Birgus latro

Birgus latro

Crabe de cocotier

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Crabe de cocotier
 Birgus latro grimpant
Birgus latro grimpant
Classification classique
Règne Animalia
Embranchement Arthropoda
Sous-embr. Crustacea
Classe Malacostraca
Ordre Decapoda
Sous-ordre Pleocyemata
Infra-ordre Anomura
Super-famille Paguroidea
Famille Coenobitidae
Genre
Birgus
(W. E. Leach, 1815)
Nom binominal
Birgus latro
(C. Linnaeus, 1767)
Répartition géographique
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Statut de conservation IUCN :

DD  : Données insuffisantes

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Le crabe de cocotier (Birgus latro) est le plus grand arthropode terrestre. De la famille des bernard l'hermite, il est connu pour sa capacité à casser des noix de coco grâce à ses fortes pinces, pour en manger le contenu. Il se répartit dans des îles et îlots de l'océan Pacifique et de l'océan Indien.

Ce crabe a un développement complexe associé à de singulières caractéristiques morphologiques. Son odorat est très performant et il a développé diverses stratégies pour préserver l'eau qui est indispensable à sa respiration.

Sommaire

Noms vernaculaires et taxonomie

Le crabe de cocotier est aussi appelé pagure larron, crabe à bourse, boursière[1] ou crabe voleur, car cet animal est capable de voler des objets présentant des traces de nourriture et ceci même à l'intérieur des habitations[2].

L'espèce a été nommée Pagurus latro[1] puis Birgus latro, du latin lătro qui dans son sens le plus commun signifie « brigand », « voleur[3] ».

Localement, le crabe de cocotier a d'autres noms, comme à Guam en chamorro, où on l'appelle ayuyu[4].

Description

Morphologie générale

Crabes de cocotier de couleurs différentes.

Généralement, l'adulte pèse jusqu'à quatre kilogrammes, sa longueur allant jusqu'à 40 centimètres pour une envergure d'une patte à l'autre pouvant aller jusqu'à un mètre[5]. Le mâle est généralement plus grand que la femelle (dimorphisme sexuel)[6]. Des auteurs affirment avoir trouvé des spécimens de plus de 17 kilogrammes[7]. Ceci est généralement accepté comme étant la limite théorique pour un arthropode terrestre. Cependant, pour les animaux aquatiques qui sont soutenus par l'eau, la taille maximale d'un arthropode peut être supérieure (par exemple pour le grand crabe japonais Macrocheira kaempferi). Ces mensurations font du crabe de cocotier le plus grand arthropode terrestre du monde[8].

Le corps du crabe de cocotier[9], comme celui de tous les décapodes, se compose d'une partie antérieure (céphalothorax) munie de dix pattes et d'un abdomen. La paire la plus antérieure est munie de grosses pinces qu'il utilise pour casser les noix de coco ou soulever des objets (pouvant peser jusqu'à 28 kilogrammes[10]) par exemple. Les deux paires suivantes servent à la locomotion. Les extrémités de la troisième paire sont biramés. Ces crustacés peuvent gravir les arbres jusqu'à une hauteur de six mètres[7], ce qu'ils font dans les cocotiers ou dans les palmiers pour en consommer les fruits[11]. Les deux pattes de la paire postérieure sont minuscules et habituellement maintenues à l'intérieur de la carapace dans la cavité qui abrite les organes respiratoires. La femelle possède trois pléopodes (appendices articulés) du côté gauche pour porter ses œufs[12],[13].

Les yeux du crabe de cocotier sont rouges et la couleur de son corps varie d'un bleu violet à un rouge orangé suivant son habitat[14].

Spécificités de la carapace

Image d'un crabe de cocotier du Dictionnaire d'Histoire Naturelle, 1849.

Bien que le Birgus latro appartienne à la superfamille des Paguroidea, seuls les juvéniles récupèrent les coquilles des gastéropodes pour protéger leurs abdomens mous[15]. Parfois, ils utilisent même les coquilles des noix de coco brisées[16]. Au contraire de bien d'autres espèces de Paguroidea, l'adulte du crabe de cocotier ne transporte pas de protection artificielle, mais durcit naturellement son abdomen en y ajoutant des couches de chitine[17]. Ils recroquevillent également leur queue sous leur corps de manière à se protéger comme le font la plupart des Brachyura appelés « vrais crabes ». Toutefois, le crabe mue à intervalle régulier. La mue prend trente jours[17].

