock Hudson en 1985.

En 1999, l'American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI's 100 Years… 100 Stars.

Sommaire

Biographie

L'enfant-star

Elizabeth Taylor naît le 27 février 1932 à Hampstead, situé en Angleterre dans la banlieue de Londres[1], avec la nationalité britannique, de parents tous deux américains et originaires de Kansas City (Kansas).

À l'âge de trois ans, elle prend ses premiers cours de danse classique. En 1939, la Seconde Guerre mondiale éclate et ses parents retournent habiter aux États-Unis[2], où ils emménagent à Los Angeles, à l'endroit où vivait la famille de sa mère Sara[3]. C'est là qu'Elizabeth découvre le cinéma et que sa mère la présente aux studios de Hollywood[3].

Sara Taylor joue un rôle déterminant pour le début de la carrière de sa fille. Tout en complétant l’instruction d’Elizabeth, elle lui fait suivre des leçons de chant, de danse et d’équitation. Elle fréquente avec sa famille tous les lieux où les personnalités des milieux cinématographiques s’affichent[2]. Elle attire ainsi l’attention d’un dirigeant de Universal Pictures, J. Cheever Cowdin qui offre un contrat de six mois à Elizabeth[2]. Elle obtient son premier rôle en 1941 dans le film There's One Born Every Minute mais les studios Universal ne sont pas convaincus par cet enfant « au regard d’adulte » et ne renouvellent pas son contrat[2].

Sa mère, déterminée, repart à l’assaut des maisons de production et décroche un casting pour un film de la Metro-Goldwyn-Mayer. Grâce aux conseils de sa mère et à son accent anglais impeccable, Elizabeth obtient le petit rôle de Priscilla dans Fidèle Lassie (Lassie Come Home, 1943)[2]. Le film, qui est un succès, lui permet de rencontrer Roddy McDowall, avec qui elle reste amie toute sa carrière[3]. Ses parents signent ensuite un contrat d’un an avec la Metro-Goldwyn-Mayer[2].

Après deux apparitions non-créditées dans les films Jane Eyre[4] et Les Blanches Falaises de Douvres[5], elle obtient son premier grand rôle avec Le Grand National aux côtés de Mickey Rooney[6]. Elle y interprète une jeune fille qui entraîne un cheval pour remporter une célèbre compétition hippique. Durant le tournage, elle a plusieurs accidents de cheval qui lui provoquent des douleurs au dos toute sa vie[3]. Le film étant un succès (plus de 4 000 000 dollars de recettes[7].), elle est engagée pour un contrat longue-durée avec la MGM. Elle poursuit alors ses études avec d'autres enfants-star à la Little Red School, où elle reçoit son diplôme d'études en 1950[8],[9].

Dès lors elle ne cesse d’enchaîner les tournages. Elle retrouve la mascotte de la MGM, la chienne Lassie, dans Le Courage de Lassie (1946) pour le premier rôle et devient l'une des Quatre Filles du docteur March où elle fait preuve d’humour en incarnant la petite peste Amy. Sara Taylor, son meilleur agent de publicité, est attentive et exigeante durant toute cette période[10], ce qui n’empêche pas Liz d’avoir des idylles et d’épouser son premier mari en 1950, Conrad « Nicky  » Hilton Jr, héritier de la chaîne d'hôtels Hilton. Cependant, le mariage est un échec et s'achève au bout de neuf mois[11].

La belle aux yeux violets

La jeune femme, dont les yeux ont la particularité d'être violets[12], est désormais mûre pour les premiers rôles. À seize ans, elle est l’épouse de Robert Taylor dans Guet-apens, puis elle joue les jeunes mariées dans deux productions de Vincente Minnelli Le Père de la mariée et sa suite Allons donc, papa !, deux comédies, satire de la classe moyenne américaine, avec Spencer Tracy.

C’est au cours de la première de L'Héritière qu’elle rencontre un autre acteur avec qui elle a une relation amicale privilégiée, Montgomery Clift. Elle tourne avec lui en 1951 Une place au soleil de George Stevens pour la Paramount. Ce film est l’adaptation d’une œuvre An American tragedy du romancier Theodore Dreiser dont Josef von Sternberg a réalisé une première version en 1931.

Aux côtés de Robert Taylor, elle est l'héroïne d'Ivanhoé, film d’aventures médiévales réalisé par Richard Thorpe et tourné aux studios de Boreham Wood en Angleterre. C'est à cette époque qu'elle côtoie l’acteur Michael Wilding à Londres ; elle l'épouse en 1952 et aura avec lui deux enfants : Michael Howard Wilding (né en 1953) et Christopher Edward Wilding (né en 1955).

Elle tourne ensuite sous la direction de Charles Vidor (Rhapsodie), William Dieterle (La Piste des éléphants), Curtis Bernhardt (Le Beau Brummel) et Richard Brooks (La Dernière Fois que j'ai vu Paris) en 1954.

Une sensualité révélée

Elle participe ensuite à deux superproductions. Pour commencer Géant, vaste fresque d’une famille au Texas où elle retrouve George Stevens à la réalisation avec pour partenaires James Dean et Rock Hudson. La production coûte un peu plus de cinq millions de dollars[13] et est un des plus grands succès de la Warner.

