Techniques spéléologiques

Techniques spéléologiques

Historiquement issues de l’alpinisme, les techniques de progression dans les cavités naturelles à fins d'exploration, développées par les spéléologues, évoluent selon les besoins avec l’introduction de nouveaux matériaux et matériels.

Tete de puit dim.jpg

Sommaire

Objectif

Cet article ne constitue pas un manuel[1]. Ne sont présentés ici que les éléments de base.

Sécurité

Spéléologues durant un exercice technique sur falaise

La maîtrise des techniques spéléologiques ne suffit pas à assurer la sécurité dans les grottes. Le milieu souterrain peut être dangereux.

Les risques principaux sont les chutes, l’hypothermie, l’épuisement, les éboulements, les crues…

Sous terre, les risques s’additionnent et s’aggravent facilement, alors que le sauvetage[2] y est difficile.

Pratiquer la spéléologie, c'est apprendre à lire ce milieu. L'initiation par des spéléologues compétents, la formation, l’expérience, une bonne forme physique, le tout additionné d’une attention permanente et d’une humilité de chaque instant, permettent de comprendre le monde souterrain, et par là d'en maîtriser les dangers.

Matériel personnel

Vêtements

Sous-combinaison

Le faible volume d'échanges gazeux fait que la température d'une cavité est presque toujours différente de la température extérieure. Elle est grossièrement égale à la moyenne des températures annuelles à l'entrée. En été, il fera donc usuellement plus froid dans la grotte qu'à l'extérieur, et inversement en hiver.

Le premier ennemi à affronter est donc le froid. Il peut conduire à l'hypothermie. Or, en spéléologie, il ne suffit pas d'abandonner pour être en sécurité. Lorsqu'on est entré dans une cavité, il faut ressortir. L'équipement anti-froid idéal est composé d'une sous-combinaison hydrofuge.

  • On peut utiliser une sous-combinaison de ski, mais cette dernière ne doit pas gêner en limitant l'ampleur des mouvements.
  • L'épaisseur dépend du type de cavités que l'on rencontre dans la région où l'on évolue : si un synthétique de running peut-être suffisant en Languedoc, une épaisse polaire sera bienvenue dans le Jura.
  • Dans les cavités très aquatiques, une combinaison néoprène permettra de se protéger du froid.
  • Une pontonnière[3] est quelquefois utilisée.

La sous-combinaison doit être bien ajustée pour être efficace, de façon à éviter l'effet de "soufflet" lors des mouvements : le courant d'air chasse la couche réchauffée au contact du corps, conduisant à une perte rapide de chaleur ; de plus, les bourrelets du tissu peuvent gêner dans les passages étroits. Le coton, qui retient l'eau froide, est à éviter.

Combinaison

La combinaison de spéléologie est conçue pour ne pas bloquer la progression : elle reste en place et ne fait pas de bourrelet dans les passages étroits.

Le tissu synthétique épais résiste à l'abrasion. Il est assez dense pour ne pas s'accrocher à la roche.

Les combinaisons semi-étanches ne sont pas enduites aux coutures ; les combinaisons imperméables protègent efficacement de l'eau, qui est abondante sous terre, mais laissent peu passer la transpiration.

La combinaison doit correspondre au type moyen de cavité dans la région dans laquelle le spéléologue pratique.

Gants et bottes

De taille adaptée à la morphologie du spéléo, ils doivent être imperméables et résistants aux coupures de préférence. Les bottes concourent à éviter les glissades involontaires.

Casque

Casque de spéléologie

La protection de la tête est indispensable : les plafonds sont généralement bas, le sol souvent glissant et accidenté, les chutes de cailloux plus ou moins volumineux, délogés par les équipiers ou les cordes, sont monnaie courante.

Les casques de spéléologie sont constitués d'une calotte et d'une coiffe. La calotte permet de protéger la tête d'un contact avec une pierre qui tombe, ou d'un rocher lors d'une chute du spéléologue, ou tout simplement lorsqu'on se relève après une reptation.

La coiffe est constituée de sangles en forme d'araignée qui s'intercalent entre la calotte et la tête.

La garde correspond à l'espacement entre la coiffe et la calotte. La présence de la garde permet aux sangles de s'étirer pour amortir le choc et éviter de transmettre une onde qui risquerait de provoquer des lésions cervicales. Dans certains casques récents, l'espace de garde est remplacé par des matériaux absorbants.

Les boulons de fixation des dispositifs d'éclairage doivent être tournés à l'extérieur du casque, sans dépasser vers la calotte, où ils risqueraient de perforer le crâne lors d'un choc.

On peut sentir de la tension lors de certains passages délicats (ici en désescalade)

Éclairage

On approche du noir absolu au cœur des grottes. Sans éclairage, toute progression est impossible.

