Patrimoine architectural de Nantes

Patrimoine architectural de Nantes
Article principal : Nantes.
Les cours Saint-Pierre et Saint-André.
L'une des deux tours LU.
L'ancienne île Feydeau.

Nantes appartient au réseau des Villes et pays d'art et d'histoire, animé par le ministère de la Culture et les collectivités territoriales, et qui rassemblent les villes soucieuses de préserver et de promouvoir leur patrimoine. Ainsi, dès 1972, la ville a délimité un secteur sauvegardé compris entre le quai de la Fosse et les cours Saint-Pierre et Saint-André et incluant notamment le château, la cathédrale, le quartier du Bouffay, l'île Feydeau, la place Royale et le quartier Graslin[1]. Avec 126 ha, il est l'un des secteurs sauvegardés les plus importants de France[2]. Par ailleurs, Nantes est riche d'un patrimoine statuaire important disséminé dans la ville ainsi que de quatre fontaines Wallace[3]. Le maire, Jean-Marc Ayrault, souhaite faire inscrire la ville et l'estuaire de la Loire au patrimoine mondial de l'UNESCO[4].

Le passé industriel de la ville lui a légué un patrimoine qui lui confère par endroits un caractère particulier ou s’entremêlent friches, musées, espaces de loisirs ou encore équipements publics à l'image du site des anciens Chantiers Dubigeon. Un autre exemple de mise en valeur d'une ancienne installation industrielle, particulièrement dans un but culturel concerne la biscuiterie LU devenue Le Lieu unique, un des lieux majeurs de la vie nocturne Nantaise[5]. Enfin l'ancienne manufacture des tabacs de Nantes fut réhabilitée dans les années 1980 afin d'accueillir services municipaux et logements et ainsi donner forme à un petit quartier proche du centre-ville[6].

Sommaire

Château des ducs de Bretagne

Article détaillé : Château des ducs de Bretagne.

Le château des ducs de Bretagne est situé sur la rive droite de la Loire dans le centre-ville de Nantes. Il était la résidence principale des ducs de Bretagne du XIIIe au XVe siècle. C'est une forteresse constituée de sept tours reliées par des courtines. L'intégralité du chemin de ronde est ouverte au public depuis sa réouverture en février 2007, après 15 ans de fermeture. La cour possède plusieurs bâtiments datant des XVe, XVIe et XVIIIe siècles dont la résidence ducale construite en pierre de tuffeau. Le grand chantier de rénovation débuté en 1990 et terminé en 2007 offre un nouveau visage à l'ensemble architectural du château[7]. Un musée de l'histoire de la ville de Nantes s'est installé dans ces murs depuis la réouverture. Il rassemble des documents, des cycles de tableaux, des écrits, etc. Le musée est doté d'un dispositif multimédia moderne, qui rend la visite plus simple et plus enrichissante, grâce à des documents photos, audio ou vidéos interactifs inédits.

Quartiers historiques

Le quartier médiéval du Bouffay, proche du château et de la cathédrale, à l'intérieur des limites de l'ancienne enceinte, date du XVe siècle. Il abrite un ensemble de maisons aux façades à pans de bois, à colombages et à encorbellements, ou reconstruites en pierre au XVIIIe siècle dans le parcellaire médiéval[8].

Les bâtiments datant du XVIIIe siècle, dont les architectes sont Jean-Baptiste Ceineray et Mathurin Crucy, se situent dans les quartiers du cœur de la ville. On y retrouve plusieurs places comme la place Graslin avec le théâtre et la brasserie La Cigale ; la place Royale, dont la fontaine représentant la Loire et ses affluents, les sols, les façades et les éclairages ont été rénovés en 2007 ; la place du Commerce, la plus animée du centre-ville et la place du Maréchal-Foch avec sa colonne servant de stèle à l'une des rares statues de Louis XVI existant en France. Ces places sont reliées par de larges perspectives comme le cours Cambronne ou le Cours Saint-Pierre et Saint-André.

