Psychanalyse corporelle

Psychanalyse corporelle

La psychanalyse corporelle est une méthode de reconquête du passé qui allie -comme son nom l'indique- l'esprit et le corps. Elle est basée sur le principe des lapsus corporels, lapsus qui donnent accès au subconscient et donc à l'histoire de chacun.

Elle est aussi utilisée en analyse reichienne.

Sommaire

Quand le corps dévoile le subconscient

Cette psychanalyse permet de revivre corporellement notre passé au travers de couches de mémoire et d'assister psychiquement au film de nos différents traumatismes. La psychanalyse corporelle sollicite la mémoire du corps. Elle repose sur le principe du "lapsus corporel".

Elle permet non seulement de retrouver les scènes clés du passé -nos quatre traumatismes- qui ont construit notre personnalité, mais de revivre intimement ces évènements traumatiques douloureux en ne laissant aucune place aux interprétations. Revivre son passé en psychanalyse corporelle, c'est revivre une scène traumatique, véritable scénario concret avec un début, un milieu et une fin. Terminer une psychanalyse corporelle, c'est revivre les quatre traumatismes[1].

Elle conduit à une réconciliation profonde avec tous les protagonistes de notre l’histoire aboutissant à un état intérieur où il n’y a plus ni bourreau, ni victime. Cette forme moderne de psychanalyse produit donc un apaisement profond du passé et s’accompagne toujours d’un suivi dans le présent à l’aide d’outils regroupés sous le terme d’actologie. Cet accompagnement permet à chacun de profiter de cette nouvelle connaissance de lui-même pour améliorer concrètement sa vie quotidienne.

Les origines de la psychanalyse corporelle

Les années d'exploration et d'expérimentation

C’est en 1980 que Bernard Montaud, kinésithérapeute et ostéopathe, fonde la psychanalyse corporelle[2] à partir d’un incident ostéopathique. Une patiente sur sa table de massage est soudain prise par des sursauts incontrôlés, d’abord dans les bras, puis dans tout le corps, accompagnés d’émotions qu’elle ne parvenait ni à identifier, ni à contrôler. Sans le savoir, Bernard Montaud venait de rencontrer ce qui est aujourd’hui le premier niveau de psychanalyse corporelle : les spasmes sans sens.

Intrigué par ce phénomène, Bernard Montaud et quelques amis venus d’horizons divers (médecine, kinésithérapie, arts martiaux, psychologie) se mettent à expérimenter sur eux-mêmes jusqu’à être capable de réveiller à volonté ces spasmes, et à les reproduire en cascade. Ils constatent ensuite l’apparition de ‘proto-mouvements’, comme si le corps allumé par un lapsus puis par une cascade de lapsus, se mettait à produire des mouvements symboliques et un sentiment général de l’existence. Déjà, les personnes rencontrent un véritable apaisement de pouvoir ainsi entrer en contact avec elles-mêmes en profondeur.

Le changement de clientèle et l’accélération du rythme des séances permet ensuite de rentrer dans des mouvements de plus en plus précis, des émotions de plus en claires et progressivement le film de l’histoire personnelle. Cette précision ne fut possible qu’avec la découverte de points précis dans le corps, de tensions, de torsions qui cherchaient à raconter l’histoire traumatique. A cette époque, l’instauration de ‘verbalisation après séance’ s’avère nécessaire tellement il y avait distorsion entre le souvenir de l’évènement et le revécu corporel du même évènement. Le corps et le cerveau livraient deux versions différentes de l’histoire du sujet.

Il était impératif d’aller jusqu’aux détails concrets des scènes revécues, détails vérifiables, d’autant plus qu’une clientèle de plus en plus engagée se mettait à retrouver des images et des revécus de naissance. Ce souci du détail concret a fait évoluer le revécu du passé de chacun, passant des souvenirs au court métrage jusqu’au film de l’histoire. Là nous sommes dans les années 1988/1989.

Et la mémoire du passé se dirigeait toujours et pour tout le monde vers ces instants clés de l’histoire de chacun, les traumatismes de la naissance, de la petite enfance, de l’enfance et de l’adolescence.

Ce sont les revécus de naissance tellement exigeants qui font prendre conscience à Bernard Montaud et son équipe d’un niveau de profondeur et de confidences corporelles qui forçaient le respect. Le traumatisme périnatal contient une particularité par rapport aux autres traumatismes, le nouveau-né y frôle la mort physique alors que dans les autres moments clés, il frôle la ‘mort psychique’. Dans ces séances et à chaque étape d’accouchement, le psychanalyste corporel était devant une ultime authenticité inégalée dans les autres traumatismes.

