Cerisy-la-Forêt

Cerisy-la-Forêt

49° 11′ 45″ N 0° 56′ 08″ W / 49.1958333333, -0.935555555556

Cerisy-la-Forêt
L'église abbatiale
L'église abbatiale
Administration
Pays France
Région Basse-Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Canton Saint-Clair-sur-l'Elle
Code commune 50110
Code postal 50680
Maire
Mandat en cours
Jocelyne Le Trouit
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de l'Elle
Démographie
Population 934 hab. (2008)
Densité 39 hab./km²
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 45″ Nord
       0° 56′ 08″ Ouest
/ 49.1958333333, -0.935555555556
Altitudes mini. 34 m — maxi. 131 m
Superficie 23,81 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Cerisy-la-Forêt est une commune française, située dans le département de la Manche et la région Basse-Normandie, peuplée de 934 habitants[1].

Sommaire

Géographie

La commune est située en bordure de la forêt de Cerisy et du bois l'Abbé, à la limite entre la Manche et le Calvados. Couvrant 2 381 hectares, son territoire est le plus étendu des communes du canton de Saint-Clair-sur-l'Elle.

Situation

Hydrographie

Urbanisme

Cette commune regroupe plusieurs hameaux : la Vacquerie, le Bouquetat, la Paumerie, les Rochers, le Pont Caudel, la Branlière, le Vieux Gravier, la Maumistière, Longré, le Bois d'Elle, la Couespelière, Gavray, la Maltelliere, les Landes, la Jayetterie, le Lieu Jouanne, Launay, Hamel Roque, Carbonnel, la Chênée, Mesnil reinne, Rue Dorée, le Castel, la Marquerie, Hameau du puits, Brians, Moulin d'Apechon, Moulin des Rondelles, la Lucasserie, la Pouerie, le Biot, Cantilly, la Mallardière, la Boullaye, la Gouesmerie, la Hunaudière, Maisons Yons, le Mesnil, la Rocque, Vallée, Hamel des Telliers, la Croix aux Moines, la Planche au Chêne, la Quesnellière, le Lieu Sirrey, la Rupaillerie, la Gouttière, la Joitière, la Bissonnière, l'Eau Geau, les Houzeaux, Bapaume, les Varannes, Village de l'Etang, le Pont Tannerie[4].

Constructions traditionnelles

La maison traditionnelle existe en deux déclinaisons compatibles entre elles, car les genres peuvent se mélanger.

  • La maison bâtie en pierre : la pierre est assez rouge et présentée sous la forme de moellons plus ou moins aplatis.
  • La maison en argile, reprenant la technique du torchis. La base reste cependant en pierre.
  • La maison en schiste.

Randonnée

Cerisy la forêt est la ville départ de la route des abbayes (Manche)[5].

Climat

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour l'année 2007 (données de la station Caen-Carpiquet) :

[6]
Mois J F M A M J J A S O N D
Températures maximales moyennes (°C) 10,1 11,1 11,8 17 17,3 20,1 21,3 21 19,3 15,3 11,5 7,9
Températures minimales moyennes (°C) 4,7 5,5 3,5 6,3 9,4 11,5 12,9 12,6 10,3 7,3 5,2 1,9
Températures moyennes (°C) 7,4 8,3 7,6 11,6 13,3 15,8 17,1 16,8 14,8 11,3 8,3 4,9
Précipitations (hauteur moyenne en mm) 45 83 90 23 91 83 135 49 56 39 44 81

Le tableau ci-dessous indique les records de températures minimales et maximales :

Mois J F M A M J J A S O N D
Températures maximales records (°C) 16,1 20,8 24,4 26,4 30,4 34,1 36,6 38,9 33,5 27,6 19,9 17,2
\_ années des t°max.     1993 1960 1946 1984 1953 2001 1952 2003 1961 1985 1982 1989
Températures minimales records (°C) -19,6 -16,5 -7,4 -5,7 -0,8 1 4,7 4 1,8 -3,7 -6,8 -11
\_ années des t° min.     1985 1956 1965 1978 1955 1962 1962 1974 1948 1997 1989 1948
[7]

