Liste de blasons d'après les sceaux du XIIe siècle

Liste de blasons d'après les sceaux du XIIe siècle

Sommaire

Liste de sceaux proto-héraldiques

Liste chronologique de sceaux proto-héraldiques antérieurs à 1160 [1],[2],[3]
Date Nom Titre Sceau Ecu possible Notes (DA[4],GD Picardie[5]GD Normandie[6],Wijnbergen[7], Rietstap[8]
1135 Raoul Ier comte de Vermandois
sceau
écu
DA n°1010 : sceau équestre, au gonfanon orné d'un échiqueté, daté de 1135 et non 1116[9], reproduit dans M. Pastoureau, daté également de 1135[10].
entre
1136[11]
et
1165[12]
Galéran IV comte de Meulan et de Worcester
sceau
écu
DA n°715, 716*[N. 1]"sceau non daté présentant l'échiqueté sur le gonfanon, sur la cotte d'arme et sur la couverture de la selle"[13],[14]. Et également sur l'écu semble-t-il.
1143
et
1151
Amédée III
et
Humbert III
comtes de Savoie
sceau
écu
"La croix de Savoie paraît dans les sceaux", sans autre précision[15],[16]. Amédée ayant pris part à la Deuxième croisade, il est envisageable, mais non prouvé, qu'il ai porté cette croix sur son écu en 1147 et que son fils Humbert III l'ai repris. Ces deux sceaux semblent confirmer le caractère mythique de l'aigle attribuée à ces comtes :
écu

