Château de hohenzollern

Château de hohenzollern

Château de Hohenzollern

Château de Hohenzollern

Vue générale du château
Vue générale du château

Présentation
Nom local Burg Hohenzollern
Période ou style Néo-gothique
Type Château fort
Début construction vers 1000 (premier château) puis reconstruction en 1850.
Fin construction vers 1267 (premier château) puis reconstruction jusqu'en 1867.
Propriétaire initial Famille de Hohenzollern
Destination initiale Comtes (jusqu'à 1623), princes (1623-1850), roi (1850-1871), empereurs (1871-1918)
Propriétaire actuel l'État allemand
Géographie
Latitude
Longitude
48° 19′ 23.50″ Nord
       8° 58′ 03.80″ Est
/ 48.3231944, 8.9677222
 
Pays Allemagne
Région historique Bade-Wurtemberg
Commune Bisingen

48° 19′ 23″ N 8° 58′ 04″ E / 48.32313, 8.967806 Le château de Hohenzollern a été la résidence des comtes souabes de Zollern depuis la première moitié du XIe siècle, et est situé près de Stuttgart entre les villes de Hechingen et Bisingen, en Allemagne, au cœur du Jura souabe.

Sommaire

Histoire

Le premier château des Hohenzollern a été bâti au cours de la première moitié du XIe siècle et est mentionné pour la première fois en 1267 exactement. On ignore l'aspect et les dimensions exacts du premier édifice, mais cependant, les fondations mises à jour en 1836 permettent de conclure que le premier château, aussi bien par son importance que par son architecture, constitua à l'époque un ensemble fortifié capable de répondre à toutes les exigences des premiers comtes de Zollern. Le château devint rapidement une sorte d'effigie des Hohenzollern, considéré alors comme « la couronne des châteaux souabes ».

Le château entre 1890 et 1900

À l'issue d'une querelle entre deux comtes des Hohenzollern, le château fut conquis et complètement rasé (sauf trois bas-reliefs de la chapelle). L'empereur Sigismond interdit alors toute reconstruction ultérieure. Quelques temps après, Frédéric III leva l'interdiction de son prédécesseur, ce qui permit au comte Jos Niklas von Zollern de poser la première pierre du second château. Les Zollern du Brandenbourg et de Franconie, les ducs autrichiens et la noblesse souabe considéraient le château comme un symbole de puissance et encouragèrent sa reconstruction.

Plus beau et mieux fortifié, le deuxième château est composé d'un bâtiment principal, doté sur les côtés extérieurs de quatre tours de protection en demi-cercle. Au nord s'élève la tour de l'Empereur, au sud « la tour du Margrave ». Les travaux de construction furent menés à bien et le château est doté de pièces d'artillerie et de munitions. Lors de la guerre de Trente Ans, il était pourvu entre 1618 et 1623 de fortifications encore plus importantes. Il en acquit la réputation d'imprenable.

Durant la seconde moitié du XVIIIe siècle, le château est abandonné jusqu'en 1819. En juillet 1819, le roi Frédéric-Guillaume IV de Prusse, alors prince héritier, décide d'entreprendre sur-le-champ sa reconstruction. Le château subit plusieurs modifications pour lui donner un aspect plus pittoresque et romantique. Il confie la direction des travaux à Friedrich Schinkel.

L'extérieur du château

La rampe d'accès

La puissante porte de l'aigle au fronton de laquelle est représenté à cheval le prince électeur de Brandebourg Frédéric Ier constitue l'entrée du château. L'aigle prussien assorti de la devise de l'ordre familial fondé en 1851 « de la falaise à la mer » y fut rajouté.

La route d'accès est considérée comme un chef-d'œuvre de l'art du XIXe siècle. Pour pallier une différence de hauteur de 25 mètres et créer une montée praticable pour les calèches et les charrettes, celle-ci fut conçue en forme de trois méandres elliptiques se superposant et qui pouvait être plusieurs fois fermés par des ponts-levis et de lourdes portes. Après avoir parcouru le long tunnel conduisant dans une cour intérieure pleine de charme, il est facile d'apercevoir sur la droite le rocher brut en calcaire du Jura ainsi que la muraille du XIXe siècle travaillée en pierre de Malb.

La porte Saint-Michel et celle des Apôtres ouvrant sur la chapelle évangélique du Christ proviennent de l'église du Souvenir de l'Empereur Guillaume Ier à Berlin. À gauche de la porte, la vue embrasse, depuis le mur flanqué de deux gardiens de pierre, le lacet de la route ainsi que l'église de pèlerinage Maria Zell située au pied du rocher voisin dit de Zeller Horn.