Toponymie[8]

Attestations anciennes

  • Cerasiacus f-9e s.[9].
  • in loco qui dicitur Cerisiacus; locum […] qui dicitur Cirisiacus 1032 (copie 13e s.)[10].
  • abbatia Cerasii 1042 (copie 12e s.)[11].
  • Ceresiensis […] abba[s] 1169[12].
  • monach[i] de Cereseio'' 1156/1173[13].
  • Ceresie 1160/1174[14].
  • Cereisi 1175[15].
  • abba[s] de Cerisio 1180[16].
  • abb[as] de Cerisiaco 1180[17], abba[s] de Ceresiaco 1180[18].
  • Sanct[us] Vigor de Cerisiaco 1180[19].
  • abbas de Cerasio 1184[20].
  • abba[s] de Cerasio 1195[21].
  • abba[s] de Ceraseio 1195[22].
  • abba[s] Cerasiensi[s] 1195[23].
  • abb[ac]i[a] de Ceras[iaco] 1198[24].
  • abba[s] de Ceriseio 1198[25].
  • abbaci[a] de Cereseio 1203[26].
  • abbaci[a] de Ceriseio 1203[27].
  • apud Ceriseium 1210[28].
  • Cerisi ~1210[29].
  • abbas Ceraseii 1218[30].
  • prior Cerasii ~1220[31].
  • abba[s] et conventu[s] de Cerasii 1233[32].
  • abbas de Cerasiaco 1233[33].
  • abbas de Ceresiaco 1252[34].
  • Jacobus de Cyreseio 1269[35].
  • abbatia de Ceresi 1269/1270[36].
  • monasteri[um] Cerasiens[e] 1276[37], 1284[38].
  • abba[s] et conventu[s] de Ceraseio 1288[39].
  • l'abbé et le couvent de Cerisie 1288[40].
  • abbas de Ceraseyo 1332[41].
  • abbas de Ceraseio 1332[42].
  • abba[s] de Cereseio 1332[43].
  • abbas de Cherisiaco 1337[44].
  • sergenteria de Ceraseio 1337 (?)[45].
  • abbatia de Ceraseyo ~1350[46].
  • Cerisy ~1350[47].
  • abbas de Cereseio 1351/1352[48].
  • Cherisi 1356[9].
  • Cerisi du Bois d'Elle 1362[9].
  • Cherisy 1370[9].
  • abbati[a] […] de Cerisy 1418[49].
  • es sergenteries de […] Cherisy, […] 1434[50].
  • Cherisy 1494[51].
  • Serisy 1561[52].
  • Cerisy 1635[53], 1612/1636[54], 1640[55], 1661[56], 1677[57].
  • Cerisi 1689[58].
  • Cerisy 1694[59].
  • Cerisi ~1700[60].
  • Cerisy bourg 1713[61].
  • Cerisi 1716[62].
  • Cerisy 1719[63], 1720[64].
  • Cerisy l'Abbaïe 1736[65].
  • Bourg De Cerizy 1749[66].
  • Cerisy 1758[67], 1777[68].
  • Cerisy l'Abbaye 1753/1785[69].
  • Cerisy 1792[70].
  • Cerisy la Forêt 1793[9].
  • Cerisy la Forest 1793[71].
  • Cerisy-la-Forêt 1801[72].
  • Cerisi-la-Forêt 1828[73].
  • Cerisy-la-Forêt 1829[74].
  • Cerisy-la Foret 1854[75].
  • Cerisy-la-Forêt 1889[76], 1903[77], 1962[78].
  • Cerisy la Forêt 1978, 1993[79].
  • Cerisy-la-Forêt 2007[80].