Ces quartiers regroupent aussi la préfecture de la Loire-Atlantique (ancienne chambre des comptes de Bretagne), le palais de la Bourse qui abrita l'Office de tourisme puis aujourd'hui la Fnac et enfin l'île Feydeau (rue Kervégan, Temple du Goût, cour Ovale), urbanisée en un seul ensemble, comparable à l'île Saint-Louis à Paris. Le quai de la Fosse et les rues qui y descendent, où se trouvaient les maisons de filles à matelots, constituent l'ancien port de Nantes.

Construit en 1851 dans un style néoclassique, l'ancien palais de justice de Nantes, situé place Aristide Briand et dessiné par Chenantais, a été cédé par l'État au conseil général qui a décidé de le transformer en grand et luxueux complexe hôtelier (Radisson) comportant également une galerie d'art, dont l'ouverture est prévue en 2012[9].

Inaugurée en 1976, la tour Bretagne domine la ville du haut de ses 144 mètres. La maison des Compagnons du Devoir au sud de la gare, est pourvue d'un clocher tors. L'immeuble CGA date des années 1930, et a reçu le label « Patrimoine du XXe siècle », tandis que le Blockhaus DY10 témoigne de la période d'occupation allemande lors de la Seconde Guerre mondiale.

En l'an 2000, le tribunal de grande instance de Nantes investit un nouvel édifice conçu par Jean Nouvel sur l'île de Nantes. D'architecture contemporaine, ce bâtiment rectiligne de couleur noire comporte 1 500 tonnes d'acier rappelant les constructions navales présentes sur le site[10].

Le comblement à partir de 1929 des bras nord de la Loire et de l'Erdre canalisée (devenue le Cours des 50-Otages) a grandement transformé le caractère de la ville ancienne. Le château des Ducs, la place du Commerce, les façades de l'île Feydeau et du quai de la Fosse se trouvaient à l'origine en arrière des quais, au bord de l'eau. Une figuration de quais a été reconstruite le long de la face sud de l'île Feydeau (conçu par l'urbaniste Bruno Fortier).

Patrimoine religieux

Article détaillé : Lieux de culte à Nantes.

De nombreux lieux de culte sont construits sur le territoire de la commune, principalement des églises catholiques. Les églises érigées avant la séparation de l'Église et de l'État (1905), appartiennent à la ville de Nantes. Celles postérieures à cette date appartiennent au diocèse de Nantes, à l'exception de Saint-Médard de Doulon, et de l’église de la Madeleine, reconstruites à la suite de sinistres ayant détruit les édifices datant d’avant 1905[11].

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, de style gothique, est située sur la place Saint-Pierre. Sa construction s'est déroulée de 1434 à 1891 (457 ans). L’édifice voit le jour sous l'impulsion du duc de Bretagne Jean V et de l’évêque Jean de Malestroit en 1434. La façade est achevée dès la fin XVe siècle, les tours ne le sont qu’en 1508, la nef et les collatéraux le sont également au début du XVIe siècle, la voûte gothique de la nef, le bras sud du transept et les arcs-boutants sont terminés au XVIIe siècle et le chevet fin XIXe siècle. La cathédrale est finalement inaugurée le 25 décembre 1891. Après avoir subi les dommages de la pollution urbaine, du manque d’entretien et des bombardements de 1944, l'édifice bénéficie d'une restauration. Mais un incendie se déclenche à la fin des travaux, en 1972[12]. Un nouveau chantier de restauration commence un an plus tard. Cette cathédrale fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1862[13].

La basilique Saint-Nicolas est l'un des premiers projets néogothiques de France datant du XIXe siècle. L'édifice se situe dans le centre ville de Nantes. Cette église est construite par Jean-Baptiste-Antoine Lassus, élève de Viollet-Leduc. Elle fut érigée en basilique le 28 octobre 1882. Bâtie sur un terrain exigu, la basilique est orientée sur un axe nord-sud inhabituel pour un édifice de tradition chrétienne. Les principaux matériaux utilisés pour sa construction sont le granit local et le tuffeau de Touraine. L'édifice est grandement endommagé lors du bombardement du 16 septembre 1943. Cette basilique fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1862[14].