L’autre budget impressionnant de 6 millions de dollars fut pour L'Arbre de vie[14], grande fresque avec pour toile de fond la guerre de Sécession. La MGM veut en faire un second Autant en emporte le vent, sans y parvenir malgré les moyens et les scénaristes qui s’attellent au scénario pendant six ans. Le tournage est interrompu pendant deux mois à la suite d’un terrible accident de voiture survenu à son ami Montgomery Clift[2] après une réception qu'elle a donnée. Il se brise la mâchoire et la moitié du visage et malgré la chirurgie plastique l’accident lui laisse de profondes séquelles pour le reste de sa vie[15],[16]. Ayant été alerté par Kevin McCarthy, elle a sauvé la vie de Cliff en lui retirant les dents qui l'étouffaient[17].

Elle rencontre par la suite Mike Todd, inventeur du procédé Todd-AO et producteur de cinéma notamment du Tour du monde en 80 jours, alors que son couple est au plus mal. C’est le coup de foudre et après avoir divorcé de Michael Wilding elle se remarie avec Mike Todd en 1957. De cette union naît une petite fille, Liza, une naissance très douloureuse qui faillit emporter Elizabeth. Sept mois plus tard, Mike Todd se tue dans un accident d’avion. Elizabeth n’a pas terminé le tournage de La Chatte sur un toit brûlant qui va consacrer son talent. Inconsolable, elle termine le film tant bien que mal avec l’aide du réalisateur Richard Brooks et de son partenaire Paul Newman[18].

Ce film et le suivant Soudain l'été dernier de Joseph L. Mankiewicz sont tirés de pièces à succès du dramaturge Tennessee Williams. Elle y exprime une sensualité animale rarement aussi bien exploitée, notamment dans le film de Mankiewicz, aux cotés de Montgomery Clift et de Katharine Hepburn. Les deux films remportent un énorme succès au box-office et obtiennent en tout neuf nominations aux Oscars dont, dans les deux cas, celui de meilleure interprète féminine pour Elizabeth Taylor. Joseph L. Mankiewicz déclara à propos d'elle « Elizabeth Taylor, à l’époque de Soudain l'été dernier, avait ce que vous appelez en peinture un talent de primitif, que je trouvais extraordinaire. Je pense que Tennessee Williams, l’auteur de la pièce écrit ce que j’appelle des arias, comme à l’Opéra, pour des actrices ; par exemple, le dernier aria d’Elizabeth Taylor dans Soudain l'été dernier »[19].

Pendant cette période, elle se rapproche du chanteur Eddie Fisher, le meilleur ami de Mike Todd. Mais Fisher est marié avec Debbie Reynolds et après avoir attendri l’Amérique en veuve inconsolable, elle apparaît en briseuse de ménages[6]. La presse se déchaîne ce qui n’empêche pas Liz Taylor d’épouser Eddie Fischer en 1959[20][réf. incomplète]. L'année suivante, elle joue une prostituée dans La Vénus au vison. Malgré une hospitalisation pour une pneumonie à Londres, elle est présente pour recevoir son premier Oscar de la meilleure actrice en 1961[21]. Elle avait pourtant émis des critiques publiques contre le film[21],[22]. Ce trophée la récompense après trois échecs consécutifs pour de grands films. La Vénus au vison est un film mineur dans sa carrière mais sans doute les votants ont-ils voulu l'encourager dans sa convalescence et faire office de rattrapage pour les statuettes qu'elle avait ratées pour des rôles largement plus marquants[12]. Ce film achève d'ailleurs le contrat qui lie Elizabeth Taylor avec la MGM[23].

Elle défraie de nouveau la chronique avec sa liaison avec Richard Burton, quelques années plus tard.

Cléopâtre et Marc Antoine

Cléopâtre (1963)

En 1963, elle devient l'actrice la mieux payée du cinéma, ayant obtenu un cachet d'un million de dollars et 10% des bénéfices[24] pour jouer le « rôle-titre » dans Cléopâtre pour la 20th Century Fox, sous la direction de Rouben Mamoulian puis de Joseph Leo Mankiewicz. C'est la première fois qu'elle travaille avec son futur mari, Richard Burton. Le tournage commence à Londres dans les studios de Pinewood en septembre 1960[25]. Mamoulian est à la réalisation, Stephen Boyd interprète Marc Antoine et Peter Finch Jules César. Mais très vite la production vire à la catastrophe. Des décors faramineux sont acheminés en Angleterre, la pluie, le froid et le brouillard perturbent le tournage et Liz Taylor tombe malade pendant les six premiers mois de tournage[26] en raison de la trachéotomie qu'elle doit subir[6]. Pour réduire les coûts astronomiques le plateau est déplacé à Rome à Cinecittà au climat plus propice et la distribution est remaniée. On remplace le réalisateur et les acteurs principaux par Mankiewicz, Richard Burton et Rex Harrison et le film reprend en septembre 1961 sous de meilleurs auspices.

Cléopâtre (1963)

C’était sans compter la rencontre Taylor-Burton qui aussitôt se transforme en passion[27],[28],[29]. Le scandale éclate et leur liaison fait tant de bruit que le film manque d'être de nouveau interrompu[6],[29]. Le couple est harcelé par les paparazzi, les studios expriment leur mécontentement et même le Pape s’en mêle en se déclarant choqué. Mais tout rentre dans l’ordre devant l’enthousiasme du public et la détermination de ce couple explosif à afficher leur relation.

Le film se termine, après avoir mis au bord de la faillite les studios de la 20th Century Fox[30], avec un record de coût de 44 millions de dollars[31], le film en rapporte 57[32]. Malgré ce déchaînement médiatique chacun réussit à divorcer et ils se marient enfin en 1964.