Étymologie

Toponyme gallo-romain formé avec le suffixe gallo-roman -(I)ACU ajouté à un autre élément, qui ne fait pas l'unanimité parmi les spécialistes. Ce type toponymique est attesté en Normandie et dans les régions voisines sous les formes Cerisé, Cerisi (Orne), Cerisy (Manche, Somme, Pas-de-Calais).

  • Auguste Longnon[81] y a vu le latin cerasus « cerisier », d'où implicitement (car la proto-forme entière n'est pas fournie) °CERASIACU « (le lieu) caractérisé par la présence de cerisiers », à moins que cet auteur n'ait vu ici un traitement particulier de °CERASĒTU « cerisaie », formé avec le suffixe collectif -ĒTU, et qui devrait normalement aboutir à °Cerisay, °Cerisé, etc.
  • Auguste Vincent[82], comme tous les spécialistes postérieurs, préfère voir dans le premier élément un anthroponyme : en l'occurrence, le nom de personne gallo-romain Carisius ou Charisius, soit °CARISIACU « (le domaine) de C(h)arisius ». Cette explication se heurte à une impossibilité phonétique : un étymon en °CA- aboutit nécessairement à [ʃ], ch- en français et [k], qu- dans les formes dialectales normandes. Or les attestations anciennes de Cerisy sont de type français [s], c(e)- et normand [ʃ], ch-, correspondant au produit de [k] latin devant [e] ou [i].
  • Albert Dauzat[83] corrige le tir en proposant, avec davantage de cohérence phonétique, les noms de personnes gallo-romains Ceretius ou °Cerisius, soit °CERETIACU ou °CERISIACU, « (le domaine) de Ceretius ou °Cerisius ».
  • Quatre ans plus tard, Adigard des Gautries et Lechanteur[84] hésitent encore entre Carisius (qui ne convient pas) et Ceretius (qui peut convenir).
  • Marie-Thérèse Morlet[85] opte pour le nom de personne °Cerisius déjà envisagé par Dauzat, d'où °CERISIACU qui convient parfaitement phonétiquement. La seule difficulté est que ce nom n'est pas attesté, et qu'il représente un dérivé hypothétique (mais plausible) de Cerius, lui-même généralement rattaché au latin cera « cire ».
  • François de Beaurepaire[9] a préféré un étymon °CERATIACU formé sur le nom de personne gallo-romain Ceratus (autre dérivé de cera « cire »), qu'il présente comme attesté chez Marie-Thérèse Morlet[86], mais nous l'y avons vainement cherché. Alternativement, il envisage une possible proto-forme °CESARIACU dérivée de Cesarius[87], soit « (le domaine) de Cesarius », qui a l'avantage, lui, d'être un nom courant et bien attesté. Dans cette hypothèse, la forme °CESARIACU aurait subi une métathèse aboutissant à °CERASIACU > Cerisy. Ces solutions alternatives sont reprises telles quelles par René Lepelley[88].
  • Ernest Nègre[89] reprend quant à lui l'hypothèse Ceretius de Dauzat, soit °CERETIACU « (le domaine) de Ceretius ».

Parmi toutes ces hypothèses, plusieurs d'entre elles sont plausibles, et rien ne permet de les départager : Ceretius, °Cerisius et Cesarius conviennent, à condition d'admettre, comme il a été dit, la dérivation Cerius → °Cerisius et la métathèse °CESARIACU > °CERASIACU. La forme Ceratus avancée par François de Beaurepaire paraît pour l'instant non documentée, mais pourrait également convenir. Enfin, l'explication d'Auguste Longnon, consistant à voir dans le premier élément de ce toponyme l'appellatif cerasus « cersisier », quoique moins probable, n'est pas à exclure absolument, contrairement à ce que semble penser de Beaurepaire. On sait en effet qu'un certain nombre de noms en -(I)ACU sont formés sur les appellatifs, en dépit des opinions d'Albert Dauzat et de sa disciple Marie-Thérèse Morlet, dont la préférence va systématiquement aux anthroponymes.

