Charles François d'Aviau du Bois de Sanzay

Charles François d'Aviau du Bois de Sanzay
Charles François d’Aviau du Bois de Sanzay
Image illustrative de l'article Charles François d'Aviau du Bois de Sanzay
Monseigneur d'Aviau
Biographie
Ordination
sacerdotale
20 septembre 1760
Évêque de l'Église catholique
Consécration
épiscopale
3 janvier 1790
Dernier titre ou fonction Archevêque de Bordeaux
Archevêque de Vienne
Du 1er mars 1790 au 1801
link= Jean-Georges Lefranc de Pompignan Jean-Georges Lefranc de Pompignan
Archevêché supprimé Archevêché supprimé  link=Archevêché supprimé
Archevêque de Bordeaux
Du 1802 au 11 juillet 1826
Dominique Lacombe Dominique Lacombe
Jean Lefebvre de Cheverus Jean Lefebvre de Cheverus  link=Jean Lefebvre de Cheverus

Blason

Charles François d’Aviau du Bois de Sanzay est un archevêque français né le 7 août 1736 et décédé le 11 juillet 1826 à Bordeaux. Il effectue son séminaire à Angers puis occupe un premier poste à Poitiers.

Après sa consécration le 3 janvier 1790 il est tout d’abord nommé archevêque de Vienne puis est nommé en 1802 à l’archevêché de Bordeaux.

Sommaire

Biographie

Enfance

Fils de M. le Comte et de Mme La Comtesse d’Aviau, Charles François naît le 7 août 1736 au Château du Bois de Sanzay. Il est l’ainé d’une fratrie de cinq enfants, suivi par Jean-Marie d’Aviau, qui sera colonel dans un régiment de cavalerie, de Xavier d’Aviau qui intégrera aussi l’armée, de Thérèse d’Aviau, qui mourra rapidement de maladie et enfin, de Victoire d’Aviau qui entrera au carmel de Poitier et en devint la prieure[A 1].

Lors de son baptême, il a pour parrain, son oncle, le Seigneur François d’Aviau, capitaine d’infanterie et pour marraine, sa tante, Louise-Marguerite d’Aviau[A 2].

Il se fait remarquer toute son enfance par sa sagesse et sa piété[A 3].

Mme La Comtesse d’Aviau tombe malade peu de temps après et meurt en 1745 alors que Charles François n’a que neuf ans.

La même année, M. d’Aviau décide donc d’envoyer Charles François en pension au Collège Henri-IV de La Flèche[A 4], célèbre collège jésuite fondé par le roi Henri IV. Là, il se lie rapidement d’amitié avec un enfant ayant intégré le collège la même année, le jeune Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord[A 5] qui deviendra quelques années plus tard cardinal. Il poursuit essentiellement, à La Flèche, des cours de rhétorique et obtient sept prix d’honneurs. C’est aussi lors de sa scolarité à La Flèche qu’il fait sa première communion[A 6].

En novembre 1751, Charles François part au collège royal de Poitiers, tenu aussi par les jésuites, pour y faire sa philosophie et ses mathématiques[A 7]. Il se fait ainsi remarquer par ses solides connaissances et son intelligence lorsqu’il soutient ses thèses de philosophie et de mathématiques en juin 1753 ; il n’a alors que 17 ans.

Charles François rentre alors au château de Bois de Sansay. Son père espérant qu’il fasse carrière dans l’armée dépose, sans le prévenir, une requête auprès du Comte d’Argenson, Secrétaire d'État de la Guerre, pour qu’il passe en commission en vue de l’obtention d’un brevet de capitaine de cavalerie[A 8]. Lorsqu’il apprend la nouvelle, Charles François annonce à son père qu’il souhaite embrasser une carrière ecclésiastique. Son père et son oncle et parrain, colonel de cavalerie au régiment du Luxembourg tentent de le convaincre, mais sans succès. Il ne fut soutenu dans son projet de servir Dieu que par un de ses oncles, Monsieur l’abbé Jacques d’Aviau de Relai, chanoine de Saint-Hilaire et ecclésiastique du diocèse de Poitiers[A 9]. Son père finit alors par céder et lui accorde sa permission.

