Bourgouin

Bourgouin

Bourgoin-Jallieu

47° 30′ 37″ N 6° 47′ 56″ E / 47.51027, 6.79888

Bourgoin-Jallieu

Mairie de Bourgoin-Jallieu
Mairie de Bourgoin-Jallieu

Armoiries
Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La-Tour-du-Pin
Canton Chef-lieu de deux cantons : Bourgoin-Jallieu-Nord, Bourgoin-Jallieu-Sud
Code Insee abr. 38053
Code postal 38300
Maire
Mandat en cours
Cottalorda Alain (PS)
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Porte de l'Isère
Site internet http://www.bourgoinjallieu.fr/
Démographie
Population 24 421 hab. (2008)
Densité 1 002 hab./km²
Gentilé Berjalliennes, Berjalliens
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 10″ Nord
       5° 16′ 25″ Est
/ 45.586133, 5.273551
Altitudes mini. 210 m — maxi. 382 m
Superficie 24,37 km²

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Bourgoin-Jallieu est une commune du département de l'Isère, divisé en deux cantons (nord et sud) dans la région Rhône-Alpes, en France. Ses habitants sont appelés les Berjalliennes et les Berjalliens.

Sommaire

Quartiers

  • Champ-Fleuri
  • Funas
  • Champaret
  • Boussieu
  • La Grive
  • Montbernier
  • Planbourgoin
  • Pré-Bénit
  • Mozas
  • l'Oiselet

Géographie

  • Altitude moyenne : 254 m

Bourgoin est à 42 km du centre de Lyon, et à 70 km de Grenoble. La ville est à proximité de l'Isle-d'Abeau, ville nouvelle jusqu'au 31 décembre 2006, de la ville de La Verpilliere, Villefontaine et de l'Aéroport Lyon-Saint-Exupéry.

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[1] et INSEE[2])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 368 3 595 3 620 3 780 3 672 4 235 4 271 4 394 4 749
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 400 4 851 4 853 4 954 5 021 6 138 6 345 7 217 6 659
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7 279 7 163 6 790 6 162 7 241 8 020 7 465 7 699 8 153
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
9 240 19 941 21 971 22 550 22 392 22 947 23 659 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Accès

Via l'A43 (Lyon Chambéry), l'A48 (Lyon Grenoble) ou la RD1006, anciennement RN6.
Via le train (SNCF): Ligne TER Lyon/Grenoble ou Lyon/Chambéry Challes les Eaux
Via l'avion : à proximité des aéroports Lyon Saint Exupéry et Grenoble Isère.

Origine du nom

Il existe deux origines étymologiques possibles du nom de « Bourgoin »  : Bergusia, inscrit sur une pièce d’or mérovingienne, ou Breg-Osio, « porte des montagnes », d’origine à la fois celte et latine. Cette origine celte et latine "Breg-Osio" n'a pas de sens et a été inventée à la fin du XXe siècle. On ne peut, étant donné la localisation de Bourgoin en plein pays molassique du Bas-Dauphiné, sans aucune montagne en vue, concevoir que les anciens lui aient attribué un tel dénominatif. Par contre, un slogan touristique de la ville de Bourgoin-Jallieu, apparu peu avant cette élucubration, disait "Bourgoin-Jallieu, Porte des Alpes", ce qui tout à fait justifiable à l'ère de la circulation automobile et alors que Bourgoin-Jallieu est à l'embranchement de 2 autoroutes en direction des montagnes : montagnes de Savoie, par Chambéry et montagnes de l'Isère ou Dauphiné, par Grenoble.
Quant à celui de Jallieu, il proviendrait de Jalliacum : eaux jaillissantes ou plus simplement "sources" car les sources étaient nombreuses entre Jallieu et les marais avant que la nappe phréatique ne baisse suite aux pompages, aux travaux d'urbanisme et à la sécheresse.