Système respiratoire et besoin d'eau

Le crabe de cocotier n'est pas apte à la nage et se noierait au bout de quelques heures malgré son système de branchies rudimentaire, probablement un vestige de son évolution[8],[18]. Il utilise un organe spécifique, nommé poumon branchiostégal, pour respirer[19]. Cet organe peut être considéré comme un stade intermédiaire entre la branchie et le poumon et est une des adaptations les plus significatives du crabe de cocotier à son habitat. Les chambres de cet organe sont situées dans la partie supérieure du céphalothorax, et contiennent un tissu similaire à celui des branchies. Mais, celui-ci est adapté pour capter l'oxygène de l'air plutôt que celui de l'eau, tout en ayant besoin d'eau pour fonctionner. Le crabe y pourvoit en humidifiant son poumon avec sa paire de pattes postérieures tout en les nettoyant[8]. Ce procédé fonctionne également avec de l'eau salée, puisque le crabe a quand même besoin de contact avec la mer pour équilibrer sa teneur en sel[8]. L'animal réduit sa perte d'eau notamment grâce à son abdomen durci[8].

Odorat

Une autre particularité du crabe de cocotier est son odorat très performant[20], qui fonctionne différemment si les molécules humées sont des molécules hydrophiles dans l'eau ou des molécules hydrophobes dans l'air. Vivant dans l'eau, la majorité des autres crabes ont sur leurs antennes des organes spéciaux, nommés aesthetascs, qui déterminent la provenance et la concentration des odeurs dans l'eau. Par contre, chez le crabe de cocotier, qui vit sur la terre ferme, les aesthetascs sont très différentes de celles des autres crabes et ressemblent davantage aux organes olfactifs des insectes nommés sensilles[20]. Bien que les insectes et le crabe de cocotier soient issus de différents parcours évolutifs, le même besoin de différencier les odeurs dans l'air les a conduits à développer des organes similaires (d'après la théorie du finalisme) ; on est en présence de convergence évolutive.

Le crabe de cocotier bouge par saccades ses antennes comme le font les insectes pour améliorer la perception. Ainsi il peut distinguer des odeurs intéressantes à de grandes distances, en particulier celles provenant de ses sources de nourriture : la viande en décomposition, la banane, la noix de coco...

Éthologie

Comportement général

Crabe du cocotier sur une noix de coco.

Les crabes de cocotier sont assez craintifs[21]. Ils sont très sensibles à la présence d'un observateur, ce qui rend leur étude délicate[21]. En temps normal, ils se déplacent doucement en émettant des claquements, mais, s'ils sont en état d'alerte, ils sont très vifs[21]. Bien qu'ils ne soient pas très combattants, ils se battent parfois entre eux[21]. Ils utilisent alors leurs puissantes pinces et peuvent battre en retraite en cas de supériorité de leur adversaire[21].

Alimentation

Les crabes de cocotier brisent des noix de coco avec leurs pinces.

Le crabe de cocotier s'alimente généralement la nuit, par temps gris ou dans des endroits ombragés[9].

Son régime alimentaire se compose de fruits, entre autres les noix de coco, les fruits des pandanus ou encore, en captivité, des papayes ou des bananes[9]. Toutefois, il mange presque n'importe quoi d'origine organique, de la végétation, des œufs de tortues[22], des cadavres d'animaux en putréfaction (rats, poissons...)[23]. Il peut également se nourrir d'exuvies de crustacés pour un apport en calcium[9]. Il est friand de rats morts qu’il trouve dans les trappes à rongeurs, ou vivants qu’il arrive quelque fois à capturer à la volée[24]. Des cas de cannibalisme ont même été observés en cas de manque de nourriture[22],[25]. On peut fréquemment observer des groupes de crabes agglutinés sur une source de nourriture[21]. Les crabes de cocotier vont occasionnellement voler de la nourriture dans les habitations et la transportent dans leur tanière.

Il peut grimper sur les arbres soit pour en manger les fruits, soit pour échapper à la chaleur ou aux prédateurs. Il utilise probablement les huiles de noix de coco comme source de lipides[23]. Les crabes de cocotier ne peuvent pas ouvrir les noix de coco fraîches[25], et une théorie dit que les crabes de cocotiers feraient délibérément tomber les noix de coco pour les endommager, mais celle-ci est contestée[25],[23].

Reproduction

Les crabes de cocotier s'accouplent fréquemment et rapidement sur la terre ferme de mai à septembre, et plus particulièrement en juillet et août. Le mâle et la femelle se battent, puis le mâle retourne la femelle sur le dos pour l'accouplement qui dure environ quinze minutes. Peu après, la femelle pond et colle ses œufs dans le bas de son abdomen ; elle les transporte ainsi pendant environ un mois[9]. Les nombre d'œufs varie de 50 000 à 150 000[9]. Au moment de leur éclosion, habituellement en octobre ou en novembre, la femelle lâche les œufs dans la mer à marée haute. Les larves qui se forment, appelées zoés, flottent dans la mer pendant 3 à 4 semaines et constituent la nourriture de multiples prédateurs.