Nous sommes dans les années 1990/1992, et certaines séances conduisent à un paroxysme physique suivi d’un paroxysme verbal sans égal. Tout se passait comme si la personne atteignait soudain un état de conscience modifié, lui permettant alors une intime conviction totale de la réalité sans concession d’un épisode traumatique. Un niveau de séance sans bourreau, ni victime avec une vraie réconciliation tant il était possible d’aller à volonté voir la scène traumatique depuis le point de vue des « bourreaux », qui se révèlent seulement comme de pauvres papas et de pauvres mamans si maladroits en amour.

Aujourd’hui, le psychanalyste corporel est en vérité un technicien de l’image intérieure. En invitant le corps à des niveaux croissants de sincérité, il accompagne et stimule des mouvements lapsus de plus en plus précis. Et plus le geste est précis, plus l’image dans l’esprit est saisissante de vérité.

Le lapsus corporel et la tension « lapsusale », les mouvements d’intensité et les mouvements d’image

Le lapsus corporel est un mouvement involontaire, conscient, qui réveille en nous les images de notre passé. Le lapsus corporel agit comme ces tubes musicaux de notre jeunesse dont l'écoute nous replonge instantanément dans l'ambiance, les gestes, les odeurs précis de cette période de notre existence.

C'est en traversant sept niveaux de lapsus corporels auxquels correspondent sept couches de mémoire psychique que la personne va, pas après pas, découvrir ce qui lui est arrivé 30 ou 40 ans plus tôt. Plus la personne progresse dans les niveaux de lapsus, plus elle revit précisément ses scènes traumatiques, d'abord de façon symbolique, puis de façon très concrète. Dans l'état actuel de notre recherche, nous avons identifié sept niveaux de mémoire corporelle, mais peut-être y en a-t-il d'autres. La psychanalyse corporelle permet non seulement de retrouver son passé, mais de le revivre intimement, en ne laissant aucune place aux interprétations.

La psychanalyse corporelle n’a pas la vocation d’interpréter à la place des personnes l’origine psychique de leur symptôme douloureux. Elle a la vocation d’accompagner la personne à trouver par elle-même, et à l’aide de son corps, le sens profond des douleurs de son histoire et parfois celles de son corps.

La tension « lapsusale » est une tension corporelle qui produit des lapsus subconscients c'est-à-dire des mouvements archaïques du corps capables de ramener des souvenirs du passé. Cette tension, qui apparaît en début de séance, va se spécialiser au fur et à mesure que la personne progresse dans les 7 niveaux de lapsus, en deux familles de tension physique qui cohabitent. Ce sont les mouvements d’intensités et les mouvements d’images.

Ces deux familles de lapsus ont une expression corporelle différente et des rôles différents.

La première famille est celle des mouvements d’intensité. Ils ramènent les informations relatives à la douleur psychique que l’enfant traverse dans sa scène traumatique. Ce sont des mouvements illogiques allant jusqu’au conflit articulaire et qui sont toujours la trace de l’intensité de la souffrance de l’enfant. En séance, la personne cherche à reproduire la douleur du passé. Cette intensité douloureuse, intérieure, psychique, est le socle du revécu en psychanalyse corporelle.

La deuxième famille de lapsus est celle des mouvements d’images. Ce sont des mouvements logiques évoquant des détails de la situation concrète du traumatisme. Ils ramènent à la conscience de l’adulte ce que l’enfant voit, fait et dit dans sa scène traumatique. En quelque sorte, ce sont les éléments concrets du scénario[3].


La notion de traumatisme

Le traumatisme est un sommet de douleur existentielle, une scène primitive aurait dit Freud, qui résume toute une période de vie. C’est un instant de vie qui apparaît dans des circonstances où l’intériorité de l’enfant se trouve violemment déchirée entre deux forces contraires et d’égale intensité telles que le plaisir et la honte par exemple, l’obligeant à « choisir » et ainsi renoncer à une partie de lui-même. Ce sommet de douleur est de même intensité pour tout le monde quelque puissent être les évènements extérieurs. 100% des cas observés depuis plus de 25 ans nous indiquent que ces quatre rendez-vous sont incontournables quel que soit le niveau socioculturel.

Le traumatisme détermine un scénario comportemental qui sera répété en permanence comme un programme et qui va constituer la personnalité.

