Fausse bannière

Fausse bannière

Les opérations sous fausse bannière (ou « sous faux pavillon », parfois désignées sous l'anglicisme false flag)[1] sont des actions menées avec utilisation des marques de reconnaissance de l'ennemi, dans le cadre d'opérations spéciales.

Sommaire

Leur statut

La ruse de guerre, y compris sous la forme du déguisement, a toujours fait partie de l'arsenal du guerrier ou du soldat. La Convention de La Haye de 1907 reconnaissait ce fait dans son article 23 qui interdisait « l'usage impropre » de l'uniforme ennemi. Un amendement fut rédigé après la Seconde Guerre mondiale afin de lever l'ambiguïté de cette formule, précisant que c'est l'usage des armes sous uniforme ennemi qui est visé.

Cas célèbres

  • Les Protocoles des Sages de Sion, censés être un plan de conquête des juifs, est un faux document fabriqué par la police secrète du tsar Nicolas II, et dont la rédaction fut prêtée à des juifs. Il fut repris par des antisémites européens à des fins de propagande. Des éléments de ce document sont encore utilisés pour justifier l'existence d'un complot juif qu'il faut combattre.
  • Le 11 septembre 1937, le groupement CSAR (plus connu sous le sobriquet de La Cagoule) provoque un attentat à la bombe contre la Confédération générale du patronat français (4, rue de Presbourg à Paris) et l'Union des industries et métiers de la métallurgie, pour faire accuser les communistes. Deux agents de police, en faction devant les bâtiments, sont tués par l'explosion. L'enquête permet d'établir la responsabilité des membres de la cagoule clermontoise.
  • Le meurtre de plusieurs milliers de Polonais (dit « massacre de Katyń ») — essentiellement des personnalités, des officiers mais aussi des étudiants (officiers de réserve), des médecins et des membres des élites polonaises réputées hostiles à l’idéologie communiste — par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD) au printemps 1940 dans une forêt russe près de Smolensk, qui rend l’Allemagne nazie responsable.
  • En septembre 1942, trois détachements du Long Range Desert Group, commandés par le colonel David Stirling, avaient investi Tobrouk dans le but d'enlever Erwin Rommel, le commandant du Deutsches Afrika Korps[2]. L'opération échoua du fait que, la veille, un membre du détachement sous uniforme ennemi chargé de l'enlèvement, un israélite d'origine allemande, avait été reconnu par un officier de l'Afrika Korps. Arrêté et interrogé, il avait livré suffisamment d'informations pour que l'opération tourne au fiasco pour les Britanniques. Bien qu'ils aient combattu sous uniforme allemand, les captifs furent traités en prisonniers de guerre[3].
  • Le 13 octobre 1944, des rangers de l'OSS du général Donovan s'étaient emparés des postes fortifiés contrôlant le couloir d'Aix-la-Chapelle en combattant sous l'uniforme allemand[4]. C'est, selon Otto Skorzeny, ce qui donna l'idée à Hitler de l'opération Greif.
  • L'une des plus célèbres opérations false flag, baptisée Greif (Griffon), partie de l'offensive Rundstedt du 16 décembre 1944, dite bataille des Ardennes, était dirigée par le colonel SS Otto Skorzeny. Montées sur Jeeps, huit équipes de quatre hommes chacune s'étaient infiltrées loin derrière les lignes américaines et avaient semé le désordre, et parfois la panique, par leurs fausses indications et informations. Pour avoir commandé cette opération commando, Otto Skorzeny fut poursuivi, ainsi que ses hommes, pour crime de guerre et subit un procès à Dachau (il fut acquitté, les ordres donnés ayant été de quitter l'uniforme américain avant d'engager tout combat)[3].
  • L’opération Northwoods en 1962, qui consistait notamment en l’organisation d’une série d’attentats contre les États-Unis par l’état-major interarmées américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain. Le but était de justifier aux yeux de l’opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d’obtenir l’appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales. L’opération Northwoods, révélée par des documents officiels déclassifiés en 1997, ne fut jamais mise en œuvre car le président J.F. Kennedy s’y opposa.
  • Entre le 2 août et le 4 août 1964, deux destroyers américains, le USS Maddox et le USS Turner Joy, qui se sont aventurés dans les eaux territoriales du Nord-Viêt Nam, essuient des tirs de la part des Nord-Vietnamiens. Il est établi aujourd'hui que les Incidents du Golfe de Tonkin ont été instrumentalisés pour permettre une escalade de l'intervention dans le conflit indochinois. Les Papiers du Pentagone ont révélé que le texte de la Résolution a été rédigé par l'administration Johnson plusieurs mois avant que lesdits « incidents » aient eu lieu[réf. nécessaire]. Ces « incidents » ont donc fourni au président Johnson le prétexte pour faire voter le texte de la Résolution par le Congrès, ce qui lui donna le pouvoir de déclarer la guerre sans avoir à demander au préalable, comme l'exige la Constitution, l'autorisation du Congrès
  • Le 27 décembre 1979, lors de l'opération Storm-333, des Spetsnaz ont débarqué de 2 Antonov à l'aéroport international de Kaboul revêtus d'uniformes afghans et guidé par les agents du KGB ont nettoyé le palais présidentiel, assassinant le président Hafizullah Amin. Une douzaine de Soviétiques y perdirent la vie dont le colonel Borianov, responsable de l'opération, tué par un tir ami car confondu avec un garde afghan[5].