C’est ainsi, en entrant au séminaire, que Charles François renonce à son droit d’ainesse au profit de son frère puiné.

Séminaire

À peine âgé de 18 ans, Charles François entre au séminaire d’Angers pour y poursuivre ses études de théologie. Au bout de six mois, le 10 mars 1754, il reçoit la tonsure[A 10] par Mgr de Vaugiraud, évêque d’Angers, et revêt la soutane et le surplis. Il franchit ainsi l’étape de l’année de propédeutique.

Lors de ses études au séminaire, il s’emploie à travailler la théologie et les Saintes Écritures et profite des intervalles entre ses cours pour apprendre l’hébreu. Ayant de bons résultats, il devient maître de conférence et a la charge de faire travailler ses camarades.

En 1758, à l’âge de 21 ans, il est envoyé à Nantes pour être promu au sous-diaconat. Un an plus tard, le 9 juin 1759[A 11], il est ordonné diacre à Angers par Mgr de Grasse, remplaçant Mgr de Vaugiraud, décédé peu de temps auparavant.

Enfin, le 20 septembre 1760[A 12], il est ordonné prêtre dans la chapelle du séminaire d’Angers par l’évêque, Mgr de Grasse.

Une fois prêtre, il ne quitte pas pour autant le séminaire d’Angers mais continue ses études pour obtenir des grades en théologie. Il étudie alors encore pendant six mois la théologie. S’en suit un « combat théologique » auquel de nombreuses personnes viennent assister. Lors de cette séance, il est questionné par des prêtres et des experts en théologie mais il tient bon et répond avec aplomb à toutes les questions[A 13]. Après la délibération du jury, il est officiellement proclamé, le 30 juin 1761[A 14] : Docteur de la faculté de théologie d’Angers. Il prête alors serment sur les Évangiles de « soutenir et de défendre de tout son pouvoir et de tout son crédit la foi catholique, qu’une coalition sacrilège et impie s’efforcerait d’ébranler de plus en plus dans le cœur des fidèles » [A 15].

Premier poste au diocèse de Poitiers

À la sortie du séminaire, M. l’abbé d’Aviau se fixe à Poitiers. Là il travaille à la prédication, à la direction de communautés et aux œuvres de charité. Il prend la direction du Carmel de Poitiers[A 16] et c’est ainsi qu’il y fait entrer sa sœur, Victoire d’Aviau. Il est aussi sollicité par les sœurs de la Sagesse et devient alors supérieur de leur établissement de Poitiers.

Il continue d’étudier dans ses temps libres, les Saintes Écritures et les auteurs et se met à écrire des ouvrages sur des sujets très divers. On y retrouve notamment : Mélanie et Lucette ou encore Les avantages de l’éducation religieuse. Par la suite, il devient chanoine du chapitre de Saint-Hilaire.

M. l’abbé d’Aviau ayant une réputation croissante, se voit proposer des postes par des évêques de régions avoisinantes. L’évêque de La Rochelle, Mgr de Crussol d’Uzès, lui propose le décanat de la cathédrale et Mgr de Rosset de Fleury lui propose le grand vicariat de la ville de Tours ; mais il les refuse. Il prend alors la charge de la direction du séminaire de Poitiers que lui confie son évêque. Mgr de Saint-Aulaire, très satisfait, de M. l’abbé d’Aviau, lui confie la mission de grand vicaire. M. l’abbé d’Aviau accompagne dès lors son évêque dans tous ses déplacements à travers le diocèse.

Le 10 mai 1774, le roi Louis XV meurt. Des instructions sont alors envoyées à tous les diocèses de France afin de faire célébrer un office requiem pour le repos de son âme. L’office a lieu le 30 juillet 1774 dans la cathédrale de Poitiers et c’est M. l’abbé d’Aviau qui a la charge de prononcer l’oraison funèbre[A 17].

M. l’abbé d’Aviau doit ensuite faire face à une menace hérétique de la part de M. l’abbé Briquet. En effet, le 13 juillet 1787[A 18], ce dernier soutint une thèse hérétique sur la « Volonté de Dieu et la prédestination de l’Homme ». L’évêque de Poitiers étant à ce moment à Paris pour une assemblée cléricale, M. l’abbé d’Aviau doit prendre les choses en main. Ainsi, après avoir demandé à M. l’abbé Briquet de se rétracter, ce qu’il refusa, il dut le destituer de ses fonctions ecclésiastiques.

