Culture campaniforme

Culture campaniforme
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Culture campaniforme
Vase en argile noire, décoré de motifs géométriques incisés rehaussés d'une pâte blanche (Castille, entre 1970 et 1470 av. J. Chr.)
Vase en argile noire, décoré de motifs géométriques incisés rehaussés d'une pâte blanche (Castille, entre 1970 et 1470 av. J. Chr.)
Site ou région éponyme
Auteur Vere Gordon Childe
Répartition géographique Europe de l'Ouest
Période vers 3000 av. J. Chr.
Chronologie
Subdivisions *
  • campaniforme AOO et AOC
  • campaniforme régional
Object(s) typique(s) vases et gobelets en forme de cloche
Type humain associé Homo Sapiens Sapiens
Tendance climatique
Beaker culture.png
Aire de répartition géographique approximative de la culture campaniforme
Cultures archéologiques - Tableau synoptique |  v · Énéolithique et le Bronze ancien européen. Elle doit son nom aux gobelets céramiques en forme typique de cloche retrouvés dans les sépultures.

Sommaire

L'ensemble campaniforme

Le campaniforme est un phénomène surtout connu par la découverte de sépultures. L’objet campaniforme de référence est donc le vase. On peut distinguer en fait deux types de céramiques campaniformes :

  • La céramique campaniforme standard, de très bonne facture, que l'on retrouve surtout dans les tombes. Elle a un profil en S et est très bien décorée.
  • La céramique plus brute, beaucoup moins décorée, que l’on nomme Begleitkeramik ; le profil reste en S mais il y a de grandes variations dans les formes comme dans la décoration, qui est moins soignée, voire inexistante. Celle-ci se retrouve dans les habitats et on lui prête un usage domestique (cuisson stockage ou transport de denrée alimentaire).

La céramique est en principe de bonne qualité. Souvent à fond plat, le col et la panse ont la même largeur. On trouve d’autres type de vase, tel des écuelles ou des coupes à pieds. Le décor est rectilinéaire et s’organise en bandes horizontales parallèles et étroites. Le fond peut être agrémenté de chevrons, de hachures ou de pointillés, de motifs en croix. Les décors sont réalisés à l’aide de peigne ou de coquillage. La couleur varie de l'orangé au marron.

On a tenté de définir un ensemble (« set » ou « package ») campaniforme, composé d’objets types souvent retrouvés avec les vases quel que soit le lieu. On retrouve souvent des pendentifs en forme de croissant de lune, en os, des boutons perforé en V, ainsi que des objets de métal, tels que des perles ou des poignards en cuivre. Tout un équipement d’archer est souvent aussi retrouvé dans les tombes campaniformes : armatures de flèches à aileron en silex, brassards en pierres.

Origines incertaines

Certains auteurs ont avancé[1] que la culture campaniforme possède des origines ibériques, d'autres penchent plutôt pour une continuation de la Culture de la céramique cordée, avec comme origine de la diffusion la région du Rhin[2].

Une troisième hypothèse due à Marija Gimbutas établit un lien entre la culture campaniforme et des cultures d'Europe centrale dans leur ensemble qui auraient été « kourganisées » après l'incursion de tribus des steppes venues de la mer Noire (culture des kourganes).

Aire géographique

L'aire de répartition de la culture campaniforme est vaste mais dispersée, couvrant principalement l'Europe de l'Ouest (voir la carte). On notera des axes de pénétration probables suivant des fleuves comme le Rhin, le Rhône, le Danube (jusqu'au bassin de Vienne, avec aussi des traces sur les côtes de Sardaigne et de Sicile et au Maroc. Variant au cours du temps, l'aire de répartition géographique de la culture campaniforme se développe initialement à partir d'un foyer situé vraisemblablement en Ibérie ou en Allemagne, puis se maintient à la fin plus longtemps dans les îles Britanniques.