Autres cas

  • L’incident de Mukden en 1931, planifié par les Japonais qui accusèrent les Chinois d’avoir perpétré l’attentat, donnant ainsi le prétexte à l’invasion immédiate du sud de la Mandchourie par l'armée impériale japonaise.
  • L’incident de Gleiwitz en 1939, monté de toutes pièces par les Allemands pour servir de prétexte à l’invasion de la Pologne par l'Allemagne.
  • Le 26 novembre 1939: l'artillerie soviétique bombarda les environs du village russe de Mainila, proche de la frontière, tuant quatre soldats de l'armée rouge, en accusant l'artillerie finlandaise et exigeant des excuses auprès de la Finlande. Cette dernière ne céda pas, et l'URSS résilia deux jours plus tard le pacte de non-agression de 1932 entre les deux pays, puis franchit la frontière le 30 novembre, entamant sans sérieux préparatifs militaires ce qui devint la Guerre d'Hiver.
  • La Main rouge est une organisation terroriste des années 50-60 servant de paravent aux services secrets français pour mener des actions hors du cadre légal commun pour combattre les réseaux de soutien au FLN.
  • Lors de l'opération Susannah en 1954 (connue aussi sous le nom d'affaire Lavon), un réseau israélien constitué de 13 juifs égyptiens commit une série d'attentats à la bombe incendiaire contre des édifices britanniques et américains au Caire et à Alexandrie. L'objectif était que ces actes de terrorisme soient attribués aux nationalistes égyptiens afin d'empêcher tout rapprochement entre l'Égypte nassérienne et les puissances anglo-saxonnes.
  • Les 6 et 7 septembre 1955, Grecs, Arméniens et Juifs de Turquie subissent deux interminables nuits de cristal : au total 5 317 édifices appartenant aux communautés juive, arménienne et grecque dont 4 214 commerces, 1 004 maisons, 73 églises, une synagogue, deux monastères et 26 écoles sont mis à sac et incendiés. L’élément déclencheur : un attentat contre le domicile d’Atatürk à Thessalonique imputé par le régime d’Ankara aux communistes turcs. De l’aveu même du général de corps d’armée Fatih Güllapoglu, c’est le « département de guerre spéciale » (Özel Harp Dairesi, antenne de la CIA) qui planifia cet attentat impliquant par ailleurs deux attachés du consulat turc arrêtés en flagrant délit par la police grecque.
  • Le prétendu groupe sioniste « Mouvement d'action et défense Masada », qui a pratiqué un attentat à la bombe contre une librairie parisienne de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) en octobre 1972, et deux autres attentats à Cannes et à Nice en 1988 était en réalité un groupe néo-nazi, dont les membres ont été arrêtés en 1989, qui cherchaient à attiser la haine en France entre juifs et musulmans de France en utilisant ces attentats false flag[6].
  • En 1983, en France la supercherie politico littéraire " Caton " , présenté comme écrivain de droite, alors qu'il s'agissait d'une opération montée par la présidence socialiste sous François Mitterrand[réf. nécessaire]. Les ouvrages signés "Caton" étaient en réalité écrits par le journaliste - alors de gauche - André Bercoff et promus à la radio par François Hollande, membre du cabinet d'un ministre du gouvernement de gauche.
  • L'attentat du 8 mai 2002 à Karachi commis par des islamistes, et initialement attribué à Al Qaida, a peut-être été initié et organisé par l'ISI, les services secrets pakistanais[7].