Histoire

Après avoir subi la domination des Burgondes puis des Francs du Ve au VIIIe siècle, Bourgoin dépend du royaume de Bourgogne. À l’époque féodale, à partir du XIIe siècle, la châtellenie de Bourgoin, incluant Jallieu et Ruy, est rattachée à la seigneurie de La Tour-du-Pin, qui est intégrée en 1282 au Dauphiné. Elle fait face à Maubec, importante baronnie dans la mouvance de la famille de Savoie opposée au Dauphin. L’octroi d’une charte de franchises libérale par le dauphin Humbert Ier en 1298 permet de conforter le développement urbain de Bourgoin. La ville devient alors le siège du tribunal de bailliage du Viennois, le plus riche en revenus des sept bailliages du Dauphiné.
Durant deux siècles, la cité jouit des avantages que lui confère cette juridiction sur le Bas-Dauphiné. La transformation du chanvre, cultivé en milieu humide, est la première activité textile pratiquée à Bourgoin et Jallieu. Dérivé de la Bourbre, le canal Mouturier permet d’aménager des chutes actionnant le « Moulin Delphinal » (seigneurial), première installation artisanale située à l’emplacement de l’immeuble « Le Gutemberg », angle rue de l’Escot et Dos de l'Ane.
Un rude coup est porté à la prospérité de la ville, en 1450, lorsque le Dauphin Louis II - futur roi Louis XI - transfère le siège du bailliage à Vienne après la réunion de la cité viennoise au Dauphiné. Au XVIe siècle, les guerres de religion avec leur cohorte de troubles et de pillages sont particulièrement destructrices dans la région. Les pestes de 1628 et de 1643 anéantissent plus de la moitié de la population, et la ville subit d’importantes inondations en 1637, 1653, et 1673.

Au XVIe siècle, Henri III, élu roi de Pologne, de retour en France pour succéder à son frère, s’arrête à Bourgoin, ville frontière avec le Duché de Savoie. Il est accueilli par sa mère Catherine de Médicis au lieu-dit Champaret, et institue en 1584, par lettres patentes, les deux grandes foires du 1er mai et du 29 septembre (Saint-Michel). Elles contribuent au retour de la prospérité et au développement du commerce local avec l’essor du transport routier. En 1620, Bourgoin possède sa poste aux chevaux sur la route de Grenoble à Lyon.
Le canal Mouturier, amélioré et élargi, alimente en énergie de nombreux moulins à farine, rotoirs et battoirs à chanvre.
L’ouverture d’une première école de filles par les religieuses ursulines, dans l’ancienne commanderie des Antonins (actuel musée de Bourgoin-Jallieu) est attestée en 1646.

Au début du XVIIIe siècle, Bourgoin s’agrandit et construit ses faubourgs hors les murs d’enceinte. Dans les années 1740, la situation de carrefour entre Lyon, Chambéry et l’Italie se renforce avec la construction de la nouvelle route de Grenoble. La création de cette « grande route » est le prélude d’une série de travaux d’urbanisme : aménagement d’une place agrémentée d’une fontaine publique (actuelle place du 23-août), éclairage (installation de huit lampadaires à huile).
En 1787, la fondation d’une première fabrique de toiles peintes par Louis Perregaux, de religion protestante, annonce l’ère industrielle.

À défaut d’être érigée en chef-lieu d’arrondissement bien qu’elle soit la ville la plus peuplée, Bourgoin obtient, en 1790, le siège de l’actuel Tribunal de Grande Instance (également Tribunal de Commerce). De son côté, la paroisse de Jallieu profite de la Révolution pour se séparer de Bourgoin. Cette nouvelle commune s’organise en faubourgs industriels le long de l’actuelle rue de la Libération et comprend, jusqu'à la fusion de 1967, différends hameaux ruraux : Charbonnières, Montbernier, Mozas, Bourselas.
Au XIXe siècle, Bourgoin se transforme jusqu'à effacer ses origines médiévales. Les murs d’enceintes disparaissent et de nouveaux bâtiments structurent la cité : la halle (actuel espace Grenette), le tribunal (ancienne chapelle de Pénitents). L’hôpital de la rue Victor-Hugo (actuel musée) est transféré sur son emplacement actuel en 1895. L’Asile des vieillards (actuel Centre de séjour Jean-Moulin), le collège (actuel Conservatoire de Musique Hector Berlioz), la Caisse d’Épargne (rue Dr Pollosson) sont successivement édifiés.
En 1858, la ligne de Chemin de fer facilite les échanges avec Lyon et Grenoble. Dans le même temps, l’industrie se développe le long du canal Mouturier.

En 1965, lors de la campagne des municipales, la réunification de Bourgoin et Jallieu est dans tous les esprits. Le 25 juin 1965, les nouveaux conseil municipaux de Bourgoin et Jallieu votent le projet de fusion de leurs deux communes au 1er janvier 1967. À minuit une, dans la nuit du samedi 31 décembre 1966 à celle du dimanche 1er janvier 1967, sonnent les cloches de Bourgoin et Jallieu : après 176 années de séparation, les deux communes sont à nouveau réunies. De nombreuses réalisations suivirent, dans tous les domaines de l’action publique : social, santé, urbanisme, sports, jusqu'à établir Bourgoin-Jallieu dans le rôle de ville-phare du Nord-Isère.

