Nicolas de Gilley

Nicolas de Gilley

Nicolas de Gilley (mort le 27 août 1563 à Tarragone), Gentilhomme de la Maison de l’Empereur et ambassadeur de Charles Quint, il est chevalier de la Toison d’Or et le premier baron souverain de Franquemont et du Saint-Empire. Il appartient à la famille de Gilley, dont il est peut-être le membre le mieux connu.

Sommaire

Les conditions d’ascension de Nicolas de Gilley

Comme très souvent à l’époque, l’ascension de Nicolas de Gilley résulte d’une ambition, non seulement personnelle, mais surtout familiale, nourrie sur plusieurs générations. Pour cette raison, deux situations particulières doivent initialement être appréciées :

  • celle de la branche aînée de la famille de Gilley, à laquelle appartient Nicolas. Elle perd sa noblesse au début du XVe siècle par dérogeance (ses membres pratiquèrent la profession d’orfèvre sur plus de deux générations), et ne la recouvre qu’en 1494, grâce à Jean II de Gilley, grand-père de Nicolas[1]. Installée à Salins, au moins depuis le XVe siècle, cette branche aînée des Gilley y acquiert une position sociale éminente et fait fortune grâce à la gestion de charges municipales et à l’exploitation des salines de la ville ;
  • celle de la ville de Salins, liée au fonctionnement de ses salines. Ces dernières appartiennent, depuis la seconde moitié du XIIIe siècle, au seigneur la ville ; c’est-à-dire généralement à celui qui gouverne le comté de Bourgogne (quelle que soit sa situation géopolitique)[2]. Or, comme dans bien des cas, la source de revenus considérables, que procurent ces salines à son propriétaire, fait du même coup de l’administrateur général de ces dernières (le pardessus des salines) et de l’échevin de Salin des personnages clés de la Comté[3]. C’est pourquoi, les ducs de Bourgogne d’abord, puis, dès 1477, les Habsbourg d’Espagne profitent de cette situation, notamment en faisant du pardessus des salines un office stratégique[4], et veillent de près à la charge échevinale.

Il semble que les Gilley convoitent, dans un premier temps, la fonction d’échevin — bien que moins prestigieuse que celle de pardessus des salines —, parce qu’elle ne nécessite pas d’être noble. Aussi, Jean II de Gilley, après avoir été orfèvre, commence-t-il par acquérir la charge de notaire juré de la Cour archiépiscopale de Besançon à Salins (sûrement dans les années 1465/70)[5]. Cette position dû lui apporter la visibilité sociale attendue, puisque le 18 avril 1493, lorsque Philippe le Beau le nomme à la tête de l’hôtel des monnaies qu’il fait installer à Salins cette même année, Jean II est déjà signalé comme échevin de la ville (poste qu’il occupera une dizaine d’années)[6]. Sûrement en récompense de ses services, Jean II est anobli par l’empereur Maximilien Ier de Habsbourg, le 2 janvier 1494 (anoblissement confirmé en juin 1501 par l’archiduc Philippe le Beau)[1]. Il acquiert alors les seigneuries d’Aiglepierre, puis de Marnoz (1506)[7].

L’anoblissement de Jean II de Gilley permet à son fils, Guillaume VI, de prétendre désormais à des fonctions importantes auprès de l’archiduchesse douairière Marguerite d’Autriche, maître du comté de Bourgogne à partir de 1509 (donation viagère de son père, l’empereur Maximilien)[4]. On sait, par exemple, qu’en 1515 Guillaume VI est receveur spécial pour le comté de Bourgogne[8], dépendant de la Chambre des Comptes située aux Pays-Bas depuis 1473[9]. Grâce à ses charges, Guillaume VI de Gilley augmente son patrimoine (en plus de celles d’Aiglepierre et de Marnoz, héritées de son père) des seigneuries d’Andelot, de Port et du Chatelay et de Port-Lesney[7].

Nicolas de Gilley et le service de Charles Quint

En 1495, Guillaume VI de Gilley épouse Adrienne de Saint-Mauris-Crilla (d’une ancienne famille noble du comté de Bourgogne, issue de la maison de Crilla et établie à Saint-Mauris de Salins au début du XIVe siècle)[10]. De ce mariage naissent, à des dates encore inconnues, deux fils : Nicolas, puis François.

