Claret (Alpes-de-Haute-Provence)

Claret (Alpes-de-Haute-Provence)
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44° 22′ 22″ N 5° 57′ 23″ E / 44.3727777778, 5.95638888889

Claret
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Canton La Motte-du-Caire
Code commune 04058
Code postal 05110
Maire
Mandat en cours
Évelyne Faure
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers
Démographie
Population 218 hab. (2008)
Densité 10 hab./km²
Gentilé Claretiers
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 22″ Nord
       5° 57′ 23″ Est
/ 44.3727777778, 5.95638888889
Altitudes mini. 528 m — maxi. 1254 m
Superficie 21,04 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Claret est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Claretiers.[1]

Sommaire

Géographie

Le village est situé à 610 m d’altitude[2].

La commune est bordée par la Durance.

Sommets : Mont Chaillans ; Crêt de la Pare

Communes limitrophes

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[3].

Géologie

Article connexe : Géologie des Alpes.
Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne

Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[4] :

  • la nappe de Digne à l'est[5], au niveau du lobe de Valavoire[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
  • la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
  • le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).

Climat

Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.

Claret n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].

Relevé météorologique de la région de Tallard
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8
Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2
Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477
Source : Relevé météo de Tallard[8]
Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D
 
 
33
 
6
-3
 
 
29.4
 
8
-2
 
 
28.9
 
12
1
 
 
43.4
 
15
3
 
 
38.7
 
19
7
 
 
40.9
 
24
10
 
 
33.3
 
27
13
 
 
36.7
 
27
13
 
 
46.2
 
22
10
 
 
63.7
 
17
6
 
 
48.8
 
10
1
 
 
34
 
7
-1
Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm)

Toponymie

La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XIIe siècle (de Clareto). Selon Charles Rostaing, le nom est tiré de la racine oronymique (désignant une montagne) *Kl-. Ernest Nègre explique le nom en liaison avec le torrent de Claret : Claret signifierait ruisseau assez clair[9],[10].

Histoire

La communauté est citée dès le XIIe siècle (Claretum). Le fief relève des d’Agoult au XIVe siècle, puis des Castellane[11].

Une mine de plomb est exploitée à partir de 1525[12].

Michel de La Torre signale des « troubles » en 1588, lors des guerres de religion[2].

Un bac permettant de traverser la Durance existe de 1791 à 1865[13]. En 1793, le château est mis aux enchères pour démolition[14]. Enfin, la commune est brièvement chef-lieu de canton au début de la Révolution[15].

Politique et administration

Administration municipale

De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de onze membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[16]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Evelyne Faure a été réélue conseillère municipale avec le huitième total de 112 voix, soit 86,47 % des suffrages exprimés. La participation a été de 77,78 %. Elle a ensuite été nommée maire par le conseil municipal[17].

Listes des maires

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1977 (?)   Edmond Philip[18]    
mars 2001  ? Marie-Laure Espie    
 ? en cours Évelyne Faure[19],[20]    

Intercommunalité

Claret est l'une des 13 communes de Communauté de communes de la Motte-Turriers[21]. La communauté de commenes est elle même adhérente à l'association du Pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communauté de communesCommunauté de communes de la Motte-Turriers[22] comprenant ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2

Instances administratives et judiciaires

Claret est l'une des treize communes du canton de La Motte-du-Caire, qui totalise 2 359 habitants en 2008. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Claret fait partie du canton de La Motte-du-Caire depuis 1801, après avoir fait partie du canton de Claret de 1793 à 1801[15]. La commune fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[23].

Fiscalité locale

L'imposition des ménages et des entreprises à Claret en 2009[24]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 2,36 % 0,64 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 31,42 % 2,25 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 46,98 % 6,44 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 11,16 % 1,28 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[25]).

Population et société

Démographie

Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006.

Comme de nombreuses communes du département, la commune a connu un exode rural. La commune a régulièrement perdu de la population entre 1831 et 1954, puis a connu un croissance importante, avec une population multipliée par deux en près de quarante ans.