Ensuite, elles passent au stade de glaucothoés[9], pour une durée également de 3 à 4 semaines, pendant laquelle elles visitent de temps en temps la terre ferme en se protégeant avec des coquilles suffisamment petites[17]. Comme pour tous les crabes hermites, ils changent de coquille durant leur croissance, mais peuvent aussi utiliser des fragments de noix de coco. Le jeune spécimen muant trois fois dans sa première année, il change quatre fois de coquille[9]. Dès que les juvéniles sont grands (vers 1 an), leur carapace se durcit. Ils vivent alors entre l'océan et la falaise[9],[17].

Passé l'âge de trois ans, ils abandonnent l'océan[9] et perdent la capacité de respirer dans l'eau. Ils atteignent le stade d'adulte et leur maturité sexuelle vers cinq ans[26].

Pour se protéger du soleil et des prédateurs, les crabes s'aménagent alors des terriers dans des roches calcaires ou encore des noix de coco ou de palmes[9]... Ils ne muent dès lors plus qu'une fois par an dans une chambre de mue (trou de 50 centimètres de profondeur et à 1 mètre de l'entrée du terrier)[9].

L'espérance de vie d'un crabe de cocotier est d'environ 30 ans[27].

Répartition

Habitat

Les crabes de cocotier vivent habituellement dans des tanières ou des fentes rocheuses, selon le terrain, mais principalement, ils se creusent leurs propres tanières dans le sable ou un terrain meuble. Ils vivent généralement dans les zones forestières et dans les zones sableuses où il y a des cocotiers[28]. Durant le jour, l'animal reste caché dans son abri, soit pour se protéger des prédateurs, soit pour diminuer la perte d'eau due à la chaleur.

Les adultes vivent principalement à l'intérieur des terres (jusqu'à 6 kilomètres de la mer environ[9]). Seuls les jeunes spécimens séjournent près des récifs ou des lagons[29].

Géographie

Répartition des lieux de peuplement des crabes de cocotier

Repartition map - Where.PNG  Fond bleu : présence de crabes de cocotier
Repartition map - Yellow point.png  Point jaune : lieux de peuplement secondaires
Repartition map - Red point.png  Point rouge : lieux de peuplement principaux

Les crabes de cocotier vivent dans une vaste zone s'étendant sur l'océan Indien et sur l'océan Pacifique occidental, sur 180 degrés de longitude[30]. Au total, ils ont été observés sur 34 territoires différents[31].

Les colonies les plus importantes sont celles de l'archipel des Chagos[31], de l'île Christmas et de l'atoll d'Aldabra aux Seychelles. De grandes populations existent également au Japon, aux Philippines, dans les îles Salomon, dans les îles Cook, à Niué et au Vanuatu[31] ainsi que sur l’île de Juan de Nova située dans le canal du Mozambique.

Puisque les adultes ne peuvent pas nager, les crabes de cocotier, doivent avoir colonisé les îles à l'état de larves, aptes à la nage[30]. Toutefois, certains chercheurs estiment que le développement larvaire d'à peine 28 jours n'est pas suffisant pour franchir les grandes distances entre les îles, et supposent que les jeunes crabes ont rejoint les îles sur des arbres ou d'autres objets à la dérive.

La répartition comporte quelques trous, notamment les alentours de Bornéo, en Indonésie, et en Nouvelle-Guinée. Ces îles, qui ont un environnement approprié et qui peuvent être rejointes facilement, n'ont pas de colonie de ce type de crabe parce que les populations y ont été exploitées jusqu'à l'extinction. Cependant, on les trouve sur l'île de Wakatobi et Sulawesi dans la même région.

Menaces et protection

Un crabe de cocotier au Muséum d'histoire naturelle de Vienne.

Prédateurs

Les jeunes crabes de cocotier sont vulnérables à plusieurs animaux introduits récemment dans les îles[32]. Par exemple, la fourmi Anoplolepis gracilipes, accidentellement apportée d'Afrique sur l'île Christmas en 1915, est un grand prédateur du crabe de cocotier[31].

Les adultes à la vue médiocre et qui repèrent le danger par les vibrations du sol, sont des proies relativement aisées pour l'être humain qui est son principal prédateur, sinon le seul[32]. Il peut être également indirectement victime d’intoxication après avoir mangé des cadavres de rats empoisonnés.