Sous l'Ancien Régime, la paroisse a parfois porté le nom de Cerisy-l'Abbaye. Dans le cadre de la déchristianisation à l'époque de la Révolution française, ce nom fut changé en Cerisy-la-Forêt en novembre 1793, en référence à la forêt voisine. Celle-ci, aujourd'hui appelée Forêt de Cerisy, se situe sur le territoire du Calvados, à l'exception d'une petite portion nommée le Bois l'Abbé à Cerisy, par référence à l'abbaye du lieu.

Microtoponymie

Les hameaux Boulaye et Launay désignaient respectivement des bois de bouleaux et d'aulnes.

Les hameaux en X-ère / X-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme ou le domaine de la famille X, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe ‑ XIIIe siècles. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière[90]. Par la suite, on a utilisé ces suffixes pour indiquer simplement la propriété.

Répartition des principaux peuples gaulois du nord-ouest de la Gaule

Histoire

La Généralité de Caen en 1774

En 1814, une colonne de la garde impériale russe pénétra dans la Manche par Cerisy-la-Forêt. Elle était forte de 9 000 hommes et d'un millier de chevaux[réf. nécessaire].

Antiquité

Pendant l'Antiquité, le Castel est l'une des places fortes des Bajocasses, l'oppidum du Castel, se trouve à quelques kilomètres en amont, sur Cerisy-la-Forêt, face à la commune de Saint-Jean-de-Savigny. Cette place fortifiée servait de refuge lors des périodes de troubles et de guerre[91]. Un tumulus a également été retrouver sur l'oppidum du Castel[92].

Statue de saint Vigor à Saint-Vigor-des-Monts (Manche)

Moyen Âge

La légende veut qu'un dragon occupait les terres de Cerisy vers l'an 510. Celui-ci fut terrassé par Vigor par un signe de croix puis fut jeté à la mer par son compagnon Théodomir. Vigor fonda ensuite un monastère dédié à saint Pierre et à saint Paul[93].

Invasions scandinaves

Dès le début du IXe siècle, le Bessin subit les assauts et sacs répétés des Vikings (ou Normands), Bayeux est incendié par Rollon, les abbayes de Vigor et de Deux-Jumeaux rasées. Après le traité de Saint-Clair-sur-Epte, le roi de France Charles le simple abandonne la Normandie aux Scandinaves et revient à la charge de leur chef Rollon de répartir toutes ses terres entre ses compagnons d'armes.

Calvinisme

Au XVIe siècle, le calvinisme fait de rapides progrès à Saint-Lô où une église réformée est organisée dès 1555. Les seigneurs de Sainte-Marie-du-Mont, de Cerisy, d'Agneaux et de Colombières soutiennent la cause protestante. Bricqueville, sire de Colombières, est même le gendre de Montgommery, auteur involontaire de la mort d'Henri II et chef du parti protestant en Normandie[94].

La maréchaussée

Rappelons nous : la maréchaussée, en 1660, a un rôle prévôtal. De ce fait, elle est implantée dans les villes et villages de garnison. Ainsi, dans les registres d'état civil des XVIe et XVIIe siècles de Cerisy-la-Forêt, plusieurs actes de décès de Dragons sont enregistrés. Y figurent aussi quelques actes de mariages de Dragons ou de baptêmes de leurs enfants. Ceux-ci nous permettent d'en déduire qu'un corps de cette arme existait alors en cette commune. La Maréchaussée était alors installée dans la ferme de l'abbaye. Cette compagnie de maréchaux était donc dans l'enceinte de l'abbaye, là où les "gens de robes" rendaient la justice. Le principal homme de cette institution religieuse n'était autre que le cardinal de Mazarin, célèbre homme d'état (1602-1661). Bien qu'il en toucha le revenu, ce cardinal préférait la compagnie de la cour à celle des moines. Il ne parut que très rarement en cette abbaye.