Il existe deux types d'éclairages : les éclairages électriques et les éclairages dits « à acétylène ».

La puissance (> 1 W) des diodes électroluminescentes destinées à ces éclairages a bouleversé la vision des volumes dans le monde souterrain. Les éclairages électriques diffusent une lumière constante, plus fiable que celle des éclairages à acétylène. Les déchets occasionnés par les inévitables piles électriques et autres piles rechargeables doivent être scrupuleusement gérés selon les règles du tri sélectif, en raison des substances toxiques (comme le cadmium ou le mercure) qu'elles contiennent.

Les éclairages à acétylène offrent un champ d'éclairage (et donc de vision) plus large, et une lumière plus « vivante », plus douce et plus agréable à l'œil. Ces dispositifs à combustion produisent une chaleur parfois appréciable. Ils sont lourds, encombrants, et polluants.

Dans tous les cas l'éclairage se fixe sur le casque.

Un éclairage de secours est généralement indispensable.

Matériel de progression verticale

Les grottes et avens peuvent présenter des passages verticaux ou des passages présentant un risque de chute. Il convient donc de progresser en équipant la cavité de cordages. Le corps du spéléologue est tenu par un harnais relié à la corde. Le matériel nécessaire à la progression est attaché sur le harnais.

Ci-après est décrite la composition du matériel standard en Europe. Il permet de franchir la plupart des obstacles rencontrés dans les cavités européennes.

Comme tout équipement de protection individuel, le matériel du spéléo ne doit pas subir de modification structurelle, ni d'altération, et doit être l'objet de vérification et d'entretien constants, afin de susciter la confiance et de permettre au spéléologue d'évoluer en sécurité.

Harnais

Le harnais est un ensemble de sangles solide, et d'un système d'accrochage (boucles métalliques ou de sangle) qui enserre les hanches et le torse du spéléologue.

On utilise également le terme de baudrier, équipement de protection individuel plus précisément positionné sur les hanches et la taille du porteur. Le baudrier est en outre pourvu de porte-matériels permettant d'accrocher mousquetons et longes.

Le baudrier doit être parfaitement ajusté au spéléo, grâce au système de sangles réglables : le spéléologue ne doit pas pouvoir perdre son baudrier, quelle que soit sa position en progression sur corde. On ferme le baudrier grâce à un MAVC (Maillon À Vis de Ceinture), qui fiabilise le système.

En effet, la suspension d'un corps inconscient peut entrainer des lésions irréversibles dès la septième minute[4]. Un sac porté sur le dos au lieu d'être attaché au MAVC peut accélérer ce processus, et faire apparaître ces lésions dès la première minute.

Baudrier cuissard

Le baudrier de spéléologie relie le plus étroitement possible les instruments de progression au corps. Il est conçu pour résister à l'abrasion du milieu souterrain, notamment de l'argile. Afin de ne pas gêner la progression, il dispose de peu de support de matériel, les éléments non indispensables étant rangés dans des sacs.

Les harnais d'escalade ne sont pas adaptés à la spéléologie.

Baudrier de torse

Indispensable à la montée comme à la descente, il maintient le bloqueur de poitrine et évite de devoir compenser le basculement du corps par un effort supplémentaire sur les bras.

MAVC (Maillon À Vis de Ceinture)

Longe nouée au MAVC[5]

Le MAVC, parfois appelé demi-rond, pontet ou delta, ferme le baudrier en reliant les deux boucles, et porte les divers éléments de progression. C'est toujours par son intermédiaire que l'on se suspend, jamais par les porte-matériels.

Le MAVC résiste à de fortes tractions dans tous les axes. Il ne peut pas être remplacé par un mousqueton à vis, au doigt fragile, et moins résistant sur son petit axe.

Longes

La longe de spéléologie est double. Grâce aux propriétés d'absorption des nœuds, les longes nouées sont plus efficaces que les longes cousues[6].

Pour réaliser la longe, on utilise un élément de corde dynamique de deux mètres environ noué au MAVC aux deux tiers environ. Un nœud double gansé tient un mousqueton à chaque extrémité. Bien qu'elle soit alors unique, on parlera de longe courte et de longe longue.

Les longes permettent de relier un bloqueur, de se suspendre à un fractionnement ou de s'assurer sur une main courante.

Important !Il est impératif d'utiliser de la corde dynamique. En effet, la corde statique absorbe mal les chocs.

Bloqueur de poitrine

Un bloqueur est un appareil mécanique dans lequel on insère une corde. Une fois qu'il est verrouillé, la corde ne coulisse plus que dans un seul sens. Associé à un bloqueur de poing, il permet au spéléologue de remonter un puits en plein vide, c'est-à-dire sans aucun appui sur une paroi.