Archevêché de Vienne (1790-1801)

En 1790, M. l’abbé d’Aviau est nommé au siège archiépiscopal de Vienne ; il succède alors à Mgr de Pompignan. Cela suscite un certain émoi en haut lieu dans la mesure où Mgr d’Aviau est passé d’un simple statut de chanoine à l’un des premiers sièges des Gaulles. Ainsi, le 14 décembre 1789[A 19], le pape Pie VI sanctionne sa nomination dans un consistoire à la veille des fêtes de Noël.

Le 3 janvier 1790, dans la chapelle du séminaire de Saint-Sulpice, le nonce de Mgr Dugnani, archevêque de Rhodes, consacre Mgr d’Aviau en compagnie de Mgr Asseline et Mgr de Coucy, respectivement évêque de Boulogne-sur-Mer et de La Rochelle. Mgr d’Aviau arrive à Vienne le 1er mars 1790 et prend son siège après une grande cérémonie.

Cathédrale Saint-Maurice de Vienne

À cette période, a lieu la Révolution française. Le 13 février 1790, la loi sur l’abolition des vœux monastiques est votée par la Constituante ce qui n’empêche pas Mgr d’Aviau de recevoir, un mois plus tard, les vœux de religieuses, et ce, sous le regard désapprobateur des agents de l’autorité[A 20]. Peu de temps après, le 12 juillet, est promulguée par l’Assemblée constituante, la Constitution civile du clergé. Rapidement, une minorité s’y oppose en rappelant, dans une lettre, la doctrine de l’Église à ce propos. Mgr d’Aviau est un des premiers à adhérer à ce propos en y apposant sa signature. Parmi ceux qui s’y opposent, on retrouve notamment : MM. de Boisgelin, Maury et de Cazalès. Le 11 novembre, Mgr d’Aviau publie une lettre pastorale intitulée : « Avertissement au clergé régulier et séculier ainsi qu’aux fidèles du diocèse de Vienne » [A 21]. Dans cette lettre, il dénonce le décret de l’Assemblée constituante comme étant : « une œuvre impie, hérétique et blasphématoire ».

Mgr d’Aviau doit faire face à de nombreuses attaques des révolutionnaires. Les églises du diocèse sont mises à sac et le palais archiépiscopal est attaqué. Lors de l’assemblée administrative du département de l’Isère, le 26 novembre, Mgr d’Aviau est accusé de « vouloir importer en France, les maximes ultramontaines ». Il est aussi accusé « d’avoir publié une brochure incendiaire, dans laquelle l'abus du texte sacré était combiné avec le mépris des lois et l'oubli criminel des devoirs du citoyen, dans laquelle l'esprit d'insurrection et de révolte était présenté sous une enveloppe mystique comme un moyen de salut et de sanctification, dans laquelle, enfin, un ministre du Dieu de paix, du Dieu qui, par sa mort, donna l'exemple de la soumission aux puissances, méconnaît la souveraineté nationale, organise l’émeute et foule au pied les décrets qui émanent de sa haute sagesse ». À l’issue de cette assemblée, Mgr d’Aviau est accusé de crime de lèse-nation et l’ensemble des églises du diocèse sont condamnées à être fermées. Le Comte de Boissy d’Anglas, député du Tiers aux États généraux dénonce à l’Assemblée nationale, l’archevêque comme étant un « perturbateur de l’ordre public ».

Le 29 novembre 1791, le Décret contre les prêtres réfractaires est voté et donne aux administrateurs locaux la possibilité de déporter les prêtres de leur domicile en cas de trouble. Mgr d’Aviau doit, dès lors, partir en exil[A 22] avec les autres prêtres refusant de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il arrive donc à Chambéry pendant l’hiver de la même année.

Après l’exécution de Louis XVI, le 21 janvier 1793, les différents royaumes d’Europe soutiennent les insurrections vendéenne et bretonne. Mgr d’Aviau décide de partir en Suisse pour ne pas rester dans un pays en guerre contre la France. Ne pouvant pas rentrer en France pendant la période de la Terreur, il va en Italie, non seulement dans le but d’y trouver un meilleur asile, mais aussi de plaider la cause des chrétiens persécutés en France.