La salle de justice et sa cellule attenante ont traversé les siècles, subissant invasions et incendies. Celles-ci sont encore visibles de nos jours.

De la prison de la "Brigade de l'époque", il ne reste plus que le linteau ornant l’entrée sur lequel on peut lire :

"TREMBLEZ, TREMBLEZ DIABLES D'ENFER, AUSSITÔT QU'EN PRISON ON VOUS TRAINERA, VOS BRAS SERONT LIES DE LOURDES CHAINES DE FER ET VOUS LES PORTEREZ TELS ET VOUS APPRENDREZ A CHICANER"

La salle des aveux est contigüe à la salle de justice et à la cellule de l'abbatiale. De nombreux graffitis ornent le murs de la geôle. On remarque qu'il en existe deux niveaux. En effet, au XVIe siècle, les prisonniers portaient comme le rappelle l'avertissement vu précédemment… "DE LOURDES CHAINES DE FER". Les prisonniers ainsi très limités dans leurs mouvements, ne pouvaient sculpter qu'à une petite hauteur et que des motifs très simples.

Au XVIIe siècle, ils deviennent libres de leurs mouvements dans les cellules, n'ayant plus à supporter les chaînes. Toutefois, la paille, ajoutée jour après jours sur le sol du cachot, entraîna l'élévation du sol. Cette litière n'était pas changée. La conséquence de la liberté de mouvement des prisonniers, associée à l'élévation du sol est nettement visible. En effet, les dessins ou graffitis sont de plus en plus élevés, plus travaillés et expressifs[95].

Badge d'épaule de la 2e division d'infanterie des États-Unis "Indianhead"

La Sergenterie

Cerisy-la-forêt était le siège d'une sergenterie qui comprenait, en 1735, 24 paroisses : Blay, Trévières, Mandeville, Cottun, Tournières, Le Molay, Saonnet, Bernesq, Tessy, Notre-Dame de Blagny, Campigny, Crouay, Baynes, Agy, Rubercy, la Haye-Piquenot, Saint-Martin-de-Blagny, Littry, Noron, Ranchy, Le Breuil, Saon, Saint-Paul-du-Vernay. Ces paroisses faisaient partie du ressort de l'élection de Bayeux, de la généralité de Caen[96].

Seconde Guerre mondiale

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Cerisy-la-Forêt a abrité des réfugiés cherbourgeois[97].

Le 2 juillet 1944 le Général Eisenhower et Bradley sont venus encourager la 2e division d'infanterie "Indian head" au château de la Boullaye.

Héraldique

Blason à dessiner.svg

Les armes de la commune de Cerisy-la-forêt se blasonnent ainsi :
Écu sur le tout : d'azur aux fleurs de lys d'argent et à la tête de crosse d'argent vêtu de gueules aux léopards d'or[98].

Politique et administration

Administration municipale

Maires de Cerisy-la-Forêt[99]
Période Identité Étiquette Qualité
1811 1821 Claude Le Creps Dubosq    
1821 1830 Pierre Le Forestier-de-Claids    
1830 1841 Pierre Pennier    
1841 1844 Alfred Deshameaux    
1844 1863 Georges Poret   Avocat, notaire
1863 1864 Eugène de Saint Julien Muiroux    
1864 1873 Hervé Deshameaux    
1873 1881 Pierre Malherbes   Officier de santé
1881 1899 Charles Fouque    
     ?    
    Lucien Godin    
1995 2008 Jean Ledunois   Agriculteur
mars 2008 en cours Jocelyne Le Trouit   Coiffeuse
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Jumelage

Drapeau de l'Allemagne Scharmede (de) (Allemagne)Sous-modèle utilisé pour la maintenance du modèle {{Jumelage}} via les pages liées..

