Charles Cheynet

Charles Cheynet
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Charles Cheynet (Montélimar, 12 janvier 1668Lyon, 15 décembre 1762) est un médecin[1], magistrat[2], érudit[3], mathématicien et musicologue[3] français, l'un des fondateurs, en 1700, de l'Académie des sciences belles-lettres et arts de Lyon[4].

Biographie

Fils d'autre Charles Cheynet (1619-1685), receveur des tailles en l'élection de Montélimar[5], et de Florence Lafoy – elle-même fille de Pierre Lafoy, procureur au siège de Crest[3], et d'Alix Vaudelin –, petit-fils de Nicolas Cheynet et d'Angélique de Ripert (1590-1623), Charles Cheynet est issu d'une ancienne famille originaire du Vivarais, (Privas), dont la filiation remonte à la fin du XIIIe siècle[6].

Son arrière-petit-neveu, Jean-Louis Cheynet, avocat, né à Montélimar en 1741, devint en 1787 maire de sa ville natale et fut élu député du Dauphiné aux États généraux de 1789.

Né à Montélimar le 12 janvier 1668, Charles Cheynet fut baptisé le même jour en la collégiale Sainte-Croix. Son parrain fut Monsieur Maître Charles Meysonis, avocat en parlement, son oncle, habitant de Crest et sa marraine demoiselle Jeanne Pellapra, sa cousine[7]. Sixième et dernier enfant de sa famille, il devait longtemps survivre à ses frères et sœurs. L'aîné de ceux-ci, Alain Cheynet, lui-même avocat en la sénéchaussée et consul de Montélimar, mourut en cette ville le 1er novembre 1696 et fut inhumé le même jour dans le caveau que la famille Cheynet posséda jusqu'à la révolution française en la collégiale Sainte-Croix de Montélimar.

Charles Cheynet, quant à lui, devint médecin et fut tout d'abord précepteur de M. de Micha de Bursin, futur conseiller au parlement de Grenoble. Installé de bonne heure à Lyon, il y devint ensuite inspecteur à la Grande Douane[8] puis successivement conseiller (1704) et président en la Cour des Monnaies[9]. Dès 1700[10], il fut à l'origine – aux côtés, notamment, de ses amis Camille Falconnet et Laurent Dugas, ainsi que de Claude Brossette – de l'Académie des sciences belles-lettres et arts de Lyon[11], dont il était doyen en 1757, puis, en 1759, le doyen des académiciens vétérans[12] et à qui il légua ses manuscrits. Certains se trouvent encore, de nos jours, dans les archives de l'Académie de Lyon.