L'église Notre-Dame de Bon-Port est construite en 1852 par les architectes Saint-Félix Seheult et Joseph-Fleury Chenantais. Elle se situe place du Sanitat près du quai de la Fosse, où se tenait l’essentiel du trafic du port de Nantes au moment de sa construction, d’où son nom. Elle est coiffée d'un dôme faisant référence à celui des Invalides de Paris. Au sommet de la flèche, on trouve un archange doré. Elle fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1975[15].

La mosquée des Turcs.

Deux grandes mosquées ont été construites en 2009. La mosquée Arrahma de Nantes[16] est située dans le nord de la ville. La mosquée dite mosquée des Turcs est située boulevard du Bâtonnier Cholet. C'est une architecture traditionnelle avec un minaret haut de 18 mètres qui a été adoptée. Une troisième, la mosquée Assalam de Nantes, est en cours de construction, la première pierre est posée le 11 mai 2009. Située dans le quartier Malakoff, elle aura une surface d'environ 3 100 m2. Elle est conçue dans un style moderne, avec un minaret éclairé. La livraison est prévue fin 2010[17].

Le temple de Nantes, lieu de culte protestant place Édouard-Normand, inauguré en 1958, est conçu par l'architecte Victoire Durand-Gasselin, qui était elle-même de confession protestante. Il remplace un bâtiment plus ancien, construit en 1855, et détruit par un bombardement lors de la Seconde Guerre mondiale.

L'église orthodoxe qui se situe boulevard de la Beaujoire porte le nom de Saint-Basile.

Patrimoine industriel

Il ne reste rien des trois grandes fabriques de toiles indiennes qui employaient 1 300 personnes en 1803, ni des 25 filatures de coton existant en 1838, ni de la trentaine de manufactures de textile du XIXe siècle. Historiquement les industries nantaises ont migré du centre vers l'ouest de la ville (Chantenay) et dans les îles de Nantes[18].

La plus emblématique usine en raison de son actualité sociale est la raffinerie de sucre Béghin-Say sur l'île Sainte-Anne, construite en 1936, et qui a bénéficié en 1993 d'une rénovation la laissant aujourd'hui apparaître en bleu et blanc[6].

Tout aussi bien rénovée, la Manufacture des tabacs a été dessinée par Chenantais en 1861 d'après un prototype strasbourgeois. Elle est composée de cinq bâtiments, avec deux cours intérieures. On y fabriquait cigares, tabac, allumettes. Elle a compté jusqu'à 1 889 ouvriers et surtout ouvrières en 1877. Avant le transfert des activités vers le site de Carquefou en 1973, 443 employés y travaillaient encore[6].

L'usine des Batignolles a été fondée en 1919 par une entreprise spécialisée dans la mécanique pour chemin de fer. Elle est l'œuvre des architectes Eugène Freyssinet et Claude Limousin. On y a fabriqué des locomotives à vapeur, notamment les Pacific, puis les 242 qui étaient encore produites dans les années 1950[19]. Rachetée par le groupe Creusot-Loire, elle se consacra ensuite à la fabrication de matériels d’extraction pour l’industrie pétrolière et gazière, ainsi que des rotatives d’imprimerie. Depuis, ces deux activités ont été reprises respectivement par l’allemand GEA Group (BTT - Batignolles Technologies Thermiques), et l’américain Goss International qui occupent conjointement le site.

Nantes a également de beaux bâtiments consacrés à la production d'électricité. La première usine, rapidement insuffisante, a été construite sur les bords de l'Erdre en 1891 (actuelle allée des Tanneurs, Cours des 50-Otages, site occupé aujourd'hui par des locaux d'EDF et GDF), une deuxième qui existe encore est apparue en 1901, rue Lamoricière. Cette centrale thermique est constituée de deux halles : une petite pour la chaudière à charbon, une grande pour un générateur électrique. Dans cette grande halle, la nef est particulièrement esthétique, constituée d'une charpente de fer et fonte installée par les ateliers Joseph Paris, dans un décor évoquant l'architecture des châteaux du XVIIIe siècle. Corniches, bandeaux et arcs de calcaire soulignent les formes d'un bâtiment de briques rouges qui a été réhabilité en supérette pour la petite halle et en gymnase pour la grande. La Compagnie d'électricité de basse-Loire a exploité une autre usine à Chantenay, dans l'actuelle rue des Usines, avec les mêmes matériaux que celle de Lamoricière, mais en plus grand, ce qui peut amener à la comparer à une cathédrale[20].