L'anneau du bas du bloqueur de poitrine est passé directement dans le MAVC, celui du haut est lié au torse.

Le modèle le plus répandu est le Croll, de la société Petzl, dont on emprunte couramment le nom.

Bloqueur de poing

Le bloqueur de poing, ou poignée bloquante, est attaché au bout de la longe longue et se manipule à la main. Associé à un bloqueur de poitrine, il permet au spéléologue de remonter un puits en plein vide, c'est-à-dire sans contact avec la paroi. En vire, il aide à suivre la corde ; le mousqueton de la longe doit alors passer à la fois dans le bloqueur, et autour de la corde.

Pédales

La pédale relie le pied du spéléologue au bloqueur de poing.

La pédale est un élément de sangle ou de cordelette noué d'un côté en forme de boucle pour le pied, de l'autre mousquetonné, en général, au bloqueur de poing. Ce système permet d'avoir un appui plus efficace, là où une simple traction sur les bras devient rapidement épuisante. Les pédales peuvent être simples (une cordelette reliée à une boucle), doubles (deux cordelettes reliées à deux boucles), ou jumelées (une cordelette reliée à deux boucles).

Bloqueur de pied

Facultatif, le bloqueur de pied permet d'alterner la poussée avec la pédale.

Descendeur

Le descendeur est un appareil mécanique composé de deux poulies fixées sur des plaques. On fait cheminer la corde autour des poulies de façon à ce qu'en frottant, l'énergie cinétique de l'utilisateur soit transformée en chaleur. Associé à un renvoi du type frendo ou raumer, ou à un simple mousqueton, Il permet de réguler la vitesse de descente.

Le descendeur de spéléologie s'utilise exactement de la même manière qu'un huit d'escalade, mais résiste mieux à l'abrasion et ne se perd pas facilement.

Progression

Marche

Tant que possible, on marche sous terre. C'est la méthode de progression la moins fatigante.

Les sauts sont fortement déconseillés, car le sol souvent inégal peut provoquer des blessures dont les conséquences peuvent être importantes.

Progression technique sans verticale

Ramping et laminoir

Au repos dans un confortable laminoir

C'est par ces noms que l'on désigne les passages plus larges que hauts. Selon la hauteur du passage, on progresse accroupi, à quatre pattes ou en rampant. La reptation est fatigante et peut être éprouvante psychologiquement. Il faut donc être prêt à renoncer devant un passage difficile.

En effet, la contention du corps peut être désagréable dans les cas extrêmes. Lorsque la cage thoracique est coincée entre le plafond et le plancher, l'amplitude des respirations est limitée, et c'est la respiration abdominale qui doit prendre le relais. Une panique à cet instant accélère le rythme respiratoire et accentue l'effet de malaise. Il convient donc d'être vigilant et si possible aidé par un coéquipier.

Méandre

Progression en opposition dans un méandre
Passage au-dessus d'une rivière sous le Larzac

Au contraire, un méandre est un passage plus haut que large. Si la largeur ou la hauteur du méandre rend une chute dangereuse, par coincement et risque d'asphyxie, il doit être équipé en vire.

Selon la configuration du méandre, on peut progresser en opposition de face (main gauche et pied gauche sur la paroi de gauche et main droite et pied droit sur la paroi de droite), en opposition de profil (dos ou fesses sur une paroi, pieds de l'autre côté). Selon la largeur du méandres diverses parties du corps peuvent servir de blocage : pointes et talons de pied, talons et genoux...

Si le méandre est étroit mais permet de laisser les pieds au sol, on progresse alors de profil, en anticipant la meilleure position à adopter : il est souvent impossible de s'y retourner.

Il convient d'être très prudent dans le cas d'un méandre se rétrécissant vers le bas. Dans ce cas, on progresse usuellement en hauteur. Même si la chute n'est pas dangereuse à cause d'une faible hauteur, il est très difficile de sortir seul d'une situation de coincement en méandre : plus le corps bouge plus il s'enfonce, et la panique aggrave l'épreuve.

Chatière et étroiture

Ces passages étroits peuvent se présenter aussi bien horizontalement que verticalement. Si l'on est chargé d'un sac ou si l'on décide de retirer une partie de son matériel pour progresser, il doit être poussé devant soi et non traîné : en cas de coincement, ce matériel interdirait toute retraite.

Dénivellation

On ne s'engage jamais tête la première dans un passage descendant nécessitant de progresser à quatre pattes ou couché. En effet, la pesanteur interdit rapidement la remontée en cas de coincement. De plus, le sang afflue vers la tête, ce qui est désagréable, voire dangereux. Au contraire, il faut passer les pieds en premier et, comme dit précédemment, ne pas traîner un sac derrière soi, l'idéal étant de le faire passer entre coéquipiers (ou de le guider devant soi à l'aide des pieds).