Pour Cléopâtre, le contrat d'Elizabeth Taylor stipule que son salaire sera versé comme suit : 125 000 dollars US pour les 16 semaines de travail et 50 000 dollars US en plus par semaine[28]. Quand le film est retourné à Rome en 1961, elle a gagné plus de 2 millions de dollars. Elle gagne le procès intenté par la 20th Century Fox contre elle et Burton et remporte finalement 7 000 000 de dollars[28].

La dernière star d'Hollywood

Liz Taylor avec Cléopâtre atteint son apogée[23]. Sa passion pour Burton se reflète à l’écran, sur ses huit films suivants, sept se tournent avec lui. Elle triomphe auprès du public avec Hôtel International, Le Chevalier des sables de Vincente Minnelli et surtout avec Qui a peur de Virginia Woolf ? pour lequel elle prend quinze kilos et se vieillit de vingt ans[33]. Le rôle de Martha dans ce film est souvent considéré comme le meilleur qu'elle interpréta[34]. Donnant une nouvelle fois la réplique à Richard Burton, elle remporte son deuxième Oscar.

Ils produisent eux-mêmes leur film suivant, dont un million de dollars qu'ils payent par leur propres moyens[23],[35], La Mégère apprivoisée de Franco Zeffirelli. Le film est un succès et rapporte 8 000 000 dollars[36].

Elle enchaîne avec Reflets dans un œil d'or de John Huston avec Marlon Brando et deux films de Joseph Losey Boom et Cérémonie secrète. Mais cette fois le public ne suit pas[29]. Son rôle dans Les Noces de cendre est jugé publiquement vulgaire et sans intérêt par Burton et leur vie privée finit par occulter sa carrière. La critique trouve ses films « sans intérêt »[37].

En raison de ses nombreux problèmes de santé, Elizabeth Taylor, à partir des années 1970, disparaît progressivement des plateaux en tournant de moins en moins, essentiellement pour la télévision. Aux côtés de Richard Burton, elle est l'héroïne de Divorce (1973) puis interprète une femme perturbée dans Identikit (1974). En 1976, c'est avec d'autres grands noms du cinéma (Kirk Douglas, Richard Dreyfuss, Anthony Hopkins, Burt Lancaster et la jeune Linda Blair) qu'elle joue dans Victoire à Entebbé. Puis, quatre ans après, elle est dirigée par Guy Hamilton dans une adaptation des œuvres d'Agatha Christie sur la célèbre Miss Marple, Le miroir se brisa où elle donne la réplique à Kim Novak.

En 1991, elle épouse son septième mari Larry Fortensky rencontré à la clinique Betty Ford de Los Angeles trois ans plus tôt[38]. Ils divorceront après cinq ans de mariage. Depuis, Taylor ne s'est jamais remariée.

Elle participe à des séries télévisées comme Hôpital central, La Force du destin et même Les Simpson où elle prête sa voix à Maggie Simpson mais également à sa propre personne[39],[40]. Les Pierrafeu (1994), produit par Steven Spielberg, est son dernier film et en 2003, après avoir tourné dans un épisode de la série Dieu, le diable et Bob elle annonce mettre un terme définitif à sa carrière[12].

Elizabeth Taylor (1987).

Depuis le début des années 1980, elle réside à Bel Air en Californie où habite l'un de ses amis Michael Jackson, qu'elle a défendu et soutenu lors de ses deux accusations d'abus d'enfants pour lesquelles il a été respectivement relaxé et acquitté[41],[42]. Elle est d'ailleurs la marraine de ses deux enfants Paris Jackson et Prince Michael Jackson I[12].

En novembre 2004, elle annonce avoir reçu un diagnostic d'insuffisance cardiaque : une anomalie de la fonction cardiaque est responsable de l'incapacité du myocarde à assurer un débit cardiaque suffisant pour couvrir les besoins énergétiques de l'organisme. Ces problèmes de santé s'inscrivent dans une longue série : elle s'est brisée le dos à cinq reprises et a dû être hospitalisée pour deux pneumonies ainsi que pour un cancer de la peau et également pour une tumeur au cerveau[12]. Souffrant d'une ostéoporose et née avec une scoliose, elle utilise aujourd'hui un fauteuil roulant pour ses déplacements[43].

Le 6 avril 2008, elle est conduite d'urgence au Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles et a été prise en charge immédiatement avant de rentrer chez elle plus tard dans la journée. Son publiciste Dick Guttman a déclaré à la presse : « Mme Taylor va bien. Les rumeurs qui ont démarré en Angleterre sur sa santé sont spectaculaires, alarmistes et fausses. Sa visite à l'hôpital s'effectue par précaution. »[44]

Travail pour l'amfAR

Elizabeth Taylor en 1981

Elizabeth Taylor a consacré beaucoup de temps et d'énergie à la collecte de fonds pour la lutte contre le SIDA. « Je regardais toutes les actualités sur cette nouvelle maladie et je me demandais pourquoi personne ne faisait rien. Et ensuite je me suis rendu compte que j'étais comme eux. Je ne faisais rien pour aider »[45] se souvient l'actrice qui a également aidé au lancement de l'American Foundation for AIDS Research (amfAR), aux côtés du Dr. Mathilde Krim et de médecins et scientifiques[45], après la mort de son ami et partenaire (au cinéma) Rock Hudson en 1985. Aimée du public, elle a réussi à attirer l'attention des médias et toucher des millions de personnes[45]. En 1986, elle est apparue dans quelques spots télévisés dont Men, Women, Sex & AIDS[46] dans le but de sensibiliser sur son action. En 1991, les photos de son huitième mariage avec Larry Fortensky ont été vendues 1 million de dollars, somme reversée ensuite à l'association.