Interprétations

Objets caractéristiques de la culture campaniforme

Première interprétation : la migration massive

Le regroupement de populations sous le nom commun de culture campaniforme se définit au début par rapport à l'utilisation commune d'un style particulier de poterie, en forme de cloche inversée (voir photo). Leur utilité pourrait avoir un lien avec la consommation d'hydromel ou de bière. Du fait de la forme inhabituelle et pratiquement inchangée des poteries sur toute l'aire de répartition géographique de la culture campaniforme, cette dernière a donc été attribuée au début à un seul et même groupe de peuplement, qui aurait diffusé en Europe. Diffusion par migration donc, et non par acculturation. Au début du XXe siècle, les poteries campaniformes ont donc été perçues comme l'élément d'une seule population, qui à travers des vagues d'invasion répétées, apporta avec elle le travail du métal, les enterrements en position fœtale et les tumulus, remplaçant les précédentes populations néolithiques qui vivaient là. Vere Gordon Childe décrivait les campaniformes comme des « envahisseurs guerriers imprégnés avec des habitudes dominantes et une appréciation des armes et des ornements en métal qui les ont inspirés en vue d'imposer une unité politique suffisante sur leur nouveau domaine pour quelque unification économique à suivre ».

Deuxième interprétation : la diffusion culturelle

Le premier genre d'interprétation (du type Childe) est aujourd'hui abandonné, tant elle réduit un certain nombre de changements culturels à une seule et même cause, et ce sur une période de plusieurs centaines d'années. En effet, il n'y a pas nécessairement de corrélation entre une culture archéologique et un groupe ethnique précis, comme il n'y a pas non plus forcément de relation bijective entre des objets typiques issus de fouilles archéologiques et un seul groupe de population. En fait, tout matériel culturel ou toute innovation technologique peut très bien se répandre indépendamment d'une population d'origine, par diffusion culturelle suivie d'un phénomène d'acculturation. Il peut s'agir d'une diffusion de proche en proche, de populations voisines en populations voisines, mais aussi d'une diffusion à plus ou moins longue distance suivant les réseaux d'échanges déjà en place à l'époque du Néolithique, par exemple avec l'ambre, l'obsidienne ou le sel. Un bon exemple pourrait être celui des échanges liés à la production et à la consommation de bière, comme ceux démontrés par des trouvailles faites le long des routes de l'Europe atlantique. Des analyses de pollens, associées aux mouvements des campaniformes, indiquent une plus grande croissance de l'orge, qui peut être associée au brassage de la bière.

Certains archéologues notent que la distribution géographique éparse du campaniforme suit principalement des axes de transports, incluant des passages à gué, des vallées fluviales, des passages montagneux… Le tout suggérant que le style paneuropéen du campaniforme pourrait être originellement dû à des marchands de bronze, qui se seraient établis parmi des populations locales du Néolithique ou du Chalcolithique, créant ainsi un nouveau style local. Une analyse fine des outils de bronze en usage au campaniforme suggère une première source ibérique du cuivre, suivi par la suite d'utilisation de minerais d'Europe centrale et de Bohême ; ceci suppose une extension en deux temps de la culture campaniforme, initialement venue du sud-ouest de l'Europe, puis s'étendant ensuite à partir de l'Europe centrale. Lanting[3] suggéra à propos de la deuxième vague de diffusion, que le Campaniforme émergea du delta du Rhin à partir de la culture de céramique cordée.