Démographie

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 2 151 2 105 2 267 2 019 2 164 2 167 2 055 2 112 1 995
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 910 1 873 1 858 1 794 1 822 1 770 1 700 1 620 1 532
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1 510 1 480 1 357 1 188 1 216 1 175 1 239 1 280 1 189
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 - -
Population 1 103 1 051 923 941 784 839 934 - -
Notes, sources, ... Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Sources : EHESS[100] et Insee[101])

Le village compte 425 hommes et 484 femmes.

Les foyers fiscaux de Cerisy-la-Forêt

  • Revenus moyens des ménages imposés : 26 716 € (2 227 €/mois) Nombre de foyers fiscaux : 496
  • Revenus moyens des ménages non imposés : 13 288 € (1 108 €/mois) Nombre de ménages imposés : 213 (42.94%)
  • Revenus moyens par ménage : 17 179 € (1 432 €/mois) Nombre de ménages non imposés : 283 (57.06%)
  • Impôts moyens par ménage imposé : 456 € Poids de l'impôt pours les ménages imposés : 2 %

Pyramide des âges

La pyramide des âges par sexe et âge en 2009:

Pyramide des âges de Cerisy-la-Forêt en 2009.[102]
Hommes Classe d'âge Femmes
Modèle:Mida
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16 
12 
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20 
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16 
16 
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32 
32 
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24 
12 
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24 
20 
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16 
32 
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28 
32 
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28 
48 
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24 
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40 
16 
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16 
32 
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20 
24 
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36 
12 
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20 
24 
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20 
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28 
28 
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32 
16 
Modèle:Mida
20 

Société

Logement

Nombre total de logements : 447 Nombre de résidences principales : 360 Nombre de résidences secondaires : 57 Nombre de logements vacants : 30 La population a emménagé majoritairement il y a 10 à 19 ans[103].

Santé

L'hôpital le plus proche est celui de Saint-Lô, le CHU le plus proche est celui de Caen. La commune dispose d'une pharmacie, d'une infirmière libérale, de deux médecins généralistes, d'une diététicienne, et d'une maison de retraite.

Espaces naturels protégés

Cerisy-la-Forêt est un espace naturel protégé, notamment la forêt qui est classée Natura 2000. La forêt est aussi classée en ZNIEFF (zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique) tout comme la vallée de l'Elle[3]. La forêt est également classée réserve naturelle.

Sport

L'Association sportive de Bérigny-Cerisy fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[104].

Cinéma

Toutes les trois semaines l'association Omnibus organise des séances de cinéma dans la salle des fêtes[105].

Économie

Siège social de la Sorapel (Société ouvrière régionale pour les applications de l'électricité) qui emploie 125 personnes (hors intérimaires) dans la construction de réseaux dans l'ouest de la France[106].

Le bassin de vie de Cerisy-la-forêt est sous influences multiples. À mi-chemin entre Bayeux et Saint Lô, il subit aussi l'influence de l'agglomération caennaise qui ne se trouve plus qu'à 40 kilomètres ou 35 minutes depuis que le contournement de Bayeux a été créé par le prolongement de la route nationale 13. Les accès aux équipements et à l'emploi sont donc rapides.

La majorité des emplois sont issus de la sphère agro-alimentaire et de l'agriculture. Un ensemble d'entreprises artisanales, de commerces, de services poste, banques, assurances, agences immobilières et d'autres services sanitaires et sociaux en font une commune pôle attractive et dynamique.[107].

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

Abbaye

Article détaillé : Abbaye de Cerisy-la-Forêt.

L'église abbatiale Saint-Vigor des XIe et XIIe siècles est classée aux Monuments historiques[108].

Autres monuments

  • Chapelle de l'Abbé.
  • Stèle du moulin des Rondelles, commémorant les combats et la perte de dix soldats américains le 13 juin 1944[109].
  • Château de la Boullaye, avec chapelle.
  • Manoir des Rochers.
  • Château de la Couespellière.
  • Cantilly.
  • La Hunaudière.
  • Longré.
  • Le Grand Castel.
  • Vallée de l'Elle.
  • Tumulus.
  • Bois l'Abbé.