En 1991, elle a fondé sa propre organisation The Elizabeth Taylor AIDS Foundation qui a pour but de recueillir des fonds pour lutter contre la maladie dans le monde entier[47]. Elle a également apporté son soutien à plusieurs événements majeurs, dont la Journée internationale contre le SIDA ainsi que les soirées organisées au Festival de Cannes chaque année. Depuis 2004, c'est Sharon Stone qui préside le gala[12].

On estime qu'en 1999, elle avait contribué à la collecte d'au moins 50 millions de dollars pour financer la recherche contre le SIDA[48]. Elle a été honorée de plusieurs récompenses pour ses activités caritatives[45].

Ses cachets

Année Film Cachet[12]
1942 There's One Born Every Minute 200 $ par semaine
1943 Fidèle Lassie 100 $ par semaine
1946 Le Courage de Lassie 750 $ par semaine
1951 Une place au soleil 1 500 $ par semaine
1952 Ivanhoé 5 500 $ par semaine
1956 Géant 175 000 $
1958 La Chatte sur un toit brûlant 4 750 $ par semaine
1959 Soudain l'été dernier 500 000 $
1960 La Vénus au vison 150 000 $
1963 Cléopâtre 1 000 000 $ + 10% des bénéfices
1965 Le Chevalier des sables 1 000 000 $
1966 Qui a peur de Virginia Woolf ? 1 000 000 $ + 10% des bénéfices
Elizabeth Taylor in London 250 000 £
1967 la Mégère apprivoisée 50% des bénéfices
Les Comédiens 500 000 $
1968 Boom 1 250 000 $
Cérémonie secrète 1 000 000 $
1970 Las Vegas, un couple 1 250 000 $
1979 Winter Kills 100 000 $
1980 Le miroir se brisa 250 000 $
1987 Poker Alice 500 000 $
1994 Les Pierrafeu 2 500 000 $

Vie privée

Mariages

Liée à l'acteur Montgomery Clift par une longue « amitié amoureuse » sans espoir (en raison de l'homosexualité de l'acteur), Elizabeth Taylor fut mariée huit fois avec sept hommes différents[49] :

De ses différentes unions, Elizabeth Taylor a eu plusieurs enfants :

  • avec Michael Wilding :
  • avec Michael Todd :
    • Elizabeth Frances Todd, surnommée Liza (née le 6 août 1957) ;

En outre, durant son mariage avec Eddie Fisher, en 1964, elle entama avec celui-ci des démarches visant à l'adoption d'une petite fille, qui fut en fin de compte adoptée par Taylor et Burton : Maria Burton (née le 1er août 1961).

Autres intérêts

La passion des bijoux

Sa passion pour la joaillerie est connue. Elle est d'ailleurs l'une des clientes du fabricant de bijoux Shlomo Moussaieff[16][réf. incomplète]. L'une des phrases que l'on cite d'elle est même : « Dans la vie, il n'y a pas que l'argent. Il y a aussi les fourrures et les bijoux[16] ». Au fil des ans, elle acquiert plusieurs bijoux connus, comme le Krupp Diamond de 33,19 carats, ou encore le Taylor-Burton Diamond de 69,42 carats en forme de poire que portait Grace Kelly et offert par son mari lors de son 40e anniversaire[50]. Après leur divorce, il est vendu aux enchères en 1978 pour la somme de 5 000 000 dollars US, qui sont utilisés pour construire un hôpital au Botswana[50],[51]. Burton lui a également acheté, à l'occasion de la Saint Valentin en 1969, La Peregrina Pearl. Cette perle de 50 carats avait appartenu autrefois à Marie Ire d'Angleterre, dont Burton avait acquis le portrait où elle portait ce même bijou. Au moment de son acquisition, le couple découvre que le National Portrait Gallery à Londres n'a pas de peinture originale de Marie et décide de l'offrir donc à la galerie[52],[53]. Sa collection de bijoux a été répertoriée et photographiée par John Bigelow Taylor dans son livre My Love Affair with Jewelry sortie en 2002. Elizabeth Taylor a également conçu des bijoux et lancé trois parfums, Passion, White Diamonds (qui fait partie des 10 meilleurs ventes de parfums de la décennies 1990) et Black Pearls, qui lui ont fait gagner près de 200 000 000 dollars US.

Conversion au judaïsme et adhésion au Centre de la Kabbale

Elizabeth Taylor est née dans une famille adepte du mouvement religieux de la Science chrétienne. Lors de sa venue à Hollywood, la jeune femme n'était pas croyante. Néanmoins, lorsqu'elle commence à fréquenter Nicky Hilton, son premier mari, elle se convertit au catholicisme[54].

En 1952, elle joue le rôle d'une jeune fille juive dans Ivanhoé et sept ans plus tard elle se convertit au judaïsme. Dans son autobiographie Elizabeth Takes Off, elle déclare que « ça n'a absolument rien à voir avec mon passé. Mes deux maris Mike Todd et Eddie Fisher étaient tous les deux juifs, mais j'avais voulu le devenir avant[55],[56]. »

Début 1959, elle se convertit au Temple Israël à Hollywood, au grand désespoir de ses parents, et reçoit le nom hébreu de Elisheba Rachel[57]. Cependant la passion qu'elle a pour cette religion diminue rapidement, et elle n'est allée qu'une fois à la synagogue, sans jamais renoncer pour autant à porter sa croix[57]. Des années plus tard, elle commence à s'intéresser à la spiritualité, à Dieu et à la prière[58],[59].