Économie

Le textile, lié à la « Fabrique » lyonnaise, et l’industrie mécanique qui en découle, gouvernent la vie de la cité : ateliers de gravure sur bois et sur cadre, usines d’impression (Brunet-Lecomte sur le site de l’actuel pont Saint-Michel, Dolbeau, rue de la Libération), ateliers de dévidage et d’ourdissage (Caffarel à Jallieu), usines d’encollage, de tissage (Debar à La Grive) et fabrique de métiers à tisser (Ateliers Diederichs). Au début du XXe siècle, Bourgoin et Jallieu constituent un des tout premiers centres français pour l’impression sur étoffe.
D’autres activités complètent l’économie locale : cartonnerie (Voisin-Pascal, petite rue de la Plaine), chimie (Le Dauphin, site PCAS). Pendant deux siècles, l’industrie offre de nombreux emplois ouvriers à la population berjallienne jusqu'à la crise des années 1970. Après la disparition des établissements Brunet-Lecomte et Dolbeau, la relève est en partie assurée par les établissements Mermoz de Champaret. L’établissement conserve jusqu'à sa fermeture, en 2003, une activité importante, axée sur la qualité, au service de grands couturiers comme Dior, Cardin, Lanvin…
La fermeture des entreprises traditionnelles transforme le paysage industriel et urbain. Les pertes sont cependant compensées par l’implantation de nouvelles entreprises, liées au développement de pôles de compétitivité dans les énergies renouvelables, avec notamment l'entreprise Photowatt International S.A.S[3], spécialiste français de production de panneaux solaires photovoltaïques, ou encore dans la recherche textile.

Lieux et monuments

Les halles de Bourgoin Jallieu
  • Château de Thézieu
  • Château de Petit-Mont
  • Château de Bourgoin XIIIe siècle - XIVe siècle
  • Chapelle de Villieu
  • Musée Victor Charreton (Ancienne chapelle de la Commanderie des Antonins)
  • Église Saint-Jean-Baptiste XIXe siècle
  • Église Notre-Dame XIXe siècle
  • Les Halles, rebaptisées Espace Grenette en 1994
  • Tribunal (Chapelle des pénitents blancs XVIIe siècle)
  • Stade de rugby Pierre Rajon
  • Objet-Dard[4], à la mémoire de Frédéric Dard par Bertrand Lavier

La fontaine de Bourgoin-Jallieu

En 1755, une fontaine monumentale fut construite sur la place de la Pourcherie, au centre de Bourgoin. Sur le pilier central, une inscription précisait : « Cette fontaine a été construite pour l'utilité publique ». De fait, non seulement les Berjalliens s'y fournissaient en eau potable, mais aussi les chevaux de poste ou de diligence s'y désaltéraient.
Le 13 juin 1953, un convoi exceptionnel transportant un four-séchoir tubulaire de 29 mètres de long à destination de la centrale thermique du Chambon-Feugerolles entreprit de traverser la ville du nord au sud. Arrivé sur la place du 23-août-1944 (nouveau nom de la place), il ne put manœuvrer et se trouva bloqué. Les pompiers, appelés à l'aide, considérèrent que le seul moyen de dégager le convoi était de le faire passer sur l'emplacement de la fontaine. Celle-ci fut alors cassée à la masse. Cependant le fut central put être conservé. L'événement déchaîna de vives réactions.
Ce n'est qu'en 1980 que la municipalité fit reconstruire la fontaine, avec des éléments préservés du fut central, à peu près au même endroit.