Lieux

  • Plan d'eau de l'abbaye
  • Parc de sculptures


Associations

  • L'association des curieux de nature[110].
  • L'association omnibus[111].

Manifestations

Chaque année, depuis 1999, la communauté de communes de l'Elle organise à Cerisy le Symposium de sculpture[112].

Héraldique

Écu sur le tout : d'azur aux fleurs de lys d'argent et à la tête de crosse d'argent vêtu de gueules aux léopards d'or[113].

Personnalités liées à la commune

Références

Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[114].
  1. Population municipale 2008 (site de l'Insee)
  2. Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée
  3. a et b Géoportail
  4. Géoportail.
  5. Site de Mancherandonnées.
  6. Météo France Base de données météo et observations en temps réel par Météo France
  7. Données de l'INSEE et du site Lameteo.org concernant la ville de Caen
  8. Cette section est en très grande partie une reprise de l'article correspondant de WikiManche (Auteurs).
  9. a, b, c, d, e et f François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 95.
  10. Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 194, § 64.
  11. Ibid., p. 255, § 99.
  12. Léopold Delisle, Recueil des actes de Henri II, revu et publié par Élie Berger, Imprimerie Nationale, Paris, t. I, 1916, p. 436, § CCLXXXVII.
  13. Ibid., p. 483, § CCCXXXIX.
  14. Wace, Roman de Rou, édition de Frédéric Pluquet, Rouen, Frère ed., 1827, t. II, p. 17, v. 8728.
  15. Benoît de Sainte-Maure, Chronique des ducs de Normandie (~1175), édition de Francisque Michel, in Collection des documents inédits, Imprimerie Royale, Paris, vol. II, 1838, p. 511, v. 30052.
  16. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 1a.
  17. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Société des antiquaires de Londres, Londres, t. I, 1840, p. 5.
  18. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 2b.
  19. Ibid., p. 24a.
  20. Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, pars secunda, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI, 2e série, 6e volume, Paris, 1852, p. 111b.
  21. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 61a.
  22. Ibid., p. 69a.
  23. Ibid., p. 80b.
  24. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Société des antiquaires de Londres, Londres, t. II, 1844, p. 293.
  25. Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, op. cit., p. 38a.
  26. Ibid., p. 82b.
  27. Ibid., p. 84b.
  28. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 176a.
  29. Léopold Delisle, Le cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI (2e série, 6e vol.), Paris, 1852, p. 33a, § 211.
  30. Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au XIIIe siècle, Paris, 1864, p. 59, § 234.
  31. Léopold Delisle, Le cartulaire normand…, p. 305b, § 1124.
  32. Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 404, § 268.
  33. Léopold Delisle, Recueil de jugements…, p. 121, § 512.
  34. Ibid., p. 180, § 793.
  35. Léopold Delisle, Le cartulaire normand…, p. 166b, § 742.
  36. Ibid., p. 176a, § 769.
  37. Ibid., p. 208a, § 878.
  38. Ibid., p. 267b, § 1033.
  39. Julie Fontanel, op. cit., p. 385, § 247.
  40. Ibid., p. 387, § 248.
  41. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 292F.
  42. Ibid., p. 305B.
  43. Ibid., p. 314E.
  44. Pouillé du Diocèse de Rouen, 1337, in Auguste Longnon, op. cit., p. 1B.
  45. Léopold Delisle, Les actes normands de la Chambre des Comptes sous Philippe de Valois (1328-1350), Rouen, Le Brument, 1871, p. 162, § 73.
  46. Pouillé du Diocèse de Bayeux (Livre Pelut), ~1350, in Auguste Longnon, op. cit., p. 96C.
  47. Ibid., p. 132F.
  48. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 376E.
  49. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 256b.
  50. Siméon Luce, Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468), Firmin-Didot, Paris, t. II, 1883, p. 38, § CLII.
  51. Comptes de la débite du diocèse de Bayeux pour 1494, in Auguste Longnon, op. cit., p. 139C.
  52. Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 733.
  53. Normandia Ducatus (carte du duché de Normandie), Atlas Van der Hagen, 1635.
  54. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
  55. Rôle des fiefs du grand bailliage de Caen (vicomtés de Caen, Bayeux, Falaise et Vire) et de leur possesseurs dressé en 1640, Bulletin Héraldique de France, 1890-1892, p. 21a.