Les premières mentions de Nicolas de Gilley, dans les sources, ne le distinguent pas du parcours de ses grand-père et père. Il sert d’abord parmi la noblesse du bailliage d’Aval : le 21 décembre 1521, à Salins, à l’occasion d’une revue de la noblesse par l’archiduchesse douairière Marguerite d’Autriche, il lui prête serment de fidélité à la place de son père[11]. Cinq ans plus tard, le 13 juin 1526, il épouse Jeanne de Marnix, Dame de Crilla et de Lemuy, dont le père, Jean, est un protégé de Marguerite d’Autriche et son premier secrétaire et notaire impérial aux Pays-Bas espagnols ; toutefois, la famille de Marnix, d’origine bressane, est installée dans le comté de Bourgogne depuis le début du XVIe siècle[12]. Cette union confirme alors l’implantation des Gilley dans le comté (grâce à Jean II) et aux Pays-Bas (grâce à Guillaume VI). Jeanne de Marnix apporte aux Gilley les seigneuries de Crilla, de Trétu, et de Saint-Maurice (pour moitié), qui ne sont la pleine possession de son époux qu’en 1527, et enfin celle de Lemuy (24 janv. 1538)[13]. Puis, à la suite de son père, Nicolas sert Marguerite d’Autriche en tant qu’écuyer et échanson (lettres de Malines du 24 mai 1530)[7] ; lui incombant ainsi la charge, le 31 décembre 1530, de transmettre aux autorités de Salins les lettres signées par Charles Quint (datée à Malines le 11 décembre) annonçant officiellement la mort de Marguerite d’Autriche, ordonnant les offices funèbres à organiser pour l’occasion, et par lesquelles sont maintenus dans leurs charges, le pardessus et les officiers des salines[14].

Son entrée au service de Marguerite d’Autriche permet donc à Nicolas de Gilley d’accéder à l’entourage impérial, devenant chevalier et Gentilhomme de la Maison de l’Empereur le 1er avril 1536 (lettres établies à Rome)[7]. Puis, dès 1537, il remplit plusieurs missions d’ambassadeur pour le compte de l’empereur Charles Quint[15] :

Malgré cette ascension, il se peut que les faveurs impériales aient eu raison de Nicolas de Gilley. En effet, comme le constate L. Febvre, il aurait eu des difficultés à gérer sa soudaine fortune, accumulant les seigneuries au point de s’endetter et d’être « forcé de céder ses rentes, ses terres, à sa mort adjugées par décret… »[21]. Il est vrai qu’en plus de celles que lui apportent mariage et héritages, Nicolas de Gilley acquiert les seigneuries de Villers-Farlay, de Belmont, de Pagnoz, d’Aigle (11 sept. 1529), de Franquemont (14 avril 1537), de Mouchard (1541) et des Assures (1545). Il faut toutefois observer que, grâce à son parcours, Nicolas de Gilley offre à sa famille une assise sociale et un prestige qu’elle n’avait jamais eus auparavant ; en témoignent l’érection de la seigneurie de Franquemont en baronnie souveraine d’Empire (12 nov. 1538, lettres établies à Tolède)[22] et l’admission de Nicolas dans l’Ordre de la Toison d’or (chapitre d’Utrecht, janvier 1546)[23]. Cette assise sociale et ce prestige ne se démentiront pas aux générations suivantes. Aussi, Nicolas de Gilley poursuit-il dans la voie tracée par Jean II et Guillaume VI, qui consiste, une fois la famille à nouveau noble, à maintenir le patrimoine hérité, sinon à l’accroître, répondant ainsi à l’idéal nobiliaire de l’époque[24].

Nicolas de Gilley, baron souverain de Franquemont et du Saint-Empire

L’enjeu, autour de la baronnie souveraine de Franquemont, est celui de sa suzeraineté. Au XVIe siècle, celle-ci appartient aux princes-évêques de Bâle, à qui le seigneur de Franquemont doit normalement allégeance, et qui détiennent aussi des droits régaliens (droit de battre monnaie, droit de justice, droit d’anoblir, essentiellement) ; pourtant, Charles Quint offre à Nicolas de Gilley les moyens de se soustraire à l’autorité épiscopale.

C’est d’abord par achat que la seigneurie de Franquemont entre dans la famille de Gilley. Le 14 avril 1537, Gérard d’Aroz (dont la famille est surtout possessionnée dans l’actuelle Haute-Saône) la vend à Nicolas pour 900 écus d’or au coin du soleil[25]. A cette date, la seigneurie de Franquemont est, sans ambiguïté possible, dans la dépendance de l’évêché de Bâle. Un hommage de vassalité est donc rendu, le 13 avril 1538, à Philippe de Gundelsheim, prince-évêque de Bâle, par Mercurin de Jaillon au nom de Nicolas de Gilley, retenu à Lucerne[26]. L’investiture est donnée le jour suivant. Mais, le 12 novembre 1538, la situation change, car Charles Quint érige la seigneurie de Franquemont en baronnie souveraine d’Empire et lie indéfectiblement cette qualité à la famille de Gilley. En effet, le titre de « baron souverain de Franquemont et du Saint Empire » n’est dès lors transmissible que dans la descendance masculine et féminine de Nicolas de Gilley, qu’elle soit ou non en possession du territoire initialement attaché au titre[27].