"L'Académie – confirme un projet de discours du 12 décembre 1742[13], œuvre du président Pierre Dugas de Bois-Saint-Just, fils du président Laurent Dugas – doit son établissement à sept ou huit personnes au plus, non moins liées par l'amitié que par leur goût pour les sciences et les belles-lettres : Messieurs Falconet, Villemot, du Puget, Brossette, Cheinet, Dugas, de Saint-Fonds, de Saint-Bonnet et Colonia. Ces premières assemblées, libres et nullement assujetties, n'avaient ni jour, ni lieu certains ; le rendez-vous le plus ordinaire était néanmoins dans le cabinet de M. Falconet. L'assemblée du 30 mars 1700, regardée comme la première, fut employée à discuter avec soin, la fameuse démonstration de Descartes sur l'existence de Dieu. C'est avoir suivi heureusement le précepte : A Jove, principum. Cette académie naissante n'éprouva aucun changement sensible jusqu'en 1705, que M. Trudaine, nommé depuis peu à l'intendance de cette ville, proposa à M. le président Dugas l'établissement d'une académie en réunissant un certain nombre de gens de lettres qui s'assembleraient chaque semaine au jour désigné. On lui répondit que ce qu'il ne faisait que projeter, était déjà exécuté depuis plusieurs années. Il souhaita d'être admis à ces assemblées en témoignant qu'on lui ferait plaisir d'accepter son cabinet où elles se tinrent, en effet, deux ou trois fois. Mais cet asile n'étant pas assez tranquille pour les Muses, on résolut de s'assembler chez M. de La Valette le père, que M. de Trudaine avait engagé, ainsi que quelques autres, à grossir le nombre des académiciens. Ces nouveaux membres étaient : MM. de La Valette père et fils, de Glatigny, de Serre, Tricaud, de Gouvernet, Mahudel, Aubert. Les choses demeurèrent en cet état jusqu'en 1711 que les conférences furent établies dans le cabinet de M. le président Dugas, dans la rue du Bœuf, premièrement jusqu'à la saint Jean 1712 et ensuite à la place Saint-Jean où l'on continua de s'assembler jusqu'au 7 août 1717, que M. de Villeroy, archevêque de Lyon, que l'académie avait déjà choisi depuis près de deux ans pour son protecteur, donna une retraite assurée aux académiciens dans le palais archiépiscopal. Quelques réparations à faire, en ce palais, en 1719 obligèrent l'académie à retourner chez M. le président Dugas et au gouvernement, d'où elle repassa au palais archiépiscopal, le 19 janvier 1722. Ses séances y furent continuées sans interruption jusqu'à l'année 1726 que, par un acte consulaire du 7 mars, MM. le Prévôt des marchands et Échevins arrêtèrent qu'à l'avenir et à perpétuité, les assemblées publiques et particulières de l'académie se tiendraient dans une des salles de l'Hôtel de Ville et que les frais de l'écritoire, du feu et de la lumière seraient faits aux dépens de cette ville".

Le président Cheynet adopta, durant les controverses issues de la querelle des Anciens et des Modernes – lesquelles agitaient encore les milieux académiques au début du XVIIIe siècle –, une position nuancée, soutenant par exemple la supériorité des anciens dans l'art de la sculpture mais la leur déniant en musique. Sur ce dernier objet, membre de l'Académie du Concert de Lyon et correspondant de Jean-Philippe Rameau, il consacra nombre de ses travaux à l'harmonie[14]. Ainsi fut-ce lui qui, le premier – lors de son discours du 25 janvier 1752, prononcé devant les académiciens lyonnais –, établit la théorie de l'authentique génération de la tierce mineure, prouvant mathématiquement – contre ce que venait d'avancer Rameau dans sa Démonstration du principe de l'harmonie, publiée en 1750 – "que la tierce mineure naît comme tous les autres accords de la basse fondamentale et qu'elle ne lui est pas étrangère, ni contre l'ordre naturel"[15].

Membre de l'Académie de Villefranche en janvier 1728 – à l'instigation de son ami François Bottu de Saint-Fonds[16] –, membre de la "Société du Concert" et de la "Société Royale" ou "Académie des Beaux-Arts de Lyon" en 1736, académie dont il fut, en 1752, déclaré vétéran[17], il consacra sa vie à des travaux scientifiques ou d'érudition et mourut à Lyon, en la paroisse Saint-Paul, le 15 décembre 1762, étant âgé de près de quatre-vingt-quinze ans. Il fut inhumé le lendemain dans un caveau de l'ancienne église Saint-Laurent[8] – aujourd'hui détruite –, dans laquelle repose aussi le chancelier Gerson et qui tenait à la collégiale Saint-Paul, sa paroisse (actuellement place Gerson).

"On a informé l'Académie du décès de Monsieur Cheinet, Doyen des académiciens vétérans, mort dans cette ville le ... décembre dernier, âgé de quatre vingt seize ans et onze mois, étant né à Montélimar le ... janvier 1666 – rapporte le procès-verbal de la séance de l'Académie de Lyon du mardi 11 janvier 1763 –. Il avoit été du nombre de ceux qui avoient jetté les premiers fondements de l'Académie de Lyon. Il a fourni en philosophe chrétien la carrière d'une longue vie. Les jours en ont été sereins, et il a joui sans interruption d'une santé vigoureuse et de l'estime d'un grand nombre d'amis que la droiture de son cœur et la solidité de son esprit lui avoient justement acquise"[18].