  56. N. Sanson et P. Mariette cartographes, R. Cordier graveur, Duche et Gouvernement de Normandie, Paris, 1661.
  57. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  58. G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BNF, Collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  59. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BNF, IFN-7710251].
  60. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  61. Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  62. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  63. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  64. G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 3 : Fougères, Vire et Avranches, 1720 [BNF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, III) B].
  65. Bernard Jaillot, Carte topographique du diocèse de Bayeux, Paris, 1736 [BNF, Collection d’Anville, cote 00260 B].
  66. Atlas de Trudaine pour la généralité de Caen (1745/1780), Archives Nationales, fonds CP, F/14/*8469.
  67. G. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  68. P. Santini, Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, Remondini, Venise, 1777.
  69. Carte de Cassini.
  70. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  71. Site Cassini.
  72. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris, 1801-1870.
  73. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 416.
  74. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Saint-Lô, p. 157.
  75. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  76. Carte de la Manche, in Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1889.
  77. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  78. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  79. Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  80. Carte IGN au 1 : 25 000.
  81. Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929; rééd. Champion, Paris, 1979, p. 625, § 2949.
  82. Auguste Vincent, Toponymie de la France, Bruxelles, 1937, p. 74b, § 180.
  83. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 162a.
  84. Jean Adigard des Gautries & Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XVII (mars 1967), § 620.
  85. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 62a.
  86. La référence donnée est « Morlet II », c'est-à-dire Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. II (les noms latins ou transmis par le latin), 1972.
  87. Variante de Cæsarius, dérivé de Cæsar. Ce nom, attesté en tant que gentilice, fut porté par plusieurs saint Césaire, dont un célèbre évêque d'Arles.
  88. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 89a.
  89. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 545, § 8845.
  90. [1].
  91. name="TGP2"
  92. Article Cerisy-la-Forêt sur WikiManche.
  93. Voir Abbaye de Cerisy-la-Forêt.
  94. Site Beaucoudray.
  95. name="Arch50"
  96. Geneawiki.
  97. Ina.fr - 1er juillet 1944 : Cerisy-la-Forêt.
  98. [2]
  99. name="Arch50"
  100. Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale - Cerisy-la-Forêt », École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). Consulté le 4 août 2011
  101. Insee : historique des populations par commune depuis le recensement de 1962
  102. Population par sexe et âge quinquennal de 1968 à 1999 sur http://www.recensement-2007.insee.fr
  103. Site Mescommunes.
  104. Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS de Bérigny-Cerisy. Consulté le 17 août 2010
  105. [3].
  106. Sorapel.fr - Historique. Consulté le 10 juillet 2011
  107. Source : Rapport de l'INSEE, La Basse-Normandie entre villes et campagnes, [PDF] (disponible en ligne).
  108. Ancienne abbaye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  109. Ouest-france.fr - Commémoration franco-américaine au Moulin des Rondelles - Cerisy-la-Forêt. Consulté le 1er juillet 2011
  110. Les curieux de nature : L'association. Consulté le 27 juillet 2011
  111. Ouest-france.fr - Des activités pour tous avec Omnibus - Cerisy-la-Forêt. Consulté le 27 juillet 2011
  112. La Manche libre - Les amateurs de sculpture ont rendez-vous à Cerisy-la-Forêt. Consulté le 6 juin 2010
  113. [4]
  114. Cerisy-la-Forêt sur le site de l'Institut géographique national (archive Wikiwix)

[1]

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