A partir de ce moment, Nicolas de Gilley agit souverainement dans sa baronnie, en s’attribuant au moins deux droits régaliens :

  • peut-être dès décembre 1538, il fait admettre à ses nouveaux sujets que les appels de justice se font maintenant devant lui uniquement, sans délégation possible, et non plus à la cour de l’évêque de Bâle[28] ;
  • entre 1538 et 1557, il fait battre monnaie à son nom, des demi-carolus, des blancs (portant un buste lauré à gauche sur l’avers et l’écu des Gilley posé sur une croix sur le revers) et des liards (portant l’écu des Gilley sur l’avers et une croix sur le revers), imitation des liards de Dole frappés sous Charles Quint[29].

Dans les deux cas, l’évêché de Bâle conteste à Nicolas de Gilley l’utilisation de tels droits, même si c'est parfois de manière tardive (l’usage du droit de justice n’est contestée par le prince-évêque de Bâle, Melchior de Lichtenfels, qu’en 1554). A chaque fois, Nicolas de Gilley reproche au prince-évêque de Bâle (dont l’évêché est terre d’Empire) de remettre en cause une décision impériale ; aussi, continue-t-il d’user de ses droits et ne rend-il plus hommage au prince-évêque de Bâle[30].

A la mort de Nicolas (1563), la baronnie souveraine de Franquemont revient à son deuxième fils, Jean IV de Gilley ; mais ses frères Jean III et Claude sont co-fiefeurs. Jean IV suit la politique de son père et refuse de reconnaître une quelconque suzeraineté au prince-évêque de Bâle. Ce n’est qu’après la mort de Jean IV, en 1577, que son frère aîné, Jean III, pressé par les menaces que les guerres de religion françaises font peser sur la baronnie, rend à nouveau hommage au prince-évêque de Bâle. Le comportement de Jean III de Gilley est peut-être dicté par le fait qu’Eve, veuve de Jean IV, et ses deux enfants, Gaspard et Jean-Claude, continuent d’habiter Franquemont et d’en retirer les revenus. En effet, une lettre du prince-évêque de Bâle, Jacques-Christophe de Blarer de Wartensee, datée de décembre 1582, met en garde Eve contre les risques encourus par la baronnie et l’invite à profiter de la protection qu’il lui propose alors[31]. Mais c’est la protection du duc Frédéric de Würtemberg, comte de Montbéliard, que choisit Eve. Et, devant ses difficultés politiques et surtout financières à gérer la baronnie, elle finit d’ailleurs par la lui vendre, le 13 mars 1595, pour 42 000 écus (en faveur de Gaspard et Jean-Claude) et 2 000 écus d’épingles (en sa faveur)[32]. Comme stipulé dans l’acte d’érection de la seigneurie de Franquemont en baronnie, malgré cette vente, le port du titre de baron souverain de Franquemont et du Saint Empire demeure privilège des seuls Gilley.