Statut et préservation

Crabe de cocotier capturé, île de Rangiroa

Selon les critères de l'UICN, il n'y a pas assez de données pour dire si le crabe de cocotier est une espèce menacée. Par conséquent on lui attribue le statut DD[33] (en anglais, data deficient, c'est-à-dire données insuffisantes), certains rapports le considérant comme en voie d'extinction[30], alors que d'autres signalent des populations nombreuses. En fait, il semble que la situation soit très diverse selon les endroits, de l'abondance à la rareté. Quoi qu'il en soit, les développements humains sur les côtes de plusieurs îles réduisent leur habitat, ce qui nuit généralement à la survie du crabe de cocotier[31]. Ceci est tout particulièrement d’actualité dans la réserve naturelle de l’archipel des Chagos où l’on parle d’un déclassement de cette zone protégée, afin de satisfaire les revendications de colonisation des descendants d'Ilois appelés également Chagossiens.

Les vides dans l'aire de répartition du crabe de cocotier peuvent également être des facteurs d'isolement de certaines colonies et ainsi favoriser leur disparition par le défaut de renouvellement génétique[34].

Le crabe de cocotier est protégé dans certaines réserves, notamment aux îles Cook[34]. Dans l’archipel des Chagos et en Indonésie, leur chasse est totalement interdite[34]. Des mesures moins restrictives ont été prises dans d'autres pays comme au Vanuatu par exemple. Celles-ci restreignent la chasse par des licences obligatoires, des saisons ou encore des limitations de taille ou de nombre de spécimens pris[34].

Relations avec l'être humain

Le crabe de cocotier est une ressource alimentaire importante dans de nombreuses îles de l'océan Indien et du Pacifique[35]. Les parties préférées sont les pinces et les pattes, bien que les œufs et le gras de l'abdomen[35] soient dans certaines cuisines considérés comme des morceaux de choix. Le crabe de cocotier peut être préparé comme le homard, bouilli à l'eau ou à la vapeur. Selon les îles, on trouve une grande gamme de recettes telles que le crabe de cocotier cuit dans le lait de coco. Bien que la chair du crabe ne soit pas toxique en soi, elle peut le devenir selon l'alimentation du crabe, et des cas d'empoisonnement ont été signalés. La viande de crabe de cocotier n'est pas un produit commercial et n'est pas habituellement vendue bien qu'elle soit considérée par certains comme un aphrodisiaque[18].