Lors de la séance du mardi 19 avril 1763, l'éloge de Charles Cheynet fut prononcé par Jacques-Annibal Claret de La Tourrette de Fleurieu (1692-1776) – comme lui président de la Cour des Monnaies de Lyon –, lieutenant criminel, prévôt des marchands et commandant pour le roi en la ville de Lyon de 1740 à 1745, secrétaire perpétuel de l'Académie depuis 1736[19]. Le président de Fleurieu était le père du futur ministre de la Marine de Louis XVI, ainsi, notamment, que de Marc Antoine Louis Claret de La Tourrette de Fleurieu, savant auteur des Démonstrations Élémentaires de Botanique[20].

Œuvres manuscrites

Au cours des soixante-deux années durant lesquelles il appartint à l'Académie des Sciences et Belles-Lettres de Lyon, le président Cheynet y fournit de nombreux travaux. La liste de ceux encore conservés au XIXe siècle a été scrupuleusement dressée par Antoine-François Delandine, bibliothécaire de la ville de Lyon :

1 - "Discours sur la superstition par rapport à la magie", 1712 et 1715. 2 - "Sur l'ami des bêtes", 1714. 3 - "Sur les poëtes latins et sur la tragédie latine contre l'avis de Despréaux", 1716. 4 - "Sur la philosophie et la religion", 1718. 5 - "Sur la résurrection des morts", 1719. 6 - "Sur la médiation des saints", 1720. 7 - "Sur l'ancienne discipline de l'Église", 1721. 8 - "Sur Cicéron considéré comme poëte", 1727. 9 - "Sur l'union de l'âme et du corps", 1728. 10 - "Essai philosophique sur la nature de l'homme et sur ses diverses opérations", 1730. 11 - "Dissertation où il est montré qu'il n'y a eu qu'un Horace, contre l'opinion du P. Hardouin", 1731. 12 - "Justification de l'auteur de l'Eneïde contre les censeurs", 1731. 13 - "Dissertation sur Abeillart et Héloïse avec une traduction d'une lettre de Pierre le Vénérable", 1733. 14 - "Observations sur les écrits de Sextus Empiricus", 1734. 15 - "Sur l'usage des harangues par les historiens", 1735. 16 - "Histoire de la géométrie de Descartes, 1736. 17 - "Dissertation sur les principes et sur l'utilité de l'algèbre", 1737. 18 - "Traduction en prose d'une épitre en vers latins de la célèbre Hippolyte à son mari le comte de Castiglione", 1738. 19 - "Remarques sur les variations de la langue françoise", 1739. 20 - " Sur la divisibilité de la matière à l'infini", 1740. 21 - "Sur les erreurs de l'esprit humain", 1741. 22 - "Sur le courage de Cicéron", 1742. 23 - "Sur l'harmonie en général", 1743. 24 - "Sur les avantages des traductions", 1744. 25 - "Sur le repos des corps", 1745. 26 - "Sur les trois Marie dont l'Evangile fait mention", 1746. 27 - "Sur l'utilité de la métaphysique", 1747. 28 - "Observations sur Suetone", 1748. 29 - "Sur la préférence de la surdité à l'aveuglement", 1750. 30 - "Sur la vie du marquis de Courbon", 1751. 31 - "Sur la musique considérée comme science", 1752. 32 - "Sur l'empire que la mode exerce dans le monde", 1752. 33 - "Sur le mot goût et sur ses significations métaphysiques", 1756.