Les bastions

La troisième rampe d'accès

Les bastions entourant le château haut furent renouvelés après 1850 en reprenant les remparts construits au début du XVIIe siècle. Une vue incomparable s'offre d'ici sur les environs. Par temps propice, elle s'étend le long de la chaîne du Jura depuis la tour de la télévision de Stuttgart au nord-est jusqu'au Feldberg, le plus haut sommet de la Forêt Noire situé au sud-ouest.

Les 12 statues de bronze plus grandes que nature qui sont exposées ici se trouvaient à l'origine à l'Arsenal de Berlin. Elles montrent les souverains de Brandebourg-Prusse depuis le prince-électeur Frédéric-Guillaume Ier à l'Empereur Guillaume Ier.

Le château d'eau situé au nord ouest de la forêt fut élevé au XIXe siècle pour assurer l'approvisionnement en eau depuis la source de Fuchsloch qui coule à proximité. Une nouvelle pompe en contrebas de Zeller Horn fut aménagée en 1911 après le tarissement de la source lors d'un tremblement de terre.

Dans le jardin dit des officiers sur le bastion sud-est dit de Saint-Michel se trouve un petit cimetière privé dans lequel sont enterrés le Kronprinz Guillaume, son épouse Cécile et d'autres membres de la famille.

La cour du château

Blason des Hohenzollern Hechingen

Après avoir passé la tour de la porte et la dernière montée, on arrive dans la cour supérieure du château qui ressemble presque à un décor de théâtre. À gauche et un peu en contrebas, s'ouvre le jardin du château dans lequel trônait autrefois une fontaine qui fut supprimée en 1952 au moment de l'ouverture au tourisme. La statue du roi Frédéric-Guillaume IV se dressant devant le chœur de la chapelle gothique Saint-Michel est le seul vestige de cette fontaine. En face de la chapelle catholique, se trouve la chapelle protestante et l'ancien bâtiment de garnison.

Au milieu de la cour, un canon nurembergeois repose sur un affût moderne. L'escalier de droite conduisant au premier étage fut inspiré par les d'Italie du Nord que l'architecte Stüler connaissait par sa propre expérience. Sur le départ de sa rampe fut érigé une statue grandeur nature du comte Jost Niklas von Zollern qui présente devant lui une maquette du second château qu'il fit bâtir.

L'intérieur du château

Le hall de l'arbre généalogique

Un arbre généalogique de la famille Hohenzollern orne les murs du hall d'entrée. Il commence au niveau du bandeau au dessus de l'entrée avec la première mention archivistique de la dynastie au XIe siècle et se partage peu après en ligne Souabe (rouge) et franconienne (bleue) devenue ensuite brandebourgeoise-prussienne. Cette dernière se poursuit sur le mur voisin et court jusqu'aux entretoises des poutres supérieures entre lesquelles sont mentionnés les noms des rois de Prusse, des empereurs allemands et de leurs descendants jusqu'à aujourd'hui. La branche Souabe se poursuit de la même façon sur le mur latéral ; le XVIe siècle voit s'ouvrir une ramification qui s'achève en haut à droite avec la génération de la maison princière ainsi qu'avec les rois de Roumanie qui sont également issus de cette lignée.

Sur le mur opposé, les parentés entre les maisons de Habsbourg, Brandebourg, Hohenzollern, Bade et Bourgogne sont représentés au dessus de la cheminée bien que ces nombreux liens ne résisteraient plus aux critères généalogiques actuels. Le dessin au fusain de grand format servi d'esquisse préparatoire à une huile sur toile peinte par Arthur Kampf en 1903 qui montre Frédéric le Grand, certainement le plus important monarque prussien, dans la chapelle du château de Charlottenburg au retour de la guerre de Sept Ans. La peinture à l'huile sur le chevalet d'en face est du peintre hongrois Philipp Alexius Laszlo et représente le dernier empereur allemand, Guillaume II, en costume de chasse en 1908.

La Salle des Comtes

La salle des fêtes et des dîners appelée salle des Comtes est la plus grande et le plus représentative du château. Sa voûte d'arêtes agrémentée de rinceaux dorés et soutenus par des colonnes libres de marbre rouge de Nassau lui confère un espace sacré à trois nefs. Effectivement, l'église basse de la Sainte Chapelle à Paris ainsi que l'église du château de Karlstein près de Prague servirent d'inspiration.