Liste de sceaux héraldiques

Liste chronologique de sceaux du XIIe siècle [1],[2]
Date Nom Titre Sceau Ecu Notes (DA[4],GD Picardie[5]GD Normandie[6],Wijnbergen[7], Rietstap[8]
1138 Thibaud IV comte de Blois et de Champagne
sceau
écu
DA n°954 : Il semble qu'on peut voir sur le dessin de l'écu de G. Demay[17] des rais d'escarboucle[N. 2].
entre 1138 et 1161 Robert III seigneur de Vitré
sceau
écu
Sceau équestre, "l'écu avec la boucle, l'ombilic, l'umbo d'où partent des rayons fleuronnés"[18].[N. 3]
entre 1138 et 1148 Gilbert de Clare comte de Pembroke
sceau
écu moderne :
écu
L'écu du contre-sceau est plus un chevronné que six chevrons comme indiqué par D.L. Galbreath[15]. Il s'agit déjà d'une brisure de la branche ainée de Hertford, ci-dessous.
entre 1138 et 1148 Gilbert de Clare comte de Hertford
sceau
écu
Neveu du précédant, mais de la branche ainée. L'écu porte trois chevrons[15],[19].
1144 Henri Le Lion duc de Saxe équestre, l'écu au lion[15]
écu
Les couleurs sont hypothétiques[N. 4].
1146 Raoul Ier comte de Vermandois équestre, l'écu aux armes
écu
GD Picardie n°38. C'est donc le tout premier sceau équestre armorié français daté avec précision[10].
1150[20],[21],[22] Raimond-Bérenger IV comte de Barcelone
sceau
écu
écu de trois pals de Millau (1187) [1]
"quatre pals avec un rais d'escarboucle"[15],[23].L'écu de son neveu Raimond-Bérenger II de Provence ne porte que trois pals dès 1150 cf. supra. Raimond-Bérenger IV devait donc porter cet écu à quatre pals dès avant cette date.
1150 Raimond-Bérenger II marquis de Provence équestre, l'écu aux armes
écu
"trois pals"[15],[24]. Semble être une brisure du blasonu de son oncle Raimond-Bérenger IV de Barcelone, régent de Provence, qui devait donc porter l'écu aux quatre pals dès avant 1150, cf. 1157 infra.
1152 Guelf VI duc de Toscane
écu
frère de Henri X de Bavière. "un lion"[15],[25].
1155 Boucahrd sire de Guise sceau équestre, l'écu recouvre le cavalier
écu
"une aigle (entourée d'un rais d'escarboucle"[15]. GD Picardie n°369[26].[N. 5]
1156 Henri II duc d'Autriche équestre, l'écu aux armes
écu
"une aigle"[15],[23].
entre 1156 et 1163 Guillaume Plantagenêt comte de Poitou équestre, l'écu aux armes
écu
Fils de Geoffroy Plantagenêt, oncle de Richard Cœur de Lion. "Un lion"[15]. Sur un acte à Burghley[27]. Ou peut-être comme comte du Poitou :
écu du Poitou
1160 Guillaume de Garlande seigneur en Brie
sceau
d'... à l'escarboucle de... à la bordure denchée et contre-denchée de... et de...[28].[N. 6]
1162 Anselme de Candavène comte de Saint-Pol
sceau
écu
Sceau le plis intéressant de ce corpus : Dès 1141, une gerbe d'avoine apparaît dans le champs de l'écu d'Enguerrand de Candavène (1141-1150)
1177 et 1181 Philippe d'Alsace comte de Flandre sceauDA n°619
sceau
écu
Bien que les différents sceaux et contre-sceaux de Philippe d'Alsace représentent un lion soit rampant soit contourné[3], le blason au lion de Flandre n'a jamais été controversé, ce n'est pas le cas de celui de Richard Ier. cf. 1195 infra[29].
sceau et contre-sceau (1181)
1177 Bouchard seigneur de Montmorency
sceau
écu
Desssin[30] identique au sceau de Bouchard Ier de Marly en 1224, DA n°2714, Rietstap
1178 Conon de Nesles comte de Soissons équestre, l'écu aux armes
écu
Armes en 1215 : Raoul de Nesles, DA n°1011
1180 Henri Ier comte de Champagne équestre
écu
DA n°569[N. 7], Douët d'Arcq précise "Il semble qu'on peut voir sur le bouclier un rais d'escarboucle", dans ce cas comme sur celui de son père Thibaud IV; cf. supra 1138.
1181 Henri II comte de Champagne équestre, l'écu aux armes
écu
DA n°568[N. 8] précisé bande aux cotices potencées et contre-potencées[N. 9].
1189 Mathieu III comte de Beaumont-sur-Oise
sceau
écu
alias de gueules, au lion[31] d'argent, Rietstap.
1189 Jean sans Terre comte de Mortain
sceau
écu
GD Normandie n°48: sceau équestre, l'écu aux armes. Les couleurs sont hypothétiques et uniquement déduites de celles de son frère Richard en 1198. cf infra.
1190 Raoul Ier de Coucy seigneur de Coucy équestre, l'écu aux armes
écu
DA n°1913*[N. 10], Rietstap.
1191 comte d'Eu écu aux armes
écu
GD Normandie n°36, il est bien précisé "burelé de huit pièces, au label de cinq pendants". Ses successeurs porteront un "burelé de dix pièces, au label de trois pendants".
1192 Ansel de Garlande seigneur en Brie équestre, l'écu aux armes
écu
DA n°2259,2260, Wijnbergen n°32.
1193 Baudouin V comte de Hainaut
contre-sceau
écu
contre-sceau, écu aux armes[31],[32].
1194 Gérard seigneur de Saint-Aubert équestre, l'écu aux armes
écu
Sur le sceau, l'écu porte une bordure[N. 11].
1194 Geoffroy III comte du Perche équestre, l'écu aux armes
écu
Un sceau datant de 1194 montre deux chevrons[N. 12] (GD Normandie 51)[33].
1197 Le même Geoffroy comte du Perche équestre, l'écu aux armes
écu
Cet autre sceau de 1197 montre trois chevrons (DA n°999).
1195 Richard Coeur de Lion comte d'Anjou et du Maine (1183), duc de Normandie (1189), duc d'Aquitaine et comte de Poitiers (1189-1196 et 1198-1199)
sceau