Une autre liste, également établie par Delandine, transcrit les titres de ses interventions devant la Société Royale des Beaux-Arts de Lyon, à laquelle Charles Cheynet appartint à compter de 1736 :

1 - "Dissertation sur les Progrès de la géométrie depuis Descartes", 1736. 2 - "Application de l'algèbre aux lignes", 1728, 1730. 3 - "Solution des Problèmes de géométrie sur l'algèbre", 1741. 4 - "Problème singulier de géométrie", 1742. 5 - "Questions diverses sur l'harmonie", 1743. 6 - "Remarques sur les propriétés de l'Arithmétique", 1744. 7 - "Sur la musique ancienne et moderne", 1748. 8 - "Explication de l'helicon de Ptolémée contenant la division des tons et semi-tons de la musique", 1751. 9 - "Mémoire sur le système d'introduire un 3e mode dans la musique", 1754.

Le discours précité, intitulé : Sur Cicéron considéré comme poëte, prononcé en 1727 devant l'Académie des Sciences et Belles-Lettres, se trouve notamment commenté par le président Dugas et M. de Saint-Fonds dans leurs échanges épistolaires[21].

Les œuvres de Charles Cheynet sont aujourd'hui conservées au département des manuscrits de la Bibliothèque Nationale, au sein d'un document du XVIIIe siècle, comportant 484 pp., intitulé : Discours et dissertations académiques lus à l'Académie de Lyon par Charles Cheynet. (Mss. n° 11065). En tête de l'ouvrage figure une notice biographique de Charles Cheynet.