Le sol se compose de pierre de Solnhofen et de marbre italien disposés selon les couleurs héraldiques des Hohenzollern : en damier noir et blanc. Les chaises recouvertes en rouge sont ornées sur leur dossier de l'aigle héraldique des rois de Prusse. Les 48 bougies de chaque lustre de bronze sont encore allumées aujourd'hui pour les occasions solennelles et les concerts, ce qui confère à la pièce une atmosphère festive luisante.

Au nord, le hall des Empereurs conçu autour d'une colonne centrale dans la tour de l'empereur est contigu à la Salle des Comtes. Il est agrémenté de huit statues d'empereurs du Saint-Empire romain germanique et de bustes des trois empereurs de Hohenzollern. À l'autre extrémité de la salle se trouve la niche des évêques dans laquelle sont représentés des dignitaires ecclésiastiques et des chevaliers des ordres. Les statues latérales montrent l'évêque Frédéric d'Augsbourg, ainsi qu'Albrecht, cardinal de Brandebourg et archevêque de Mayence. La tour de l'Évêque s'élevant au dessus constitue, avec ses 73 mètres, le plus haut point du château fort.

La bibliothèque

La bibliothèque aménagée comme une galerie relie les pièces de représentation avec les salles privées. Huit compositions murales du peintre Wilhelm Peters se trouvent au dessus des armoires de chênes. Elles représentent des légendes et des événements historiques datant de l'époque des deux premiers châteaux. Ainsi la peinture située à droite de la cheminée montre le siège et la destruction du premier château en l'an 1423. Au premier plan, le comte Frédéric XII dit l'Öttinger se jette au milieu des assiégeants qui se composent de soldats de 18 villes impériales de Souabe placés sous le commandement de la comtesse Henriette du Wurtemberg, chevauchant un destrier blanc à gauche, dans l'arrière-plan. Les assiégeants l'appelèrent en raison de sa tenue de "Dame Blanche", une légendaire messagère de malheur des Hohenzollern.

Une autre composition illustre le début de la reconstruction du château par le comte Jost Niklas en 1454, mais le peintre a accidentellement antidaté de deux années la date gravée en chiffres gothiques sur la pierre fondation. Les médaillons circulaires sous les peintures murales montrent des portraits des membres de la commission d'architecture chargés de la reconstruction du château au XIXe siècle : Stillfried, Stüler, Weckherlin et Prittwitz. Un moulage de la plaque funéraire du comte Eitel Frédéric II et de son épouse Madeleine de Brandebourg repose au dessus de la cheminée. L'original dû à l'atelier nurembergeois de Peter Vischer est conservé dans le chœur de l'église St Jakob à Hechingen.

Le salon du margrave

Avec le salon du roi situé dans la tour des margraves commencent les appartements privés du couple royal. Sur la table ornée des armes sculptées repose le livre d'or du château de Hohenzollern dont la première inscription fut enregistrée le 3 octobre 1867 à l'occasion de l'inauguration du bâtiment par le roi Guillaume Ier. Les photographies sont celles des membres de la famille impériale depuis 1913 jusqu'à la génération actuelle.

Au dessus du canapé se trouve une toile en hauteur de grand format qui représente le roi Frédéric-Guillaume Ierde Prusse dit « le Roi-Sergent », et père de Frédéric II. Au dessus de la porte conduisant dans la chambre voisine est accroché le portrait du prince-électeur Frédéric-Guillaume de Brandebourg qui reçut le surnom de « Grand Électeur » après sa victoire sur les Suédois à la bataille de Fehrbellin en 1675.

La chambre et la garde-robe du roi

La chambre du roi ne fut occupée qu'une seule fois, lorsque le Kronprinz Guillaume de Prusse séjourna quelque mois au château après la Seconde Guerre mondiale, avant de s'installer à Hechingen en automne 1945. La pièce subit ensuite plusieurs transformations et fut finalement rénovée dans les années 2003 et 2004. Si les rideaux en damas de coton furent renouvelés, en revanche le fauteuil couvert de cuir et la garniture de toilette de la manufacture royale de porcelaine de Berlin appartiennent encore à l'aménagement original.