Thèse des origines hollandaises

Les archéologues hollandais Lanting et Van der Waals[4] ont tenté d’établir une relation entre la céramique cordée et la céramique campaniforme : étaient-elles contemporaines ou s’inscrivent-elles en continuité ? La cordée est une culture archéologique très étendue en Europe. Ils ont établi un schéma de continuité entre les différents types de vases, grâce aux découvertes réalisées dans la vallée du Rhin, mais aussi remarqué des ressemblances dans les sépultures. Pour eux, le campaniforme aurait progressivement remplacé la céramique cordée. Les deux cultures auraient cependant été contemporaines pendant quelque temps. Walls établit une chronologie relative grâce à la typologie :

  1. Vases AOO (All over ornamanted) et AOC (All over cord impressed) du Néolithique final
  2. Gobelet maritime ou international
  3. Régionalisation et complexification du campaniformes

Les deux grandes phases

Les archéologues (comme Salanova) ont désormais plutôt tendance à distinguer deux grandes phases :

  1. le campaniforme est homogène dans toute l’Europe (dans sa forme, ses décors et sa couleur), c’est le standard dont les formes AOO et AOC, linéaires ou maritimes sont des variantes (pour la France c’est dans la zone bretonne que l’on retrouve le plus d’exemple)
  2. un campaniforme beaucoup plus varié autant dans la forme (on retrouve des coupes, des écuelles ou des pichets campaniformes) que dans la couleur, qui peut être plus vive allant du brun au rouge. C’est la phase de régionalisation (pour la France c’est dans le sud que l’on retrouve le plus d’exemples).

Le flux et le reflux

La théorie du flux et reflux a aussi été développée par Sangmeister[5] : naissance en Ibérie, diffusion le long de l'océan Atlantique, pendant la première phase, puis fusion avec la céramique cordée et nouvelle diffusion pendant la deuxième phase qui a fait naître les styles régionaux (ce qui expliquerait que la Bretagne compte plus des vases de première phase et le sud, de deuxième). En réalité, ces hypothèses bien que cohérentes, paraissent assez schématiques face à la complexité du phénomène.

Un système de diffusion bien plus complexe

L’hypothèse la plus complète quant à la diffusion du campaniforme est sans doute celle des réseaux de diffusions de A. Gallay[6]. Pour lui, la diffusion du campaniforme résulte de mouvements complexes de populations et de phénomènes sociaux et commerciaux. Il reprend les deux grandes phases du mouvement de diffusion mais y distingue six réseaux de relations :

  • Il distingue deux réseaux dans la première phase de diffusion :
  1. diffusion des gobelets AOC à travers le couloir rhodanien, jusqu’au sud de la France
  2. diffusion des gobelets maritimes le long de la façade atlantique (Pays-Bas, Bretagne, jusqu’au Portugal)
  • Quatre réseaux existent dans la seconde phase :
  1. expansion de la Begleitkeramik par de petits groupes avec une autonomie culturelle
  2. expansion des campaniformes septentrionaux, régionalisation du campaniforme dans les Pays-Bas où se développe un bloc culturel cohérent que certain voient comme la seule vraie culture campaniforme. Possibilité de migration vers la Grande-Bretagne
  3. le développement des campaniformes ibériques, issus des campaniformes maritimes. Il y a des contacts jusqu’en Afrique et dans le midi
  4. expansion des campaniformes rhodano-rhénans (forte proportion de céramique domestique)

Tout cela confirme donc la thèse selon laquelle le campaniforme ne représenterait pas une culture homogène, et encore moins un peuple, mais plusieurs groupes étrangers. Le campaniforme n’est pas un bloc figé.

Un phénomène unitaire ?

Les squelettes retrouvés dans les sépultures contenant des vases campaniformes ont une morphologie très voisine, même à des endroits éloignés. Le crâne est très rond, l’occipital aplati, de grande taille. Ils étaient très différents des hommes du Néolithique final. Certains se sont donc posé la question de savoir si, au-delà d’une culture, il ne s’agissait pas d’un peuple. Menk défend même la thèse d’une humanité campaniforme. Mais bien que ces hypothèses ne soient pas totalement écartées, on pense désormais que ces similitudes sont dues à un changement de climat et donc d’alimentation. Le temps devient plus sec, avec une augmentation de la température de 1 à 2 °C. Plutôt qu’une même population culturelle homogène, on pense à plusieurs groupes.