Enfin, il n’y aurait que quatre traumatismes jusqu’à l’adolescence, au-delà la vie propose des épreuves comme par exemple la crise de la quarantaine. Les traumatismes sont toujours imposés, les épreuves mettent librement les adultes devant un choix.

Mais ceci n’est qu’une face de la notion de traumatisme.

En effet, ces traumatismes sont tout à fait indispensables à la vie sur terre pour l’être humain Le traumatisme nous sauve de la folie, nous permet d’être unique et nous sociabilise. Il nous rend égaux tant la douleur objective n’est pas principale. Mais aussi il nous offre la liberté comme jamais auparavant, liberté entre deux mondes : endurer son histoire ou en profiter. De plus, loin d’avoir uniquement un inconscient comme les autres espèces, le traumatisme grave un subconscient, la possibilité pour l’homme de devenir conscient. Enfin, ces moments cruciaux sont le souvenir des épreuves qui ont été traversées dans le passé et annoncent d’autres épreuves proposées pour être dépassées[4].

L’observation de très nombreuses séances corporelles et l’analyse des témoignages des traumatismes revécus ont conduit à mettre au jour une véritable « grammaire » du monde traumatique, chaque traumatisme ayant une place précise, une nature et un contenu spécifiques, selon la période de vie où il est apparu.

Nous distinguons deux catégories de traumatismes : un traumatisme primordial - celui de la naissance - et trois traumatismes secondaires -ceux de la petite enfance, de l’enfance et de l’adolescence.

La naissance, le traumatisme fondateur

Le premier traumatisme, le traumatisme périnatal, qualifié de primordial puisqu’il n’y en a pas d’antérieur pour l’instant, nous programme dans une personnalité unique, c’est-à-dire une manière toute personnelle de se comporter dans la vie, dans ses bonheurs comme dans ses souffrances. C’est au travers de sept étapes, sept épreuves physiques différentes, quatre à l’intérieur du ventre et trois à l’extérieur, que le nouveau-né va s’éveiller à une vie intérieure jusque là inconnue. La naissance est une véritable initiation du futur humain, une conquête de son corps, du monde et de sa famille. La traversée de ces sept épreuves va lui donner un sentiment de lui-même, une façon toute personnelle de se comporter, pour les psychanalystes corporels, un cycle traumatique.

Les traumatismes secondaires

Le traumatisme primordial nous ayant programmé dans une personnalité, c’est-à-dire une façon toute personnelle de se comporter dans la vie, les 3 autres traumatismes constituent des rappels, réactualisant le programme initial selon les conditions spécifiques à chaque âge : petite enfance, enfance, adolescence[5].

Le traumatisme de la petite enfance, le traumatisme du « secret familial »

Le petit enfant découvre tous le réseau d’influences, tous les conflits et les amours inconscients qui font le tissu d’une famille à travers son histoire commune. C’est la révélation que la famille entière, dans ses rapports affectifs, n’est soudée qu’autour du mensonge : on peut être au dehors très différent de ce que l’on pense au-dedans Il apprend ainsi la nécessité de se mentir à lui-même pour pouvoir rester avec les autres. Ce traumatisme correspond au secret familial, il met l’enfant devant les deux forces que sont le mensonge et la vérité, il a lieu en moyenne vers 18 mois et dans la majorité des cas est acquis avant trois ans.

Le traumatisme de l’enfance, le traumatisme du « secret de l’ambiguïté sexuelle »

L’enfant découvre une ambiguïté séductrice ayant le pouvoir de lutter contre l’autorité : la force capable de séduire un adulte, au point qu’il a le sentiment de le posséder intérieurement. Mais tout humain étant toujours coupable de son propre plaisir, il va percevoir autant de honte que de plaisir. Il apprend donc les modalités de la consommation du plaisir, toujours teinté de culpabilité. Ce traumatisme se situe vers 5, 6 ans et est acquis généralement avant 10ans. Il met donc l’enfant en présence des deux forces que sont le plaisir et la honte.

Le traumatisme de l’adolescence, le traumatisme de l’affirmation de soi ou de la différence interdite

L’adolescent vit une fracture entre ses rêves d’amour idyllique et la réalité amoureuse qu’il expérimente. Il découvre les modalités de l’amour humain : pour être aimé, il faut apprendre à renier sa différence et parfois se vendre à une ressemblance à l’autre : se nier, pour ne pas rester seul. Ce traumatisme contient tout le modèle de nos futures relations amoureuses et sociales. Il confronte l’adolescent aux deux forces que sont l’idéal et la réalité. Il est acquis généralement avant 16 ans.