En 1796, lors de la campagne d’Italie, le général Bonaparte conquiert l’Italie. Pendant cette même période, le calme est revenu en France. C’est ainsi que Mgr d’Aviau demande au pape Pie VI son agrément[B 1] pour retourner dans son diocèse de Vienne. Il quitte donc Rome au début du mois de mai 1797 pour arriver trois mois plus tard à destination.

Néanmoins, son retour en France ne se fait pas sans incidents. Traqué comme un « ennemi de la Constitution de l'an III », il est obligé de se cacher et change souvent de domicile[B 2]. Il trouvera refuge en particulier à Lyon.

En 1799, le général Bonaparte revient d’Égypte et prend le pouvoir. Le droit d’exercer le culte revient et les églises sont rendues aux prêtres qui se soumettent au gouvernement en place. Mgr d’Aviau conseille vivement aux ecclésiastiques de faire cet acte de soumission, ce que tous n’acceptent pas[B 3] en répondant par le vers de Virgile : « Timeo Danaos et dona ferentes » (« Je crains les Grecs, même lorsqu'ils apportent des cadeaux »).

Mgr d’Aviau travaille beaucoup à la réédification de son diocèse et des institutions mises à bas durant la Révolution. Ainsi, en novembre 1800, un collège est ouvert sous son impulsion à Annonay. Ce collège compte dès la première année une cinquantaine d’élèves puis, trois ans plus tard, plus de 140[B 4]. Au vu de l’affluence, le pensionnat du collège s’installe dans le couvent des Cordeliers.

Le 17 janvier 1801[B 5], à l’occasion de l’entrée dans le XIX, il publie un mandement à l’attention des fidèles du diocèse dans lequel il dénonce la philosophie des Lumières et les nombreux méfaits accomplis les années précédentes.

En 1802, Mgr d’Aviau est désigné pour reprendre le siège archiépiscopal de Bordeaux, en Guyenne, en remplacement de Mgr de Cicé. Cette décision est prise par le Premier Consul et Joseph Fouché, alors ministre de la Police [B 6]. En apprenant sa nomination au siège archiépiscopal de Bordeaux, Mgr d’Aviau, hésite à accepter une telle responsabilité, aux vues de son âge (66 ans), de la distance avec son poste actuel à Vienne et de l’ampleur de la tâche. Cependant, M. l’abbé Cartal, son ancien vicaire général de Vienne parvient à le convaincre. Mgr d’Aviau informe alors, dans une lettre, le Conseiller d’État, M. Portalis, qu’il consent à accepter cette responsabilité[B 7].

Archevêché de Bordeaux (1802-1826)

Après un passage à Paris et au Carmel de Poitiers, Mgr d’Aviau arrive à Bordeaux un soir de juillet 1802[B 8].

La basilique de Saint-André étant inutilisable au moment de son arrivée à cause des importantes dégradations survenues pendant la Révolution, c’est l’église Notre-Dame, située à proximité, qui fait office de cathédrale[B 9], le temps que les réparations les plus urgentes soient réalisées à Saint-André.

Eglise Notre-Dame de Bordeaux

L’archevêque de Bordeaux, entreprend la reconstruction de l’archidiocèse, tant matériel, avec la remise en état des nombreux lieux de cultes délabrés qu’humain et spirituel avec la réintégration des prêtres jureurs désireux de se réconcilier avec l’Église, sous réserve d’un acte d’adhésion de leur part. S’en suit une lutte entre Mgr d’Aviau et le préfet de la Gironde, Dieudonné Dubois[B 10], ce dernier trouvant inadmissible que les prêtres jureurs ne soient pas réintégrés d’office. Fatigués des nombreuses entraves qu’il rencontre successivement, il envisage de démissionner mais les évêques des alentours s’emploient à le détourner de ce projet. Voyant que les pourparlers avec le préfet ne mènent à rien, Mgr d’Aviau décide de s’adresser, dans une lettre, au Premier Consul en personne. Peu de temps après, le préfet de la Gironde est remplacé par Charles-François Delacroix, nommé le 23 avril 1803.