sceau
écu
ou peut-être
écu
ou encore
écu
DA 1007. Le blasonnement exact de l'écu du premier grand sceau de Richard Ier a été remis en cause par les héraldistes britanniques entre 1950 et 1980 [N. 13]. Les deux lions affrontés semblent pourtant la seule manière de se faire reconnaître des deux côtés de l'écu concave où de plus, on note la persistance du umbo sur laquelle le lion semble poser sa patte.
écu possible
Pourtant, au regard du sceau de Philippe d'Alsace, comte de Flandre, la thèse du lion rampant semble judicieuse; cf. supra. Mais la sigillographie seule ne permet pas de résoudre la question des couleurs[N. 14].
écu de Poitiers autre écu possible
1198 Le même Richard
sceau
écu
DA n°1008 "bouclier à trois lions rampants". En fait trois léopards[N. 15].
1196 Jean comte de Corbeil
sceau
Sceau équestre, l'écu à la bordure besantée. Le sceau est intéressant surtout car c'est le dernier en France représentant un casque à nasal. La bordure n'est peut être qu'un renforcement du bouclier[28].
1197 Baudouin VIII comte de Flandre et de Hainaut
sceau
écu
A partir de cette date le visage du chevalier est entièrement couvert par son heaume, le blason sur l'écu devient indispensable comme signe de reconnaissance. C'est le début de l'âge d'or du blason au XIIIe siècle.
1197 Roger de Meulan vicomte d'Évreux
sceau
écu
DA n°2834. Dès 1195, son 1er sceau non héraldique porte un lion au naturel passant contourné (DA n°2833)[34].[N. 16] Les couleurs sont hypothétiques mais plausibles puisque identiques à celle de son beau-frère Simon III de Montfort, comte d'Évreux, ainsi qu'aux anciennes armes de la ville de Bernay dans l'Eure.
1198 Thibaut III comte de Champagne
sceau
écu
DA n°570. Bel exemple de brisure avec son frère et prédécesseur Henri II. cf. 1181 supra.
1199 Gautier II d'Avesnes seigneur d'Avesnes de Leuze, de Condé et de Guise
sceau
écu
Son père et son frère tous deux prénommés Jacques ont peut être porté cet écu dès 1188[N. 17].
1199 Guilllaume comte de Clermont
contre-sceau
écu
DA n°383*. Ses descendants prendront le titre de dauphin d'Auvergne et l'apposeront à leur écu.

Notes et références

Notes

  1. Les deux sceaux sont employés ensemble, comme sceau et contre-sceau;le comte est représnté une fois comme comte de Meulan, brandissant une épée, et l'autre fois comme conte de Worcester, tenant sa bannière.
  2. soit "d'... à l'escarboucle à... rais de..." mais Douët d'Arcq ne l'a pas noté comme pour celui de son fils Henri Ier de Champagne; cf. infra 1180 Henri Ier.
  3. Ou orné d'une escarboucle à seize rais ce qui est rare en héraldique. Peut-on déjà parler d'armes ?
  4. EarlyBlazon lui donne "d'or au lion de sable armé et lamapssé de gueules" mais les armes de la ville de Brunswick où Henri fit construire son célèbre lion de bronze sont "d'argent au lion de de gueules armé de sable".
  5. Le sceau de Picardie n°369 de G. Demay n'indique aucune armoirie. Nous en restons à l'aigle qui ne peut pas être entourée d'un seul rais d'escarboucle sans autre précision.
  6. sans doute proto-héraldique et non héréditaire; cf. infra 1192 Ansel de Garlande
  7. Douët d'Arcq attribue par erreur ce sceau à Henri II
  8. entre 1180 et 1197
  9. son frère et successeur Thibaud III ne porte que deux cotices simples en 1198; cf. supra 1198.
  10. * = contre-sceau
  11. source du blason de la ville de Saint-Aubert : Cambrésis terre d'histoire
  12. G. Demay affirme sur la datation du sceau de son père Rotrou III en 1190 que ce dernier ne portait pas d'écu aux armes (DA n°999) mais Rotrou et Geoffroy ayant participé tous les deux à la 3e croisade, cet écu de Geoffroy pourrait être une brisure des trois chevrons de son père. C'est aussi le point de vue du site EarlyBlazon
  13. voir Armorial of Plantagenet sur en.wikipedia
  14. voir la page consacrée sur earlyBlazon.com
  15. Le sceau montre clairement les têtes des lions regardant l'observateur. Les anglais nommèrent très tôt ces lions "rampant guardant" ou regardant car les français se gaussèrent rapidement des ces lions bâtards au sens latin du terme Léo pard.
  16. DL Galbreath souligne que le DA n°2304 attribué à Jean de Meulan, appendu à une donation aux hospitaliers des Essarts à La-Queue-en-Brie est issu de la même matrice que le DA n°2834 et que son attribution doit être corrigée.
  17. G. Demay affirme sur la seule datation du sceau de son père Jacques Ier en 1186 que ce dernier ne portait pas d'écu aux armes. Mais les deux Jacques ayant participé respectivement aux 3e et 4e croisades, cet écu pourrait avoir été porté dès 1188. C'est aussi le point de vue du site earlyblazon.