Les années de plomb italiennes

Des attentats sous fausse bannière auraient eu lieu en Italie lors des années de plomb. Ainsi, l'attentat de la gare de Bologne en 1980, d'abord attribué aux Brigades rouges, fut finalement attribué à des néonazis sous la protection de membres des services secrets italiens. L'attentat de décembre 1969 de la Piazza Fontana, pour lequel furent d'abord soupçonnés des anarchistes, aurait été perpétré par des militants néofascistes, avec l'intervention d'un officier américain, d'un officier de l'OTAN et d'un coordinateur local de la CIA.

Le terroriste néo-fasciste Vincenzo Vinciguerra déclara dans les années 1980 au juge Felice Casson que l'attentat de la Piazza Fontana, qui marque le début des années de plomb italiennes, visait à pousser l'État italien à déclarer l'état d'urgence et à instaurer ainsi un régime autoritaire en Italie. On découvrit plus tard, chez Licio Gelli, le grand-maître de la loge maçonnique Propaganda Due, un « plan de renaissance démocratique » qui déterminait les étapes de cette conspiration fasciste. Un brouillon de rapport parlementaire italien de 2000, contesté par divers partis, dit qu’il s’agissait d’une opération false flag menée par des terroristes d’extrême droite[8].

Certaines interprétations historiques qui demeurent controversées attribuent un rôle dans ces attentats à des membres du réseau paramilitaire Gladio, la branche italienne stay-behind de l'OTAN, qui auraient visé à empêcher, dans le cadre d'une « stratégie de la tension », le compromis historique entre la Démocratie chrétienne (DC) et le Parti communiste italien (PCI). Cette thèse n'a cependant fait l'objet d'aucune confirmation judiciaire.

Espionnage

En matière d'espionnage il existe des recrutements sous fausse bannière qui consistent à recruter des agents en les trompant sur la puissance qu'ils sont amenés à servir[9].

Assertions non démontrées

  • Le 18 juillet 64, Néron accusé par certains d'avoir déclenché le grand incendie de Rome accuse lui-même les chrétiens, alors considérés comme de dangereux illuminés sectaires, d'en être les coupables. Cette opération mènera à la persécution des chrétiens sous l'Empire romain.
  • L'incendie du Reichstag en 1933 par un communiste isolé Marinus Van der Lubbe, fut longtemps sujet à controverse, car prétexte immédiat à l'écrasement du Parti communiste d'Allemagne par les nazis tout fraîchement au pouvoir, qui profitent pour effrayer et influencer le peuple allemand afin de suspendre, via une législation d'exception, les libertés individuelles et politiques. Si la cause réelle de l'incendie n'est pas clairement déterminée, cela n'empêche pas la parfaite réussite de la manœuvre politique. En marge de la version officielle, on suspecte donc autant un complot des nazis, lesquels pourraient avoir eux-mêmes contribué à l'incendie. L'hypothèse est d'autant plus probable, qu'arrivé à Berlin depuis plusieurs jours, Van der Lubbe a essayé plusieurs fois d'incendier des bureaux de poste et commissariats sans y parvenir, alors que le Reichstag a été ravagé par les flammes.
  • Une thèse très controversée affirme que Franklin Delano Roosevelt était au courant de l'attaque sur Pearl Harbor et qu'il laissa faire pour provoquer l'indignation de la population et faire entrer son pays dans la guerre. Cette théorie fut d'abord avancée par les officiers déchus par les commissions d'enquête : Husband Kimmel se dit victime d'un complot visant à cacher la responsabilité du gouvernement et de l'état-major. Il diffusa cette idée dans ses Mémoires parus en 1955. Les faits cités à l'appui de cette théorie sont notamment l'absence supposée providentielle des trois porte-avions en manœuvre le jour de l'attaque et qui n'ont pas été touchés, le fait que les nombreux messages d'avertissement aient été ignorés et enfin les négligences locales. Certains soupçonnent le gouvernement américain d'avoir tout fait pour ne recevoir la déclaration de guerre japonaise qu'après le bombardement. Les partisans de cette thèse sont convaincus que Roosevelt a poussé les Japonais à la guerre tout au long des années 1930 afin de convaincre le peuple américain majoritairement isolationniste et partisans de la neutralité[10].
  • L'attentat de l'Observatoire, en octobre 1959 : François Mitterrand a été suspecté d'avoir simulé un attentat contre lui-même, Robert Pesquet affirmera plus tard en être l'instigateur et avoir manipulé Mitterrand.
  • L'Incident du USS_Liberty, une attaque opérée par l'armée israélienne pendant la Guerre des Six Jours, le 8 juin 1967 sur l'USS Liberty, navire de l'US Navy destiné à collecter de l'information et équipé par la NSA. Dans le reportage de la BBC Dead in the Water, il est suggéré qu'il s’agissait de simuler une agression égyptienne qui aurait justifié l’entrée en guerre des États-Unis au côté d’Israël.
  • Selon plusieurs transfuges du FSB (successeur du KGB) dont Alexandre Litvinenko, la série d'attentats dans la région de Moscou qui, pendant deux semaines en 1999, détruisit plusieurs immeubles d’habitation faisant près de 300 morts, serait une opération false flag qui aurait été organisée par les services secrets russes (soupçons augmentés par l'interception d'un attentat par la police locale de Riazan, tentative d'attentat revendiquée ensuite comme exercice par le FSB). Opération false flag ou non, cette vague d'attentats attribués aux Tchétchènes traumatisa la population russe et servit de prétexte au déclenchement de la seconde guerre de Tchétchénie.
  • Une part importante de la communauté des personnes mettant en doute la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 émettent l'hypothèse que ces événements n'auraient pu se produire sans des complicités aux USA, impliquées soit comme organisateurs actifs, soit comme observateurs délibérément négligents, et par la suite, ayant contribué à la désinformation ou l'obstruction aux tentatives d'enquêtes afin soutenir la version des dix-neuf pirates islamistes. Les attentats ayant entraîné le soutien du Congrés et de la majeure partie de la population au déclenchement de deux conflits, les soupçons se portent sur une collusion entre services secrets US et étrangers, le complexe militaro industriel et l'administration américaine aux fins de contrôler géopolitiquement le Moyen-Orient et ses ressources stratégiques, tirer de considérables profits financiers et politiques des invasions armées en Irak et Afghanistan et , accessoirement, justifier la loi USA Patriot Act restreignant les libertés individuelles au motif de la guerre au terrorisme. Ces hypothèses sont généralement qualifiées par le tenants de la version officielle de théories du complot. Annoncée par la Maison Blanche le 1er mai 2011, soit près de dix ans après la tragédie, l'exécution sommaire au Pakistan par un commando des US Navy SEALs de Ousama Ben Laden, cerveau désigné des attentats (et dont le corps aurait été aussitôt enseveli en mer) plutôt que d'éteindre la polémique, semble au contraire l'avoir relancée[11]. Le 6 août, tous les membres du commando 6 des Navy Seals meurent dans la chute de leur hélicoptère[12].