Le Kronprinz est représenté sur le tableau au dessus de la table de toilette, sur le portrait en pastel au dessus de la porte d'entrée ainsi qu'en statuette sur la cheminée. En face de la porte est accroché un portrait de son père, l'empereur Guillaume II, par Phillip Alexius Laszlo.

Dans l'ancienne garde-robe du roi est exposé un choix de portrait gravés contemporains du roi Frédéric II de Prusse. Ils proviennent de la collection de Edwin von Campe qui la légua à la maison Hohenzollern en 1957. Frédéric le Grand ne se laissait portraiturer qu'à contrecœur. Mais en raison de sa popularité, la demande de portraits de lui était importante tant dans le pays qu'à l'étranger. C'est pourquoi les représentations les moins connues du monarque furent gravées textuellement.

La chambre et la garde-robe de la reine

Dans l'ancienne garde-robe de la reine sont présentées des vue historiques de Berlin. Dans le couloir, on voit une grande représentation, datée de 1828, de l'Arsenal de Berlin ainsi que la Nouvelle Garde par Wilhelm Brücke. Le même artiste créa dix ans plus tard une perspective de l'avenue Unter den Linden avec vue sur le château. Le tableau de grand format de Maximilian Roch offre une vue du même bâtiment avec au devant la statue équestre du Grand Électeur sculpté par Andreas Schlüter et qui trône aujourd'hui devant le château de Charlottenburg. Une petite peinture de Wilhelm Ahlborn montre le monument élevé en 1826 sur la place de l'Opéra à Berlin pour le feld-maréchal général prussien Gebhard Leberecht von Blücher. Les quatre tableaux dus à Jakob Philipp Hackert et accrochés sur le mur faisant face à la fenêtre montrent des motifs du Tiergarten à Berlin. La statue équestre placée dans la niche représente le roi Frédéric-Guillaume IV.

"La Nouvelle Garde" par Wilhelm Brücke

La décoration mobile de l'ancienne chambre de la reine ne s'est pas conservée, c'est pourquoi une série de portraits des membres de la famille royale prussienne du XVIIe au XIXe siècle y fut apportée. Le chef-d'œuvre d'artistique est sans conteste le grand portrait de Frédéric le Grand à l'âge de 24 ans par le peintre de la Cour Antoine Pesne. Le même artiste et son atelier réalisèrent les portraits des parents de Frédéric le Grand, de son épouse Élisabeth Christine, de sa sœur Wihelmine et de son frère Auguste Guillaume. Les portraits de son frère Henri et de son neveu et successeur Frédéric-Guillaume II furent peints par Anton Graff. Un modèle de la célèbre statue équestre de Frédéric le Grand se tient devant la fenêtre. L'original de 1851 dû à Christian Daniel Rauch orne l'avenue Unter den Linden à Berlin.

Le salon bleu

Le salon de la reine est également dénommé "salon bleu" en raison de la couleur de son mobilier capitonné. Il fait partie des pièces les plus luxueuses du château avec son plafond à caisson richement doré et son parquet constitué de 5 essences différentes de bois. Les portraits circulaires disposés en frise en dessous de plafond représentent des princesses électrices de la maison de Hohenzollern.

Les murs de couleur dorée sont peints au pochoir de l'aigle prussien et de l'initiale A de la reine Augusta, épouse de Guillaume Ier dont le portrait se trouve sur le vase dans l'oriel ainsi que sur la peinture à gauche du miroir. Il est possible de voir à côté un portrait de la reine Elisabeth de Prusse par Joseph Stieler; son époux Frédéric-Guillaume IV est portraituré en face. La mère de ce dernier était la célèbre reine Louise de Prusse, dont le portrait est accroché à droite de l'oriel. Il est dû à Élisabeth Vigée-Le Brun, l'une des principales artistes françaises.

Les portraits du prince Carl Anton de Hohenzollern-Sigmaringen et de sa femme Joséphine de Bade trônent à droite du miroir. Le portrait posé sur le secrétaire richement sculpté montre l'impératrice Victoria, qui avait épousé "l'empereur de 99 jours", Frédéric III, qui était elle-même une artiste talentueuse comme le prouve le portrait qu'elle fit de son fils Waldemar, accroché à gauche de l'oriel.

Les pièces de réception de la reine

Dans les salles de réception de la reine ainsi que dans le hall des serviteurs se trouvent d'autres portraits de famille dont ceux très impressionants des trois empereurs allemands par Franz von Lenbach et un en pastel ovale montrant la Kronprinzessin (princesse héritière) Cécile en 1907.

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