Évolution démographique
Années 1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
Population 78 feux 39 feux 372 465 430 415 402 499 395 396
Années 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
Population 386 349 374 380 368 348 324 332 329 320
Années 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 311 310 296 300 224 200 211 197 150 128
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 -
Population 150 145 140 132 189 249 227[26] 224[27] 218[28] -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[11] ; Insee[29], EHESS[15] pour les chiffres issus des recensements légaux


Enseignement

La commune dispose d'une école primaire publique[30],[31]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[32]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[33],[34].

Santé

La commune ne dispose ni de structures ni de personnel médicaux. À proximité on trouve un médecin à Monêtier-Allemont1,7 km) et aussi à La Motte-du-Caire6,7 km)[35]. La pharmacie se trouve également à La Motte-du-Caire ou à La Saulce7,4 km)[36]. L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de Manosque[37].

Économie

Une activité de valorisation de l’argousier a été créée à Claret, pour exploiter ses propriétés organoleptiques, que l’on retrouve dans son jus et dans son huile.

Agriculture

La commune de Claret ne possède aucun label Appellation d'origine contrôlée (AOC) mais neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[38].

Miel de Provence

Miel de lavande

Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[39]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[40]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[41].

Agneau de Sisteron

Agneau de Sisteron élevé sous sa mère

L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[42], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[43]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[44].

Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[45].

Pommes des Alpes de Haute-Durance

Golden et gala

Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée, qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[46].

Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[47].

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

L’église paroissiale, Saint-Pierre date des XVe et XVIe siècles pour les parties les plus anciennes : clocher dont la flèche est flanquée de pyramidions, apparenté à l’art alpin[48], portail. Ruinée pendant les guerres de religion, elle est reconstruite à partir de 1599[49], les travaux étant repris en 1641-1650[50] ; elle a été très fortement restaurée au XIXe siècle[2]. Une chapelle Notre-Dame se trouve au hameau des Roches[2].

Héraldique

Blason Claret

Blasonnement :
« De gueules à un château en forme de tour, donjonné de trois tourrelles d'or, le tout maçonné de sable. »[51]

Pour approfondir

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969

Liens internes

Liens externes

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Notes et références

  1. (fr) Nom des habitants des communes françaises, Claret sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 10 juin 2011
  2. a, b, c et d Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  3. Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
  4. Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  5. Carte géologique de la France au 1:1 000 000
  6. La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  7. (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
  8. (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
  9. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 123
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales § 20241, p 1072
  11. a et b Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 171
  12. Irène Magnaudeix, Pierres assisses, pierres mouvantes : Usages et représentations de la pierre par les habitants du Haut-Vançon, Mane, Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2004. ISBN 2-906162-73-6, p 122
  13. Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, ISBN 2-906162-71-X, p 56
  14. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
  15. a, b et c EHESS, notice communale de Claret, consultée le 24 juillet 2009
  16. (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
  17. Résultats élections municipales 2008 à Claret sur linternaute.com
  18. Edmond Philip est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1058, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  19. Site de la préfecture des AHP
  20. Évelyne Faure est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de José Bové à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
  21. (fr) Communauté de Communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
  22. (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
  23. (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
  24. (fr) Impots locaux à Claret, taxes.com
  25. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  26. Insee, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 10 janvier 2009
  27. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  28. (fr) Populations légales 2008 de la commune de Claret, INSEE
  29. Claret sur le site de l'Insee
  30. (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
  31. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
  32. (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
  33. (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
  34. (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
  35. (fr) Médecins à proximité de Claret sur pagesjaunes.fr
  36. (fr) Pharmacie à proximité de Claret sur pagesjaunes.fr
  37. (fr) Hôpitaux à proximité de Claret sur pagesjaunes.fr
  38. (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Claret sur INAO
  39. Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
  40. Les apiculteurs en Provence
  41. La transhumance des ruches provençales
  42. Site officiel de l'agneau de Sisteron
  43. Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
  44. IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
  45. Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
  46. (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
  47. (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
  48. Raymond Collier, op. cit., p 193
  49. Raymond Collier, op. cit., p 169
  50. Raymond Collier, op. cit., p 233
  51. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994

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