Notes et références

  1. « L'expression « sous faux pavillon » (ou sous fausse bannière) remonte au temps de la marine de guerre : naviguer sous faux pavillon était une stratégie éprouvée permettant de tromper l'ennemi. Par analogie, la culpabilité des actions terroristes sous faux pavillon est rejetée sur un ennemi extérieur. », commentaire de Pierre-Henri Bunel traducteur de David Ray Griffin, 11 Septembre, la Faillite des médias, une conspiration du silence, Éditions Demi-Lune, 2007, p. 176
  2. Basil Liddell Hart, Histoire de la Seconde guerre Mondiale, 1976, Fayard, ISBN 2-213-00100-6
  3. a et b Otto Skorzeny, La Guerre inconnue, 1975, Albin Michel, ISBN 2-226-00150-6
  4. (de) Werner Brockdorff, Die Geheimkommandos des Zweiten Weltkrieges, Verlag Welsemühl, 1967
  5. Renseignements & opérations spéciales, t. 1, Paris, 1999 (ISBN 2738477305) [lire en ligne (page consultée le 25 septembre 2011)], p. 172 
  6. (en) Profil : Masada, Action and Defense Movement
  7. Le Canard enchaîné, 1er juillet 2009.
  8. (en) « US supported anti-left terror in Italy », The Guardian, 24 juin 2000
  9. (en) Theodore Shackley (avec Richard A. Finney), Spymaster: My Life in the CIA, Brassey's, 2005, p. 9-10.
  10. Lire à ce sujet « Roosevelt est-il coupable ? », dans A. Kaspi, Roosevelt, 1997, pp.435-442
  11. « Réflexions sur l'annonce officielle de la mort d'Oussama Ben Laden,Réseau Voltaire, 4 mai 2011
  12. « Comment les hommes d'Al-Qaida sont arrivés au pouvoir en Libye, Réseau Voltaire, 6 septembre 2011

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