Maires de Bourgoin, Jallieu, et Bourgoin-Jallieu

Les Maires de Bourgoin
  • CHABOUD Joseph Gaspard : 1799 - 1814
  • DONIN de ROSIERE Pamphile : 1814 - 1815
  • de ROSIERE Camille : 1815 - 1821
  • MARTIN Joseph Étienne : 1821 - 1830
  • PATRICOT Joseph Ennemond : 1830 - 1835
  • CHABOUD Fortuné : février 1836 - juin 1836
  • BUISSON Joseph François : 1836 -1848
  • ORCEL Louis : 1848 - 1849
  • MARTIN Edouard : 1849 - 1851
  • BUISSON Joseph François : 1851 - 1867
  • PIERRI Jean Pierre : 1867 - 1878
  • DESGRANGES Pierre : 1878 - 1882
  • BEDOR Joseph : 1882 - 1890
  • BONHOMME Charles : 1890 - 1892
  • CLARET Louis : 1892 - 1909
  • EMERY Adolphe : 1909 - 1912
  • ARMANET Jean : 1912 - 1925
  • BELMONT Robert : 1925 - 1925
  • EMERY Adolphe : 1925 - 1929
  • BELMONT Robert : 1929 - 1937
  • BELLET Michel  : 1937 - 1941
  • RAJON Pierre : 1941 - 1944
  • MAGES Gabriel : 1944
  • AUBRY Jean Claude : 1945 - 1947
  • ARMANET Elie : 1947 - 1965
  • RAMSEYER Fortuné : 1965 - 1967
Les Maires de Jallieu
  • DUPLAND Jean François : 1799 - 1816
  • de ROSIERE Camille : 1816 - 1821
  • PERREGAUX Fritz : 1822 - 1830
  • ALLARD Joseph : 1831 - 1837
  • PERREGAUX Fritz (Frédéric) : 1837 - 1848
  • ASTIER François Guillaume : 1848 - 1852
  • CAFFAREL Antoine : 1852 - 1860
  • BRUNET LECOMTE Henri Edouard : 1860 - 1870
  • GENIN Ambroise : 1870 - 1874
  • PERREGAUX Louis Emile : 1874 - 1879
  • BADIN François : 1880 - 1884
  • DIEDERICHS Théophile : 1884 - 1900
  • JACOB Joseph : 1900 - 1907
  • METIFIOT Joseph : 1907 - 1908
  • DIEDERICHS Charles : 1908 - 1919
  • MEUNIER Jules : 1919 - 1930
  • CATTIN André : 1930 - 1941
  • DREVET Henri : 1941 - 1944
  • ESCOFIER Henri : 1944
  • RAPHAEL Fabien : 1945 - 1950
  • DREVET Henri : 1950 - 1965
  • OUDOT Pierre : 1965 - 1967
Les Maires de Bourgoin-Jallieu
  • RAMSEYER Fortuné : 1967 - 1971
  • OUDOT Pierre : 1971 - 1989
  • ROY Edmond : 1989 - 2001
  • COTTALORDA Alain : Mars 2001
  • COTTALORDA Alain : Mars 2008

Berjalliens célèbres

Spécialité

  • Les chaudelets : Cette galette a été conçue à la fin du XIXe siècle par un boulanger de Bourgoin, le père Pitrougnard, qui, dit-on, malaxait sa pâte avec ses pieds. Il vendait ses gâteaux sur les quais de la gare de Bourgoin, en chantant « Ils sont chauds les chaudelets, ils sont chauds ». Le chaudelet est une petite galette de pâte brisé salée, aromatisée de grains d’anis. Longtemps pétrie, la pâte est mise en forme, puis pochée à l’eau bouillante et refroidie à l’eau froide. Les galettes sont ensuite égouttées et mise au frais plusieurs heures. Elles sont ensuite cuites et dorées dans un four à feu très vif. Frédéric Dard, qui les appréciait, en a parlé dans ses livres et ne manquait pas d’en faire provision à chacun de ses passages à Bourgoin-Jallieu.
  • La brioche de Bourgoin : brioche décorée de sucre rouge et blanc et garnie de pralines et de dragées. Le 18 octobre 1447, Louis II Dauphin de France, entre à Bourgoin par la Porte Neuve monté sur un superbe cheval noir. Il est suivi de quarante cavaliers ; trente archers et dix arbalétriers. Viennent ensuite la Cour et la maison du Dauphin : de riches gentilshommes portant écusson armorié sur la poitrine. Le futur roi Louis XI séjournera à plusieurs reprises à Bourgoin et c’est en son honneur que les boulangers préparèrent un gâteau en forme de couronne, composé de farine, lait, miel, œufs et levain, et décoré de pralines et de sucre blanc.
  • L'Isernoix : Créé par l’Amicale des pâtissiers Nord-Isérois, ce gâteau à la conservation parfaite fait la part belle aux produits « du terroir » : beurre, miel, œufs, noix et s’enrichit d’une touche d’exotisme avec son caramel à la vanille et sa touche légère de chocolat.
  • Le chocolat San-Antonio : Doux à l’intérieur (praliné de noisette avec feuilletine, cœur de ganache lactée) et croquant à l’extérieur (chocolat noir), à l’image du commissaire San Antonio, ce chocolat a été créé par Jean-Marc Scribante en hommage gourmand à Frédéric Dard.
  • La Grande Dauphine : Fleuron du Dauphiné, cette liqueur, élaborée à base d’oranges douces et amères d’après une recette de 1855, a acquis ses lettres de noblesse en 1935, grâce à Maurice Chavin qui eut l’idée d’ajouter du cognac à la recette originale afin d’en accentuer la finesse. Pour apprécier toute la complexité de ses arômes, il est recommandé de la boire pure, dans un grand verre « ballon » ou frappée sur des glaçons.

Sport

le CSBJ contre le Munster en Heineken Cup

Jumelages

Notes et références

Voir aussi

Lien externe


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