Une analyse récente au strontium, réalisée sur 86 personnes dans des tombes campaniformes en Bavière, suggère que 18 à 25 % des tombes furent occupées par des gens qui venaient de zones très distantes du point d'enterrement. Ceci est aussi bien vrai pour les adultes que pour les enfants, ce qui semble indiquer une migration non négligeable, avec brassage de population (migration non invasive). D'après des similarités avec des populations vivant dans les lœss, la direction générale du mouvement d'après Price et ses collaborateurs, serait du nord-est vers le sud-ouest [7].

Quoi qu'il en soit, malgré les interprétations divergentes, les archéologues pensent dans leur ensemble que la population campaniforme n'existait pas en tant que groupe homogène, mais qu'il s'agit là d'une culture ou de connaissances qui se sont transmises de manière lente et complexe entre différents groupes, par échanges, acculturation, brassage de population… plus que par une migration massive d'un groupe qui en remplacerait d'autres. Cette théorie non-invasive fut proposée en premier par Colin Burgess et Steve Shennan au milieu des années 1970, et il est maintenant admis de voir la culture campaniforme comme le reflet d'un ensemble de connaissances (incluant des croyances religieuses, le travail du cuivre, du bronze et de l'or) et d'artefacts (incluant des dagues en cuivre, des boutons perforés en V et des protège-poignets en pierre pour archers) adoptés par les populations indigènes à des degrés variables. La culture campaniforme reste un phénomène fort complexe car largement répandu dans l'espace et dans le temps.

L’archer d’Amesbury en Grande-Bretagne

Le 3 mai 2002, les archéologues de Wessex Archaeology ont découvert la tombe d’un homme ayant vécu 2 300 ans avant J.-C., date correspondant au Bronze ancien en Grande-Bretagne. La tombe a été trouvée à une distance de cinq kilomètres de Stonehenge, près d'Amesbury dans le Wiltshire[8].

La tombe contenait plus de 100 objets, ce qui constitue la plus riche collection d’objets jamais retrouvée pour cette période. Deux tresses de cheveux d'or, trois couteaux de cuivre, des pointes de flèche en silex, des protections pour les poignets et cinq céramiques campaniformes ont notamment été retrouvés.

Des tests effectués sur l’émail dentaire de l’archer d’Amersbury montrent qu'il était originaire des régions alpines, probablement de Suisse, d'Autriche ou d'Allemagne. Les couteaux de cuivre retrouvés dans sa tombe provenaient d'Espagne et de France. Les tests prouvent également que les tresses de cheveux d'or trouvées dans sa tombe sont les objets d'or les plus anciens trouvés à ce jour en Grande-Bretagne.

L'archer était apparemment un homme important et comme il a vécu durant la période correspondant au début de l'édification du fameux monument mégalithique de Stonehenge, les archéologues pensent qu'il a pu être impliqué dans la création de l'édifice.

Le Dr Andrew Fitzpatrick de Wessex Archaeology, a indiqué que « Durant cette période, la Grande-Bretagne a connu de grands changements avec l'arrivée sur l'île en provenance du continent des savoir-faire nécessaires au travail des métaux. Ce qui explique la construction de grands monuments tels que Stonehenge. Nous pensions depuis longtemps que ce sont des hommes du continent européen qui avaient organisé les échanges et amené avec eux pour la première fois en Grande-Bretagne les savoir-faire métallurgiques. La découverte de l'archer sur le sol anglais est important à cet égard et confirme cette thèse. Il devait être sans doute un personnage très important dans la région de Stonehenge et il est fascinant de penser qu'un étranger – probablement originaire de la Suisse actuelle – a pu jouer un rôle important dans la construction du site archéologique le plus célèbre de la Grande-Bretagne. »

La présence de la tombe de l’archer d’Amersbury semble donc être liée de près à l’érection des pierres de Stonehenge. Peut-être a-t-il joué un rôle clef dans la construction du monument ? Peut-être a-t-il été attiré vers le sud de l’Angleterre à cause de la construction du monument ? Il n’a pas été possible d’établir un lien de cause à effet entre l’archer et Stonehenge. Ce qui semble certain, c’est que la présence de sa tombe prouve que ce personnage avait un lien fort avec la construction de Stonehenge ainsi qu’avec celle de Woodhenge, Durrington Walls ou Avebury, et que son arrivée indiquerait une origine alpine de la culture campaniforme anglaise.