En 1998, elle participe à une cession de 200 dollars US à 300 dollars US du Centre de la Kabbale[60]. Ce mouvement spirituel repose principalement sur la lecture du Zohar, dont une version originale reliée en vingt-trois volumes est vendue par le centre. Cette pratique est fortement contestée par de nombreux rabbins qui y voient non seulement une appropriation mercantile de leur patrimoine culturel mais également une dérive sectaire[61],[62]. Comme Elizabeth Taylor, de nombreuses stars ont affirmé leur appartenance à ce mouvement comme Madonna, Tippi Hedren ou Demi Moore.

Popularité

Aujourd'hui, Elizabeth Taylor reste une actrice des plus connues et il existe de nombreuses références à l’actrice ou aux rôles qu’elle incarna dans la culture populaire. Depuis 1975, onze documentaires ont été réalisés sur elle[63]. En 1995, un téléfilm, Liz: The Elizabeth Taylor Story, a ainsi retracé sa vie avec Sherilyn Fenn dans le rôle titre. Elle a également fait la couverture de 227 magazines[63].

Deux ans auparavant, Matt Groening le créateur des Simpson lui rend hommage dans l'épisode Krusty, le retour. Elle double son propre personnage pendant deux scènes où elle astique ses Oscars et ses diamants.

Elizabeth Taylor apparaît également dans le premier tome des Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin. Dans ce roman, le personnage de DeDe Halcyon-Day rencontre l'actrice lors d'un séjour dans un centre d'amaigrissement.

La robe qu'elle portait pour présenter l'Oscar du meilleur film[64] en 1969, a été vendue aux enchères pour un montant de 167 500 dollars US à Londres en 1995[45]. Les bénéfices ont été reversés à l'amfAR.

Filmographie

Année Titre du Film Réalisateur Rôle Détails
1942 There's One Born Every Minute Harold Young Gloria Twine
1943 Fidèle Lassie (Lassie Come Home) Fred M. Wilcox Priscilla
1944 Jane Eyre (Jane Eyre) Robert Stevenson Helen Burns non créditée[4]
Les Blanches Falaises de Douvres (The White Cliffs of Dover) Clarence Brown Betsy Kenney à 10 ans non créditée[5]
Le Grand National (National Velvet) Clarence Brown Velvet Brown
1946 Le Courage de Lassie (Courage of Lassie ou Blue Sierra) Fred M. Wilcox Kathie Merrick
1947 Mon père et nous (Life with Father) Michael Curtiz Mary Skinner
Cynthia (Cynthia: The Rich, Full Life ou The Rich Full Life) Robert Z. Leonard Cynthia Bishop
1948 Ainsi sont les femmes (A Day with Judy) Richard Thorpe Carol Pringle
La Belle imprudente (Julia Misbehaves) Jack Conway Susan Packett
1949 Les Quatre Filles du docteur March (Little Women) Mervyn LeRoy Amy
Guet-apens (Conspirator) Victor Saville Melinda Greyton
1950 Le Chevalier de Bacchus (The Big Hangover) Norman Krasna Mary Belney
Le Père de la mariée (Father of the Bride) Vincente Minnelli Kay Banks
1951 Allons donc, papa ! (Father's Little Dividend) Vincente Minnelli Kay Dunstan
Une place au soleil (A Place in the Sun) George Stevens Angela Vickers
Quo Vadis (Quo Vadis) Mervyn LeRoy Une prisonnière chrétienne dans l'arène non créditée[65]
1952 Une Vedette disparait (Love Is Better Than Ever ou The Light Fantastic) Stanley Donen Anastacia (Stacie) Macaboy
Ivanhoé (Ivanhoe ou Sir Walter Scott's Ivanhoe) Richard Thorpe Melinda Greyton
1953 La Fille qui avait tout (The Girl Who Had Everything) Richard Thorpe Jean Latimer
1954 Rhapsodie (Rhapsody) Charles Vidor Louise Durant
La Piste des éléphants (Elephant Walk) William Dieterle Ruth Wiley
Le Beau Brummel (Beau Brummell) Curtis Bernhardt Lady Patricia Belham
La Dernière Fois que j'ai vu Paris (The Last Time I Saw Paris) Richard Brooks Helen Ellswirth/Wills
1956 Géant (Giant) George Stevens Leslie Benedict
1957 L'Arbre de vie (Raintree County) Edward Dmytryk Suzanna Drake
1958 La Chatte sur un toit brûlant (Cat on a Hot Tin Roof) Richard Brooks Maggie
1959 Soudain l'été dernier (Suddenly, Last Summer) Joseph L. Mankiewicz Catherine Holly Golden Globe Award
1960 Scent of Mystery ou Holiday in Spain La Vraie Sally Kennedy (non créditée)
La Vénus au vison (BUtterfield 8) Daniel Mann Gloria Wandrous Oscar de la meilleure actrice
1963 Cléopâtre (Cleopatra) Joseph L. Mankiewicz Cléopâtre
Hôtel International (The V.I.P.s ou International Hotel) Anthony Asquith France Andros
1965 Le Chevalier des sables (The Sandpiper) Vincente Minnelli Laura Reynolds
1966 Qui a peur de Virginia Woolf ? (Who's Afraid of Virginia Woolf?) Mike Nichols Virginia Woolf Oscar de la meilleure actrice, BAFTA
1967 la Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew) Franco Zeffirelli Katharina
Doctor Faustus (Doctor Faustus) Richard Burton et Neville Coghill Helen de Troie
Reflets dans un œil d'or (Reflections in a Golden Eye) John Huston Leonora Penderton
Les Comédiens (The Comedians) Peter Glenville Martha Pineda
1968 Boom (Boom!) Joseph Losey Flora 'Sissi' Goforth
Cérémonie secrète (Secret Ceremony) Joseph Losey Leonora
1969 Anne des mille jours (Anne of the Thousand Days ou Anne of a Thousand Days) Charles Jarrott Courtesan (non créditée)
1970 Las Vegas, un couple (The Only Game in Town) George Stevens Fran Walker
1972 Une belle tigresse (Boom!) Brian G. Hutton Zee Blakeley
Under Milk Wood Andrew Sinclair Rozie Probert
Hammersmith Is Out Peter Ustinov Jimmie Jean Jackson
1973 Divorce (Divorce His - Divorce Hers) Waris Hussein Jane Reynolds Téléfilm
Terreur dans la nuit (Night Watch) Brian G. Hutton Ellen Wheeler
Les Noces de cendre (Ash Wednesday) Larry Peerce Barbara Sawyer
1974 Identikit (The Driver's Seat ou Psychotic) Giuseppe Patroni Griffi Lise
Il était une fois Hollywood (That entertainment) Jack Haley Jr
1976 L'Oiseau bleu (The Blue Bird) George Cukor Queen of Light/Mother/Witch/Maternal Love
Victoire à Entebbé (Victory at Entebbe) Marvin Chomsky Edra Vilnofsky Téléfilm
1977 A Little Night Music Harold Prince Desiree Armfeldt
1978 Return Engagement Harold Prince Dr. Emily Loomis Téléfilm
1979 Winter Kills William Richert Lola Comante non créditée[66]
1980 Le miroir se brisa (The Mirror Crack'd) Guy Hamilton Marina Rudd
1981 Hôpital central (General Hospital) Helena Cassadine (3 épisodes) Série télévisée
1983 Between Friends ou Nobody Makes Me Cry Deborah Shapiro Téléfilm
1984 La Force du destin (All My Children) Série télévisée
Hôtel (Hotel) Katherine Cole (Episode Intimate Strangers) Série télévisée
1985 Malice in Wonderland ou The Rumor Mill Louella Parsons Téléfilm
Nord et Sud (North and South) Madam Conti (6 épisodes) Feuilleton Télévisé
1986 Une vie de star (There Must Be a Pony) Marguerite Sydney Téléfilm
1987 Poker Alice Alice Moffit Téléfilm
1988 Toscanini (Il Giovane Toscanini) Franco Zeffirelli Nadina Bulichoff
1989 Sweet Bird of Youth Alexandra Del Lago Téléfilm
1992 Captain Planet and the Planeteers Mère de Todd (Episode A Formula for Hate) Série télévisée
Les Simpson (The Simpsons) Maggie Simpson (épisode 10 : Le Premier Mot de Lisa)
et Elizabeth Taylor (épisode 22 : Krusty, le retour)
Série télévisée
1994 Les Pierrafeu ou The Flinstones – La famille Pierrafeu (The Flinstones Brian Levant Pearl Slaghoople
2001 Drôles de retrouvailles (These Old Broads Beryl Mason Téléfilm
2003 Dieu, le diable et Bob (God, the Devil and Bob) Sarah (Episode God's Girlfriend) Série télévisée