Lorsqu'au contraire le passage est montant, il faut bien entendu s'y engager la tête la première. Devant un passage inconnu, il convient d'être méfiant. La position retenue sera le plus souvent la tête la première mais il ne faut surtout pas continuer ainsi si le passage commence à descendre.

Boyau

Un boyau est une galerie longue et étroite (où il est nécessaire de ramper). Même si le boyau est généralement moins étroit qu'une étroiture ponctuelle il est épuisant du fait de sa longueur.

Progression technique avec verticale

Une obligation : préparer des nœuds en bout de corde pour bloquer le descendeur pendant la progression, et anticiper l'ajout d'une nouvelle corde. Dans un puits de près de 180 mètres en Nouvelle-Zélande

À la descente

La main courante

La plupart du temps, l'arrivée à une verticale se fait par le point le plus haut.

Un spéléologue confirmé a équipé le passage. Les cordes sont donc déjà installées.

Chaque puits est équipé d'une main courante. Une main courante est une corde quasi-horizontale reliée en ses deux extrémités à des amarrages (naturels ou artificiels). Elle est tendue et placée en hauteur. Elle débute avant la zone exposée au risque de chute et continue, ininterrompue, jusqu'au début de la verticale.
Dès que la main courante est accessible, on s'y sécurise. On doit impérativement se longer à la main courante avant d'être exposé au risque de chute. On oriente le mousqueton de façon à ce que la roche ne puisse pas l'ouvrir en appuyant sur le doigt.

Certaines mains courantes présentent des points intermédiaires : La corde est reliée en un point à un amarrage, formant ainsi deux segments séparés. Pour passer cet obstacle, on utilise alternativement les deux longes, sachant qu'une longe doit être fermée à tout moment sur la corde de progression.

La verticale

Au bout d'une certaine distance en progression sur la main courante, le spéléologue arrive en vue de la corde du puits. C'est une corde verticale, soit nouée à la main courante, soit en continu, fixée à plusieurs amarrages. On y place le descendeur.

La descente doit être supervisée par un spéléologue confirmé, et contre-assurée.

Une règle s'impose : quelles que soient les circonstances, il est impératif de ne jamais lâcher la corde en aval du descendeur. Une des deux mains doit toujours être fermée sur ce brin.

Selon la section de la corde, son état, et les forces en présence, la régulation de la descente se fait soit en laissant filer la corde entre les deux mains, soit en alimentant le descendeur par brassées successives.

Arrivé en bas, une fois le descendeur enlevé, le spéléologue annonce que la corde est libre. Il se met ensuite à couvert, pour ne pas être exposé aux chutes de pierres ou d'objets divers (appareils photos…).

Parfois, l'arrivée se fait sur une main courante ; ou bien, lorsque la descente dans le puits est fractionnée en plusieurs tronçons, sur un fractionnement. Un spéléologue confirmé supervisera alors la manœuvre.

À la remontée

Comme la descente, la remontée est supervisée par des spéléologues confirmés.

La remontée sur corde s'apparente au déplacement d'une chenille, un va et vient entre les deux bloqueurs, celui de poing et celui de poitrine.

  1. On monte le bloqueur de poing (et donc la jambe qui y est reliée par la pédale).
  2. On positionne le pied sous le corps de façon à optimiser la poussée. Comme sur une échelle, la montée se fait avec les jambes ; un usage trop important des bras conduit à l'épuisement.
  3. On se lève en s'étirant afin de monter le bloqueur de poitrine le plus haut possible.
  4. On s'assied. Le baudrier et le torse doivent être réglés de façon à ce que le corps redescende le moins possible en s'asseyant. On peut facilement doubler l'effort de remontée avec un mauvais réglage.

Gérer l'urgence

Chaque équipier doit transporter une couverture de survie, et ne pas hésiter à la déplier pour garder ses forces en cas d'attente prolongée due à un incident.

Lexique

  • mou : Le mou de corde est la corde inutilisée; on peut le déterminer facilement en essayant d'en « prendre » le plus possible, en tirant dessus. Ce terme désigne aussi la longueur du mou.

Notes et références

  1. Manuel technique de l'École Française de Spéléologie (EFS)
  2. Spéléo Secours en France, cellule opérationnelle nationale : numéro appel gratuit 0800 121 123
  3. sorte de sous-combinaison étanche
  4. syndrome du harnais sur sports.montagnes.free.fr
  5. Le nœud de cabestan peut jouer ici un rôle d'absorbeur
  6. EFS - Les longes

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Georges Marbach, Techniques de la spéléologie alpine, Expé 



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Techniques spéléologiques de Wikipédia en français (auteurs)

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