Le site des anciens chantiers navals

Vestiges des établissements de la construction navale à Nantes, les anciens bureaux des « Ateliers et chantiers de Nantes », construits en 1914, ont été restaurés et confiés à l'Université inter-âges, et à plusieurs associations nantaises. Non loin de là, toujours sur le thème du port, se dressent deux grues Titan. La première mesure 34 mètres de haut, et a été montée par les ateliers Joseph Paris en 1954. Elle était grise à l'origine et a été peinte en jaune lors de sa rénovation[21]. La seconde grue monumentale, classée monument historique, est un modèle Titan 01, d'une puissance de 30 tonnes à 42 mètres, 60 tonnes à 24,3 mètres. Il s'agit d'une grue-marteau : la direction du chariot est horizontale. Une crinoline enserre le fût fixe ; la crapaudine est située en haut. Il y a un cercle de guindage en bas de la crinoline et un portique asymétrique. C'est l'atelier SA Travaux métalliques de Boom qui a réalisé cet appareil de 47 m de haut et de 350 tonnes à vide. Cette grue a été mise en service en 1966-1967 et a fonctionné jusqu'en 2002[22].

Bâtiments commerciaux

Dès le XIXe siècle Nantes développe fortement ses commerces. Le passage Pommeraye est une galerie marchande du centre ville. Le projet est conduit par l'architecte J.-B. Buron, sur demande du restaurateur Louis Guilloux qui s'est associé à Louis Pommeraye, notaire à Nantes, qui a laissé son nom au Passage. Construit de 1841 à 1843, ce passage mixte constitué de commerces et d'habitats est construit sur trois niveaux, il relie la rue de la Fosse à la rue Santeuil sur 9 mètres de dénivelé et trace un trait d’union entre le quartier de la place du Commerce et celui de la Place Royale. Il s’organise autour d’un escalier central monumental. La partie haute recèle des arcs ornés de stuc et huit médaillons, œuvre de Guillaume Grootaërs, dans lesquels apparaissent les têtes de personnages célèbres. Dans la galerie haute figurent seize statues de Jean Debay, symbolisant les domaines chers à la ville de Nantes : agriculture, beaux-arts, commerce, etc. ainsi qu'une horloge entourée des statues de Diane et Apollon, toujours de Debay[23]. Le passage a été classé monument historique en 1976[24].

Anciennes galeries Decré.
Intérieur de la brasserie La Cigale.

Créé par Jules-César Decré vers la fin des années 1860 le bazar Decré est la première étape de ce qui deviendra plus tard l'empire Decré[25]. Dès 1880, il installe son commerce au 6 de la Basse-Grand-Rue (dorénavant rue de la Marne). Les générations se succèdent à la tête de l'entreprise devenue Decré-Frères, et continuent d'innover avec notamment la publication d'un catalogue. En 1931, le magasin s'agrandit encore pour devenir le plus grand d'Europe. Avec une architecture moderniste conçue par Henri Sauvage, ce centre commercial dispose de nombreux équipement : restaurants, salon de coiffure, salle de cinéma, agence de voyages, un bureau de poste, etc. Touché par les bombardements de 1943, Decré est reconstruit petit à petit, l'activité étant délocalisée provisoirement rue Briord. Subissant la pression des nouvelles enseignes de grande distribution dans les années 1970, les actionnaires se résolvent à vendre aux Nouvelles Galeries absorbées plus tard par les Galeries Lafayette[25].

La brasserie La Cigale a ouvert ses portes le 1er avril 1895. C'est une brasserie Belle Époque d'inspiration Art Nouveau. Rendez-vous de la grande bourgeoisie après les représentations au théâtre Graslin, elle est appréciée des surréalistes des années 1920[26]. Elle a été classée monument historique en 1964[27].