Annexes

Notes et références

  1. a  et b Jacques Eustache de Sève, Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle, appliquée aux arts, à l'..., Deterville, 1818, 367 sur 577 p. 
  2. (en)Subhra Priyadarshini, « Coconut-eating crab extinct from Great Nicobar? » sur sify.com, 25 décembre 2005
  3. LATRONI sur Dicolatin
  4. (en)Guam: Inarajan sur pacificworlds.com
  5. (en) « The Smaller Majority » de Piotr Naskrecki, page 38, 2005, Belknap Press of Harvard University Press (ISBN 0-674-01915-6).
  6. (en) « Assessment of the status of the coconut crab Birgus latro on Niue Island with recommendations regarding an appropriate resource management strategy » de Craig Schiller, § 2, avril 1992, Département de zoologie de l'université de Queensland (Australie).
  7. a  et b (en) « The Largest Land Invertebrate: Coconut Crab » de Stefan Anitei, 19 novembre 2007, softpedia.com.
  8. a , b , c , d  et e (en) « The IUCN Invertebrate Red Data Book » de S. Wells, R.M. Pyle et N.M. Collins, 1984, IUCN.
  9. a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l  et m (fr) « Le crabe de cocotier » de Catherine Lebouteiller d'après T. EI Kadiri-Jan, Association Symbiose (Nouvelle-Calédonie).
  10. (en) « Birgus latro India's monstrous crab. A study and an appeal. » de R. Altevog et T.A. Davis, 1975, Bulletin of the Department of Marine Sciences (Université de Cochin) 7: 11 - 23.
  11. (en) « Coconut Crab (Pagurus) »], Université Yale.
  12. (en) « Coconut crab », Cook Islands Biodiversity & Natural Heritage.
  13. [image] Pléopodes de la femelle crabe de cocotier
  14. (en) « Ecology of terrestrial decapod crustaceans on Aldabra » de P. Grubb, Philosophical Transactions of the Royal Society: Biological Sciences, 260: 411 - 416.
  15. (en) « The Young Coconut Crab » de Gerald McCormack, 25 septembre 2005, Cook Islands Biodiversity & Natural Heritage.
  16. [image] Crabe de cocotier utilisant un fragment de noix comme coquille..
  17. a , b , c  et d Référence Fonds documentaire ARKive : Birgus latro (en).
  18. a  et b (en) « Crab », janvier 2004, The Secretariat of the Pacific Community.
  19. (en) « The Relative Importance of the Gills and Lungs in the Gas Exchange of Amphibious Crabs of the Genus Holthuisana » de P. Greenaway, 1984, Australian Journal of Zoology 32(1) 1-6.
  20. a  et b (fr)de Caroline Lepage, « Le crabe-coco l'avait bien senti ! » sur Futura-Sciences, 30 janvier 2005
  21. a , b , c , d , e  et f (en) « Coconut crab: General Behaviour » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  22. a  et b (en) « The coconut crab », 3 novembre 2006, virtualseychelles.sc.
  23. a , b  et c (en) « Coconut crab: Food » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  24. Un crabe a été observé, au cours d'une étude, en train de capturer et de manger un rat polynésien, (en) «  Observation of a coconut crab, Birgus latro (Linnaeus, 1767) predation on a Polynesian rat, Rattus exulans (Peale, 1848) » de C. Kesler, Crustaceana 78 (6): 761–762.
  25. a , b  et c (en) « Coconut crab: Feeding » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  26. (en) « Coconut crab: Mating and spawning » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  27. (en) « Sealife home for crab who almost ended up as dinner », 26 août 2005, theargus.co.uk.
  28. (en) « Coconut crab: Habitat » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  29. (en) « Integrated renewable resource management for U.S. insular areas », DIANE Publishing (ISBN 1428922792).
  30. a , b  et c (en) « Coconut crab: Home » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  31. a , b , c , d  et e (en) « Coconut crab: Current issues » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  32. a  et b (en) « Coconut crab: Predators » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  33. Référence IUCN : espèce Birgus latro (Linnaeus, 1767) (en).
  34. a , b , c  et d (en) « Coconut crab: Action Plan » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.
  35. a  et b (en) « Coconut crab: History of man's influence » de W. Murdoch, 2004, coconutcrab.co.uk.

Bibliographie

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  • (en) P. Grubb, « Ecology of terrestrial decapod crustaceans on Aldabra », dans Philosophical Transactions of the Royal Society: Biological Sciences, vol. 260, 1971, p. 411-416 [résumé] 
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  • (en) P. Greenaway, H. H. Taylor et S. Morris, « Adaptations to a terrestrial existence by the robber crab Birgus latro. VI. The role of the excretory system in fluid balance », dans J. Exp. Biol., vol. 152, 1990, p. 505 [texte intégral] 
  • (en) P. Greenaway, H. H. Taylor et S. Morris, « Adaptations to a terrestrial existence in the robber crab Birgus latro L. VII. The branchial chamber and its role in urine reprocessing. », dans J. Exp. Biol., vol. 161, 1991, p. 315 [résumé] 
  • (en) C. A. N. Combs, A. Alford, M. Boynton et R. P. Henry, « Behavioural regulation of haemolymph osmolarity through selective drinking in land crabs, Birgus latro and Gecarcoidea lalandii », dans Biol. Bull., vol. 182, 1992, p. 416 [résumé] 
  • (en) P. Greenaway, H. H. Taylor et S. Morris, « Adaptations to a terrestrial existence in the robber crab Birgus latro L. VIII. Osmotic and ionic regulation on freshwater and saline drinking regimens », dans J. Exp. Biol., vol. 179, 1993, p. 93-113 [texte intégral] 
  • (en) S. Lavery, C. Moritz et D. R. Fielder, « Indo-Pacific population structure and evolutionary history of the Coconut Crab Birgus latro », dans Mol. Ecol., vol. 5, 1996, p. 557-570 [résumé] 
  • (en) L. K. Barnett, C. Emms et D. Clarke, « The coconut or robber crab (Birgus latro) in the Chagos Archipelago and its captive culture at London Zoo », dans Linnean Society Occasional Publications, 1999, p. 273-284 
  • (en) M. C. Stensmyr, S. Erland, E. Hallberg, R. Wallén, P. Greenaway, B. S. Hansson, « Insect-Like Olfactory Adaptations in the Terrestrial Giant Robber Crab », dans Current Biology, vol. 15, 2005, p. 116-121 [résumé] 
  • (en) Chagos Conservation Management Plan par le Dr. Charles Sheppard et le Dr. Mark Spalding Department of Biology Sciences, University of Warwick UK

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