Les sept niveaux de lapsus corporels et les sept couches de mémoire

Inconscient et subconscient

Réconciliation et résilience

L’actologie

L’actologie[6] est l’étude de nos comportements quotidiens et de l’énergie qui les génère, alliée à la pratique régulière permettant d’arrêter, dans l’instant, la répétition du passé traumatique dans le présent. L’homme semble régi par l’activité complexe de deux cycles : le cycle traumatique et le cycle Transformé. La vie humaine se manifeste à l’extérieur sous deux formes : des réactions et des Actions : Toutes nos réactions sont inconscientes et engendrées par le cycle traumatique ; Toutes les Actions sont conscientes et produites par le cycle Transformé.

Cette méthode est basée sur l’observation de nos mécanismes de réactions traumatiques ; le but est de trouver un Acte libre et conscient nous amenant à dépasser la répétition de notre histoire ; cela se déroule en 3 phases : Voir – Pardonner - Agir. Cette méthode de retournement intérieur permet ainsi de passer de notre « petitesse », basée sur les souffrances de notre passé, au sentiment de notre « Grandeur », reflet de notre Individualité unique.


  • Le cycle traumatique

Le cycle traumatique, c’est ce que je me contente d’être, fidèle à mon passé : conforme à tous mes traumatismes. C’est le cycle comportemental de l’homme qui répète son passé, qui interprète ainsi inconsciemment la réalité de façon personnelle - celle qui s’est inscrite en lui lors de son traumatisme primordial et de ses 3 traumatismes secondaires - et réagit en conséquence. Cet homme n’est remarquable qu’en fonction de sa souffrance, donc du sentiment de sa « petitesse ». C’est un mal-être qui s’aggrave en passant par 4 temps, le 4ème temps étant une séparation (crise).


  • Le cycle transformé

Le cycle Transformé, c’est ce que je pourrais être. C’est le reflet positif du message traumatique, il permet de profiter de notre histoire au lieu de l’endurer, en transformant consciemment une douleur. Ce cycle ne répète pas l’ancien fonctionnement issu des choix traumatiques. Il produit uniquement la création du Nouveau, lié à l’instant. C’est un bien-être qui passe par 4 temps pour s’amplifier, jusqu’à un état intérieur très particulier, la communion. Il est une expérience de réjouissance de l’être sans autre raison que le dépassement de soi-même. Il nous donne accès à l’accomplissement de notre individualité, dans des comportements de service et de don de soi.

Déroulement d'une psychanalyse corporelle

Discussion

Corps

Le concept même de psychanalyse corporelle peut paraître incongru tant la psychanalyse est associée à la parole. Pourtant la psychanalyse nous a abondamment montré combien corps et inconscient était lié. Est-il si étonnant que la mémoire corporelle dont nous parle tellement de méthodes psychothérapeutiques et psychanalytiques, nous permette d’accéder à l’inconscient. Autant la psychanalyse utilise les lapsus pour accéder à l’inconscient, autant la psychanalyse corporelle utilise les lapsus corporels.

Trauma ou Traumatisme

Le trauma ou traumatisme en psychanalyse est « un évènement de la vie du sujet qui se définit par son intensité, l’incapacité où se trouve le sujet d’y répondre adéquatement, le bouleversement et les effets pathogènes durables qu’il provoque dans l’organisation psychique[7] ». Un modèle de traumatisme, d’un point de vue économique, est le traumatisme de la naissance. En psychanalyse corporelle, le traumatisme est un évènement tout aussi précis de la vie du sujet, auquel ce dernier n’a pu faire face qu’en posant un écran protecteur pour ne plus souffrir. (refoulement) Ces traumatismes sont les moments qui construisent notre personnalité.

Fantasmes originaires, et scènes

Ces scènes primitives ou fantasmes originaires[8] sont ce que la psychanalyse retrouve comme organisation fantasmatique chez tous les sujets sans qu’il faille revenir à leurs expériences personnelles. Cela indiquerait en dernier lieu pour Freud une origine phylogénétique.

Ces structures typiques sont : la vie intra-utérine, la scène originaire, la castration, la séduction.

Freud nomme scènes originaires les évènements réels, traumatisants, dont le souvenir se trouve derrière les fantasmes. Freud parle bien de scènes, c’est-à-dire de scénarios typiques en nombre limité[9] !