Distinctions

  • La même année, l’American Film Institute, qui lui avait déjà rendu hommage en 1993[68], l’a classée septième des plus grandes actrices de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years… 100 Stars[69].

Récompenses

Année Cérémonie Récompense Film
1957 Golden Globes Special Award[73]
1958 Laurel Award Meilleure Actrice dans un film dramatique[74] L'Arbre de vie
1960 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[73] Soudain l'été dernier
Laurel Award 2e Star Féminine[74]
Meilleure Performance dans un film dramatique[74] Soudain l'été dernier
1961 Academy Award Meilleur actrice[75] La Vénus au vison
Laurel Award 2e Meilleure Performance dans un film dramatique[74]
2e Star Féminine[74]
1963 Laurel Award 2e Star Féminine[74]
1964 Laurel Award 2e Star Féminine[74]
1965 Laurel Award Star Féminine[74]
1966 Laurel Award Star Féminine[74]
3e Meilleure Performance dans un film dramatique[74] Le Chevalier des sables
1967 Academy Award Meilleur actrice[75] Qui a peur de Virginia Woolf ?
BAFTA Awards BAFTA Film Award[76]
Kansas City Film Critics Circle Awards Meilleur actrice[77]
National Board of Review Meilleur actrice[78]
1968 Prix Bambi
1972 Ours d'argent Meilleure actrice Hammersmith Is Out
1974 Golden Globes Henrietta Award[73]
1977 Hasty Pudding Theatricals Woman of the Year[74]
1993 Academy Award Jean Hersholt Humanitarian Award[75]
American Film Institute Award pour l'ensemble de sa carrière[79]
1996 Golden Globes Cecil B. DeMille Award[73]
1998 Screen Actors Guild Award Life Achievement Award[80]
1999 BAFTA Awards Academy Fellowship
2001 Taos Talking Picture Festival Maverick Award[74]