La chocolaterie-confiserie Georges-Gauthier, rue de la Fosse, est une illustration de ce qu'était l'architecture commerciale de la fin du XIXe siècle, avec ses motifs géométriques et floraux, son pavement de marbre, son lustre de cristal, son plafond œuvre du Nantais Picou, son comptoir et sa caisse en bois[28]. Tout aussi caractéristique, mais de l'Art Nouveau cette fois, la devanture de la Fromagerie centrale, à base de carreaux de céramique blancs avec des inscriptions bleues, se situe 8 rue Contrescarpe[29].

Références

  1. Secteurs sauvegardés sur site de la direction de l'architecture et du patrimoine du Ministère de la culture et de la communication, 19/06/2000, p. 30
  2. Nantes, ville d'art et d'histoire sur site de la mairie de Nantes. Consulté le 18 août 2010
  3. Sculptures sur site du Service des espaces verts et de l'environnement de la Ville de Nantes. Consulté le 18 août 2010
  4. David Prochasson, « Nantes veut préserver sans figer », dans 20 minutes, 23 septembre 2009 [texte intégral (page consultée le 18 août 2010)] 
  5. infos pratiques sur site du Lieu unique. Consulté le 18 août 2010
  6. a, b et c Nantes... op. cit., p. 87
  7. Renaissance d'un monument, Musée d'histoire de Nantes. Consulté le 22 octobre 2007
  8. Balade dans le Bouffay médiéval sur archives de Nantes. Consulté le 17 septembre 2010
  9. Un hôtel de luxe Radisson en 2012 à Nantes - Nantes, Ouest-France. Consulté le 3 septembre 2010
  10. Île de Nantes - Palais de justice, iledenantes.com. Consulté le 3 septembre 2010
  11. Les églises nantaises et la Cathédrale sur site de la mairie de Nantes. Consulté le 6 novembre 2009
  12. Pajot 2006, p. 34
  13. Classement de la Cathédrale Saint-Pierre, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consulté le 24 août 2010
  14. Classement de la basilique Saint-Nicolas, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consulté le 24 août 2010
  15. Classement de l’église Notre-Dame de Bon Port, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consulté le 31 août 2009
  16. La mosquée Arrahma sur site de la mosquée Arrahma de Nantes. Consulté le 24 août 2010
  17. La mosquée Assalam sur site le la mosquée Assalam de Nantes. Consulté le 24 août 2010
  18. Le Marec et Caharel 2003, p. 86 op. cit.
  19. Le Marec et Caharel 2003, p. 88 op. cit.
  20. Le Marec et Caharel 2003, p. 89 op. cit.
  21. Le Marec et Caharel 2003, p. 90 op. cit.
  22. Fiche de la grue grise de Nantes sur site du Ministère de la culture-Palissy. Consulté le 15 mai 2010
  23. Flohic op. cit., p. 728
  24. Passage Pommeraye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consulté le 31 août 2009
  25. a et b Pierre-Yves Lautrou, « Les Decré - Des pionniers du grand commerce », dans L'Express, 17 avril 2003 (ISSN 0014-5270) [texte intégral (page consultée le 17 mai 2010)] 
  26. Flohic op. cit., p. 748-749
  27. Notice de la brasserie La Cigale, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consultée le 25 mai 2010
  28. Flohic op. cit., p. 753
  29. Flohic op. cit., p. 754

Voir aussi

Bibliographie

  • Ouvrage Collectif Flohic, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, 1999, 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • Stéphane Pajot, Nantes Fascinante, Éditions d'Orbestier, 2006 (ISBN 978-2842380960) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • Yannick Le Marec et Philippe Caharel, Nantes, Mille ans d'histoire et d'architecture, Laval, Édition Siloë, novembre 2003, 128 p. (ISBN 2-84231-267-8) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • G. Ganuchaud, L'Architecture nantaise, coll. « 2 degrés ouest », 1965, 64 p. 

Articles connexes


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