- Les femmes ont de la chance
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Les femmes ont de la chance est une nouvelle d’Anton Tchekhov.
Sommaire
Historique
Les femmes ont de la chance fut initialement publié dans la revue russe Les Éclats, numéro 37 du 14 septembre 1885, signée Antocha Tchékhonté[1]. Autre traduction Le Bonheur féminin[2]
Résumé
A l’enterrement du lieutenant général Zapoupyrine, il y a une telle foule que seules les femmes sont autorisées à s’approcher. Les fonctionnaires Probkine et Svistkov qui voient leurs épouses passer le cordon de police s’en émeuvent auprès du commissaire adjoint, ce dernier leur rétorque qu’avec les femmes il est certain qu’il n’y aura ni scandale ni bousculade.
Probkine part alors dans une longue diatribe sur les avantages du sexe faible, parvenir à un rang sans travailler mais juste en se mariant, pas de châtiment corporel, pas de service militaire.
Il raconte pour conclure une histoire qui lui est arrivé il y a un an, le général responsable de son service, conseiller secret dans la table des rangs le prend avec lui pendant ses congés pour faire son courrier, le général est célibataire et c’est une intendante, Véra, qui régente sa maison. Quand il voit Véra insulter le général, ni une ni deux, il la gifle. Pas de chance, au lieu de le remercier le général lui passe un savon.
Notes et références
- ISBN 978 2 296 11343 5) Voir Dictionnaire Tchekhov, Page 95, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
- ISBN 978 2 296 11343 5) Voir Dictionnaire Tchekhov, Page 36, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
Édition française
- Les Femmes ont de la chance’’', traduit par Édouard Parayre, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1967 (ISBN 978 2 07 0105 49 6).
Catégories :- Nouvelle d'Anton Tchekhov
- Nouvelle parue en 1885
- Nouvelle publiée dans Les Éclats
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