Notes et références

  1. a et b Arch. Dep. de Besançon, Série B. 576 (Registre des chartes et concessions des souverains).
  2. J.-B. Béchet, Recherches historiques sur la ville de Salins, Besançon, 1828, pp. 131-132.
  3. Sur le sujet en général, cf. J.-C. Hocquet, Le sel et le pouvoir de l’an mil à la Révolution française, Paris, 1985.
  4. a et b L. Febvre, « Frans van Kalken et les Marnix », in Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 9e année, N. 2, 1954, p. 205.
  5. H. Lamant, Armorial général et nobiliaire français, Eaubonne, 1977, t. 53, p. 267.
  6. M. Béchet, Recherches historique sur la ville de Salins, Besançon, 1830, pp. 196 et 225.
  7. a, b, c et d Gal J.-T. de Mesney, Dictionnaire historique, biographique et généalogique des anciennes familles de Franche-Comté, Versailles, 2006, t. 2, p. 87.
  8. Arch. Dep. du Doubs, Série B. 254.
  9. B. Schnerb, L’Etat bourguignon, Paris, 2005, pp. 252-257.
  10. Ch.-E.-P. de Saint-Mauris-Chatenois, Généalogie historique de la maison de Saint-Mauris, du comté de Bourgogne, Vesoul, 1830, p. XIII.
  11. G. Cousin, La Franche-Comté au milieu du XVIe siècle : ou, Description de la Haute-Bourgogne connue sous le nom de Comté, 1553, trad. du latin par E. Monot, Lons-le-Saunier, 1907, p. 187, n. 1.
  12. L. Febvre, « Frans van Kalken et les Marnix », in Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 9e année, N. 2, 1954, pp. 201-209 ; sur les origines de la famille cf. spécialement p. 203.
  13. A. Rousset, Dictionnaire géographique, historique et statistique, des communes de Franche-Comté, t. 3, 1854, art. « Saint-Maurice »
  14. Arch. Dep. du Doubs, Série B. 191. Les lettres impériales sont contre-signées par P. Des Barres.
  15. P. Delsalle, La Franche-Comté au temps de Charles Quint, Besançon, 2004, p. 225.
  16. L. Febvre, Philippe II et la Franche-Comté, Paris, 2009, pp. 52-60. Cette neutralité de la Comté coûte à Maximilien 200 florins du Rhin par an à chaque canton, plus 100 à Saint-Gall et 100 à Appenzell.
  17. K. von Greyerz, « Switzerland », in B. Scribner, R. Porter, M. Teich (dir.), The Reformation in National Context, Cambridge, 1994, pp. 30-46.
  18. Girod de Novillars, Essai historique sur quelques gens de lettres nés dans le comté de Bourgogne, avec une notice de leurs écrits, Besançon, 1806, p. 91.
  19. M. Prinet, François Ier et le Comté de Bourgogne, Besançon, 1908, p. 18.
  20. F.-F. Lanza, « La imagen de Espana en el Imperio Otomana a través de los embajadores de Carlos V », in L’Empire ottoman dans l'Europe de la Renaissance : idées et imaginaires d’intellectuels, de diplomates et de l’opinion publique dans les Anciens Pays-Bas et le monde hispanique aux XVe, XVIe et début du XVIIe siècles : actes du programme organisé par l’Instituto Cervantes de Bruxelles (Bruxelles, Novembre-Décembre 2003), pp. 167-189.
  21. L. Febvre, Philippe II et la Franche-Comté, Paris, 2009, p. 223. Il faut ici signaler que l’auteur ne fait pas mention de la haute ascendance noble de la famille de Gilley, parce qu’il analyse, à ce moment de son étude, les schémas d’ascension de la bourgeoisie franc-comtoise dans la seconde moitié du XVIe siècle.
  22. Archives de l’Evêché de Bâle, Etat de Berne, Franquemont, Section I, N° 43.
  23. A. Robert, La Seigneurie de Franquemont, Londres, 1905, p. 5.
  24. Ar. Jouanna (et alii), Histoire et dictionnaire des guerres de Religion, Paris, 1998, pp. 1231-1232.
  25. Archives de l’Evêché de Bâle, Etat de Berne, Franquemont, Section I, N° 37.
  26. Acte daté de Lucerne, le 28 mars 1538.
  27. Bibl. de Besançon, Mss. 1202, fol. 22.
  28. A. Robert, La Seigneurie de Franquemont, Londres, 1905, p. 5.
  29. Sur la monnaie de Franquemont en général : A. Engel, R. Serrure, Traité de numismatique moderne et contemporaine, Paris, 1897-1899, p. 355 ; A. Blanchet, A. Dieudoné, Manuel de numismatique française, 4, Monnaies féodales françaises (A. Dieudonné), Paris, 1936, pp. 296-297 ; A. De Barthélémy, « Explication de quelques monnaies baronales », Revue numismatique, 1843, pp. 35-51 ; Dayet, « Descriptif sommaire des monnaies francs-comtoises », Cahiers numismatiques, 1968, pp. 556-557. Sur les carolus et les liards : J. Rouyer, « Notes sur quelques monnaies baronnales : Franquemont, Arches, Orange, Cugnon », Revue numismatique, 1854, pp. 56-63. Sur la question de l’imitation monétaire : A.Draux, et M. Dhénin, « Une monnaie inédite de Franquemont (Jura) », Gazette numismatique suisse, 1977, pp. 51-52.
  30. Archives de l’Ancien Evêché de Bâle, Sect. B. 207 (Grenzen, Land- und Bannsausmarkungen).
  31. Archives de l’Evêché de Bâle, Etat de Berne, Franquemont, Section II, N° 104.
  32. J. Trouillat, Monuments de l’histoire de l’ancien évêché de Bâle, Porrentruy, 1852, pp. 119-120.

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