Le 2 décembre 1804, Napoléon Bonaparte se fait sacrer empereur des français sous le titre de Napoléon Ier. À l’annonce du sacre, Mgr d’Aviau lui écrit une lettre de félicitations, à laquelle répond l’empereur en envoyant la croix de la Légion d’Honneur avec le titre d’officier. L’archevêque refuse cependant cette distinction en disant qu’à son avis, un évêque avait assez de porter, pendue à son cou, sa croix pectorale[B 11]. Il fit transmettre son refus par M. Portalis, alors ministre des cultes.

Mgr d’Aviau doit faire face à une autre menace de la part d’un prêtre qui décide de se marier avec la fille d’un maire avec laquelle il entretient déjà une relation. Ce prêtre, Marc Boisset, pose cet acte délibérément, dans le but de provoquer l’institution religieuse. M. l’archevêque de Bordeaux se doit alors de réagir. Après maintes supplications auprès du ministre du culte, ce dernier lui écrit, dans une lettre du 14 janvier 1806[B 12], que sa requête a été acceptée : « M. l’Archevêque, j’ai la satisfaction de vous annoncer que S. M. I. et R. (Sa Majesté Impériale et Royale), en considération du bien de la religion et de mœurs, vient d’ordonner qu’il serait défendu à tous les officiers de l’état civil de recevoir l’acte de mariage du prêtre Boisset. ».

Les effectifs du Grand Séminaire de Bordeaux étant réduits, Mgr d’Aviau décide d’installer, dans les bâtiments de l’ancien séminaire de Bazas, un petit séminaire. Cette école connait rapidement un important succès et ses effectifs atteignent plus de 150 élèves dès la première année.

En 1811, Mgr d’Aviau du Bois de Sanzay est convoqué au Concile de Paris [B 13] [C 1], auquel il se rend en hâte.

Pendant la période de la Première Restauration, Louis XVIII de France fait envoyer aux évêques de France une missive dans laquelle il leur demande leur démission[B 14]. Mgr d’Aviau ne comprenant pas un tel acte répond alors au roi qu’il ne donnera sa démission que si le Saint-Père la lui demande.

Mgr d’Aviau est nommé commandeur de l’Ordre du Saint-Esprit lors de la promotion du 30 septembre 1820, en compagnie de MM. de Montesquiou, de Bausset et de la Luzerne.

Le 11 juillet 1826, muni de tous les sacrements, Mgr d’Aviau du Bois de Sanzay meurt en ayant comme dernière parole : « In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum » (ce qui signifie « En tes mains, Seigneur, je remets mon esprit »).

Notes et références

  1. p. 12
  2. p. 13
  3. p. 14
  4. p. 17
  5. p. 25
  6. p. 27
  7. p. 30
  8. p. 40
  9. p. 44
  10. p. 56
  11. p. 64
  12. p. 65
  13. p. 69
  14. p. 70
  15. p. 70
  16. p. 85
  17. p. 179
  18. p. 199
  19. p. 247
  20. p. 290
  21. p. 339
  22. p. 389
  1. p. 4
  2. p. 127
  3. p. 155
  4. p. 191
  5. p. 199
  6. p. 266
  7. p. 271
  8. p. 307
  9. p. 313
  10. p. 337
  11. p. 472
  12. p. 520
  13. p. 590
  14. p. 667
  1. p. 427

Voir aussi

Liens internes

Bibliographie

  • Jean Paul François Marie Lyonnet, Histoire de Mgr d'Aviau du Bois-de-Sanzay : successivement archevêque de Vienne et de Bordeaux, vol. 1, J.B. Pélagaud et cie, 1847, 701 p. [lire en ligne (page consultée le 27 mai 2011)] 
  • Jean Paul François Marie Lyonnet, Histoire de Mgr d'Aviau du Bois-de-Sanzay : successivement archevêque de Vienne et de Bordeaux, vol. 2, J.B. Pélagaud et cie, 1847, 812 p. [lire en ligne (page consultée le 1er juin 2011)] 
  • Cérémonial du Concile national de Paris : tenu l’an 1811, Clere, 1811, 58 p. [lire en ligne (page consultée le 5 juillet 2011)] 

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