Il s’attache à mettre à jour des séquences, des scénarios imaginaires par lesquels tout le monde serait passé. Dans « L’homme aux loups[10] », Freud tente d’établir la réalité de la scène primitive ou originaire, celle du coït parental. Il essaye de la reconstruire jusque dans les moindres détails. S’il ne parvient pas à l’établir ontogénétiquement, Freud se tourne alors vers l’histoire de l’espèce. Il est remarquable de noter combien Freud, pendant les premières années de sa recherche, a toujours eu l’exigence de retrouver le ‘roc de l’évènement’.

Freud abandonnera cette recherche, passant de la théorie de la séduction par le père au complexe d’Œdipe, pour ne plus considérer comme primordial que le fantasme.

Quelques chiffres et statistiques

Références

  1. Référence à fournir, sous la forme (dans le cas d'un livre) : Prénom (complet) et Nom de l'auteur (exemple Sigmund Freud), Titre du livre, Éditeur, Année d'édition, pages servant de source.
  2. Bernard Montaud et Jean-Claude Duret, Allô mon corps… Fondements de la psychanalyse corporelle, St Nicolas de la Balerme, éd. Edit’as, 2005, p. 15-40
  3. Jean-Michel LASBOUYGUES, Rôle de la région lombaire en psychanalyse corporelle, dans La Lettre de la Psychanalyse corporelle, mai 2010.
  4. Bernard MONTAUD, Éloge du traumatisme et du cycle traumatique. Bénédiction de l’Ego, Cycle d’études, mai 2007, notes personnelles de Bruno BERTE.
  5. Bernard Montaux, Jean-Claude Duret 2005, p. 44-66
  6. Bernard MONTAUD & coll., La psychologie nucléaire, un accompagnement du vivant, La Baume Cornillane, éd. Edit’as, 2001,p. 353-443.
  7. Jean LAPLANCHE et Jean-Bernard PONTALIS, Vocabulaire de la psychanalyse, 7e éd., Paris, PUF, 1981, p. 499.
  8. Bruno Berte 2007
  9. Jean LAPLANCHE et Jean-Bernard PONTALIS Vocabulaire de la psychanalyse, 7e éd., Paris, PUF, 1981, P. 157.
  10. Sigmund Freud 1988, p. 1988

Bibliographie


  • Bruno Berte, Essai de comparaison entre la théorie des fantasmes de S. Freud et la théorie des traumatismes de Bernard Montaud, Mémoire IFPC, 2007 
  • Bruno Berte, Imaginaire et inconscient, Paris, PUF, n° 18 (Esprit du temps), décembre 2006, « La psychanalyse corporelle et le secret familial » , p. 205-214
  • Catherine Berte, Kinévaria, février 2008, « La psychanalyse corporelle : Sept niveaux dans le corps vers un apaisement fondamental » .
  • CHAUVIN, Jean-Patrick, Quand la maladie nous enseigne. Médecine des Actes, Paris, éd. Josette Lyon, 2007.
  • DURET, Jean-Claude, Une Psychanalyse à dimension corporelle et spirituelle, dans Soleil Levant, novembre 2007.
  • La Lettre de la Psychanalyse corporelle, Revue électronique de l’Institut de Psychanalyse Corporelle, sur www.psychanalysecorporelle.org
  • LASBOUYGUES, Jean-Michel, Rôle de la région lombaire en psychanalyse corporelle, dans La Lettre de la Psychanalyse corporelle, mai 2010.
  • MONTAUD, Bernard, Éloge du traumatisme et du cycle traumatique. Bénédiction de l’Ego, Cycle d’études, mai 2007, notes personnelles de Bruno BERTE.
  • MONTAUD, Bernard, L’accompagnement de la naissance, La Baume Cornillane, éd. Edit’as, 1997.
  • MONTAUD, Bernard & coll., La psychologie nucléaire, un accompagnement du vivant, La Baume Cornillane, éd. Edit’as, 2001.
  • MONTAUD, Bernard & coll., Ni bourreau ni victime, Les apports de la psychanalyse corporelle, Caudecoste, éd. Edit’as, 2009.
  • Bernard Montaux, Jean-Claude Duret, Allô mon corps... Fondements de la psychanalyse corporelle, St Nicolas de la Balerme, éd. Edit’as, 2005 .
  • Hugues Reynes, Le nouvel accouchement, St Nicolas de la Balerme, éd. Edit’as, 2003 .

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Psychanalyse corporelle de Wikipédia en français (auteurs)

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