Nominations

Année Cérémonie Nomination Film
1958 Academy Award Meilleur actrice[75] L'Arbre de vie
Laurel Award 4e Star Féminine[74]
1959 Academy Award Meilleur actrice[75] La Chatte sur un toit brûlant
BAFTA Awards Meilleur actrice[76]
1960 Academy Award Meilleur actrice[75] Soudain l'été dernier
1961 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[73] La Vénus au vison
1962 Laurel Award 7e Star Féminine[74]
1966 Golden Globes Henrietta Award[73]
1967 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[73] Qui a peur de Virginia Woolf ?
1968 BAFTA Awards Meilleur actrice[76] Soudain l'été dernier
Laurel Award 7e Star Féminine[74]
1969 Golden Globes Henrietta Award[73]
1971 Laurel Award 7e Star Féminine[74]
1974 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[73] Les Noces de cendre
1994 Razzie Awards Pire Actrice dans un Second Rôle[81] Les Pierrafeu

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

(fr) Elizabeth Taylor, Elizabeth dit tout, Robert Laffont, 1988, 296 p. (ISBN 9782221056486) 
(fr) Donald Spoto, Elizabeth Taylor - Passions d’une vie, Éditions Belfond, 1996 (ISBN 2-7144-3315-4) 
(fr) James Ursini, Elizabeth Taylor, Taschen France, 1996, 192 p. (ISBN 3822823228) 
(fr) Bertrand Meyer-Stabley, La véritable Elizabeth Taylor, Pygmalion Éditions, 2004, 303 p. (ISBN 2-85704-900-5) 
(fr) Kitty Kelley, Elizabeth Taylor : La dernière star, Sylvie Messinger, 1982, 277 p. (ISBN 2865830152) 
(fr) Yann-Brice Dherbier, Elizabeth Taylor. Les images d'une vie, YB Éditions, 2008, 192 p. (ISBN 978-2-355-37014-4) 
(fr) C. David Heymann, Liz : La biographie non autorisée d'Elizabeth Taylor, Presses De La Cité, 1995, 502 p. 
(fr) Hélène Merrick, Elizabeth Taylor, J'ai lu, 1989 
(fr) Philippe Durant, Elizabeth Taylor, Pac, 1986 
(fr) John Russel Taylor, Liz Taylor, France Loisirs, 1991, 220 p. (ISBN 2-7242-6729-x) 
(en) Jerry Vermilye et Mark Ricci, The Films of Elizabeth Taylor, Secaucus, NJ: Citadel Press, 1989 (ISBN 0806511516) 
(en) Susan D'Arcy, The Films of Elizabeth Taylor, New York: Greenhaven Press, Inc., 1978 (ISBN 0825301106) 
(en) Jack Brodsky et Nathaniel Weiss, The Cleopatra Papers, New York: 
(en) James Christopher, Elizabeth Taylor: The Illustrated Biography, Andre Deutsch 
(en) Richard Burton, Meeting Mrs. Jenkins, 1966 
(en) Caroline Lathan et Jeanne Sakol, All About Elizabeth: Elizabeth Taylor, Public and Private, New York: Onyx/Penguin, 1991 
(en) Foster Hirsch, Elizabeth Taylor, New York: Galahad, 1975 
(en) Elizabeth Taylor, Ruth A Peltason et John Bigelow Taylor, Elizabeth Taylor: My Love Affair with Jewelry, Simon & Schuster, 2002, 240 p. (ISBN 0743254384) 
(en) Elizabeth Taylor, Elizabeth Takes Off: On Weight Gain, Weight Loss, Self-Image, and Self-Esteem, New York: G.P. Putnams Sons., 1987 (ISBN 0399132694) 
(en) Alistair Reeve, This Is Liz Taylor 
(en) Ruth Waterbury, Elizabeth Taylor: Her Life, Her Loves, Her Future 
(en) Joan Joseph, For Love of Liz 
(en) Dick Sheppard, Elizabeth - The Life and Career of Elizabeth Taylor 
(en) Tom Hutchinson, Elizabeth Taylor 
(en) Brenda Maddox, Who's Afraid of Elizabeth Taylor? 
(en) Lester David et Jhan Robbins, Richard and Elizabeth 
(en) J. Randy Taraborrelli, Elizabeth, New York: Warner Books, 2006 (ISBN 0446532541) 

Liens externes

Commons-logo.svg

(fr+en) Elizabeth Taylor sur l’Internet Movie Database.


Notes et références

  1. (en) Lester David, Jhan Robbins, Richard & Elizabeth, Funk and Wagnalls, 1977, 242 p. (ISBN 0308102940), p. 59 
  2. a , b , c , d , e , f  et g Elizabeth Taylor - Passions d’une vie - Donald Spoto - Éditions Belfond - 1996 (ISBN 2-7144-3315-4)
  3. a , b , c  et d Les légendes du cinéma : Taylor Elizabeth (1932-)
  4. a  et b (en) Casting complet de Jane Eyre sur IMDb.
  5. a  et b (en) Casting complet de Les Blanches Falaises de Douvres sur IMDb.
  6. a , b , c  et d , Le Cinéma Grande histoire illustrée du 7e art. Volume 6. Éditions Atlas
  7. (en) National Velvet - Box office/Business sur IMDb.
  8. Kitty Kelley, Elizabeth Taylor, la dernière star, Sylvie Messinger, 1982, 277 p. (ISBN 2-86583-015-2), p. 39.
    A la MGM, la petite école de brique rouge vous apprenait à lire et à écrire, mais pas grand-chose d'autre.
     
  9. C. David Heymann, Liz : La biographie non autorisée d'Elizabeth Taylor, Presses De La Cité, 1995, 502 p., p. 96.
    (...) fiancée en février 1950, au moment où elle recevait son diplôme de fin d'études secondaires.
     