Références

  1. a et b D.L. Galbreath et 1942, p. 25-27
  2. a et b Germain Demay 1877
  3. a et b Germain Demay 1880
  4. a et b Douët d'Arcq 1863
  5. a et b Germain Demay 1875
  6. a et b Germain Demay 1881
  7. a et b Wijnbergen 1270-1285
  8. a et b JB Rietsap 1864-1887
  9. G. Demay 1880, p. 111
  10. a et b M. Pastoureau 2008, p. 31
  11. Cette date a été avancée par G. White, p. 62
  12. G. Demay 1880, p. 113
  13. D.L. Galbreath 1942, p. 25
  14. British Museum n°5566 et 5568 1892
  15. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j D.L. Galbreath 1942, p. 26
  16. Archives héraldiques suisses 1925, 8
  17. G. Demay 1880, p. 112
  18. G. Demay 1880, p. 140-141
  19. Round 1893, p. 436
  20. Attached to a document dated 2th september, 1150; Riquer, Martí de. "Heràldica catalana des de l'any 1150 al 1550"; Vol. I, pàg. 112
  21. Archives de la region de Provence-Alpes-Côte d'Azur et du département des Bouches-du-Rhone / Archives départementales des Bouches-du-Rhone; Blancard pl.2 nº1
  22. More references here
  23. a et b Mitis 1912, p. 340
  24. AD 13 pl.2 1860
  25. Archives héraldiques suisses 1916, 57
  26. G. Demay 1875, p. 41
  27. Senton 1930, IV
  28. a et b G. Demay 1880, p. 138
  29. Succa 1977
  30. G. Demay et p:129 1880
  31. a et b G. Demay 1880, p. 191
  32. Sceaux Belges 1993
  33. Germain Demay 1881
  34. D.L. Galbreath 1942, p. 34

Bibliographie

Sources consultées

  • Michel Pastoureau, Traité d'héraldique : grands manuels Picard, Paris, 2008, 5e éd., 407 p. (ISBN 978-2-7084-0807-4) 
  • D. L. Galbreath, Manuel du Blason, Lausanne, 1942 
  • Germain Demay, Le Blason d’après les sceaux du Moyen-Âge, Paris, Société nationale des Antiquaires de France, 1877 [lire en ligne] 
  • Germain Demay, Le costume au moyen âge, d'après les sceaux, Paris, D. Dumoulin, 1880, ill. ; in-4, 496 p. (notice BNF no FRBNF34088060c) [lire en ligne] 
  • Germain Demay, Inventaire des sceaux de la Picardie : recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Somme, de l'Oise et de l'Aisne, Paris, Imprimerie nationale, 1875, 390 p. (notice BNF no FRBNF303214599) [lire en ligne] 
  • Germain Demay, Inventaire des sceaux de la Normandie : recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Seine Inférieure, du Calvados, de l'Eure, de la Manche et de l'Orne, Paris, Imprimerie nationale, 1881, 407 p. (notice BNF no FRBNF303214626) [lire en ligne] 
  • (DA numero) Louis Douët d'Arcq, Inventaire de la collection de sceaux, t. 1, Paris, Archives de l'Empire, 1863-1868 [lire en ligne] 
  • L'armorial Wijnbergen (1270-1285), Lausanne, Archives héraldiques suisses, 1951-1954 [lire en ligne] 
  • Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, précédé d'un dictionnaire des termes du blason, t. 1 & 2, Londres, G.B. van Goor zonen, 1864-1887 [lire en ligne] 
  • Les sceaux des princes territoriaux Belges du Xème siècle à 1482, t. 1 & 2, Bruxelles, 1993 [lire en ligne] 

Sources citées

  • (en) Birsh, Catalogue of seals in the Department of Manuscritps in the British Museum, t. II, London, 1892 
  • (en) G. White, Transactions of the Royal historical Sociey : 4th series, vol. XIII, p. p.62 
  • (en) Birsh, Catalogue of seals in the Department of Manuscritps in the British Museum, t. II, London, 1892 
  • Archives héraldiques suisses, 1916, 1925 
  • (en) Round, Archeological journal : The introduction of armorail bearings into England, 1893, p. 43 ss. 
  • Blancart, Iconographie des sceaux et bulles ... des archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille,Paris, 1860, p. pl. 2. 
  • (de) Mitis, Studien zum älteren oesterreichischen Urkundenwesen, Wien, 1912, p. 340 
  • (en) Stenton, Facsimiles of early charters from Northamptonshire collections : Northants' Record Society IV, 1930 
  • (nl) Micheline Comblen-Sonkes et Christiane Van Den Bergen-Pantens, Memoriën van Anthonio de Succa, Brussel, 1977 [lire en ligne] 


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