Notes et références

  1. M. Prévost, Roman d'Amat et H. Thibout de Morembert, Dictionnaire de biographie française, Paris, Letouzey et Ané, tome 8, 1959, Cheynet (Charles).
  2. J. Brun-Durand, Dictionnaire biographique et biblio-iconographique de la Drôme, Grenoble, Librairie Dauphinoise, 1900, deux volumes in 4°, tome I, p. 185.
  3. a, b et c Ibid.
  4. Archives de l'Académie de Lyon, procès-verbal de la séance du mardi 11 janvier 1763 et notices biographiques de Charles Cheynet in Brun-Durand, op. cit., Dictionnaire de biographie française, op. cit., etc.
  5. Cf. contrat de mariage reçu Maître François Sibeud, notaire royal à Crest (Drôme) le 23 août 1651, A.D. Drôme, 2 E 6784.
  6. Elie Reynier, Histoire de Privas, Aubenas, Société de l'Imprimerie Abauzit, tome 1er, 1941, p. 92. – Robert Valladier-Chante, Le Bas-Vivarais au XVe siècle, Valence, Editions E & R, 1998, pp. 118-119. – Reconnaissance féodale reçue Maître Pons de Cheynet, notaire à Privas, le 13 décembre 1333, A.D. Ardèche, 16 J 2, pièce 6. – Transaction du 1er janvier 1464 entre noble André Guigon, seigneur de La Charrière et prudent homme Pierre de Cheynet, fils et héritier de noble Philippa du Bosc, elle-même femme de Jehan de Cheynet et fille de noble Raymond du Bosc et de Juliane Guigon, A.D. Ardèche, 16 J 4, pièce 2, etc.
  7. Archives Municipales de Montélimar, registres paroissiaux de la collégiale Sainte-Croix, année 1668, 42 : Anno quo supra et die 12a Januarii fuit baptistatus Carolus Cheynet, filius Dominus Caroli et Domina Florentia Lafoy. Son parrain, Monsieur Maistre Anthoine Meysonis, advocat en parlement de la ville de Crest, sa marraine Dlle Jeanne Pellapra, de cette ville, avec moy signés. Cheynet, Meysonis et moy, Bautheac, pour le sacristain curé.
  8. a et b Archives Municipales de Lyon, registres paroissiaux de la collégiale Saint-Paul.
  9. Jean-Baptiste Dumas, Histoire de l'Académie royale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, Lyon, Giberton et Brun, "Libraires de l'Académie de Lyon", 1839, 2 volumes in 8°, tome I, p. 231 ; J. Brun-Durand, Dictionnaire biographique et biblio-iconographique de la Drôme, Grenoble, Librairie Dauphinoise, 1900, deux volumes in 4°, tome I, p. 185, etc.
  10. Vid. not. Joseph de Laporte, Dictionnaire des auteurs françois vivans ; corrigé et augmenté par M. Formey, "à Berlin, chez Haude et Spener, libraires de la Cour et de l'Académie", 1757, 1 volume in 8°, p. 40.
  11. Archives Municipales de la ville de Lyon, Almanach astronomique et historique de la ville de Lyon et des provinces de Lyonnois, Forez et Beaujolois, Lyon, Aymé Delaroche, Seul Imprimeur Libraire de Monseigneur le Duc de Villeroy, du Gouvernement et de l'Hôtel de Ville, 1752, p. 132 – [Académie des Sciences & Belle-Lettres : M. Cheinet, rue de la Peirollerie. 1700], 1735, p. 131, 1736, p. 134, etc. Dans l'Almanach de Lyon pour 1753, les pages 133 et suivantes, concernant l'Académie, énumérant les académiciens par ordre de réception et précisant le millésime de leur admission, débutent par ces mots : "Plusieurs personnes Sçavantes ayant commencé en 1700 à s'assembler, pour conférer sur des matières de Littérature, & leurs assemblées ayant fait beaucoup de progrès, feu Monseigneur le Maréchal de Villeroy, Gouverneur de la Ville & de la Province, obtint des Lettres Patentes du Roi, du mois d'Août 1724, qui confirmèrent cet établissement sous le nom d'Académie des Sciences & Belles-Lettres, & qui en homologuèrent les Statuts et Réglements, etc.".
  12. Jean-Baptiste Dumas, Histoire de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, op. cit., tome I, p. 231.
  13. Bibliothèque de l'Académie de Lyon, manuscrit n° 119, extrait cité dans la notice sur le Président Dugas in Correspondance littéraire et anecdotique entre Monsieur de Saint-Fonds et le Président Dugas, membres de l’Académie de Lyon – 1711-1739 –, ouvrage publiée et annotée par William Poidebard. Lyon, « Chez Mathieu Paquet », 1900, deux volumes in 8°, tome Ier, pp. XLIII-XLIV.
  14. Sur l'harmonie en général, 5 juin 1743, Mémoire sur le système d'introduire un 3e mode dans la musique, 2 août 1754, etc. (vid. not. Jean-Baptiste Dumas, Histoire de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, op. cit., tome I, p. 231).
  15. Léon Vallas, Un siècle de musique et de théâtre à Lyon [1688-1789], Lyon, 1932 ; Archives de l'Académie de Lyon, manuscrit n° 965, Sur la musique considérée comme science.
  16. Correspondance littéraire et anecdotique entre Monsieur de Saint-Fonds et le Président Dugas, membres de l’Académie de Lyon, op. cit., tome I [3 février 1728], p. 284.
  17. Archives Municipales de la ville de Lyon, Almanach astronomique et historique de la ville de Lyon et des provinces de Lyonnois, Forez et Beaujolois, op. cit. [1753], p. 136.
  18. Archives de l'Académie de Lyon, procès-verbal de la séance du mardi 11 janvier 1763.
  19. Archives de l'Académie de Lyon, procès-verbal de la séance du mardi 19 avril 1763 : "...M. de Fleurieu, Secrétaire perpétuel, a ensuite prononcé l'éloge historique de M. Cheynet, Doyen vétéran de l'Académie, membre de celle de Villefranche, mort âgé de quatre-vingt dix-sept ans, etc.".
  20. Lyon, Chez Jean-Marie Bruyset, 1766, 2 volumes in 8°.
  21. Correspondance littéraire et anecdotique entre Monsieur de Saint-Fonds et le Président Dugas, membres de l’Académie de Lyon, op. cit., tome I [14 mai 1727 et mai 1727], pp. 282-283.

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Charles Cheynet de Wikipédia en français (auteurs)

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