Évolution

À partir du XXIIIe siècle av. J.‑C., elle se diffuse durant trois siècles environ de la péninsule Ibérique à la Vistule (Cracovie) et aux îles Britanniques (Beakers). Ses populations s’intègrent rapidement aux groupes locaux, apportant une nouvelle idéologie axée sur l’individualisme et la reconnaissance du pouvoir social.

Les tombes renfermant des gobelets campaniformes auraient appartenu à des archers équipés de flèches, de protège-poignets, parfois de poignards en cuivre à manche plat et de parures en or (boucles d’oreilles…). Il semble qu’ils utilisaient des mors et qu’ils introduisirent le cheval en occident.

Succession

Au XIXe siècle av. J.‑C. :

  • La culture de la Polada en Italie du nord d’influence unéticienne succède de -1900 à -1200 à la brillante culture de Remedello et à la culture campaniforme qui lui a succédé. Elle contrôle le commerce de l’Adriatique vers les cols alpins.
  • Civilisation du Wessex en Grande Bretagne. Elle résulte de la fusion d’importants groupes campaniformes et de nouveaux arrivants qui les dominent ou les colonisent, attirés par les gisements de cuivre et d’étain de la Cornouaille.

Références

Notes

  1. Voir les pages numérotées 21,22 et 26 dans la thèse de Master de Natasha Grace Bartels, A Test of Non-metrical Analysis as Applied to the 'Beaker Problem', University of Albeda, Department of Anthropology, 1998 [PDF]
  2. J.P. Mallory, "Beaker Culture", Encyclopedia of Indo-European Culture, p.53, Fitzroy Dearborn, 1997
  3. Lanting et van der Waals, (1976), "Beaker culture relations in the Lower Rhine Basin" in Lanting et al. (Eds) "Glockenbechersjmposion Oberried l974". Bussum-Haarlem: Uniehoek n.v.
  4. Lanting A. E., Lanting J. N., Van der Waals J. D. Die Becherkulturen im nordwestdeutsch-höllandischen Gebiet und ihre gegenseitigen Beziehungen, 1971.
  5. Sangmeister E. (1963) – « Exposé sur la civilisation du vase campaniforme », in : Les civilisations atlantiques du Néolithique à l'Âge du Fer, Actes du Premier Colloque Atlantique, Brest 1961, Rennes : Laboratoire d’anthropologie préhistorique, 1963, p. 25-56.
  6. Gallay A. « L’énigme campaniforme », in Rhône-Alpes A404 : l’énigmatique civilisation campaniforme, Archeologia (Dijon), hors série 9, 1997-1998.
  7. T. D. Price, G. Grupe, P. Schröter : « Migration in the Bell Beaker period of Central Europe », Antiquity 72, pp. 405–411, 1998. [1] [PDF]
  8. The Amesbury Archer (en)

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • (en) Tim Darvill : Oxford Concise Dictionary of Archaeology, OUP, 2003.
  • (en) J.P. Mallory : Beaker Culture, Encyclopedia of Indo-European Culture, Fitzroy Dearborn, 1997.
  • HARRISON R. J., L’Age du cuivre, la civilisation du Vase Campaniforme, Errance, 1986
  • SALANOVA L. La question du campaniforme en France et dans les îles Anglo-Normandes, éd. du CTHS, société préhistorique française 2000



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