  10. Kitty Kelley, Elizabeth Taylor, la dernière star, Sylvie Messinger, 1982, 277 p. (ISBN 2-86583-015-2), p. 38.
    Elle ne laissait jamais Elizabeth s'exprimer par elle-même, se remémorait [George] Stevens. Quand nous déjeunions à la cantine, Mrs Taylor commençait la plupart de ses remarques par "Elizabeth pense que..." ou "Elizabeth dit que...", au point que je devais me retenir de hurler : "Alors pourquoi ne pas la laisser le dire elle-même ?"
     
  11. Heymann, page 116
  12. a , b , c , d , e , f  et g (en) Biographie sur IMDb.
  13. (en) Giant - Box office/Business sur IMDb.
  14. . La fabuleuse histoire de la Metro Goldwyn Mayer en 1714 films, Le Livre de Paris, Odège, 1977, (ISBN 2-245-00616-X)
  15. (en) Raintree County sur IMDb.
  16. a , b  et c (en) Patricia Bosworth, Montgomery Clift: A Biography, New York: Harcourt Brace Jovanovich (ISBN 0151621233) 
  17. Site Officiel de Montgomery Clift
  18. (en) Cat on a Hot Tin Roof sur IMDb.
  19. « Mankiewicz » interview par Alain Carbonnier et Dominique Rabourdin – Cinéma 81 – N°270, juin 1981
  20. (en) Eddie Fisher, Been There, Done That, 1999 (ISBN 0-312-20972-X) 
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  23. a , b  et c (en) Susan D'Arcy, The Films of Elizabeth Taylor, New York: Greenhaven Press, Inc., 1978 (ISBN 0825301106) 
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  35. (en) The Taming of the Shrew sur IMDb.
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  37. Reportage: Elizabeth Taylor décorée par Jack Lang, France 3 - 13 septembre 1985
  38. Le mariage d'Elizabeth Taylor et Larry Fortensky
  39. a  et b (en) Filmographie sur IMDb.
  40. Elizabeth Taylor in The Simpson
  41. Elizabeth Taylor defends Michael Jackson
  42. About Michael Jackson - What others say
  43. Elizabeth Taylor dismisses reports of illness on 'Larry King Live'
  44. Elizabeth Taylor va mieux : sa famille, ses amis et ses bijoux lui remontent le moral à l'hôpital...
  45. a , b , c , d  et e (en) Dame Elizabeth Taylor sur amfar.org.
  46. (en) Men, Women, Sex & AIDS sur IMDb.
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  50. a  et b The Taylor-Burton Diamond, by DiamonDiva
  51. Famous Diamonds
  52. Elizabeth Taylor / Trivia / Divas - The Site / Acting Divas
  53. NPG 4861; Queen Mary I
  54. Kitty Kelley, Elizabeth Taylor, la dernière star, Sylvie Messinger, 1982, 277 p. (ISBN 2-86583-015-2), p. 43.
    [Nicky Hilton] semblait très attaché à sa religion - à tel point que Sara [Taylor] encouragea Elizabeth à se convertir au catholicisme pour pouvoir l'épouser à l'église.
     
  55. Susan Sackett, « The Hollywood Reporter Book of Box Office Hits, Billboard Publications »: New York (1990), page 102
  56. Elizabeth Taylor, « Elizabeth Takes Off ».
  57. a  et b Ellis Auburn, « The Most Beautiful Woman in the World: The Obsessions, Passions, and Courage of Elizabeth Taylor », HarperCollins Publishers: New York, NY (2000), pages 114-115.
  58. Tim Boxer, « Joey Adams as Reverso Marrano: Jewish Celebrity & Secret Christian » sur 15 Minutes Magazine.com
  59. The Religious Affiliation of Actress Elizabeth Taylor
  60. Ellis Auburn, « The Most Beautiful Woman in the World: The Obsessions, Passions, and Courage of Elizabeth Taylor », HarperCollins Publishers: New York, NY (2000), page 300.
  61. ABC News 17 juin 2005
  62. BBC News 9 septembre 2004
  63. a  et b (en) Publicités sur IMDb.
  64. Macadam cowboy de John Schlesinger avec Dustin Hoffman
  65. (en) Casting complet de Quo Vadis sur IMDb.
  66. (en) Casting complet de Winter Kills sur IMDb.
  67. (en) Liz Taylor décoré par Jack Lang sur l'Institut national de l'audiovisuel.
  68. (en) Elizabeth Taylor sur AFI.com.
  69. (en) « AFI's 100 Years...100 Stars » sur AFI.com.
  70. (fr) Elizabeth Taylor est la plus belle sur Allocine.fr.
  71. (en) « Mann's Chinese Theater Imprints » sur Screen Source. Consulté le 4 novembre 2008.
  72. (en) « Hollywood Walk of Fame » sur Hollywood & Los Angeles.
  73. a , b , c , d , e , f , g , h  et i Elizabeth Taylor sur Golden Globe Award
  74. a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l , m , n , o  et p (en) Récompenses sur IMDb.
  75. a , b , c , d , e  et f Elizabeth Taylor sur le site des Academy Awards
  76. a , b  et c Taylor&w=true Elizabeth Taylor sur British Academy of Film and Television Arts
  77. KCFCC Award Winners 1966-1969
  78. Elizabeth Taylor sur nbrpm.org
  79. Elizabeth Taylor sur American Film Institute
  80. SAG to Honor Finest Performances of 2008 at the 15th Annual Screen Actors Guild Awards® sur Screen Actors Guild Award
  81. Razzie Awards 1994
  • Portail du cinéma Portail du cinéma
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